• Événement Historique 2024

    Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passerait si des personnages historiques de différentes époques et origines pouvaient se rencontrer ? Dommage si c'est le cas, car nous ne savons pas non plus ! Mais ... c'est cette idée qui nous a inspiré pour créer l'Événement Historique !

    Notre événement historique se déroulera du 6 au 27 mai ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Mai 2024 - Le coup de crayon !

    Forgiennes et Forgiens,
    Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Le coup de crayon !
    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.282

    La mise à jour 1.282 aura lieu le mercredi 08 Mai ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
    Pour une description détaillée des changements à venir, veuillez cliquer ici.

Concours RP St Valentin 2017

  • Auteur de la discussion DeletedUser45501
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DeletedUser15774

Guest

C'est ce soir à 20h que je vais le rencontrer une fois de plus sur le champ de bataille . Mais cette fois je ne vais pas attendre ! Il faut que je lui parle de mes sentiments.
Les combats se succéderont à grande vitesse: chars planeurs contre champions et voyous, drones dragons et forteresses militaires contre plasmas et androïdes... Je connais les combinaisons par cœur, enfin presque ... J'essaie de les retenir pour me montrer à la hauteur, disons à sa hauteur ... Et lui, malgré son avatar à capuche, je le reconnaîtrai entre mille. Et sa guilde, la pire ennemie de notre guilde, nous écrasera encore une fois!
Nous appartenons à des guildes rivales et malgré cela nous sommes amis . Chaque soir nous nous retrouvons à la taverne pour discuter et partager nos fous rires ! Cette taverne est vraiment une belle invention ... une ouverture sur l'au-delà... de notre guilde!
Je viens de m'installer dans sa caverne . Il est là . Je m'approche de lui et l'invite à venir visiter mon orangerie dont je suis si fière .Un GM qui va peut-être me permettre d'améliorer mes résultats sur le champ de bataille... Il accepte volontiers .
Nous passons près de l'arbre de l'amour . Non, ce serait trop banal, une déclaration sous cet arbre... Je n'aime pas les conventions...
Qu'il est difficile de dire à quelqu'un qu'on l'aime ... Je me lance et c'est à ce moment précis que je prends conscience du gouffre qui nous sépare...
Il s'appelle Roméo et appartient à la guilde des XY . Je m'appelle Juliette et j'appartiens à la guilde des XX .
Nous n'allons pas recommencer l'histoire .Il faut quitter ce monde virtuel ! Je me mets à courir, courir, courir, je ne me retourne pas, je cours, je cours, je cours et je tombe dans un gouffre sans fin . Allait-il me suivre ? Me suit-il ?

  • Amour ou Haine qu'importe
  • Tomber au fond du gouffre
  • Et quitter l'irréel ...

 
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DeletedUser45817

Guest
Même si mes voyous pillent ta cité
Même si trois de mes secteurs sont désormais entre tes mains
et nombreuse de mes unités dans tes géoles !
J ai appris à nager pour atteindre ton Alcatraz,
je ne ménagerai pas mes peines !
je ne ménagerai pas mes efforts !
mon enthousiasme sera intact
Mon seul voeux est d être ton Phare .
Je gravirai la tour de l'Innovation pour toi.
Notre demeure sera le plus bel Habitat
Nous garderons ensemble le même Cap !
Pour toi, je me battrai contre touts les armées !
les plus puissantes s'inclineront !
Je poserai un siège au pied de Castel del Monte , du Chateau de Deal.
Peu importe notre Age !
Peu importe notre Monde !
Peu importe notre rang !
Peu importe notre guilde
Peu importe nos amis !
L'amour pour nous sera le plus fort !
Je serai ton Sorcier, ton Conteur, ton puits au souhaits !
Pour toi je serai invulnérable et impétueux !
Mais aussi attentionné et prévenant !
Veux tu devenir ma femme ?
Veux tu devenir mon impératrice ?
Veut tu devenir mon Event ?
Veux tu devenir ma moitié ?
Ensemble nous gagnerons de nombreux combats !
mais aussi de nombreux territoires !
Nos armées nous soutiendront,
et nos amis nous aimerons
mais nos voisins nous craindront.
Nos Expensions seront rapides et efficaces !
Nos soldats fêteront leur victoires dans les tavernes
et je sortirai mas plus jolies nappes !
et nos paysans produiront le coeur léger !
Notre peuple enfin unifié nous acclamera !
Marchandises et ressources couleront à flot !
Notre peuple sera enthousiaste devant tant d'amour !
Et notre guide grandira !
Toi mon amour, ma douce !
Toi celle qui ....
M' inspire et me transcende
Veux tu devenir ma femme en la cathédrale d'Aix le Chapelle ?
as moins que tu affectionnes la cathédrale Sainte Basile ou la basilique saint Marc §
Préfères tu la bohème,
et nous partirons en expéditions!
préfères tu ta contrée
et nous établirons nos positions !
Veux tu être mon amour pour la vie ?
 
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DeletedUser45818

Guest
J'étais perdu, je me sentais gris, et j'avais soif d'une nouvelle source d'illumination, pour reprendre des couleurs, recommencer à croire en autre chose que cette morne représentation d'un accomplissement vide, sans saveur, sans vigueur, reprendre goût à la vie.

Cela existait-il? Était-ce seulement possible? Il y avait eu une première fois. Une ébauche, une esquisse, un croquis. Sortie de nulle part. Quel était son nom, déjà? Elle dessinait avec du café, sur de la porcelaine. Elle dessinait sur les murs, aussi, de grandes fresques sans queue ni tête.

Doreah.

Tel était son nom. Nous étions à l'âge Colonial, mais elle habitait encore l'un de ces vieux appartements tout décrépits de la Renaissance. Tout près de chez moi. Elle était passionnée, elle était belle, elle était folle. Folle de transport maritime. Elle voulait voler de ses propres ailes, partir à l'aventure, explorer.

Elle voulait devenir une Ranger. Elle est partie et je ne l'ai plus jamais revue. Aucune idée de ce qu'elle est devenue. Aucune idée de si elle a réalisé son rêve.

C'est à ce moment-là que je t'ai rencontrée. Je t'ai vue sans te voir, qui étais-tu? Qu'étais-je, pour toi? Et puis tu as fini par partir, toi aussi. Une illumination perdue. Cela donnait l'impression que quelqu'un avait éteint le soleil. Ce n'était qu'une illusion, un rêve éveillé, une confusion où l'on ne sait plus différencier ce qui semble être de ce qui est.

En réalité cela avait été bien bref, une toute petite illumination, à peine plus forte qu'une étoile en fin de vie. Une toute petite étincelle.
 

DeletedUser44812

Guest
Quelqu'un m'interpelle au beau milieu de cette rue mal pavée, me tendant une lettre. Il s'avère être le relai d'un homme qui ne souhaitait pas me la donner lui-même, étrange...

*La lettre dans ses mains, elle décida de l'ouvrir et de la lire*

Juliette,
Enfin je vous ai retrouvée...

*Surprise de par ces premiers mots, elle marqua un temps d'arrêt, puis continua*

Vous avez bien grandi depuis mon départ il y a 15 ans.
Alors comme ça, vous vous êtes laissé pousser les cheveux ?
Il sont magnifiques !
Serait ce aussi cette boucle d'oreille avec une plume que vous portez encore, que je vous ai offert à mon départ ?

Ro... ROMEO !! *s'exclama t'elle, esquissant un large sourire en lisant ces lignes*

Même si je le voulais, je ne pouvais pas vous remettre cette lettre en main propre.
Oui, nous sommes ennemi.
Une des choses dont je regrette le plus dans cette vie.
Retrouver celle avec qui j'ai passé 10 ans de mon enfance sur le champ de bataille...
Il a fallu que je vous demande de retirer votre casque...
Revoir cette boucle d'oreille, pourquoi ?

*Elle comprit très vite de quelle scène il s'agissait, celle où un chevalier de la guilde ennemie lui laissa la vie sauve... ses yeux commençait à briller, ses larmes allaient couler. Elle serra la lettre de ses mains tremblotantes.*

Aujourd'hui, je veux de nouveau vous sauver la vie.
Dire que vous n'êtes qu'une ancienne amie est faux, c'est bien plus que cela.
Il faut que je vous l'avoue : je vous aime ! Je vous aime depuis la première fois que nous nous sommes rencontré.
Écourtez votre séjour à Breturia et partez vite !
Une fois que cela aura commencé, il sera trop tard.

*Ils avaient pour habitude de cacher des messages secrets étant enfants*
NOOOOON !!! NOOOOOOoooon... *s'effondra t'elle en larmes*

*Au même moment, les cloches de l'église retentissaient, "Ils sont là, ils attaquent !!!" étaient crié de partout. Juliette sécha ses larmes et courra de toute ses forces vers l'est de la ville, vers le champ de bataille. Elle savait que Roméo était là bas.*


*Un chevalier s'approchait très rapidement d'elle*
- Juliette ?! Que faites vous ici, partez !
- Roméo ?!
*Il descendit de son cheval et retira son casque*
- Vous devez partir, maintenant !
- Roméo je...

*Elle n'a pu finir sa phrase, une flèche transperça le cou de Roméo qui tomba à genoux face à Juliette, éclaboussé par son sang jaillissant. Paralysé, le voyant souffrir et mourir à petit feu, il est dans l'incapacité de parler. Ses larmes coulèrent sans qu'elle sanglote, traumatisée et choquée.*
*Ils se fixèrent l'un l'autre jusqu'à ce que Roméo finissent par s'écrouler au sol.*
*Sans voix, un autre chevalier la prends par la taille et l'enfourches sur sa monture, fuyant la ville à feu et à sang.*
 

DeletedUser35761

Guest
bonjour et merci pour ce nouveau Jeu Concours Saint Valentin
poème de 1650 caractères.

Alors que nous guerroyions durement
Avec notre guilde des "Pas marrant"
Contre nos ennemis sans merci,
La guilde des "Fruits confits".

Parmi eux, la belle Ananabelle
Assiégeait nos secteurs à la pelle,
Avec Toudanlmelon, un gros naze
Qui sortait de la prison d'Alcatraz.

Un jour, étant dans le voisinage,
Je décidais de piller sa serre,
Elle m'envoya un petit message
Ironisant sur la faible matière.

Lui répondant que pour toucher son coeur
Je ne pu prendre qu'un bouquet de fleur
Qu'elle me retrouve à l'observatoire
Pour qu'elle découvre la belle armoire.

Et c'est la tête dans les étoiles
Qu'elle décida de connaitre le mâle
Près du Capitole si idyllique
Je lui montrai toutes mes reliques.

Mais tous les voyous de sa taverne
Ne purent accepter cette entrave,
Leur guilde était en berne
Ils voulaient faire de nous des esclaves.

Grace aux lumières du Phare d'Alexandrie
Nous nous échapâmes dans la nuit
Se réfugiant dans la cathédrale d'Aix
Où l'on se maria,le lendemain sans complexe.

C'est entourés de tambours et de portes étendards
Que la cérémonie eu lieu sans retard
De cette union naquit une guilde atypique
Dont le nom sera connu jusqu'en artic.

Nous étions devenus les nouveaux mercenaires
Les "Bonnie and Clyde" de forge of empire
Nous formions, avec nos unités militaires ,
Une alliance où tout le monde craignait le pire.

Avec toutes les ressources amassées,
A défendre la veuve et l'opprimé,
Nous construisions le chateau de Frontenac
Redoublant sans cesse nos quêtes et nos attaques.

Mais un soir,dans le labo du savant fou,
On nous fit goûter une drôle de potion,
Toudanlmelon avait bien préparé son coup
C'est au vieux cimetière que nous nous retrouvions

Pour l'Eternité ...
 

DeletedUser41807

Guest
Le Slam de la Renaissance

Ou l’histoire tragique de Roméo et Violanté

(Sur un air de Hôtel California)

ici le lien pour la musique

Sur un chemin perdu d’Andria,

Une chaleur étouffante planait en Puglia

Baigné dans le doux parfum des oliviers

Qui embaumait l’air tant envié.



J’apercevais au loin les armures fracassantes

Des spadassins, faces déconcertantes.

Mon cœur chavirant et mon souffle haletant

M’arrêtant en la voyant, si belle, cette amante.



Elle est là, sise au Castel Del Monte.

Mais les ordres du « Phoenix de Qunrir » ont tinté.

« Ce sera l’enfer pour les Ordres du Clan »

Ni même toi ne pourras y échapper »

A la lueur d’une torche,

Dans ces sombres couloirs,

Je percevais les râles lugubres des assaillants

Qui m’interpellaient.



« Bienvenue au Castel Del Monté,

Quel beau fortin ! (si assassin) Si incertain !

Oubli pour toujours (à jamais) la main di Violanté

Jamais elle ne l’sera, Sera ton destin. »



Tourmenté, apeuré, l’esprit bravache

« Elle possède déjà une arche ! »

Multitude de couards arrogants

Qu’elle nomme sa garde impériale

M’harcèlent sans relâche,

En des joutes infernales

Sueurs et pillages cordial

Ravivant mes victoires, oubliant mes défaites



Interpellant mon beau seigneur,

« Réglons mon dilemme je vous prie »

Il me répondit :

« Cela fait fort fort longtemps

Que je n’suis plus dans cet esprit »

Et toujours ces satanés râles venant du néant

À tout moment, Inlassablement,

Me susurrant :



« Bienvenue au Castel Del Monté,

Quel beau fortin ! (Si assassin) Si incertain !

Oubli pour toujours (à jamais) la main di Violanté

Jamais elle ne l’ sera, Sera ton destin. »



Lâchant ainsi mes amis,

J’ai dû mourir dans l’exil.

Elle me dit : « Ni soie, ni laiton, ou poudre à canon

Te délivreront de cette foutue prison »

Puis, dans la taverne tous réunis,

« Mages du Clan » et « Ordre du Phoenix »

Lames et couteaux de fer affutés,

N’ébranlaient plus mon cœur brisé



Mon dernier souvenir, ultime stigmate

Dernière missive, telle une lettre plate

M’annonçant chancelante

du haut de son Palais d’argent

« Relax, ce n’est qu’un jeu l’amant »

Ton solde tu paieras en forge sonnant

Mais jamais, Oh ! grand jamais

L’abandonner tu ne pourras

Jamais tu ne pourras !



« Bienvenue au Castel Del Monte,

Quel beau fortin ! (Si assassin) Si incertain !

Oubli pour toujours (à jamais) la main di Violanté

Jamais elle ne l’ sera, Sera ton destin. »
 

DeletedUser

Guest
-Argus!? Argus réveillez-vous!
Il ouvrit un œil, puis un deuxième …la nuit avait été courte, passée en cavalcades avec son cousin Alcati dans les ruelles de Dinegaard, la capitale de Dinegu. Ils s’étaient enivrés jusqu’au petit matin et chancelant, Argus s’était affalé sur son lit, croyant ainsi oublier ce qui l’attendait le lendemain…
Mais sa mère se tenait à présent au pied de son lit et d’un ton péremptoire lui intima l’ordre de se lever.
-Dépêchez-vous de vous préparer! La délégation matrimoniale de la guilde Red Sharks est arrivée. Vous connaissez l’importance de ce mariage pour nos deux maisons. L’avenir des Anges et Démons repose sur cette journée.
Argus se tira du lit et laissa les dames de bienséance l’habiller comme il se devait. Denisauzas de la maison Red Sharks lui serait présentée aujourd’hui pour la toute première fois, le mariage prononcé et son avenir à lui, Argus 134ème du Nom, tracé pour les décennies à venir.
Avant de rejoindre la salle des cérémonies, tiraillé par la faim et désireux de quitter son état nauséeux, il se rendit dans les cuisines du palais. Là il demanda à celle qui devait être une quelconque servante de lui donner un grand verre frais de lait de chèvre. Elle avait de dos une fière silhouette, de longs cheveux blonds dansant jusqu’au bas de son dos. Quand elle se tourna un sourire espiègle illuminait son visage.
-Mais bien sûr mon seigneur! dit-elle en lui tendant le 1er verre qu’elle trouva.
-Je dois aujourd’hui me marier mais cet instant vient à jamais de changer mon existence. Jamais je n’ai contemplé de plus délicieuse femme que vous. Pourquoi soudain cette envie qui m’étreint de plonger à jamais mes yeux dans vos prunelles au couleur de l’azur ? Je viens tout juste de sortir de mes rêves et voilà que vous, petite servante, m’y replongez subitement. J’étais dauphin, promis empereur, mais me voilà bouche bée comme un vulgaire poisson, gauche devant vous comme un simple manchot !
La jeune fille éclata d’un rire cristallin puis d’un mouvement de robe fit volte-face et se glissa par la porte qui donnait dans le hall.
Argus, interdit, n’eut que le temps de la voir disparaître. La réalité glacée refit surface en lui, comme un iceberg qui voulait lui fendre les reins.
Il remonta l’escalier principal et rejoignit père et mère qui l’attendaient à l’étage. Son mariage lui semblait maintenant plus horrible encore que la veille. Épouser une femme, juste pour l’étiquette, pour enterrer enfin la hache de guerre qui ensanglantait leurs deux familles depuis trop longtemps. Un mariage de raison, lui qui ne vivait que pour la déraison.
D’un œil morne il regarda les convives, les Red Sharks au complet, la suite colorée des Anges et Démons. La délégation abhorrée s’écarta pour laisser passer le père au bras de sa fille, sa promise à lui Argus le désespéré comme il se figurait aujourd’hui.
Elle releva la tête et d’un clin d’œil hilare lui dit :
-Ne restez pas muet comme une carpe, animal maladroit. Aujourd’hui nous nous marions !
 
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DeletedUser46605

Guest
huit heure du matin,le soleil se leve sur ma belle citée.J'ouvre les fenêtre de mon hôtel de ville et j’aperçois ton nom.Tu m'as attaquer et piller.Un frison m’envahis,mon coeur se met a battre,une chaleur étrange me submerge.Je t'aime.Je me précipite dans ma messagerie,je transpire j'ai les main moites.Je t’écris.
-J'ai revisionné ton combat,tu ma écrase avec une telle fougue que mon coeur c'est emballé.Puis se n'est pas ma manufacture de porcelaine que tu as piller mais mon être tout entier.Ta réaction ne ce fit attendre,d'abord trois gros points interrogation,puis exclamation,suivit de quelque jurons.Pourquoi? pourquoi me rejette t'elle ainsi,c'est raison était clair nous ne vivions pas dans le même monde.Elle étais la pour vaincre,détruire et faire souffrir les petit comme moi.Elle exceller en JCJ,alors que moi j’étais dans les dernier.Tout nous opposé,même nos guilde respective se faisais la guerre en GCG.Alors que faire,comment la convaincre que mon amour était sincère.Je rétorqua.
-Mon amour,pourquoi ne pas devenir amis je te donnerais tout ce que je possède,je visiterais ta taverne aime moi ma fleur,car même si mon niveau est inférieur les sentiments que j'ai en vers toi eu son a la hauteur.Mais c'est sentiments envers moi était moindre elle m'avais rejeter,piétiner,moi qui la croyais si douce s'en étais trop.Mon coeur étais brise,ma vie ne valais plus rien c'est alors que dans un élan de colère que je commenças a supprimer bâtiments après bâtiments pour qu'il ne reste plus rien.Mais jamais non jamais je ne pourrais l'oublier.Je l'aime et je l'aimerais toujours
 

DeletedUser40050

Guest
lES COEURS VAILLANTS

Sur le champs de bataille,avec tes fiers soldats,
les cheveux en bataille, je t'ai vu là.
Sur ta ville en pagaille, quand surgit ton Alca,
pour quelques victuailles, tu restas là.
J'ai l'ame qui trésaille, devant tant de courage,
et meme si tes ouailles,souvent me dévisagent,
Sur toutes les campagnes, à travers tout les ages,
Toujours je te regarde, et jamais ne me lasse.
J'ai tenté maintes fois, d'éviter leurs assauts,
j'ai voulu quelques fois , t'inviter prendre un pot,
Table en bois, table des rois,
voudras-tu bien de moi ?
Quand sur ton avatar, tu arbores fièrement ta cape de César,
ou bien en alternant, suivant les changements, l'armure de Anwar
Alors, en un instant, je change mes atours,
devenant simplement la Rose pour un jour.
Mais dans mon coeur qui bat, que tu sois fils de roi,
voleur ou écrivain, Robin ou bien Martin,
Je serai Makeda, Amelia ou Franka
pour qu'enfin ton regard se tourne face à moi.
Pour toi, passionnément, je brandirai la fronde
révant d'un autre monde ou nous pourrions ensemble
sans détours et sans honte, à travers les chemins,
Affronter les dangers des autres lendemains.
Et contre tous, petits ou grands, gentils, méchants,
c'est avec moi, avec effroi, souvent émoi,
la tete haute, moi produisant, toi combattant,
que nous serons, le coeur vaillant alors gagnants.
Alors, si tu le veux, devant tout ces regards,
levons notre étendard pour etre enfin heureux.
Alors, ou que tu ailles, depuis le Moyen-Age et jusqu'au sidéral,
Je serai ta compagne , pour etre enfin à deux.
 

mc5-0

Missionnaire
Bel SYGA,
Oh, toi mon Roméo perdu dans ce futur arctique, tu traverses les mers glaciales pour venir sur les rivages sereins de ma douce contrée Dinegu.
Derrière ton charmeur visage de bonhomme de neige, nez de carotte et chapeau haut de forme, tes yeux charbon et ton écharpe aux couleurs de notre fête préférée, Noël ; tu lances ton artillerie plasma sur mes canons électriques ou mes chars d'assaut planeurs. Mon voyou se cache dans cette forêt enneigée, mais le tien vient juste de se transformer et d'un tir puissant condamne mon champion, son porte-étendard tombe à ses pieds. C'est la fin pour moi, tes armées vont entrer dans ma cité. Ça y est, pillage de mes nanocables, de mes données d'I.A., il ne va plus rien rester.
Ah, monde ingrat de la loi du plus fort mais il n'en est rien car ce n'est pas un chevalier en face de moi, pas un empereur mais un seigneur. Il ne fait que passer, simplement pour se signaler. Il vient de retrouver sa bien aimée, sa Juliette adorée. Il se rappelle à moi. Tous les jours, un petit signe, un coucou pour lui dire "je pense à toi". Cette présence réchauffe mon coeur de mamie. Je sais que tu dois rester loin de moi dans ton blanc pays. Tu ne survivrais pas à la douceur de ma verte campagne. Quand les bourgeons bientôt apparaîtront et que les gazouillis des oiseaux annonceront mon printemps tant attendu, je m'installerai à l'ombre de mon arbre de mai pour regarder les vidéos de tes batailles acharnées.
"Loin des yeux, loin du coeur" non ! Rien ne pourra faire oublier à ta mamie les mercredis après-midis, les goûters lors des vacances de février où de mon balcon, je te surveillais t'amuser avec notre chien Loup T.
Ton Hilde chérie qui t'embrasse
 

DeletedUser34219

Guest
Navigant entre les studios et les maisons, je vis Shao son sur balcon. Portant une belle robe de tissu soyeux, aucun homme ne serait insensible à ces yeux. Prenant mon courage à deux mains et au passage une rose, je me présentai :

-Ma Dame, commençais-je, permettrez moi, malgré nos maisons respectives, de vous avouer les plus sincères sentiments de mes fibres.

Sans contestation de sa part, je lui lançai ma rose. Shoa l’attrapa au vol et avec un large sourire, s’en approcha pour la sentir.



Vous êtes à mes yeux une rose,

Elancé vers le ciel, par votre pied vous cherchez à vous envoler,

Tel un oiseau sauvage qui aurait peur d’une cage,

Malgré vos ailes déployées, le vent ne vous fait que tournoyer,

De mains en mains, de bras en bras,

Votre destin vous a mené à moi.


Voyant que j’avais fini, elle tendit le bras, la fleur au bout des doigts, ouvrant la main pour me redonner mon bien.

Ramassant la rose comme un objet cassé, je ne pus m’empêcher de la fixer. Shao descendit de son balcon et d’une voie fragile mais relaxante, me fit part de ces intentions :



Ô monsieur, de belle parole pour votre dulcinée,

Mais en avez-vous autant pour ces productions pillées ?

Mise à part mes sentiments à votre égard,

Notre relation a fini dès le départ.

De ma maison contre la vôtre,

Les tensions sont trop hautes,



Avec une pointe de regret ma dulcinée fit quelque pas en retrait. Dans un dernier espoir de la voir à mes coté, je repris courage avec plus de langage :


D’une relation publique ou privé je saurai vous aimer,

D’un soleil ou d’une goutte d’eau je saurai vous protéger,

Peu importe nos origines,

Si nous suivions notre cœur,

Nous serions peut-être heureux ailleurs.


A quelques centimètres l’un de l’autre, dans un coin reculer, je fini par l’embrasser.
 

DeletedUser43579

Guest
Bonjour, voici ma participation au concours. Je joue pour mon monde Jaims.
(2212 caractères selon le site compteurdelettres.com)

------------

Chaque jour je prends plaisir à venir récolter mes marchandises, pièces et autres engrais.

Je suis à l’ère industrielle, une ère intermédiaire

Où les usines chimiques côtoient les stations baleinières.



Si je prends la plume aujourd’hui, c’est pour enfin franchir le cap qui nous sépare.

Depuis plusieurs semaines, chaque jour tu prends plaisir à venir me piller.

Par tes incessantes venues dans ma cité, tu as su aiguiser ma curiosité.

Chaque jour, je viens vérifier quelles ressources tu m’as volées

Chaque jour, je pense à ma défense qui fait face à ton armée

Chaque jour, je pense à toi en te laissant de quoi te servir

Et si tu ne passes pas récolter, quoi de plus cruel et pire !



Quand ces rares moments arrivent, je prends mon mal en patience,

Je sais que tu repasseras, je connais ta constance.

J’ai parlé de toi à plusieurs de mes investisseurs,

Mais aucun ne te connait aussi accrocheur.

Certes, nos guildes s’affrontent régulièrement dans différents secteurs

Mais il semblerait que tu aies fait de moi une cible à toute heure.

Plus les semaines passaient, plus je souhaitais venir t’écrire

Plus les semaines passaient, plus je souhaitais venir te le dire,

Venir te déclarer que je suis tombé sous ton élégance

J’aimerai te compter au coin des conteurs ma romance

Ou mieux encore, pourquoi ne pas venir discuter dans ma taverne

Cet endroit en haut de ma cité, où avec mes amis j’hiverne.

Nous y buvons du cidre issu de ma cidrerie

Je te promets que ce n’est pas de la cochonnerie !



Si le courant passe entre nous, quoique j’ai peu de doute de mon côté,

Je pourrai t’inviter dans ma modeste maison d’ouvrier

Je te ferai découvrir la vue magnifique sur ma volière

On pourra y observer au loin mes usines de luminaires.



J’espère ne pas t’avoir apeurée en te dévoilant mes sentiments

Mais je ne pouvais plus faire autrement

Malgré nos guildes opposées, nous pourrions nous aimer

Malgré tout ce que tu m’as fait subir, je n’aurai de cesse de te chérir.

Pourvu que ces quelques lignes fussent suffisantes

J’espère que ta réaction ne sera pas blessante.

J’ai tellement hâte de te lire, tellement hâte de me blottir

J’attends tes retours, sens-toi à l’aise : vas-y sans détour.

Signé ton ennemi préféré

-----------
 

DeletedUser43632

Guest
Je suis né dans mon monde sous le doux nom de Cruelle, mais cruelle je ne suis pas.

Comme j’aime le froid, l’avatar de l’explorateur du grand nord me va à merveille, encapuchonné je suis.

Il y a d’autres formes de coupe-vent, plus sombres, comme à l’image des pensées qui animent certain(e)s joueurs *les Pilleurs aiment les capes noires* :

Combien de voyous j'ai vu passer sur mes terres, moi le paysan, le facilitateur d'échanges sur le marché, moi le pacifiste.

J'en ai converti plus d'un(e)s au libre-échange, bon nombre furent surpris par ma prise de contact.

Je ne leur ai pas déclaré mon amour *il y a des limites*, ni dénigré leur stratégie de jeu.

Bien au contraire je les félicitais pour leur cité…

Très étonné(e)s furent certain(e)s : "pour une fois qu'un joueur ne pleurniche pas" me répondaient ils.

Alors la Cruelle est devenu amie.


Quoi de mieux que des amis sincères et non invités à l’aveugle.

Quoi de mieux que le dialogue.


Mais, ils me déclarèrent leur flamme pour les rejoindre dans leur guilde, Cruelle alors je fus.

Point de trahison, Cruelle est fidèle en tout et certain(e)s me quittèrent ...


Alors je vous le dis mes frères et sœurs de jeu ou d’armes, quelle que soit votre stratégie de développement *FOE en propose plusieurs sur des axes différents d’où la richesse de ce jeu* :

Vivez, si m’en croyez, n’attendez à demain, cueillez dès aujourd’hui les roses de la vie (Pierre de Ronsard, Sonnets pour Hélène, 1578)

Ne fauchez pas ces roses, cueillez, donnez, aimez ; je vous attends avec impatience, en 3 mots je vous aime.
 

DeletedUser31525

Guest
Ma chère "Alpha"
Depuis tout ce temps que je te côtoie, je n'ai de cesse d'avoir d'yeux que pour toi!
Nous avons beau croiser le fer tous les jours cela ne fait qu'intensifier mon amour.
Tu as beau venir conquérir mes secteurs, tu ne fais que prendre plus de place dans mon cœur !
La moindre action que tu entreprends ne fait qu'intensifier mes sentiments !
Alors rien que tout cela me fait dire que je suis ton "oméga".
A la base tout nous oppose mais au finale tu es ma rose !
En t'épanouissant progressivement à moi,
Je saurai éviter toutes ces épines, cela sans courber l'échine et,
Sans me précipiter, je te ferai rapprocher de moi,
Afin que notre union sonne à l'unisson,
Je me plierai à tes volontés en toute soumission,
Mais saches que jour après jour,
Je te ferai découvrir mon amour, et si te me laisse entrer dans ton cœur, je ne ferai que le remplir de bonheur !

Ma démarche te semble peut être incongrue, face a un bien bel inconnue,
Mais, mettons l'espace d'un instant nos vélocités de côté,
Peut-être bien que nous passons à côté,
D'une histoire sans commune mesure, qu'a connue la nature !
Alors c'est en ta compagnie, que je souhaite écrire un beau récit,
Celui qui raconterai comment, en l'espace d'un instant,
Ceux qui tout oppose, ont étaient réunis grâce à la prose,
Et qui maintenant ne se séparerait, même pas l'espace d'un instant!

C'est ainsi que "l'alpha" et l"oméga" ne ferai qu'un !
Alors je t'en supplie
Il ne te suffit que d'un OUI
Pour rendre mon quotidien plus que divin !

J'espère qu'après tout cette lecture, cela change à jamais mon futur !

Ton "Oméga"
 

DeletedUser46997

Guest
Mon cher Pepin ;
Je t’écris ce parchemin pour te dire que je pense être définitivement amoureuse de toi et pour toujours.A force de te voir piller mes ressources , je ne tiens plus , tant de puissance m'impressionne .
Cela fait un moment que chaque jour on se voit dans mon village ,et comme tu dois t'en douter il me tarde déjà d’être a demain pour te rencontrer à nouveau ( je sais que tu reviendra me voir ) ...Tu est quelqu'un de tellement surprenant que je ne résiste plus , je ne sais jamais si me pilleras mon or, mon vin ou peut être même mon sel , enfin bref ,comme j'aime les surprises ; cela me ravit....

J'ai suis venue chez toi hier soir mais ton armée m'a vu ,ils ont tué tous mes guerriers mais je suis en vie . Leur dire de me laisser la vie sauve était une preuve d'amour de ta part , car tu savais que cela aurait pu te couter cher .Je t'ai bien reconnu là, ça me touche beaucoup.

J'ai parlé de notre histoire aux dirigeants de la guilde , ils m'ont conseillé de t’éviter , de ne plus polir ni motiver tes bâtiments , et de monter une armée solide pour t'attaquer .Mais je crois en notre amour , tel la belle et la bête , je m'imagine la commerçante et le pillard. Quand tu as refusé ma demande d'amis près de l'atelier de sel , aux regards de tes spadassins , j'ai bien compris que tu ne pourrais l'accepter et que cela te déchirait le cœur.Je ne t'en veux pas , cela n'a fait que renforcer mon amour pour toi mon petit Pepin.
Je me disais que l'on pourrait se retrouver au marché quelque fois , je pourrais t'aider à t'en sortir.Je sais ce que dit ta guilde mais ils ne peuvent rien t'apporter alors que moi oui ! Je sais que tu as bon cœur , et que tu me pille uniquement par grande pauvreté .J'ai conscience que vivre dans une pomme n'est pas facile mais la violence n'est pas une solution en soi .

Je suis prête a t'offrir une place dans mon village ainsi qu'un métier à la taverne (il y a plein de poste a pourvoir) ,et ainsi , je pourrai t'attendre chaque jour a l'atelier du père Noël.
J' aimerais que tu prennes en compte ma proposition , je t'aime de ton mon cœur .
A demain mon petit Pepin
 
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DeletedUser40683

Guest
Tes flèches ont transpercés d'abord mes petits soldats. Je bouillais d'impatience de découper les tiens pourtant haltéro-Phil, en menus morceaux mais tu avais toujours une longueur d'avance sur moi. Tu t'invitais dans mes teintureries, brasseries, cidreries, boutiques et autres et tu emportais tout ce qui te plaisaient sans me verser une seule pièce, sans même un sourire.
Puis un jour, je t'ai découvert dans mon temple. Etait-ce un signe ? Comme j'étais un peu colombo-Phil, je t'ai envoyé un message avec mon plus beau pigeon, te demandant par quel miracle tu avais échoué dans mon temple et si un rapprochement était envisageable... La réponse ne tarda pas, mon pigeon revint avec un message : "Phil au logis et restes-y !"
Mon coeur était dévasté ! Inutile de Phil-osopher, jamais Phil ne m'enverra un bouquet de gypso-Phil pour me déclarer sa flamme. Ce n'était qu'un Phil-ou, sans plus ! Jamais je ne Phil-erai le parfait amour avec lui. A moins de l'attirer dans mes Phil-ets avec quelques Phil-tres d'amour.... Seul le grand sorcier pourrait m'aider... Sa Phil-osophie m'a remonté le moral et maintenant j'attends le 14 février pour le prendre en Phil-ature et le suivre au bout du monde ..
 

DeletedUser48078

Guest
Lettre à Alexiablue*, 4 février 1515​

Chère amie disparue,
Laisse moi te conter​
Mes tristes aventures. Au début de janvier,
Je m’en allais chanter en bonne compagnie
Dans la taverne nouvelle de Melili.

Déjà Ratel s’impatientait, et moi, coquète,
Je m’apprêtais. Parfum, rubans, bijoux, paillettes…
Et je glissais dehors rejoindre le carrosse,
Où Sylverakoya ouvrait déjà la noce.

Une bouteille, des sourires, nous partions au galop,
Quand j’aperçus soudain, à travers le rideau,
Une ombre mystérieuse, glissant dans ma volière.
Je bondis, quelle erreur, ses pas griffaient le lierre.

Je courrais dans la nuit, à pas de loup, gracile,
Mais lui, preste et léger, inconnu indocile,
Il s’était emparé des biens de ma cité.
Je quérais le secours de ma guilde avisée.

Les conseils de Lady étaient judicieux,
Les avis de Garga, tout aussi astucieux,
L’oreille de Boroun se fit compatissante;
Une nouvelle attaque arrivait, imminente.

Il entra, je le vis. Derrière mes soieries,
Il goûtait les pommes de ma cidrerie!
L’ire, la colère, la rage, la fureur,
Toutes ensemble s’emparèrent de mon cœur.

Comment comprendre alors, qu’un seul geste, un seul mot,
Un seul regard, aient pu, dans leurs rameaux,
Apaiser mon courroux, emprisonner mon âme?
Et pourtant c’est ainsi que s’alluma la flamme.

Nos mains se rencontrèrent, il m’attira vers lui,
Je voyais dans ses yeux, la passion qui luit.
On entendait au loin les tigres rugissant
Et nous sentions en nous, notre amour triomphant.

Nous nous retrouvions en cachette dans les chapelles,
Au fond d’Hagia Sophia, de Saint-Marc, du Castel.
Donnant comme prétexte de chercher des médailles,
Il se glissait furtivement derrière mes murailles.

Je buvais son odeur, respirais ses paroles,
J’élevais cet homme en mon cœur comme une idole.
J’humais, me gorgeais, m’imprégnais de ses étreintes.
Je le voyais, j’étais au fond de l’âme atteinte.

Nous dormions ensemble sous le ciel étoilé.
Il repartait les mains vides*, le cœur comblé.
Et déjà au matin, dès l’aube j’attendais,
En moi, je sentais l’impatience qui grondait.

Mais il n’est pas de visite ici permise
D’un amant désirable à sa douce promise,
Nul, en la taverne, ne se peut présenter,
S’il n’a point auparavant été accepté.

Je pourrais par amour ignorer ma fierté
Et au sein de mes amis le dissimuler.
Mais comment faire comprendre à ma guilde, au monde,
Qu’il n’est pas ce qu’il prétend, un pillard immonde?

À mon indécision, les dieux ont répondu:
Et de mon voisinage, cet homme a disparu.
De lui, j’aurais voulu tout connaître, tout savoir,
En cet hiver glacial, me laisser émouvoir.

Iadwein si tu m’entends, apaise mon ardeur,
Dis, pourrais-tu seulement éteindre mes pleurs?

Ton amie, la reine X​

* Alexiablue a été l’une de mes premières amies du jeu Forge of Empires et m’a annoncé son abandon du jeu il y a quelques mois
* Melili, Ratel, Lady, Garga sont les abréviations des pseudonymes que nous utilisons couramment pour discuter au sein de notre guilde
* Iadwein a continué de m'attaquer, mais sans plus me piller (était-ce par amour? ou grâce aux conseils avisés qui m'ont été donnés?), avant de changer de voisinnage avec la dernière mise à jour

Je ne suis pas toujours parvenue dans mes alexandrins à alterner les rimes masculines et féminines comme le veut la poésie classique, mais pour le reste, le poème en respecte les critères.
Désolée pour les autres que j'aurais aimés citer, le nombre de caractères était trop limité, même si votre nom n'apparaît pas dans l'histoire, toute la guilde est là bien sûr!
 
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plumerebel

Marchand
Ode a mon pilleur,
Bonjour à toi , pilleur de grand chemin.
Je tenais à te féliciter pour ton acte brave et téméraire. Tu as gagné une bataille sur les ruines de ma cité et acquis ton butin du titre de Vanqueur. Que ne pourrais je loué ta bravoure et ton esprit combatif par une chanson ou autre missive?
Comment rivaliser, moi qui n'ai, tant en quantité qu'en force , ne serait ce qui la moitié de ton armée ! Mais tu aurais beaucoup plus à gagner si tu laissais ton coeur s'ouvrir a l'Amour que je te propose.Un trésor inestimable qui grandira au fil des jours, une main tendue qui ne faillira pas, une épaule pour te soutenir, un endroit pour boire en ta compagnie et des chemins pour partager ta route dans ces contrées lointaines ....
Mon coeur se met a battre a chaque pas que tu foules, a chaque coup d'épée que tu lances.Mon corps vibre a chacune de tes victoires et me rend fiere d'aimer un tel conquerent fougueux et invincible .
Ensemble , noous pourrons dévaler les collines , faire face a nos enemis, et conquerir de nouveaux villages en remplissant nos besaces, main dans la main, coeur contre coeur , et nous retrouver corps contre corps a la tombée de la nuit fatigués par nos rudes combats, laissant parler nos corps empreint d'une toute nouvelle ferveur pour cet amour naissant, démesuré et irrationnel
Pense à tout cela, oh Maitre Pilleur, et si un flot de pensées bienveillantes te permet de lire ce message jusqu'au bout et que , lasse de me piller , encore et toujours , ton esprit brillant comprenne toute l'inestimable richesse que je souhaite t'offrir en contrepartie, adresse moi simplement ton approbation et je serait la lumiere de ta vie , l'ombre de ton ombre et l'essence de ton soufle, Toi oh mon Amour de Maitre Pilleur
 
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Kristillera

Forgeur d'Or
Journal de Eleanor de MonForge :

14 Februarius 1221

Une rumeur a traversé les cuisines ce matin... Habituellement, je ne prête guère attention aux colportages des serviteurs du château, mais j'ai sursauté alors que votre nom était cité par l'un d'eux.
Cela semble décidé, d'ici quelques jours vous allez rejoindre votre domaine de Bruniquel et quitter notre voisinage.
La journée a avancé lentement sans que je ne veuille prendre part à la liesse et au soulagement de nos sujets. Que m'importe que le marché soit à nouveau alimenté des ressources jusqu'alors pillées ? Que m'importe de voir la vie reprendre son cours ?

Je pense à notre première rencontre près du puits aux souhaits, aux regards échangés, à ma fuite vers la corderie pour vous échapper. Vous auriez pu alors m'occire de votre lame affûtée, tout comme vous veniez de le faire pour les deux hommes de garde postés à l'entrée de la cité, cependant, est ce ma frêle silhouette, mon regard si sombre qui a alors retenu votre main ? Je vous crois homme de coeur...
Votre regard si bleu m'a donné naissance ce jour là, effaçant en une seconde les préceptes enseignés tous au long de mes 14 années d'existence.
Et, de cet instant, je vous ai aimé.

Chaque jour, j'attendais fébrilement le son du tocsin annonçant votre arrivée. Je me faufilais alors hors de la demeure, courais à perdre haleine le long des rues étroites pour rejoindre l'atelier de soufflage du verre. Vous ne pouviez m'apercevoir, je restais suffisamment éloignée. Seuls parvenaient à mes oreilles le son de votre voix et les ordres lancés à vos hommes.
Le sang qui coulait alors ne m'effrayait nullement, j'étais comme hypnotisée. Chaque jour, je vous ai imaginé venir à moi et de votre main dégantée, cette main qui venait de transpercer tant d'hommes, caresser doucement mes cheveux.

Comment calmer cette tempête intérieure ? Oserais-je enfin vous écrire tout cela ? Il le faut...
Je m'enfuirai avec vous, mon seigneur, car je n'ignore pas que père et les marchands de la guilde n'accepteront jamais une alliance avec Willibert le tortionnaire.


20 Februarius 1221

Ma fidèle Guillemette m'a remis ce matin un pli, votre réponse. Vous m'avez cherché également durant ces longs mois sans savoir que je me cachais tout près. Nul n'aurait pu vous empêcher de m'enlever, jusqu'à cet ordre, intimé par une force supérieure. Et,je relis inlassablement votre explication : «Je vais partir, demain à l'aube, car une puissance suprême en a décidé ainsi »
Je ne comprends pas, mais je sais que nulle révolte n'empêchera notre séparation.

La douceur des mots qui suivent apaisent pourtant ma colère «Sachez ma mie, que je vous emporte avec moi et que mon cœur est à jamais lié au votre.». Un jour vous reviendrez...
 

DeletedUser47018

Guest
Xyz, ère prog., seule ou presque.

Prologue :
Elle a été créée, oui créée. Dans ce monde on ne naît pas, on est créé. Elle porte un drôle de nom : Xyz. Comment un nom pareil peut-il être féminin? Xyz ! Pffff.
Elle est sortie d’une longue léthargie grâce à une jeune JD, dont nous ne pouvons donner le nom ici. Pourquoi ? Mais parce qu’elle n’appartient pas à nos mondes. Elle, elle est née.

Donc la voilà Xyz, jeune fille bien sous tout rapport, perdue dans l’ère prog ou plutôt coincée là.
Lui, c’est un être comme elle, il a été créé et il attaquait sa cité de plus en plus souvent.
Elle nous raconte.


Acte 1 :
Lui, donc lui …..

La première fois que je l’ai vu, j’ai eu la peur de ma vie. J’entendais le fracas des armes, l’armée en défense qui combattait, bravement, perdante d’avance. Et j’ai bien cru mourir. J’ai juste eu le temps de passer de la volière à l’oasis. Lui avait tout saccagé sur son passage et si j’avais échappé à sa frappe, je me souviendrai longtemps de la brûlure du regard perçant qu’il avait posé sur moi.
Et il était revenu, régulièrement. Nous nous sommes croisés dans la fabrique de céramiques, chez le marchand de luminaires, bref un peu partout et même chez le coiffeur.
Et puis un jour, dans la grande confiserie, occupée à préparer quelques paniers pour les fêtes, il est arrivé sans bruit. Normal pour un pillard me direz-vous. Ma JD, elle, semblait absente, son monde l’accaparait, elle en oubliait le mien.

Bonjour.
Je me retournais en sursautant, muette, effrayée. Le cœur battant la chamade.
Bonjour, répéta-t-il.
B’jour, vous désirez ? Tremblante, agrippée au panier comme à une bouée de sauvetage.
Ben oui, c’est une confiserie, à quoi voulez-vous que je m’accroche et que voulez-vous que je dise d’autre ?
Tout ! Je veux tout.
UUUUhhh…..

Ma voix enfin redevenue normale, je reprends vie et je lâche enfin le panier en prenant mes jambes à mon cou pour courir sans me retourner et trouver refuge dans l’atelier du Père Noël. Quelle gourde, le poste de police était juste en face, là j’aurai été en sécurité où même chez l’armurier. Quoique, j’y connais rien en armes, donc …. Mais bon, je lui ai échappé, donc rien.
Je suis restée coincée plusieurs heures dans la grenier de l’atelier du Père Noël. Les lutins affairés comme jamais, m’y ont enfermée plusieurs heures. C’est que Noël approchait.
Ma JD est enfin passée et elle a récolté et fait tout ce qu’elle devait et a lancé de longues productions. Autant dire que ce n’est pas de son côté que je trouverai de l’aide.

Acte 2 :
Je me suis donc rendue chez le sorcier.

Là il y avait des trolls et le vieux sorcier.
Bonjour, je voudrai une amulette de protection s’il vous plait. Wé, la politesse ne fait pas de mal et ici ça s’impose d’office.
De quoi veux-tu donc te protéger Yxz ? Me demanda le sorcier.
Qu’il connaisse son nom ne l’étonna pas, n’était-il pas sorcier ?

Pas de quoi, mais de qui, car c’est un pilleur.
Un pilleur, vraiment. Répéta le sorcier et se frottant les mains. Ça faisait comme un bruit de feuilles mortes que l’on réduit en poussière.
Je peux te proposer une amulette, un talisman serait plus puissant, des filtres mieux encore ……
Des filtres ? Demanda-t-elle étonnée, un peu amusée.
Oui des filtres. Répondit-il sérieusement.
Pourquoi faire ?
Que pouvait bien filtrer des filtres de sorciers. Là sa curiosité fut plus grande que sa peur de revoir le pilleur.
Et le sorcier d’expliquer ce qu’un filtre a de magique, les envoûtements, les ingrédients, les potions. Elle le suivit dans son arrière boutique qui semblait bien plus grande que ce qu’elle en voyait habituellement. Il lui montrait des flacons, des boites, des flasques, des chaudrons.
Puis en revenant vers son comptoir, il la regarda par-dessous ses binocles et murmura :
Il en existe un qui retourne le sentiment premier.
Le sentiment premier ?
Chutttt Fait-il un doigt onglé sur ses lèvres.
Ohhh et comment faites-vous pour avoir de si longs ongles sans les casser ?
Xyz n’avait plus peur du sorcier. Ses ongles étaient sales mais pas un seul n’était cassé. Ca tenait du miracle. Toutes les femmes vous le diront, faites le ménage avec des ongles longs …..
Uuuu, je m’égare, pardonnez-moi. Vous disiez « qui retourne le sentiment premier. » ?
Il fait signe à un troll de prendre sa place et il l’entraîne à nouveau dans l’arrière boutique où ils prennent place autour d’une paillasse.
Un filtre peut échanger méchanceté et gentillesse, générosité et avarice, oisiveté et activité, amour et haine, cigale et fourmi ….. Bref c’est infini.
La guerre et la paix ?
Oui oui. Affirma-t-il un grand sourire sur sa face ridée.
C’est parfait ça, c’est ce qu’il me faut. Dit-elle en hocha la tête toute heureuse. Puis un froncement de sourcils et elle demande :
Ca va coûter dans les combiens un filtre guerre et paix ?
Alors …. 4 tomes,
Elle l’écoutait,
16 parties,
et elle se disait que ça n’allait pas être possible,
un épilogue,
de payer tout ça.
3 jours de préparation….
Elle blêmissait, autant laisser le pilleur continuer.
Un baiser.
Uhhhhhh, un baiser ? Comment un baiser ? A qui un baiser ?
Elle écarquille ses mirettes et le voit sourire béatement, niaisement même. … Elle sourit à son tour et l’embrasse rapidement mais fermement sur la joue et s’exclame :
Voilà, vous êtes payé !
Mais !
Mais quoi ? Vous avez dit un baiser. Je vous ai donné un baiser, j’attends mon filtre. Je reviens dans 3 jours.
Elle le salua tout sourire.
Stop jeune fille !
Oui ….. Ça y est, il allait la transformer en citrouille.
Trouvez-moi ces ingrédients et je préparerai le filtre pour lequel vous avez hum hum payé.
Elle prit la liste et allait s’en aller quand elle revint sur ses pas et lui donna un baiser sur l’autre joue.
Quelques jours plus tard, elle reçu son filtre d’échange.


Acte 3 :
Un troll lui avait livré le paquet.
Elle l’ouvrit fébrilement et trouva un flacon sur lequel était collé une étiquette qu’elle déchiffra lentement car l’écriture est petite, presque illisible.
Quoi !?! Mais …… Elle prit une loupe et déchiffra :
- boire chaque soir une cuiller à café de l’élixir
Zut, une cuiller à café ou une cuiller à café ? Bon, va pour cette cuiller à café.
- observer l’ennemi 5 fois par semaine, 2 semaines de suite
Ahhh, heureusement qu’il passe tous les jours. Il devait le savoir ce vilain sorcier !
- lui lancer le flacon et lui demander de bien vouloir boire une gorgée de l’élixir.
Uhhhhh comme s’il allait boire comme ça …. Pffff !!!.

Durant ces 2 semaines, elle revit son pilleur. Elle le croisa à l’usine chimique, dans le jardin des boutiques Fabergé et même chez le coiffeur. Elle put l’observer tranquillement et s’il n’est pas vraiment beau, il a un petit quelque chose, là, qui ne la laisse pas indifférente.

Et c’est dans le jardin d’un puits aux souhaits qu’elle réussit à l'attirer le jour dit. Ils sont face à face.
Bonjour,
Et hop elle lui tend le flacon
Il faut boire une gorgée, s’il vous plait.
Surpris mais souriant
Bonjour,
Il lui rend le flacon
Toi d’abord
Elle attrape de justesse le flacon
uhhhh
Elle boit une gorgée
Voilà
Donne à nouveau le flacon, lui sourit
Et il boit plusieurs gorgées.
Stop, stop.
Elle s’approche, veut lui reprendre le flacon, il lève le bras vers le haut, rit de voir cette petite chose essayer de lui reprendre la bouteille.
Je bois, que veux-tu encore ?
Et
Leurs regards se croisent et là, elle sent dans son cœur comme un coup, suivi d’un autre et d’un autre encore et encore. Elle recule de deux pas et d’une voix désabusée, triste, elle annonce :
Rien ne va,
Il s’approche, elle pose une main sur son torse comme pour le repousser, comme pour s'y agripper,
Le sorcier a dit, toi une gorgée, pas plusieurs et pas moi.
Elle chancelle, il la retient, un bras passé autour de sa taille.
Et pis, là, mon cœur …..
Il se penche à son oreille et murmure :
Oui mon cœur ….
Quoi !???non non, ce n’est pas possible, je ne suis le cœur de personne.

Elle s’éloigne de lui, la démarche encore chancelante,
Tu attaques ma cité tous les jours et moi je veux vivre en paix.
C’est que Cupidon a frappé mais qu’elle ne le sait pas encore.
J’ai payé au sorcier, j'ai acheté un filtre d’échange guerre en paix.
Il rit et lui répond en la prenant à nouveau dans ses bras.
C’est écrit élixir mon cœur, pas filtre.
Et alors ? C’est pareil.
Peut-être que non et c’est tant mieux.
Comment ça tant mieux ?
Ça me plait de t’aimer.


Comment un filtre d’échange de guerre et paix a-t-il pu devenir un élixir d’amour ? C’est ce que nos deux amoureux ont voulu savoir.
Encadrer de deux gardes du corps Troll, le sorcier n’a pas voulu défaire ou leur vendre quoi que se soit pour remettre les choses en place. Il n’a pas du tout apprécié le paiement de la demoiselle et il s’est vengé.
A eux maintenant de se dépêtrer seuls et de convaincre la guilde que Lui ne veut plus attaquer la cité de Xyz.


Fin :

Qu’allons nous devenir ?
Des gens heureux
Que vont dire les guerriers de ta guilde ?
Bravo mon gars !
Tsss n’importe quoi !
Mon Cœur ?
Mmmm
Les gens heureux n’ont pas d’histoire.
Et donc ?
C’est donc la fin de notre histoire.

Toute ressemblance avec des pseudos existants ou ayant existé est purement fortuite.
 
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Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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