• Événement Anniversaire 2024

    Joyeux anniversaire ! Notre équipe de scientifiques vous attend pour repartir à l'aventure dans notre nouvelle édition de l'évènement d'anniversaire !

    L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

    Forgiennes et Forgiens,
    Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Cot Cot Codeccc !
    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.281

    La mise à jour 1.281 aura lieu le mercredi 24 avril ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
    Pour une description détaillée des changements à venir, veuillez cliquer ici.

Concours RP St Valentin 2017

  • Auteur de la discussion DeletedUser45501
  • Date de début
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

DeletedUser45501

Guest
Très chère ami,
J'encours de grand risque en entreprenant cette histoire qui est la mienne..
Je t'écris cette lettre pour te faire part de l'allumage d'un feu,
Pas le feu qu'il y a eu dans les entrepôts de la grande trésorerie,
Pas le feu qui a détruit nos nombreux pactes de non-agression,
Pas le feu qui a faillit mettre en péril l'unité de notre guilde,
Pas le feu que nos soldats et balistes ont subis,
Mais le feu qui consume mon cœur, qui me réveille chaque nuit,
Qui me rappel nos échanges si directes qui ont forgeaient ce sentiment.
Je le sens au plus profond de moi qui cherche son âme sœur,
Enterrons la hache de guerre et forgeons cette union,
Ton avatar révèle ta sensibilité et ton charme mystérieux.
L'intégralité de tes appareils provoquent en moi une perte de lucidité,
Je perd le contrôle, "ma raison est l'esclave de ma passion"
ton regard est tel un archer qui perce mon âme,
La douceur de ta silhouette et ta force de légionnaire ne laissent pas indifférents
J'imagine dans le meilleur des mondes, un pont de fleur qui unit nos citées,
Ce pont fleurira à chacune de nos rencontres charnelles,
Je nous vois déjà courir au loin, par de là la prairie, par de là l'empire,
Disparaître dans l'horizon sous le soleil couchant.
Je donnerai tout pour t'emmener voir le monde et ses peuples enivrants,
pour partager les richesses de ce monde
Je pense que je dois faire tomber le voile, et te révéler ce qui me consume
Je vais tirer la carte de l'honnêteté et briser le barrage qui retient le torrent de l'amour,
Ces mots qui viennent sont l'essence de ma raison de ma vivre et ils sont pour toi.
Je t'aime.
 
Dernière édition par un modérateur :

Épicure 39 le Pacifiste

Force de frappe
Reflet sur un écran
Qui est donc ce mécréant
Mon pire ennemi très certainement
Lui dire mes sentiments
C'est vraiment très gênant

La connexion se fait
Wifi ou 4g nous serviront de biais
Ta cité, ma cité ... laquelle te plait ?
Quand nos guildes seront en paix
Alors je te répondrai

En secret rencontrons nous
Dans l'espoir que l'air soit ainsi plus doux
Il suffira de se cacher un peu partout
En espérant ne pas tomber dans un trou
Dans lequel nous deviendrions fou

D'accord d'accord faisons ainsi
Vient avec moi par ici
Il me faut absolument atteindre ton ouïe
Écoute bien c' que j'ai ressentie
Car je ne t'ai jamais menti

Perte de territoires
Ou alors pillages notoires
Je voyais quasiment tout en noir
Et c'est là que tu m'as fait savoir
Ce qui m'a rendu l'espoir

Nos Membres ont enfin acceptés
Que nous puissions nous rencontrer
Ainsi se sont créés
Tous nos liens et nos affinités
En une seule mais pour l'éternité

Pour nous ce fut le début
S'emballer nos cœurs ont voulus
A leur encontre nous n'avons pas rompu
Le bonheur que nous avions prévu
Ne serait pas corrompu

Notre seul choix restant
Serait dès lors malgré nous persistant
Déjà rien qu'en y pensant
Qu'en penserait nos futurs enfants
Rendons les fier de leur parents

Obligés alors de nous enfuir
Et pour parler de s'écrire
N'ayons pas peur de nous enquérir
De notre Amour à n'en plus finir

Ou juste encore une petite chose
Que respecter toutes vos clauses
J'espère vont faire mes proses
Pourtant si timide que je ne l'ose
Y croire sans restriction de dose

Il ne manque plus maintenant
Qu'à offrir tous ces diamants
Grâce auxquels en se raisonnant
Je progresserais pas plus lentement
Peut-être plus rapidement ... mais plus sûrement ... très certainement
 

DeletedUser45792

Guest
Et moi, je crois que bientôt je deviendrai aveugle.

Sais-tu seulement de quoi il retourne? Est-ce que tu le vois, ou préfères-tu ne pas y penser? J'aimerais ne pas la voir, l'évidence qui illumine et qui noircit à la fois, mais je ne peux faire autrement que d'y croire. Nous allons bientôt devoir tout cesser, toi et moi. Nous n'avons pas été raisonnables. Nous n'avons pas été sages. Certaines sont jeunes et certaines sont libres.

Et moi, je crois que bientôt je deviendrai aveugle.

Nous sommes à un âge où les choses changent, même si les gens restent pareils. Les historiens de Parkog ont trouvé un nom original pour cet âge-là. Ils l'appellent la Renaissance, on peut se demander pourquoi. C'est une époque qui marque la fin du Moyen-Âge Classique, mais on ne parle pas de fin. On parle de naissance. Il n'y a pas si longtemps que toi aussi, tu naissais.

Et moi, je crois que bientôt je deviendrai aveugle.

Pourquoi dit-on, la "re"-naissance? Y-a-t-il déjà eu une naissance? Qu'est-ce qui est déjà né et qui renaît? Elles ont toujours beaucoup inspiré ta curiosité, ces questions, quand, à l'Académie, les vieux professeurs te les demandaient. Qu'est-ce qui était là, qui est parti pour un temps, et qui maintenant revient? Serait-ce une autre époque? On peut se le demander, et à ton âge, il te restera encore du temps pour creuser la question.

Et moi, je crois que bientôt je deviendrai aveugle.

Devenue jeune cartographe, avec propriété, ta vie fleurit. Devenu vieux producteur, avec mes manufactures, je ne suis pas aussi riche que je l'aurais voulu. Toute habillée de soie, quelle beauté, les Spadassins s'en couperaient les deux mains de leurs épées. Les tonnelleries, et les brasseries, le bon vin coule à flots dans ces tonneaux. Tels ces bons vins, déjà parfaite, tu vas encore te bonifier avec l'âge.

Je suis trop vieux pour toi. C'est fini, ma jolie, nous devons nous quitter. Je t'aime, mais il est temps de nous dire adieu.

Sois libre, sois belle, prends ton envol et renais, comme notre époque. De toute façon, moi, je crois que bientôt je deviendrai aveugle.
 

DeletedUser37965

Guest
Un amour impossible

Je m'appelle Cathy et j'ai changé de guilde quand j'étais en industriel et maintenant je suis en post-moderne et toujours dans la même guilde.
Je me présente sur le forum guilde comme la plupart des guildes le fait, et voilà qu'un membre de la guilde est dans le même département que moi. Il me félicite sur mes grands monuments qui ne sont pas de mon âge mais d'un âge bien supérieur.
Le temps passe et je recherche des échanges de pfs quotidiens pour monter mes monuments, il a été d'accord et on fait nos échanges journaliers avec un petit message pour dire bonjour au début puis la pluie et le beau temps.
Je lui demande des conseils sur le jeu et il me dit ce qu'il faut faire, ensuite il m'a demandé de l'appeler au téléphone. Je n'avais pas son numéro et il me l'a donné, et je l'ai appelé sur le champ.
Je suis déjà tombée amoureuse de son avatar et voilà que j'entend sa voix au téléphone, je suis aux anges car c'est tout à fait à quoi je m'attendais. On se donne rendez-vous pour se voir en vrai mais ça ne s'est pas fait car il a eu un empêchement donc on a du annuler.
Trois jours plus tard, il me dit qu'il était près de chez moi et que si on pouvait se voir, ça serait bien. J'ai sauté dans ma voiture pour aller à sa rencontre.
Je cherche une place pour me garer mais il n'y en a pas, je suis déçue et nerveuse à la fois. J'envoie un message pour lui dire que je ne trouve pas de place car il m'attendait. Il m'a rassurée pour me dire de prendre mon temps et qu'il n'était pas pressé. Je trouve enfin une place et me voilà partie à sa rencontre.
Mon cœur bât à 100 à l'heure, est ce que ça va bien se passer, lui plairai-je ou bien va-t-il me jeter après m'avoir vue ? Toutes ces questions trottaient dans ma tête, j'envoie un autre message pour demander ou est il exactement, il me décrit l'endroit ou il est et qu'il était debout à m'attendre. Quelques secondes plus tard, je le vois enfin. Je lui adresse un sourire qu'il me rend, je suis encore aux anges, mon cœur va lâcher et il faut que je tienne bon.
Il m'a plu tout de suite, et c'était réciproque enfin je crois car il m'a dit plus tard que j'étais belle et que j'avais une belle voix.
On s'est donné rendez-vous sur la plage ensuite avec nos enfants respectifs mais les miens ne pouvaient pas donc j'y étais seule. J'ai rencontré ses enfants, ils sont mignons. Il m'invite à manger avec eux, je dit ne pas vouloir déranger car on doit manger avec sa femme mais il m'a dit que je devais venir. J'ai du accepter bien que l'idée de la rencontrer me fait peur. Ils ont l'air de s'aimer, des bisous et des caresses pendant le repas. Tout ce que je voulais de lui mais ce n'était pas pour moi. Sa femme est enfin partie et aussitôt après, il se lève pour payer et me frôle l'épaule, j'ai eu des frissons.
Je l'aime mais le sait-il ou bien joue-t-il avec moi. De toutes façons, on est marié tous les deux, c'est un amour impossible mais je continue à espérer qu'un jour il me dira je t'aime ma belle.
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser45106

Guest
T'aimer , c'est avant tout toucher ta peau si douce, et attirante,
Que je ne puis m'empêcher de la couvrir de caresses et baisers
Prendre ta bouche comme un fruit mûr
Avec lequel on n'arrive pas a se rassasier
Et la prendre de plus en plus avidement
Jusqu'à ce que nos souffles deviennent plus court
De mes mains te caresser comme l'objet le plus précieux
Parcourir chaque parcelle de ta peau
Graver tout ton être dans ma mémoire
Pour que lorsque tu t'éloigne
Ne serais ce qu'un instant, me le remémorer
Ce qui ferais de moi la plus heureuse des femmes
Pour un baiser tendre plein de douceur
Pouvoir te serrer tendrement dans mes bras
Te sentir te blottir contre moi
Avant de revivre cet instant de bonheur partager
Ou tu caresse mon corps de tes doigts de fée
Pour faire bouillir mes sens
Te serre plus fort contre moi
Pour ne vouloir faire plus qu'une avec toi
Tout ça pour te dire que je t'aime
D'une passion débordante et dévorante
 

DeletedUser45788

Guest
Boucle d'Or

Il a une jolie tête, et il n'est qu'un Chevalier en armure parmi tant d'autres. Il y en a des milliers de ces Chevaliers, et une fois l'armure mise, ils se ressemblent tous. Ils se sont tous entraînés de la même façon. Mais lui, il voudrait être un Dragon.

Il sait qu'il est né à la mauvaise époque pour cela, mais il ne veut rien entendre. "Un Dragon", dit-il. Encore et encore dans ses illusions. Et moi, du haut de mon manoir, embaumée de talc coûteux et enrobée de soie rouge, j'ai toujours rêvé de posséder un Dragon. Et lui, qui n'en est pas un, qui est une fraude même à lui-même, est bien assez Dragon pour moi. Il ne crache pas de feu, mais comme il m'enflamme. Je le couronnerais des Lauriers de mon marchand d'épices, si cela pouvait nous rapprocher. Je l'aime.

Je ne sais pas comment le lui dire. Il faut que je trouve une idée. Des idées j'en ai plein, l'embarras du choix. Je m'en sens aveugle, submergée par l'indécision. Je pourrais le lui dire de tant de différentes façon. Laquelle de ces façons est la bonne, laquelle est la mauvaise, laquelle est la meilleure et laquelle est la mort? La mort de son admiration. La mort de mon âme.

Il est si rapide sur sa monture. Et rapide à mourir aussi, s'il rencontre le mauvais adversaire. Que je les hais, ces Spadassins à l'épée longue. Ils se croient tout permis. Ils peuvent faire des trous dans mon pseudo-Dragon, et dans son cheval, et l'en faire descendre, afin de le descendre, lui aussi.

Il est drôle. Tard le soir, alors que j'aime me promener tout près du Castel Del Monte, je le vois parfois à la brasserie du coin, avec des copains à lui, raconter des blagues douteuses et rire aux éclats. J'aime le son de son rire. Il n'y a aucune retenue dans ce rire-là, il y va toujours de tout son cœur, même pour les calembours les plus boiteux.

De fois en fois, certaines de ces blagues deviennent des traditions, qui, bien que vulgaires, continuent de les rassembler, en toute sincérité, ces amis Chevaliers, qui savent tous trop bien qu'ils ne feront probablement pas long feu. Pas même mon pseudo-Dragon.

De fois en fois, à cette brasserie du coin, j'entends l'un de ses amis demander, "Y-a-t-il du venin dans ce verre, cherche-t-on à m'empoisonner?" Et mon pseudo-Dragon de rétorquer à chaque fois, mains à la boucle d'or de sa ceinture, qu'il ne le sait pas, mais que si c'est du venin de serpent que son ami veut, il peut lui arranger ça. Et tous de partir d'un rire à faire trembler la terre, comme s'ils entendaient cette vieille plaisanterie pour la première fois.

Ou peut-être qu'ils se disent que cela pourrait être la dernière.
 

patfireman

Laborantin
10 heures que j'attends.10 heures que je l'attends, embusqué au sommet de mon observatoire.10 heures que je me languis de la voir sur le champ de bataille, décimant une fois de plus mon armée, pillant sans vergogne ma papeterie, mon four à goudron.Elle, la Flamboyante, guerrière impitoyable, auréolée de ses multiples victoires, mon ennemie jurée, me laisse à chaque fois pantelant. Mon cœur s'emballe à la voir mener ses mousquetaires et ses rangers contre mes pauvres défenses.Pauvres défenses, ce sont les mots justes.Elle se rapproche jour après jour,détruisant tout sur son passage.Hier, au conseil de mon clan, tous étaient effarés de me voir, ombre parmi les ombres, le regard fou.Fou, oui, je leur ai dit, hurlé même la folie qu'avait déclenchée cette femme en moi.Demain, elle sera au pied de mes remparts, je lui livrerait mon âme, mon cœur, ma vie même.Tout est prêt dans mon esprit, pas besoin de l'écrire, je l'ai tellement répété.....Flamboyante, oh ma Flamboyante, ne vois tu pas ce que tu as fait de moi?j'ai renié mes engagements envers mon clan, j'ai trahi mes voisins, j'ai parfois retiré mes armées ou envoyé les planteurs de tabac et les horlogers contre tes armées.J'ai répudié ma femme, renié mes enfants et les ai exilés dans la province de Narcien. Ta seule présence me consume, me transperce, m'anéantit.Je n'ai plus de force pour me battre, plus d'espoir en moi.L'obscurité m'envahit car je vois, à ton regard, qu'aucun sentiment ne t'habite, que tu ne vois en moi qu'une proie de plus, un moucheron que tu écartes d'un geste las, un obstacle que tu balaies avec mépris.Tu m'écoutes mais ne m'entends pas, mes mots n'ont d'autres effets que te crisper davantage sur ton épée.Ma vie ne m'appartient plus.Un seul mot, une seule parole de toi....oh, pas de pitié ni de miséricorde, mais d'espoir.J'ai succombé, oui, succombé à ta beauté, ta force, espéré un regard d'encouragement, un geste d'apaisement, même une demande de reddition de ta part aurait eu un parfum stimulant.Mais, tu pleures à présent, toi la farouche amazone? aurais-je craquelé ton armure?atteint ton cœur, ton âme?Mais alors, tout reste possible?Quoi les clans? je me battrais contre tout les clans s'il le faut.Ensemble, nous serons invincibles, ensemble nous avancerons dans le temps.Je mets à tes pieds tout l'amour, toute l'admiration que j'éprouve pour toi. Je t'aime, Ma Flamboyante
 

DeletedUser33553

Guest
Tes archers invincibles sont jour après jour, semaine après semaine, revenu à la charge transpercer mes fidèles guerriers,
Chaque jour je t'ai haïs plus que le précédent,
Chaque jour j'ai pleuré après mes richesse pillées, mes troupes anéanties,
Chaque jour j'ai lutté et résisté, renforcé ma cité, planifié mes récoltes, renforcé mes armées,
Chaque jour, semaine après semaine, tes archers sont revenus et ont percé mes défenses, anéantis tous mes efforts,
Mais jamais je n'ai abandonné, jamais je n'ai baissé les bras,
Alimenté par une haine toujours plus grande j'ai fait prospéré ma cité afin de mieux la défendre,
Mais jour après jour tes archers invincibles ont pillé ma cité,
J'ai prié Saint Basile, protecteur des pauvres et des opprimés,
J'ai élevé une cathédrale pour mieux l'honorer, pour qu'il protège cette cité
Mais tes archers toujours plus forts ont percé mes défenses et pillé mes richesses,
J'ai construit un chateau, le plus grand des chateaux,
Et pour nom je lui ai donne Chateau de Deal, cette cité anglaise qui avait a su résisté a tous les envahisseurs,
Mais là encore tes archers ont été les plus forts,
Et un jour j'ai cessé de pleuré et j'ai crié, et j'ai osé invoquer Zeus le plus fort des dieux,
Et pour mieux l'invoquer j'ai créer une immense cathédrale que j'ai nommé Aix,
Et au plus haut de ma cité sur la plus haute colinne jai construit le plus grand des chateaux, le castel del Monte,
Et en son sein j'ai formé les plus forts de mes guerriers,
Et... et j'ai osé !
Et je t'ai attaqué, et je t'ai vaincu, et je t'ai pillé !
Et pillage après pillage, chaque jour de la semaine je me suis enrichi
Et j'ai compris tout ce que tu m'avais donné et je t'ai aimé,
Pour le courage que tu m'as donné, pour la force que tu m'as donné,
Tu as fait de ma cité la plus belle des cités, invincible et conquérante la plus belle des cité,
Tes archers sont les archers de Cupidon, ils m'ont foudroyé mais m'ont donné la force et l'amour,l'amour pour toi et ma cité,
Et maintenant ton égal, rien ne nous résistera, tes ennemis seront mes ennemis, tes amis je protègerais, !
Mon invitation accepte, ma guilde rejoins
Chaque jour, semaine après semaine, je t'attendrais
 
Dernière édition par un modérateur :

Florn

Force de frappe
J'espère avoir bien fait les choses, dans le titre et la description. Il fallait bien, je le suppose, que je mette mon nom.

"Je marche dans ma ville, où sévit la tempête
En ces coeurs affligés de multiples tourments,
Alors pour qu'en le mien, se maintienne la fête,
Contre le désespoir, je me bats constamment.

Prosterné devant lui, rage au coeur, âme grise,
Le grand Zeus se souvient de ce rouge matin,
De chaque sentiment qui fait mal et qui grise
Et me pousse pourtant à renier mon destin.

Puisqu'il en est ainsi, que nous n'avons qu'un maître,
Puisque tout nous oppose en ce monde inconscient,
Puisque qu'il est plus facile à renoncer qu'à naître
Oublions le futur et vivons au présent.

Avance, belliqueuse en ces bruits de ferraille,
Toi dont tous les aïeux ont soufflé dans ces cors,
Je te laisse franchir, ma dernière muraille,
Pour venir me piller, le voudras tu alors?

Je suis là Ô m'amie, veillant sur la marmaille,
Que nous n'aurons jamais, puisque tous contre nous,
Aiment mieux voir nos corps, sur les champs de bataille,
Et plutôt qu'enlacés, nous veulent à genoux.

Viens, sereine et oublie le parfum des orages,
Rappelles toi le soir, à l'orée des forêts,
La lumière éthérée de nos calmes ombrages,
Quand nous faisions l'amour au fond de nos secrets.

Je veux sentir ta main, encor sur mon visage,
Pas ton sang qui s'écoule aux corolles des fleurs,
Je veux que d'un coup d'oeil, qui m'effleure au passage,
Tu fasses s'envoler nos différends et peurs.

Je sais pour le danger, ton goût, pour la pierraille,
Partir ou bien rester, près de toi tout est or,
Alors je m'abandonne au fatum qui m'assaille
Et je regrette tant, l'art de la guerre accort.

Epuisés, engageons, la dernière offensive,
Ainsi ta lourde peine, épousera mon cri,
Et quand tu trouveras sur mon coeur la missive,
Le tien, peut être gros, sera pourtant guéri.

Notre amour impossible, autant que j'y renonce;
Viens, contempler le fruit, te ressourcer au grain
Et près de moi, gisant, déjà pris dans la ronce,
A l'abri des regards, enterre ton chagrin."
 

DeletedUser

Guest
Dans un futur proche du présent,
Je baroudais entre les morts, dans mon char furtif, je planais en assiégeant un secteur sur mon pc quand soudain mon Android vibra pour me notifier un pillage, c'était ma pire ennemie

Elle avait eu soif, se servant dans ma réserve d'eau purifiée puis fila.

Décidé. Je lui écris ma façon de penser:
"Ce n'est pas parce que nos guildes sont en guerre que nous aussi nous devons l'être"
Le retour ne se fit pas attendre, mais malheureusement rien ne traînais
Un message! Tiens encore elle
"Oui c'est vrai nous sommes voisins, la guerre des guildes nous coûte assez, faisons une trêve"
Du coup, je pense à une façon détourné de récupérer mon eau subtilisée peu avant.

Elle s’était promenée dans ma forêt tropicale et y avait délicatement déposé des points de forge.
Une amitié naissait alors que la guerre des guildes faisait rage, n’épargnant ni troupe ni trésorerie.
Dans le même temps, je me glissais dans son château de Frontenac, puis dans sa chambre à graines pour y glisser comme présent quelques points forges.
Nous parlions durant des heures de tactiques de combats, ainsi que d'autres sujets mais bien sur tous se passait dans un léger chuchotement, à peine audible, dans le brouhaha général.

Cette situation pesante ne pouvait plus durée… Nous décidâmes de proposer une paix, qui fût acceptée aussitôt demandée
J'ai trouvé cela bizarre mais nous nous en sommes réjouis.


Depuis nous nous sommes unis dans une nouvelle guilde et eûmes beaucoup de guildoux …
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser46953

Guest
Un mot doux, pour toi ennemi, amour

Toi que je ne connaissais pas il y a quelques jours

Tu es avec mes ennemis jurés

Comment faire pour ne pas que tu te sentes menacé



J’ai cru que mes yeux me trompaient

J’ai cru que mon cœur me lâchait

Mon corps ne répondait plus

Je deviens fou depuis que je t’ai aperçu



Tu es omniprésent dans mes pensées

En un regard, je suis tombé à tes pieds

Dis-moi que pour toi c’est pareil

Dis-moi que tu me rejoindrais si tu le pouvais



Mes sentiments sont impressionnants

Ils sont forts et parfois étourdissants

Comment faire pour que tu me croies sincère ?

En tout cas sachent que mon âme est tienne



Les jours passent

Et de ton absence je me lasse

J’aimerais pouvoir combattre à tes côtés

Mais sans tes véritables alliés



Et pourquoi cette guerre ?

Cette souffrance que l’on s’inflige entre frères ?

Cette querelle n’a que trop durée

Tout ce que je demande c’est être à tes côtés



De toutes les conquêtes

Tu es la seule que je souhaite

Cette bataille liée par nos cœurs

Gagnons-la pour notre propre bonheur



Tu es mon soleil, ma joie

Tous mes rêves me parlent de toi

Retrouvons nous, mon amour

Et vivons ensemble uni pour toujours



Nos alliés respectifs ne pourront qu’accepter

Ils n’oseraient jamais nous attaquer

Du moins je l’espère

Car avec toi j’aimerais vivre en paix



Tu es cette magnifique fleur qui s’épanouit

Tu es mon étoile dans la nuit

Tu réchauffes mon cœur lorsque tu souries

Je n’arrive plus à me passer de toi, c’est inouï



Mon cœur t’appartient

A toi de m’offrir le tien

En retour je t’offre tout mon amour

Puisse ton cœur m’aimer jusqu’à la fin de nos jours
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser37781

Guest
Ma gaïa,
Depuis que je t'ai croisée l'année dernière,
Sur ce chemin solaire,
je ne puis m'empêcher de penser à toi.

A l'époque en futur, maintenant en arctique,
tel un canon électrique,
quand je te croise, j'ai la ... (Oups!)

Chez moi tout s'érige, tel la fusée de cap canaveral,
quand j'imagine que tu avales
mes mots doux et tendres, je suis ton amiral.

J'aurai pu te couvrir, d'or , de bijoux ou de soie,
mais il en va de soit,
que le nanocable est un bien meilleur choix.

J’espère que sur Houndsmoor,
dans mon temple tu viendras,
connaître ton sort.

Mon cœur est plein et il chavire,
plein d'amour, comme mon navire,
avec toi je partagerai mon Prométhium, cela ne peut être pire.

On a voulu mettre notre amour à mal,
avec ce vilain coup des villas de cristal,
cela restera dans les annales! ( ou ailleurs )

Nous sommes dans des guildes ennemies,
mais peut importe les "on dit",
c'est de toi dont j'ai envie.

De ma chambre forte,
je t'ouvre la porte,
pour planter des graines dans des positions de toutes sortes. ( j'adore le rempotage, assis, debout ou couché)

Nous forgeons notre empire,
mais il en va sans dire,
que sans toi je ne peux réussir.

Nous connaîtrons bientôt, le monde subaquatique,
et même si l'on nous critique,
c'est avec toi que je veux plonger à pique.

Désolé pour tous ces mots crus,
mais je t'aime, qui l'eut cru?
et j'aime aussi ton culot. ( désolé je n'ai pas trouvé de rime)

Cette statue je l'ai faite,
et en sculptant ta tête
je rêvais à notre prochaine fête

ce poème bravera la censure
et malgré les césures
te plaira, j'en suis sûr

J'attends un signe de ta part,
me sortant du brouillard
et de mon désespoir.

rien de tel, en option,
qu'une allitération,
où le poète s'excuse, s'exclame,s'exécute, s'exulte, s'esclandre
pour te faire comprendre
ce qui pourrait t'attendre...

la version polissonne,
pourtant la bonne,
ne sera connue de personne

Ma gaïa, je t'aime
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser31590

Guest
Ô Ulyssesurson31, Ulyssesurson31! Pourquoi es‑tu Ulyssesurson31 !

Renie ta guilde « Bouffeurs de barbaque » et pense sérieusement à changer ton pseudo,

Ou, si tu ne veux pas, fais‑moi simplement vœu d'amour

Et je cesserai d'être une « Veganjuskalamort ».

Je ne pense qu'à toi depuis que tu m'as pillé par un beau soir d'été mon usine de bioplastiques

Pourtant, le plastique c'est fantastique et le caoutchouc super doux

Pourquoi tant d'acharnement à m'ôter le fruit de mon dur labeur, pensais-je

Tous les matins, je découvrais atterrée, sidérée, estomaquée tous mes efforts réduits à néant

D'être ainsi à la merci de tes assauts m'a ouvert les yeux !

Tu ne cherchais, mon doux amour, qu'à te faire remarquer

Si tu prenais tant de plaisir à m'écharper avec ton système d'accouplement mécanique avancé

Ce n'était que parce que la beauté nichée dans mon avatar te donnait de vilaines pensées

Mais le mal était fait

Ma guilde « Veganjuskalamort » le prit comme un affront

Elle entreprit de faire mordre la poussière à tous tes amis « Bouffeurs de barbaque » sur le champ de bataille

Neuf mois de sanglants combats s'en suivirent

Mais ils n'accouchèrent que d'un champ de ruines

Seul notre amour, dépassant toute considération alimentaire, a survécu à la haine de nos guildes

Le froid arctique qui souffle dans cette contrée

N'a pas détruit le feu de garde qui brûle dans nos coeurs

Je voudrais crier au Mount entier qu'il n'est nul besoin d'aimer les entrecôtes pour vivre côte à côte

Mais je sais aussi que seul le secret protège nos ébats et nos vies

Rejoins-moi ce soir dans mon habitation mobile près de la cale sèche

Nous en ferons notre sanctuaire de l'émerveillement

Signé : Penelopefuyons
 

DeletedUser47664

Guest
Elles sont toutes pareilles. Les petites maisons au murs de pierre blanche et aux toits orangés. Leurs petits escaliers couverts de calcaire et leurs petits auvents en tissu rayé. Leurs petits arbres raides, tout en hauteur, tout autant de petits menhirs verts. Tous pareils eux aussi. Moins de variations, moins de surprises, plus de répétitions, est-ce là l'idéal?

Parmi ce monde tout de blanc et d'orangé, homogène, compact, toi et moi sommes comme des étrangers. Nous nous aimons, encore et toujours malgré les caprices du temps, comme des survivants. Nos maisons, comme nos visions, datent d'une autre époque, et pour rien au monde nous ne voudrions les changer.

Toi, dans ton petit chalet d'un autre âge, toujours debout, toujours résistant au vent, tout près du mémorial encore plus ancien, qu'ils n'ont toujours pas rasé, occupés qu'ils sont à construire leurs boucheries, leurs élevages de chèvres, leurs aqueducs, leurs amphithéâtres. Tu as voulu m'y emmener, l'autre jour, à cette grande structure de pierre faite pour les spectacles sanglants, que je n'ai voulu voir. J'ai préféré notre habituelle longue promenade dans la forêt. As-tu été déçu? Partageons-nous toujours cette même vision, ou sont-ils en train de te gagner, petit à petit, comme ils gagnent notre ville?

Ne réponds pas, ne réponds jamais, je ne veux pas entendre ton hésitation, la dualité dans ton coeur. Dans ma maison longue, loin de l'hôtel-de-ville, passionnément, nous allons essayer de fermer les yeux, de ne plus y penser, de tout oublier. La maison de mes parents, de mes grands-parents, de toute une lignée de gens comme nous, nos ancêtres. Qui sont-ils, ces urbanistes étrangers, pour oser songer à nous l'enlever? Qui sont-ils pour oser changer le visage de notre vie?

Orangé. Pourquoi tant de cette couleur trop vive, qui s'oxyde au soleil? N'aiment-ils pas le brun? la tranquillité, les textures naturelles? Pourquoi cette hâte à voir disparaître tout ce qu'il y a de beau, de vrai, au nom du progrès?

Dans ton petit chalet, dans ma maison longue, qu'allons-nous faire pour les arrêter? Refuser l'Âge de Fer, revenir aux valeurs d'avant. Le pouvons-nous seulement? Peut-être qu'on pourrait faire la grêve. La grêve de l'orangé, de la pierre blanche, et des petits menhirs verts à senteur d'un lendemain trop vite arrivé. Faisons la grêve. Qu'en penses-tu?
 

DeletedUser44110

Guest
A la suite d'une bataille dans le tournoi âge colonial, je décide d'espionner la cité de ma pire ennemie, pour appréhender sa force, sa cité cité m'interpelle !
La disposition des grands monuments est équilibrée, les productions de ressources sont regroupées, les bâtiments de marchandises le sont aussi et quelques décorations rendent l'endroit plaisant !
Chemin faisant je lui envoie un message pour la féliciter de sa bravoure lors de notre dernier combat et que mon armée s'en souvient. (Je verrai bien ce qu'elle en dit ?)
Quelques minutes plus tard, ho... surprise, un message de mon ennemie !
-Bonsoir, en effet j'ai eu du mal à te battre mais je vais ré-adapter mon armée pour t'écraser la prochaine fois
A moi de lui répondre,
-Bonsoir l'amie (ennemie) pourquoi tant de haine ??? ;-)
Moi,
-On pourrai peu être s’associer pour sublimer nos cités, tu as des grands monuments qui m'intéressent ?
Lui
De ce moment précis à débuter une association entre nous, axée sur la rentabilité puis la camaraderie a prit le dessus au fur et à mesure de nos nombreux échanges nécessaires. Nous commencions à échanger sur des sujets plus personnels comme la région dans laquelle nous vivions puis nos passions dont une en commun (La photo)
Doucement, l'amitié est née, la confiance et le partage. Nous commencions à nous connaître profondément, quelques fois, les mots n'étaient plus nécessaires, nous faisions systématiquement des actions profitables pour l'autre et cela de manière alternée, l'instinctif était présent et nous étonnait chaque jour.
Les bisous en fin de phrase commençaient à pleuvoir dans nos échanges en messagerie personnelle et cela enrichissait nos cœurs respectifs
Un dimanche matin, je reçois un message de ma belle qui me raconte avoir eue une idée folle !
Second message de mon ange
-J'ai mon billet de train pour venir te voir aujourd'hui ! Je te promet que c'est vrai, est ce un problème ?
A moi de lui répondre:
- Bien sur que non, ça n'est pas un problème, c'est juste ce dont je rêvais depuis longtemps
C'est ainsi que mon amour s'est installé dans ma vie et que nous vivons aujourd'hui ensemble et espérons avoir des petits forgiens =p)
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser32612

Guest
Je n'ai jamais vu plus belle et plus forte cité que la tienne, armée plus aguerrie que la tienne,
tu es le seigneur de mon voisinage, imposant à tous ta volonté, attaquant et pillant sans vergogne les petites cités qui t'entourent,
tes soldats invaincus viennent chaque jour se servir dans mes dépôts et je ne peux rien faire,
ma cité se meurt et je suis impuissant face à cette force qui me dépasse,
Tous te craignent et nombreux sont ceux qui dans ma guilde me conseillent de faire profil bas, d'abandonner toute résistance et de ne pas lutter contre la fatalité,
tu es mon ennemi juré, je devrais te haïr, mais j'admire ta puissance et ta force,
j'admire tes armées, elles ont conquis mon cœur et mon seul souhait est un jour de te ressembler,
je veux apprendre de toi, je veux que tu me reconnaisse, je veux être ton ami,
J'ai construit les plus grands monuments qui soient, afin d'abriter et armer des soldats plus forts et plus vaillants,
j'ai planifié mes récoltes et mes productions afin que tu ne puisse plus les piller,
ma cité s'est agrandie et à appris à résister,
'ai senti ton inquiétude le jour où tes troupes n'ont pu me vaincre, jamais je ne me suis senti aussi fier de t'avoir mis en échec,
Et un jour je t'ai attaqué, terrassé et pillé, et ce jour là j'ai gagné ton respect,
Et je t'ai remercié pour tout ce que tu m'avais appris, pour les leçons données dans la souffrance, et je t'ais offert ma cité,
cette cité que tu avais fortifié sans t'en rendre compte, cette cité que tu avais reconstruite et qui te ressemblait,
Aujourd'hui j'ai quitté ma Guilde et je suis à tes côtés, nos expéditions ne rencontrent aucune résistance et je suis ton bras droit !
 

DeletedUser17090

Guest
Cette nuit j’ai rêvé de l’impossible,

J’ai rêvé que tu m’aimais.

Hier, tu étais là et ce soir je te cherche

Mais je ne trouve que de merveilleux souvenirs.

Pourtant tu m’as repoussée,

Influencé sans doute par ma pire ennemie.

Mon cœur tremble à l’idée de te perdre à cause d’elle.

Je sens qu’elle est la raison de notre séparation.

Tu me manques tellement.

je suis en manque de cet amour qui s’enfuit jour après jour

Je souffre de ton absence mais je souffre en silence.

Souvent mes pensées se perdent et je pense à chaque instant passé avec toi mon amour.

Et je me remémore ces moments agréables qu’ensemble nous avons partagés.

Je suis fatiguée de porter tout cet amour pour toi. Je n’en peux plus, je craque.

J'aimerais pouvoir te dire tout ce que j'ai sur le cœur, que tu comprennes enfin que sans toi je ne suis plus rien.

Je suis triste, j'ai besoin de ta présence, de tes belles paroles que tu me disais à chaque fois qu’on se retrouvait.

J’ai tellement besoin de toi pour aller mieux, s'il te plaît, sauve moi de ce monde obscur sans toi.

Chaque minute que je passe loin de toi me fait souffrir encore davantage.

J'aurais voulu que tu comprennes à quel point je tenais à toi

Le bonheur de t'avoir aimé n'effacera jamais la douleur notre séparation,

Mais pour ne pas te perdre, je garderais cette douleur tout au fond de mon cœur.

Je ne sais pas de quoi demain sera fait, mais je me sens bien lorsque tu es là

Je veux croire que nous serons réunis de nouveau,

Je veux croire encore au bonheur

Et que tu sauras retrouver le chemin de mon amour.

Je garde espoir de te retrouver un jour.
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser44273

Guest
Un bruit assourdissant emplit la forge.
Mon cœur de fer saigne... Impuissant, je m'abats sur toi, sur ton corps rougi par le feu et chacun de mes assauts provoque une nuée d'étincelles chatoyantes tel un feu d'artifice éclairant l'obscurité de ce sinistre endroit. Depuis toujours, je ne sais faire que cela, m'abattre inlassablement sur toi, que n'ai-je été conçu pour caresser plutôt que déformer.
Et pourtant, loin de nourrir à ton égard la moindre animosité, je te vois qui change sous mes coups de butoir. Tu t'étires, te modèles, te façonnes lentement. On m'a conçu pour être ton implacable ennemi, mais je te devine demain, prenant la forme espérée, devenant cette lame si belle et si étincelante et plus je te frappe, plus je te rends magnifique, plus je te hais de toutes mes forces, plus je te donne naissance. Je ne suis qu'un marteau de forgeron. Frustre et fonctionnel. Mais dans un proche avenir, tu seras grâce à moi un véritable joyau, comme le charbon devient diamant, j'aurais fait d'un simple morceau de métal ce qui deviendra peut-être une icône, le symbole même d'un illustre combattant, peut-être même d'un roi.
Ne faut-il pas un amour infini pour voir dans un pitoyable amas de fer la beauté que tu deviendras, et même si depuis toujours, on m'a désigné pour être ton bourreau, laisse moi devenir ton amant d'une nuit pour qu'ensemble dans la souffrance, nous laissions éclore notre idylle impossible.
Dans quelques heures, tout sera terminé. Tu partiras vers d'autres contrées éloignées. Ne m'oublie pas. Bien d'autres lames subiront mes assauts, mais sache qu'aucune ne sera jamais plus belle que toi et qu'à jamais, le pauvre marteau que je suis n'oubliera l'épée que tu seras.

Un dernier coup s'abattit. Puis la lame en fusion fut plongée dans l'eau, engendrant un nuage de vapeur. Le pauvre forgeron ne saura jamais que cette vapeur fut ce soir-là, les larmes d'une épée qui ne reverrait jamais plus le marteau qui avait su lui ouvrir son cœur et l'avait aidé à naître.
 

DeletedUser42524

Guest
Juliette:
oh mon ennemi de tous les jours de toutes les nuits ,insatiable pilleur .
combien ai- je compter de points forge et autres ressources manquantes
combien d'heures a tu passé a épier mes heures de ramassage pour voler quelques miettes d'or
combien d'armées ai- je du t'opposer pour combattre tes voyous
ne peux tu pas te débrouiller tout seul ,as tu vraiment besoin de moi pour survivre dans ce jeu ?

romeo: quel plaisir a te vaincre ,a moi eau algues et nano
je t'aime parce que tous les jours tu es mon pourvoyeur
éternellement je serais en guerre contre toi.

juliette:
je suis lasse,je m'abandonne a toi , tu ne trouveras plus qu'un petit lancier pour vaincre.
plus facile notre étreinte en sera moins compliquée.

romeo:
que nenni ma douce je veux t'aimer aux sons des canons,je veux que tu trembles a chaque instant
savoures ce moment ou tu découvres l’éclair de ma venue
tout ce que tu produits m'appartient
je pique ,je vole, je larcine tel est mon désir

juliette :faisons la paix aimons nous en silence dans la meme guilde
bavardons a la taverne des amis , enfin le repos tu connaîtra

romeo ;
diablesse ,demandes tu une trahison ?je serais banni a jamais par tous les forbans
ferais-je le deuil de tous ces plaisirs de conquêtes ,de butins et autre maraudages?
c'est impossible de céder a tes chants de sirène

juliette:
une dote je te verserais ,100 pfs par semaine sur ton arche pour te prouver mon amour

romeo:
enfin des arguments ma juliette je cederais pas a moins de 200

juliette: tu es bien gourmand romeo, mais soit unissons nous
fini tes croisades de l'aube a la nuit,rejoins les filles d'Achéloos
et decouvres les delices d'une vie sans croisade
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser37985

Guest
Tels une tragédie sous les cieux helléniques
Exposés au sein d’un amphithéâtre antique,
Révélant au grand jour une passion soudaine,
Dans mon coeur rougeoient les flambeaux de l’hymen.

Le fer de ta lame a transpercé mon âme
Pendant que tu tentais de perforer ma chair
Comment alors pouvais-je me fier encor aux mânes
Quand tu vouais, Cruel, mes entrailles au désert ?

Longtemps pourtant je fus d’un impétueux courroux
Animé, exhalté, n’aspirant qu’à occire
Celui qui aujourd’hui, je l’avoue sans tabou,
Est devenu l’objet de mes ardents désirs.

Ne crains pas mon émoi, car je ne suis pas moi.
Sous mon armure tu crois voir une créature
Masculine, un soldat, un homme comme toi
Qui de liens interdits recherche l’aventure.

De ta lance affutée, écarte ma cuirasse,
Sous le casque forgé, viens découvrir ma face.
Admire ma tignasse digne d’une blondasse,
Vraiment bel Appolon tu n’es pas perspicace !

Les Dieux à ma naissance, d’une infinie largesse,
Dotèrent ma personne d’attributs féminins.
[CENSURE]

Afin de sembler mâle, oui j’ai trahi mes pairs
Car toujours j’aspirais à devenir guerrière,
A endosser l’habit d’un très grand légionnaire,
Passion qui m’amena à falsifier mon air.

Mais Eros en archer, de sa flèche projetée,
Se joua de mon être en te faisant paraître.
Désormais je ne rêvais donc plus de combattre,
[CENSURE]

[CENSURE]

Les fortifications gardant mon innocence pure
Ont sombré m’entraînant au fond de la luxure.
A ton ardeur enfin, comme la belle Aphrodite
J’exige d’être soumise telle ta favorite.

[CENSURE]

Fuyons vers l’océan l’ire de nos confrères,
Renions les chaînes austères de nos fraternités.
Le phare de l’amour guidera nos prières
Vivons enfin tous deux dans la félicité !
 
Dernière édition par un modérateur :
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
Haut