• Événement Anniversaire 2024

    Joyeux anniversaire ! Notre équipe de scientifiques vous attend pour repartir à l'aventure dans notre nouvelle édition de l'évènement d'anniversaire !

    L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

    Forgiennes et Forgiens,
    Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Cot Cot Codeccc !
    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.281

    La mise à jour 1.281 aura lieu le mercredi 24 avril ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
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Concours RP St Valentin 2017

  • Auteur de la discussion DeletedUser45501
  • Date de début
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

Figatellix

Laborantin
NINA – 3 Points Forge moins le quart
Hé hé... Je viens de lancer mes robustes soldats contre les malheureux archers de LAZARE. Il n'a rien vu venir. Ce gars est d'une telle arrogance que je suis au bord de l'évanouissement tant j'ai du bonheur à lui avoir fauché ses bijoux si mal planqués dans son atelier. Je vais les porter lors de la prochaine Expédition de Guilde ! Grâce à lui, je vais briller ! Ses archers sont ridicules à sautiller sur la pointe des pieds d'un rocher à l'autre. De la parade ! Aucune résistance. Sa pancarte à l'entrée de son village dit « Attention, toute attaque sera lourdement sanctionnée ». Mouais... Encore faudrait-il qu'ils soient entraînés ! Je ris !


LAZARE – 4 Points Forge et quart
Ah non ! NINA est encore venue attaquer mon village avec son armée de soldats prétentieux. Cette fille est insupportable. Elle m'a piqué une vingtaine de bijoux. J'y tenais... Je lui ai envoyé mes archers en retour mais seuls leurs arcs me sont revenus. Mon cimetière n'a plus de place. Énervé, je suis allé prendre un verre dans ma taverne. Il y avait un monde fou. Je les ai tous virés ! Si on ne consomme plus, on laisse la place aux autres ! Cela m'a soulagé.


NINA – 5 Points Forge et demi
Cela fait des semaines que je remplis mon escarcelle avec ses productions. C'est mon garde-manger préféré ! Il m'a envoyé son chef pour négocier mais je ne céderai pas aux menaces. Foi de moi.


LAZARE – Le lendemain - 8 Points Forge moins 10
Avec NINA, je lâche le morceau. Je n'arriverai à rien avec cette harpie. J'ai déconnecté mon village de la réalité. Je vais me calmer avec un bon bouquin.


NINA – 9 Points Forge 25
Mes soldats sont revenus bredouilles ! Il n'a plus de routes et ils n'ont pas pu passer. Je suis allée voir moi-même ce qui se passait. Planquée derrière un bosquet, je l'ai aperçu... Il lisait tranquillement adossé à son arbre de l'amour. Je me suis approchée en silence et j'ai pu voir le titre de son livre : « Histoire de ma vie » de George Sand. J'ai adoré ce livre. Je n'en reviens pas. Comment un gars qui a une armée d'archers à peine pubères peut-il aimer l'écriture parfaite et aboutie de George Sand ? Je suis bluffée.


LAZARE – 9 Points Forge et demi
NINA vient de me surprendre. Elle connaît George Sand. Elle s'est assise près de moi contre mon arbre de l'amour. Nous en avons parlé pendant plusieurs Points Forge. Nous avons ensuite visité ensemble la taverne d'un ami commun. La suite, je la garde pour moi...
 
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Claudette58

Marchand
Je vais vous conter ce soir, l'histoire de Clotilde , fille du Roi de France qui rencontra Robert, fils du roi d'Italie, grand ennemi du père de Juliette et à cette époque on haïssait de père en fils.


Notre jolie princesse Clotilde aidait quotidiennement les résidents du royaume en faisant des dons au sein de l'Hagia Sofia afin que ceux -ci puissent embellirent leurs demeures .

Elle ne remarqua pas le beau jeune homme qui l'observait et qui était tombé sous son charme, devant tant de générosité et d'intérêts pour son peuple . Ce beau jeune homme n'était autre que Robert , fils du roi d'Italie.


Lors d'une festivité à la Basilic Saint Marc, donnée en l'honneur de Clotilde , Robert se décida à lui faire sa déclaration.

A genoux au pieds de notre merveilleuse princesse qui était vêtue d'une fabuleuse robe de bal rose parme, il lui déclara : « tu es celle que j'aime tendrement, tu es la raison de ma vie, tu es celle qui hante mon esprit le jour comme la nuit, le soir avant de m'endormir c'est ton visage que je vois, et le matin quand je m'éveille ma première pensée est pour toi , mon amour je t'aime d'un amour éternel et passionné » .

Le père de Clotilde, entra dans une colère monstrueuse et chassa Robert de son Royaume. Il obligea Clotilde à rester cloitrée dans ses appartements durant des mois. Mais Clotilde ne faisait que penser à ce charmant prince et rêvait de cet amour interdit.

Elle demanda donc à sa fidèle femme de chambre de porter un billet doux à Robert, loin en Italie, pour le prier de venir la rejoindre à la Cathédrale D'aix La Chapelle afin qu'ils se marient, tout serait prêt pour sa venue. Mais pour cela , il fallait qu'il arrive à déjouer la sécurité mis en place dans tout le royaume par le Roi de France.

La fervente dame de chambre, se fit une joie de venir en aide à sa belle princesse et traversa tout le royaume pour apporter le billet de Clotilde à Robert. Le prince fut enchanté de recevoir une aussi bonne nouvelle, il mit ses plus beaux habits et prit la route pour rejoindre sa bien aimée.

Arrivé à la Cathédrale D'aix La Chapelle , l'évêque était prêt pour les unir. Clotilde était magnifique dans sa robe blanche , ainsi que Robert dans ses jolis habits de prince . L'évêque allait enfin les unir et ainsi pouvoir établir la paix entre les deux royaumes avec ce mariage d'amour.


Clotilde et Robert, qui une fois marier, ont rendu la paix, l'amour et l'espoir à l’intérieur des deux royaumes furent heureux.
 

DeletedUser14187

Guest
C'est sur la toile que je t ai rencontré.

Parmes des milliers de connectés, on s'est trouvé.

Ton pseudo est une caresse à mes oreilles,

Ton avatar m'obsède dés le réveil.

A sa vue, toutes préoccupations et soucis s'envolent.

Ah tient! C’est du bioplastique que tu voles.

Par la délicatesse des tes actes, la force de tes armée,

Mon cœur et ma cité tu as dévasté.

Tu es mon âme sœur virtuelle.

Je prie qu'un jour, dans le réel,

Te reconnaitre et t'envoyer dans le monde éternel.

Bouffé par les vers, disparaitra chair.

De ton corp en putréfaction,

Bruler ta carcasse,

Réduire en cendre ta crasse

Je serai le témoin de ta dégradation.

Et pour finir, à ta dépouille,

Sur son lit de rouille.

Déclarer toute ma haine

Que tu ressentes à ton tour,

Le peut d’amour

Que tu inspires à ceux qui t’aiment.
 

DeletedUser47717

Guest
Depuis le début de mon arrivée au sein de mon Hôtel de ville , une jeune fille dont le village n'est pas très loin du mien m'agace, elle n'est pas très belle, sans tact et dénuée de charme. Je ne l'aime pas et pourtant nous avons accepté d'être amis pour divers échanges de marchandises.
Elle passe son temps à faire toujours mieux que moi avec plus de bâtiments de marchandises, de productions et surtout un village qui me donne envie de m'y installer.
Avec de la jalousie, il me suffisait juste d 'essayer de l'ignorer, mais avec le temps mon cœur s'emballe en voyant ce dont elle était capable. Je rougis instantanément lorsque je pénètre sur son territoire et je ne peux m'empêcher de la visiter tous le temps. Aurais-je un coup de cœur pour celle qui était mon pire ennemi ? Je crois que oui
J'ai donc pris mon courage à deux mains pour l’aborder. Ses monuments ont été pour moi une belle manière de pouvoir régulièrement se rencontrer et lancer des conversations.

Au cours de ces dernières, je lui disais qu'elle était pour moi un modèle de stratégie et je ne cessais de la complimenter.
Au fil de nos discussions où nous avons bien fait connaissance, je lui avoue que très souvent je pense à elle, même quand je dois me pencher sur des sujets importants qui concernent ma ville. Les jours ou l'ont ne peut pas discuter ensemble sont terriblement ennuyeux.

Je rêve de prendre mon cheval avec des fleurs et de galoper jusque dans ces bras en lui exprimant non plus mes sentiments mais cette fois mon amour avec une très grande peur, celle de la perdre
Avec une grande force je suppose, elle finit par m'avouer que ces sentiments sont réciproques et je pense qu'une grande histoire est en train prendre naissance. Avec tous les deux les mêmes sentiments, rien ne pourra nous séparé , rien sauf nos guildes qui voient d'un très mauvais œil notre relation. Est-ce le fait qu'un d'entre nous puisse rejoigne la guilde de l'autre ou alors que nos discussions empiètent sérieusement sur le travail pour la guilde. Le mieux pour nous est de montrer notre attachement à nos guildes respectives de par notre présence et notre implication. Notre but est de prouver que si certains peuvent être amis et même plus dans notre cas, alors pourquoi est ce-que deux guildes ne peuvent elles pas travailler ensemble pour le bonheur de ses membres.
Avec un peu de temps nous sommes arrivés à faire que nos guildes respectives s'entendent à merveille et nous vivons certes dans nos village respectif mais dans un bonheur absolue.
 
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97cat

Lancier
Pris de folie, au vue de ce qui m'attendais, j'envoyais une missive à la plus douce, la plus belle, la plus forte femme que je ne connaisse sur ce monde:

"Cela faisait plusieurs semaines que la guerre était déclarée et ouverte entre nos deux guildes. Cette guerre existait déjà bien avant que tu ne quittes notre guilde pour rejoindre nos ennemies jurés. Encore bien avant ça j'étais déjà en admiration devant la guerrière que tu es. les courbes de ta ville me faisait déjà frissonné, te voir prospérer de façon si intensive me rendait fou de fierté. Jamais je n'ai pu te le dire...
Aujourd'hui je fais fit de cette guerre et de tous ceux qui me jugeront, jamais il ne pourront comprendre, pourquoi malgré ton départ et tous ces combats acharnés, j'allais en cachette me promener dans les longues rue de ta ville, me rappeler le bon vieux temps. Ni pourquoi je laissait de ci de là quelques points forge pour t'aider, assez subtilement pour que ni toi ni moi ne soyons suspecté de trahison dans nos guildes respectives.
Qui sont-ils pour nous juger? ont-ils passé tant de nuit, tant de jour et tant d'heure à discuter et échanger comme nous l'avons fait?
Depuis que je t'ai rencontré je suis un nouvel homme, je suis allé de rien pour devenir seigneur de ma cité, et celle-ci ne fait que s'améliorer de jour en jour grâce à tous tes conseils. J'aimerai tant la partager avec toi, faire que nos cités n'en fasse plus qu'une.
Chère amie, j'ai été découvert et dans la guilde on me jette la pierre. Car cela ne se fait pas de rester en bon terme avec ses ennemis. Le conseil juge actuellement si j'ai encore le droit de rester dans leur groupe.
Je n'ai eu d'autres choix que de leur dévoiler ce que je ressent pour toi. Ne devrais-je pas être humain et nier tout ce qui me fait vibrer?
Je n'ose imaginer votre surprise, vous qui aidez chaque personne comme vous le pouvez, vous qui donnez des conseils personnalisés à qui veut bien écouter. Je me doute ne pas être le premier à vous avouer ma flemme, ni à vous défendre bec et ongle.
Je joue ma place pour vous. peut-être que je serais renié, par les membres avec qui j'ai commencé à monter ma cité. Mais voyons le bon coté des choses, cela me permettrait de vous rejoindre, si vous voulez bien de moi à vos côtés. Je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour briller en votre présence, que cet éclat vous mettent encore plus en valeur.
Amoureusement, Vôtre serviteur de toujours."

quelques heures plus tard, un messager arrive au triple galop dans ma cité. Une missive de ma belle m'arrivait en priorité.

"Mon cher ami, je suis désolé de vous avoir bafouer contre mon gré..
Je ne m'attendais pas à ce qu'une telle passion vous animait, je vous aurait répondu au plus vite pour ne pas créer plus de confusion. J'espère que vous comprendrez mon refus à vous ouvrir les bras. Et que vous continuerez malgré tout à mes cotés.
Mon cher ami, je suis un homme, qui n'aime que les hommes.
Amicalement vôtre."
 
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DeletedUser

Guest
Bonjour,

Voici ma participation pour l'évènement Forum de la Saint Valentin (2017).
(Pourrez-vous me confirmer que ma participation à bien été prise en compte ?)

Nombre de lettres : 2979 (D'après le site conseillé)
Epoque : Ère Progressiste
Personnage(s) principal(aux) : Ferdinand Fernand ; Miléna Constance ; Ragu Silvertongue.
Camps s’affrontant : Pas de noms particuliers (Celui de Ferdinand et celui de Catherine Constance)
Lieu(x) : Ville de Fernàndez et (une ville à côté)
Bâtiment(s) précisé(s) : Exploitation bovine
Nom du récit : Amour tueur

Amour tueur

Je m'appelle Ferdinand Fernand, je suis le maire de Fernàndez et nous sommes au 20e siècle, plus exactement en 1907. Une guerre a éclaté : deux camps s'affrontent. Le nôtre (j'en suis le "chef"), et celui d'une certaine Catherine Constance. Cette dernière est de la descendance de la maléfique Kaiserin Konstanze, qui a vécue vers le 16e siècle si mes souvenirs sont bons. A part ça, les nouvelles sont très mauvaises : mon ancien conseillé, Ragu Silvertongue, nous a trahis il y a quelques temps pour rejoindre les rangs de Catherine. Quel fourbe ! Et dire qu'en plus de tout cela, je suis amoureux de la fille de notre ennemie jurée ! Celle que j'aime se nomme Miléna, un nom peu commun mais qui ressemble fortement à celui de ma nouvelle conseillère, Myciena. Pour comble du comble, Ragu aimait aussi Miléna ! Maintenant qu'il est de son côté, il doit se marier et moi, je dépérirai et pleurerai toute les nuits de cette infâme trahison ! Le mariage aura lieu d'ici demain, malheureusement pour moi. Voici le poème d'amour que je lui ai envoyé de façon anonyme hier soir :

"Ô douce Miléna !
Je vous aime depuis longtemps déjà,
Les temps sont durs,
Et mon ancien ami, Ragu, a hérissé un mur...
Je vous veux, ma chère amie.

J'aimerai cependant vous rencontrer,
Demain matin, à côté du pré,
Pour faire votre connaissance,
En âme et conscience.
Je vous y attends avec impatience.

Sachez, douce Miléna,
Que je vous aime,
Autant que le lilas est mauve,
Et que vos doux cheveux sont blonds."

Je me suis rendu, ce matin, à côté du pré, près de l'exploitation bovine et j'y ai retrouvé comme prévu, ma douce Miléna. Et était encore plus belle que d'habitude. Elle me raconta qu'elle n'avait point envie de se marier avec Ragu, c'était son père, Gregor Constance, qui l'avait forcé. Elle m'avoua qu'elle avait un petit faible pour moi (Quelle joie !) et que Ragu lui menait la vie dure. Je me croyais dans un conte de fée et je décidai de l'emmener faire une balade le long du pré. Elle me raconta tout plein de choses, je lui décrivis la misère qui se répandait sur moi car je l'aimais mais mon ancien conseiller allait se marier avec elle, etc... Soudain, sur notre chemin, nous rencontrâmes une couleuvre d'esculape. Cette sale bête mordit ma bien-aimée à la cheville et je décidai d'aller chercher des secours ! Sur mon chemin, j'aperçu Ragu. Je tenais toujours sur moi un fusil, et sans savoir ce qui me prit, je tuai cet homme... Une voix dans ma tête me dit de laisser mourir ma bien-aimée... Que m'est-il arrivé ?!

AAAARGH ! Je me réveillais en sursaut ! Ma respiration était saccadée et je ne savais plus où j'étais. Une femme habillée de blanc arriva et me demanda si j'allais bien. Elle me rappela que j'étais dans un asile psychiatrique et que ma mort allait bientôt arriver. Quelle atrocité ! L'abolition de la peine de mort était pour quand ?! De toute manière, je devais mourir, j'avais commis trop d'horreurs... Que m’était donc-t-il arrivé ce jour-là ?


Voilà pour le texte. Il est un peu "malheureux" mais ça fera l'affaire, mdr :-)

Merci de l'avoir lu,
Bien cordialement,
FOEGames1
 

DeletedUser26833

Guest
Bonsoir,

Voici ma participation pour cet événement. Un peu difficile a vrai dire car j'avais trop de caractère :/ Mais j'ai réussis a avoir le compte.
Nombre de caractère: 2998 (sur le site que vous proposez)



Aujourd'hui c’est le jour ou je vais enfin me venger de mon pire ennemie. Je vais enfin pouvoir la tuer, cette femme qui a tué mon père. Elle qui a ruiné ma vie. Mais une autre question est dans ma tête, elle m'a contacté et m'a donné rendez-vous dans un ancien local commercial à Odhrorvar. Pourquoi ? Comment vais-je savoir qui elle est je ne peux la reconnaître. Mais bon il est temps de partir. Enfin arrivé sur les lieux, tout est a moitie abandonner ont à encore du mal à discerner les tableaux bleus et roses de part et d'autre du bâtiment.
C'est presque entrain de s'effondrer. Je me motive et je rentre. En ouvrant c'est très sombre difficile de dire où je suis, ça ne sent pas très bon. J'avance doucement et je tombe sur d'ancien outil, dessus il y a le nom de l'ancienne enseigne d'usine de robot où travaillait mon père. Maintenant elle est fermée elle n'est plus aux normes, du moins elle ne l'a jamais été.
"Où est tu? Qu'on en finisse!" disais-je. Les lumières s'allument et m’éblouis. Je ne saurais dire ce que je vois car, il n'y a rien. Tout est vide, tout est sale.
Des bruits de pas s'approchent.
Puis elle apparaît d'un couloir à droite. Elle est vêtue d'une veste et d'un jean rien de plus classique. En même temps pourquoi devrait elle venir aussi bien habiller alors qu'elle va mourir. Elle se retourne elle me regarde, je la regarde. Je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à détourner mon regard.
"Pourquoi m'avoir dit de venir ?"
"Pour que tu sache enfin qui je suis, ce n'est pas ce que tu voulais ?" "Ce que je veux ? Je veux ta ... mort"
Pourquoi j'ai hésité je ne devrais pas.
"C'est tout ce que tu veux. Alors va y "
Elle s'approche en ouvrant les bras, prêtes à avoir son jugement.
"Non, je veux savoir pourquoi tu as fait ça ?"
"Je suis désolée pour toi, c'était une erreur."
"Quoi ? Une erreur tout ce que tu me trouves à dire ?!"
Je suis énervé et il y a autre chose qui m'empêche de passer à l'action, je ne peux l'expliquer c’est comme si j’étais tomber sous sont charme.
"Alors tu attends quoi. Je te donne l'opportunité d'en finir et toi, tu ne fais rien"
Je ne fais rien, c’est vrai. Mes yeux commencent à scintiller. Elle se rapproche de moi, jusqu’à être a porter de main.
"Bah alors tu ne fais rien. Bon je peux partir."
Elle ne doit pas partir, c'est sûrement la seule occasion que j'ai. Mais je suis bloquer, je suis tombé sous son charme. Je suis amoureux d'elle, qui a détruit ma vie.
"Cesse de me dévisager comme sa"
"Je ne peux pas même après ce que tu m'as fait ..."
C'est comme si elle m’envoûtait. Je m'approche. Elle s'approche, puis je l'embrasse. Comment j'en suis arrivé là ? Pas de question à se poser, ce moment-là était unique, je n'avais jamais eu des sentiments envers quelqu'un depuis ce jour.
Un bruit sourd a retenti, elle me regarda étonner Elle s'effondre, je fait un signe de la tête a la force de frappe qui était venu pour faire le travail, puis je m’agenouille pour lui dire un dernier mot dans l'oreille.
"Je suis désolée."





Merci beaucoup,
Bonne journée et bon jeu
 

DeletedUser47193

Guest
Dans les prismes du jour au vent ailé
Les ennemis tremblent, la terre rougie
tandis que les flammes volcans éblouis
Les âmes de nuages s'éparpillent en essaim

Mais d'un rêve de voler, les armes retentissent
dans les secteurs des temps oubliés
L’eau de fer coule en cascade, l'arbre de vie
les flocons de cendre retombent comme la pluie.

Le ballet des fratricides s’étend comme racine
Soldat ouvre les yeux, le vent souffle l'amour
Les guildes du jour effacent les traces de la nuit
Mon cœur chaud ne pense qu'à vous Ennemie

Poussent dans les sentiers, des vœux de mépris
au calme des arbres, la lunette disparaît
Ennemie de l'amour, au vapeur de folie
la rosée me mouille le visage, tel un Saint Valentin

Battement du cœur, symphonie du tambour
Le brame du feu emporte nos âmes
Naissance dans la mort sous le ciel étoilé
Amour immortel né dans le chaos des esprits

Nos amours dévoilés au lendemain des guerres
La couleur des rouges rivières nous a rapprochés
Le frison des canons aux couleurs de nos tirs
Les nuages d’artifices alertent les foules des continents

Dans les guildes des âges oubliés, ô, vous mon amour
au milieu de nos pères, regardez-nous,
je vous aime au plus profond de mon cœur
inconnue de toujours, les uniformes nous habillent

Nos corps morts de sens, nus de haine
Les membres meurtris tel un arbre coupé
Mes yeux éblouis par ta silhouette de lumière
Tombent à terre nos armes de bois vide de fer

Toi, mon Amie, Ennemie de toujours
Je me noie dans l'amour copie de tes sentiments
Âmes sœurs volent comme les feuilles au vent
Au matin du champs des morts,orphelins des guildes

Nous disparaîtrons au gré de nos vagues à l'âme
Le bruit des brindilles vous devinerez
pour toujours les amours disparus aspirez
Les guildes ne sont que passé pour des Valentins retrouvées.
 

Marifka

Laborantin
Il s’appelle Keyser…

Mais pour les siens, plus que Keyser il est leur Kaiser, leur Empereur.

Les miens ont toujours parlé de lui avec haine, dédain et mépris.

Je l’imaginais fourbe, bossu, sale, arrogant, ignare et idiot. Mais lors d’une bataille opposant nos deux guildes je découvrais un autre homme.

Juché tout en haut de sa Forteresse Militaire, pour avoir une meilleure vue sur le déroulement de la bataille, il dirigeait les opérations d’une main de maitre. A ce moment-là j’ai su que mon âme et mon cœur étaient perdus à jamais. Malgré tous mes efforts, malgré toute ma volonté, mes pensées allaient sans cesse vers lui.

Bien des fois je me suis imaginé mille et une façon de le rencontrer. Bien des fois la raison a pris le dessus.

Je nous imagine tous deux autour de la même table d’une Taverne. Nos regards se croisent et ne se quittent plus. Il demande à l’ami commun qui je suis. Je lis la stupeur dans ses yeux, l’incompréhension, la rage ! Sous le coup de l’émotion, je quitte les lieux, pour me réfugier au fond de la Forêt Tropicale attenante qui offre un antre réconfortant. J’entends des bruits sourds sur la mousse épaisse qui tapisse le sol. Je replis mes jambes sous mon menton et m’adosse contre un tronc. Une main se pose sur mon épaule. Elle se veut forte et réconfortante. Je n’ose pas me retourner. Il s’accroupit derrière moi et me murmure à l’oreille. Sa voix est douce, son accent chantant. Il me dit ne pas comprendre, ne pas vouloir, ne pas pouvoir… Je resserre mes bras autour de mes jambes. Ma vue se brouille. Je lui réponds, sans le regarder, que moi aussi je ne m’attendais pas à cela. Que moi non plus je ne le souhaitais pas. Mais que les sentiments sont là, plus forts que nuls autres. Plus forts que la haine qui sépare nos deux clans.

La guerre ne réunit rien ni personne, elle sépare, casse et détruit. Seul l’amour a la force de construire, faire grandir, réunir, réconforter. En nous aimant, en prouvant aux nôtres que cet amour vaut mille batailles, qu’en le faisant grandir nous serons plus forts, nos guildes d’autant plus prospères, c’est ainsi que nous devons continuer.

Sans réaction de sa part je quitte la Forêt accueillante, je passe devant la Cathédrale Saint Basile…c’est à cet endroit qu’il me rattrape, plonge ses yeux dans les miens, me serre dans ses bras, avant de m’embrasser sous l’Arbre de l’Amour.

C’est à ce moment que je sais que si j’ai su le convaincre, nous saurons rallier les nôtres à notre cause, et l’amour aura gain de cause. Il nous rendra tous meilleurs et plus forts que jamais !
 

DeletedUser22817

Guest
ZAK, Noble Chevalier et fils du Roi TOM, aimait la guerre, non seulement pour servir son peuple mais aussi parce qu'il y prenait un réel plaisir.
ZOE, était la fille du Roi BOR, le pire ennemi du Roi TOM.

Depuis de longs mois les deux clans se battaient avidement. Les combats étaient forts. ZAK n'aimait pas la défaite, détestait battre en retraite.
Un soir alors qu'une rixe finissait mal, il dû se désigner à se replier dans la forêt voisine.
Un camp de fortune fût construit pour la nuit, autour d'un feu comme ils avaient l'habitude de faire pour éloigner les bêtes sauvages. Pourtant ce soir là, alors qu'il n'était pas proche du brasier, ZAK fût attaqué par un ours qui manqua de le dévorer si ses compagnons d'infortune n'étaient pas venu le secourir.

En ces temps obscurs, il fallait faire vite, trouver un moyen de soigner notre Chevalier afin de lui éviter une mort certaine.
On l'emmena donc dans la Taverne du Bois Ténébreux, qui se trouvait à 10 lieues de là. Après avoir reçu quelques onguents et que ses plaies aient été pansées, ils décidèrent de profiter des lieux pour se sustenter.

Alors qu'ils étaient attablés, le bruit d'une calèche se fit entendre. Des inconnus entrèrent dans la Taverne et prirent place à leurs côtés. De suite ZAK reconnut ZOE mais ne dit rien. Elle rentrait d'un long voyage et, pour maintenir son anonymat, se faisait passer pour une marchande.

Il était beau garçon et avait les bonnes manières. Installé à ses côtés et ce malgré eux, ils échangèrent des regards, il lui sourit- elle acquiesça de la tête. Un dialogue commença. Tout au long du repas, il la fit rire par des anecdotes plus ou moins grivoises. Sans le vouloir, elle tomba sous le charme de son compagnon de table.
A la fin du repas, il lui proposa de l'emmener au bord du lac tout proche. Ils échangèrent sur leurs vies, se confiant l'un à l'autre.
Se sentant particulièrement bien, il lui demande alors s'il pouvait lui tenir la main, juste par affection. Elle accepta. Et c'est à ce moment là que deux magnifiques cygnes d'un blanc pur passèrent devant eux, au bord de ce superbe lac.
Eux sont un couple, lui lance t'il. Oui ils semblent heureux rétorqua t'elle.

Maintenant leurs regards étaient figés, ils ne se parlèrent plus, seulement avec les yeux. La peur de ne plus se revoir.
Il lui fit part de ses sentiments profonds. Il l'embrassa - elle réalisa que ce moment était magique. Ils restèrent ainsi toute l'après midi, l'un contre l'autre au bord de ce lac.
Avant de partir il lui avouât qui il était réellement. Elle réalisa qu'elle l'aimait. Ils se quittèrent en pleurs, en pensant ne jamais se revoir.

Plusieurs mois passèrent, Le Roi BOR décida de mettre fin à cette longue guerre inutile. Sans connaitre l'amour de sa fille pour ZAK, il décida d'unir les deux clans par un mariage, comme cela se faisait autrefois.
ZAK et ZOE ne se quitteraient plus jamais- l'amour était né au sein d'un conflit...
 
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DeletedUser44672

Guest
Je vais vous conter une petite histoire qui se passa il y a fort longtemps, au haut moyen âge.

Il était un fois un jeune écuyer pris sous tutelle par un seigneur de guerre. les jours, mois et années passèrent, l'enfant devint jeune homme pleins d'ambitions. Un jour, il fut envoyé par son maître pour négocié des ressources nécessaires à la construction d'une tannerie, pour faire des protections de cuirs pour les archers. Lors de ce négoce, il vit une jeune damoiselle accompagnée de femmes plus mûres. Ce fut une révélation. Mais la négociation n'étant pas fini, il perdit de vue la jeune femme.Le troc tourna court car le vendeur essaya d’escroquer le jeune écuyer. Ayant eu vent de cette trahison, le seigneur déclara la guerre à son voisin voleur. La bataille fit rage et ne dura pas trop longtemps, juste un moi environ. Lors des derniers assauts avant que le fort ne tombe entre nos mains, les derniers défenseurs arrivèrent en nombres. Le jeune homme devenu chevalier pour l'occasion, tomba nez à nez avec un adversaire un peu plus frêle mais plus dégourdi que les autres. Ayant eu un seigneur de guerre pour maître d'arme, il parvint toute fois à maîtriser son adversaire et le désarma avec violence. Avant d'en faire une dépouille, il voulu savoir qui se cachait derrière ce heaume à tête d'aigle.Il s'agenouilla sur sa victime, mit un poignard sur la gorge, et enleva le casque. Il fut stupéfait, abasourdi et désarmé, quand il découvrit que ce n'était autre que cette ange qu'il aperçu quelques temps plus tôt lors d'une négociation dans le dédale des étales du marché. C'est alors que des flèches défensives frappèrent notre amoureux,et ayant encore la pointe de son poignard sur la gorge de notre guerrière, il ne pu retenir son déséquilibre et embrocha cette femme soldat en lui donnant un baiser pour dernier souffle. Le seigneur des lieux ne prit pas part au combat car très faible, c'est sa fille aînée qui prit les armes pour lui car il n'eu pas de garçon. Sachant ce qu'il venait de se passer il ordonna la fin des combats. Un traité fut instauré et un basin ainsi qu'une stèle furent construit pour commémorer cette tragédie. Depuis ce jour les deux clans s'allièrent en guilde et unirent leur force contre les envahisseurs du royaume des francs. Le seigneur qui perdit sa fille, resta dans son chagrin jusqu'à sa mort et le pacte demeura viable bien après lui et pendant des générations.
 

DeletedUser39571

Guest
Vous ne le savez peut-être pas, les enfants, mais avant d’être conteur, j’étais un pirate et j’écumais les mers à la recherche de trésors « Waouh un pirate »

Un jour, las de tous ces voyages et après un ultime combat où je perdis mon œil, je décidai de vendre mon navire et d’utiliser mon or pour m’établir définitivement. Avec mes amis flibustiers, nous devinrent des bâtisseurs de maisons et il nous fallut nous développer pour fabriquer nourriture, vêtements, armes…

Puis, nous commençâmes à exploiter des ressources. Très vite d’autres habitants nous rejoignirent et notre village s’agrandit et devint une ville très prospère, au point de devoir rejoindre une guilde, le Phénix, afin de pouvoir nous défendre contre les pilleurs mais également pour agrandir notre territoire.

Parmi les membres, je fis la connaissance d’une femme magnifique. Elle s’appelait Titia. Elle était non seulement belle mais était aussi douée derrière un fourneau qu’avec une épée à la main. Comment ne pas succomber à une femme pareille ?

Le problème c’est que je n’osais pas l’aborder « Pourquoi ? » Tu sais mon petit, autant j’étais à l’aise pour aborder un navire autant avec les femmes c’était une autre histoire. J’attendis longtemps avant d’oser lui parler et le jour où enfin je me décidai, j’appris qu’elle désirait quitter le Phénix.

Comme elle savait se battre, elle participait souvent aux combats de guildes et c’est lors d’un de ces combats qu’elle tomba amoureuse d’un chef ennemi. De plus, comme elle était souvent en désaccord avec les tactiques de notre chef, elle s’en alla. Avec le temps, je me dis que j’arriverais à l’oublier mais plus le temps passait et plus elle me manquait.

« Et après ? »

Les mois passèrent et un jour le destin vint à mon aide. J’appris que le chef ennemi avait péri lors d’un combat, c’était un signe. Je pris mon courage à deux mains, un cheval et partis à la recherche de ma belle. « Il était grand le cheval ? » Oui, grand et d’un beau blanc brillant.

Après plusieurs jours à parcourir plaines et forêts, je la retrouvai et j’osai enfin lui déclarer ma flamme. Et là, oh surprise, elle m’avoua qu’à l’époque elle avait aussi eu un faible pour moi mais que les circonstances avaient séparés nos routes.

Tout excité, je m’empressai de lui demander de partir avec moi. Mais depuis, les choses avaient changé. Elle était devenue veuve de chef de guerre, responsable de toute une communauté et moi ? eh bien moi je n’étais qu’un simple farmer.

Je rentrai chez moi, triste, et d’horribles pensées me vinrent à l’esprit. Mais bien sûr, c’était ça la solution « c’était quoi ? »

Comme à l’époque sur mon navire, j’organiserais une mutinerie, je détruirais mon chef de guilde et prendrais sa place. Puis j’embellirais ma cité avec des monuments magnifiques, je construirais un port avec un navire majestueux et ce jour-là, elle ne pourrait plus me résister et nos deux guildes n’en feraient plus qu’une.

Mais ça, c’est encore du futur…

« clap clap clap clap clap»
 

DeletedUser47295

Guest
[Acte I - Lya]

Lya, jeune rousse, est une commerçante timide mais assidue. Après plusieurs mois à trouver ses marques dans le monde d’Arboréa, elle décide de rejoindre une guilde qui a les mêmes convictions et besoin de ses atouts pour en faire une personne de choix.

Après recherche, La guilde « Cultura » lui ouvre les portes suite à une annonce trouvée dans les journaux et commence à faire ses marques.

Après une belle journée, le chef donna congé à ses guildois pour se reposer. Elle décide de se rendre chez Monik, une taverne connue pour se ressourcer et se détendre. Après des minutes à l’intérieur, elle voit un jeune garçon la regarder avec admiration et ne put s’empêcher de rougir…


[Acte II – Alex]

Alex, jeune stratège talentueux, a de bonnes compétences en stratégie militaire et en recherche technologique. Il est prisé à Arboréa car il y a peu d’êtres qui réussissent dans ces deux voies. Pour lui, pas de problème à trouver une guilde car tous le voulaient pour ses talents. Fort d’expérience et de volonté, il intègre la guilde « Victoria » qui a la volonté de gagner et dans le top 10 des guildes les plus importantes.

Une journée bien remplie, il décide de se rendre à la taverne de Monik car c’est ici que se retrouve les stratèges d’Arboréa. Soudain, il remarque qu’une jeune demoiselle rousse est en train de boire un lait de chèvre. Soudain il vit que la jeune demoiselle le regarde dans les yeux et qu’elle est en train de rougir…


[Acte III – La rencontre & l’explication]

Le regard de Lya et d’Alex ne put se délier jusqu’à ce qu’un serveur renverse un lait de chèvre sur sa robe. Paniquée, la jeune fille se lève et part en vitesse. Malheureusement il n’a pas eu le temps de lui parler et de discuter avec elle car il en est tombé sous son charme.

Une semaine après, Lya se rend à la taverne. A la fin d’une réunion importante Alex passe à la taverne et tombe par surprise sur la jeune rousse qu’il a croisé plus tôt. Il décide de s’asseoir à sa table et elle ne put cacher sa timidité. Le courant passe entre eux au point de se revoir autour de la même table et tomber sous le charme l’un de l’autre jusqu’à échanger un baiser.


[Acte IV – Révélation et Choix]

Les semaines passent et un couple se forme entre Lya et Alex. Il demande si elle veut rejoindre sa guilde car il veut être plus proche. Cela est impossible car c’est une des personnes des plus importantes. A l’énoncée du nom de sa guilde le jeune homme est muet : la guilde en question était une des guildes qui avait le meilleur commerce et qu’il y avait un conflit entre eux car ils avaient recruté une personne qui a réussi à faire rivaliser toutes les guildes et qui n’est autre que Lya. Mais l’amour était plus fort que tout et les deux jeunes tourtereaux ne savaient pas quoi faire car ils s’aimaient et ne voulaient pas partir de leurs guildes respectives.

Ils décidèrent donc se poser ensemble tout en restant le plus discret possible car leurs guildes sont en guerre constante sur le commerce.


Fin
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DeletedUser15911

Guest
- Valet m'as-tu fait un rapport bien lucide ?
Ne me caches-tu rien de ce qu'a dit sa guilde ?

- Non seigneur Z tout est vrai je te le jure
Depuis tes dix pillages, ils ont la dent bien dure
Ils conservent envers toi, la rage et la rancune
Et ne supportent pas l'idée que tu brigues Prune.

- Ah là mais qu'ai-je donc volé ces maigres ressources,
Mais c'est plus fort que moi il fallait qu'ils déboursent,
Ils m'ont massacrés tant et tant de voyous
Ca méritaient bien que je vole quelques sous.

Redis-moi je t'en prie, une seconde fois,
Ce qui te fait juger qu'ils s'opposent à mon choix

- Ils vous haissent, ne voient chez vous que la bête
Et non un guerrier qui compterait fleurette
Ils ne lâcheront pas de sitôt la belle belette
Pas tant que vous ne leur rembourserez vos dettes.

Ah ça mais ils s'enferrent pour quelques pf,
Et freineraient mon amour pour quatre marchandises,
Je ne vais pas lâcher et pourfendrai ces elfes,
Je n'en laisserai un debout qu'on se le dise.

Mais file voici Prune qui par ici s'en vient
Disparait un instant et sur un signe revient

(Prune s'approche, les sourcils froncés)

- Z ! Je suis bien aise de vous trouver céans
On me rapporte des horreurs sur vos agissements
On me dit que vous attaquez, écrasez et pillez,
Jusque dans ma guilde mes plus fidèles alliés.

On me narre que vous frappez et d'estoc et de taille
Que vous méprisez vos voisins, les traitez de piétaille
Que vous n'avez de cesse de navrer les moins lotis
Leur fichant votre lame au coeur et au parmi.

- Tout doux ma belle, je n'ai volé que mon droit,
Les règles sont ainsi qui m'en assurent l'octroi,
Assurément point n'y toucherais si c'était malhonnête
Songez que sur vos GM je suis prêt à les mettre.

Pour chaque unité par moi dérobée en pillage
Je vous rendrai le double ma foi je m'y engage !

- Voici qui change tout si vous comblez mes lacunes.
Soit j'oublierai vos méfaits si ceux-ci me profitent
Et me fais fort de plaider votre bonne fortune
Pour relativiser les torts qu'à ma guilde vous fîtes.

N'allez surtout pas croire que c'est intéressé
Mais à ramener la paix je suis trop empressée,
C'est à cette seule cause que mon coeur est versé,
De vils profits oncques ne vint surtout à penser.

- Que nenni ma belle, je vous sais détachée
J'étais si malheureux de nos liens entachés.


(ils s'éloignent bras dessus, bras dessous)

- Au fait Z, ne m'aviez- vous pas fait confidences
De ressources renaissance que vous teniez en abondance ?
 
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DeletedUser45174

Guest
Poème


Sur Qunrir tous était triste et rien ne me faisait rire

Et puis je t’ai remarqué dans mon voisinage avec ta belle cité

Aucun combat tu ne donnais, tu ne pensais qu’à négocier

Tu aidais les débutants et les égarés, pendant que moi je ne pensai qu’à pilier

J’ai tout fait pour me faire remarquer, en espérant qu’un jour tes yeux sur moi se soient posés

Je prenais les offres que tu avais posé, pour te montrer que j’étais à tes cotés

Je misais sur les monuments que tu avais posés afin de les faire monter


Le jour ou en ami tu m’as accepté, mon cœur c’est éclairé et mes pillages se sont arrêtés

C’est là que j’ai vu que mes sentiments étaient partagés, et qu’une histoire était née

Tu n’imagines pas mon bonheur quand je te vois récolter, et que j’attends impatient

Que tu répondes aux messages que je t’ai envoyés


Mais à mon grand malheureux ton père est le chef fondateur de la guide qui sème la terreur

Et le mien son ennemi juré à qui il aimerait voir sa ville rasée

Je redoute leur réaction quand nous leur dirons que nous nous aimons

Comment faire pour dévoiler au grand jour notre amour, dans un monde qui ne pense qu’au sang

Avec autour de nous, nos clan qui se vouent une lutte sans merci depuis la nuit des temps


Mon amour, me suivrais-tu si je disais non a tout ça

Qu’on se réunisse pour toujours dans un seul et même endroit que j’aurai créé pour toi

Ou l’entraide et l’échange seront roi, et où nous ne craindrons la colère de qui que ce soit

Suis-moi, je ne peux vivre sans toi
 
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DeletedUser47406

Guest
Par cette journée bien grise, je sirotais à la taverne

Quant au loin vint à mes oreilles un fracas assourdissant

Aux abords de la ville siégeait kali Princesse des Arvernes

Guettant l’instant propice au pillage de ce village opulent


La blonde valkyrie, hardie guerrière aux flamboyantes victoires

Entrant dans la ville pour conquérir richesse, renommée et gloire

Frappant à cet instant mon cœur de par son regard ensorcelant

Je mis genoux à terre, touché en moi par le Cupidon fléchant !


Belle dame, de guerre lasse je promets ici de faire de vous une reine

Car à cet instant soudain à votre égard mon cœur s’emballe et saigne

Prenez Cathédrale, statues, fontaines, jardins, sanctuaire du savoir

Je ne puis guère vous offrir mieux que l’enthousiasme de mon espoir


Peut-être ainsi, par la passion partagée pourrions-nous enfin un jour,

Mettre un terme aux querelles que subissent nos provinces fatiguées

En choisissant ensemble, plutôt qu’à la guerre les émois de l’amour

Vers cette Vénétie si secrète, peut être pourrions-nous nous porter !


Masques rutilants, étoffes soyeuses et roses délicates je me vais quérir

Par ce carnaval envoutant, charmer votre cœur et ainsi vous conquérir

Pour qu’enfin vous puissiez cesser envers moi vos velléités ancestrales

Et ainsi de ma cité pourriez-vous bâtir enfin votre quartier général !


Vers un monde moderne et culturel il sera temps alors d’avancer

Pour qu’ensemble vers un futur, de guerre finie il nous faudra négocier

Des bâtiments nouveaux, hauts et généreux il nous faudra construire

Les amis, les voisins, les contrées, par la main je vais vous conduire !
 

DeletedUser40059

Guest
En belle province de Karchagu, au milieu des forêts d’ébène.
Entouré des chèvres de mon père, un froid hiver m’amène.
Je suis né fils de chef ! De la guilde des « Voiles Rouges ».
Quand mon père hausse le ton, rien ne parle ni ne bouge.

Au nord, les montagnes nous bordent. Au sud, la rivière nous nourrit.
Nos navires, qui emportent le bois noble, et son prix.
Fièrement voguent vers l’ouest, échangeant nos richesses.
Contre pantalons ou vestes, bijoux et autres pièces.

Mais le cours n’est point calme, et l’ennemi guette nos voiles !
Les « Coques d’acier » nous attendent, friands d’ébène et de toiles.
La guerre est, depuis toujours, notre lot, chaque jour.
Et « Pique d’acier », leur meneur, est rusé et sans cœur.

Père est mort, sous un tronc. C’est à moi de guider
Mes sœurs, mes frères, vers l’avenir, vers l’été.
Je laisse donc ma villa, l’élevage et ma mère.
Et j’embarque, d’un pas sûr, sur les traces de mon père.

Le convoi glisse sur l’eau calme, vers l’ouest, vers Paruuch.
Mais très vite, ils arrivent, les démons à coques grises.
A leur tête, Pique d’Acier, brandissant son épée.
Nous fonçons, enragés, enfiévrés du danger.

Leurs balistes embarquées, font déjà des ravages.
Nos rangs s’éclaircissent, devant ce carnage.
J’ai choisi des archers, plus mobiles. Avantage !
D’un trait bien tiré, j’éborgne le sauvage.

Fin du combat, triste constat.

L’embouchure, enfin, est en vue !
Notre bois, nous vendons, c’est pour lui que l’on sue.
Le retour n’est pas gai, trop de compagnons sont tombés.
Notre champion même, agonise à l’extrême.

Le lendemain, au réveil, un guerrier monté, dans la plaine.
Envoyé par Greva, la prêtresse du roi.
Il est fatigué, dit-il, notre souverain, de ces combats.
Un duel, dès demain, de l’avenir décidera.

Rendez-vous est pris, devant l’hôtel de ville.
Notre champion mort, c’est à moi d’être vil.
Fils de chef, Chef moi-même, Blaise est mon nom.
Je suis prêt, décidé, à tuer leur champion.

Ce matin, le soleil est présent, inondant de lumière.
Cette place, qui, dans peu, servira de cimetière.
Arbitre du roi, Silvertongue est arrivé déjà.
Sous l’Arc de triomphe, mon ennemi que voilà !

Je m’avance, arme en main, vers le guerrier d’airain.
Quelle surprise ! Quand je vois, dépassant du heaume.
De longs cheveux blonds, d’un sublime teint !
C’est donc Blanche, fille de Pique, qui défendra les siens.

Je ne peux, je le crains, faire de mal, c’est certain.
A tant de beauté et de grâce. Tous mes coups, je retiens.
Elle le sait, elle le sent. Défendant vaillamment.
Nos deux bras ralentissent, le duel en suspens.

« Fille de Paruuch », je m’écrie, « je ne veux aucun mal »
« A celle qui, chaque nuit, hante mes rêves, j’en ai mal ! »
« Moi de même » répond-t-elle doucement.
« Ou nous mène ce difficile instant ? »

Silvertongue, un sourire sur les lèvres.
Son bâton de puissance, il soulève.
« Que l’union de ces êtres, mette un terme à ces guerres ! »
« Préparons l’Arbre d’amour, et l’avenir d’une autre ère. »
 
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DeletedUser44872

Guest
Ce soir, voisin, à l’heure où je fais ma récolte
Je t’inviterai. Vois-tu, j’y pense depuis longtemps
Toi mon ennemi, aujourd’hui je virevolte
Je ne puis plus te combattre dorénavant

Que tes yeux et armées, rivés sur ma cité
Ne restent pas dehors, n’attendent pas la nuit
Mes portes sont ouvertes, nul besoin de piller
Mes ressources sont tiennes, à toi mes pfs gratuits

Je prendrai toutes tes offres présentes sur le marché
Tu pourras dire adieu à mes nombreux pillages
Acier, I.A., Robots, et même l’eau purifiée
Prometh’ons-nous l’amour sur ces beaux rivages

Aujourd’hui à 10:23 – Viquetore Ugho​



C’est pas l’toupet qui te manque
C’est moi qui dirige les tanks
J’t’ai pillé, pillé, pillé, déjà
J’ai pas plié, plié, sous tes combats
Voisin, Guilde, EG, GcG
On n’est pas potos encore moins mariés
Me tends pas la main, j’vais la couper
J’ai le plus gros alca et la meilleure armée
J’suis un top warrior bien médaillé
Toi et ta guilde vous allez morfler
L’addition s’ra très très salée
Ta décla d’amour j’vais la bruler

Aujourd’hui à 14:17 – Boue ba



Très cher ennemi faisons la trêve
Comme je l’ai dit devenons amants
Assouvir enfin notre rêve
Fonder une guilde, notre diamant

Les obstacles seront en nombre
Mais notre amour sera vainqueur
Je te suivrai, telle ton ombre
Car je te porte dans mon cœur

Face aux fondas rebellons-nous
Retrouve-moi dans ma taverne
Plateau, nappe, il y a tout
Qu’enfin notre amour gouverne

Aujourd’hui à 14:41 - Viquetore Ugho​



Je t’avais résisté, je t’avais résisté, je t’avais résisté
Je t’avais résisté, je t’avais résisté, je t’avais résisté
T’es ma favorite parmi ceux qu’j’ai pillé
J’kiffe grave la délicatesse
Et l’agencement de ta cité
Je sais toujours où et quoi piller
Et malgré tes défauts
T’as géré, je l’avoue
Seule dans ta guilde de blaireaux
Et donc j’te dis ‘I love you too’
Et donc j’te dis ‘I love you too’
I love you, I love you, I love you
I love you, I love you, I love you
Dans ta taverne j’serai au rendez-vous !

Aujourd’hui à 18:20 – Boue ba
 
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DeletedUser37541

Guest
Bonjour
Voici l'histoire de Totoye et Loloye
Je me dépêchais,fébrilement,de rejoindre la clairière dans la forêt,à la frontière de notre royaume et de celle de notre plus grand ennemi:la guilde Anarchie et despotisme.
Avant d'aller plus loin,je dois vous conter le début de l'histoire.
La veille,comme tous les jours ,j'etais en train de me baigner dans la rivière, lorsque j'entendis une cavalcade.
Vite,je me cachais dans les buissons afin de me rhabiller et d'observer la raison de ce vacarme.
C'est là que je le vis,dans un rayon de soleil qui percait à travers les arbres:un chevalier tout de noir vêtu...
Il etait tête nue et tout de suite mon regard ne put se détacher de son visage.
La cicatrice qui barrait sa joue,le bandeau qui lui cachait un oeil,sa grosse barbe hirsute dans laquelle restait encore des miettes de son dernier repas,ses habits poussièreux et élimés par endroits,tout cela me ravissait et faisait sauter mon coeur dans ma poitrine!
Je le vis essayer,tant bien que mal,de descendre de sa monture mais le cheval fit un ecart et mon pauvre chevalier finit par s'étaler dans l'herbe.
Ohh!!ciel!!il etait aussi maladroit que moi!!c'etait un signe!!
on etait fait l'un pour l'autre!!
Je me précipitais pour l'aider mais dans ma hâte ,mes pieds s'emmèlèrent dans des racines et je terminais mon vol plané dans les bras de mon aimé(si,si)qui s'etait relevé juste à temps pour me receptionner(et encore un signe!)
Pendant plusieurs secondes qui nous sembla une eternité,nos yeux(enfin un pour lui et deux pour moi)restèrent rivés et semblaient ne plus pouvoir se détacher.
Enfin,il me déposa au sol et allait s'en aller quand je le retint par la manche...
Ne partez pas messire...je vous aime...
"Comment est-ce possible? me demanda t-il!je n'ose y croire!
Vous Loloye ,dites m'aimer!!mais savez vous que nous sommes ennemis!!"
Mais comment connaissez vous mon nom??lui demandais-je! je n'y comprennais plus rien!!
Et vous comment vous appelez vous?
Mon beau(si,si)chevalier me regarda en souriant et dit..
Je m'appelle Totoye(et ça!!c'est pas un signe??)et je vous connais un peu chère Loloye.
En fait tout les jours je viens à la rivière, pour essayer de vous approcher et de vous avouer mon amour mais comment pourrait-on vivre ensemble,alors que tout nous sépare!
Je n'etait pas prête à laisser tomber l'affaire et lui retorquais.
"Totoye partons ensemble...soyons fous et faisons notre vie ailleurs!!
Et c'est pourquoi aujourd'hui,je cours en direction de la clairière avec mon baluchon, rejoindre celui que le destin a choisi pour moi...
FIN
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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