• Événement Anniversaire 2024

    Joyeux anniversaire ! Notre équipe de scientifiques vous attend pour repartir à l'aventure dans notre nouvelle édition de l'évènement d'anniversaire !

    L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

    Forgiennes et Forgiens,
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    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.280

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Concours RP St Valentin 2017

  • Auteur de la discussion DeletedUser45501
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DeletedUser20685

Guest
Sur ce monde où je passe mes jours et mes nuits ta présence m'obsède. Je ne peux plus me taire. Je vais oser te dire ce qui me ronge et me déchire, Dans notre ancienne Guilde, nous nous sommes connus, appréciés, déjà je t'aimais, toujours je t’ai aimé ! Souviens-toi de nos échanges, tout était prétexte à discussions , je te cherchais , tu me cherchais, le non-dit transpirait dans chacun de nos message ; mais ton aura si lumineuse m'a empêchée jusqu’alors , de t'avouer clairement ce qui enrichissait mes jours. Papageno Je voudrais être ta Papagena . Ta fantaisie m’enchante, autant que ton ardeur au combat. Toujours vainqueur dans nos expéditions de guilde, toujours prêt à soutenir le moral des autres, à inspirer la vaillance quand les forces s’épuisent , à prêter ton épaule au plus faible, je t’admire et je te chéris.

Sombre jour de décembre quand tu as dû quitter la guilde à cause de ce malheureux quiproquo entre nos chefs et que tu as du suivre, lié par ta loyauté , le second des leaders, j'ai cru que mon monde s'effondrait et que je ne pourrais connaitre de jours plus douloureux ! Innocente, le pire était à venir , nos cités aujourd’hui sont ennemies et nos guerriers se pillent, entretenus dans la haine farouche de nos deux guildes .

Je t'en supplie reviens avec moi, ou partons ensemble, emmène-moi vers des mondes plus accueillants où notre amour pourra s’épanouir.

Nous pourrions construire de nouvelles villes, les unir dans une nouvelle guilde que nous mènerions de victoires en victoires en mettant en commun nos expériences. Bâtissons ensemble un univers à notre image, réalisons cette utopie dont nous rêvions !

Je sais que tu m'aimes toi aussi, je veux m'en convaincre, j'ai foi en toi. Je ne peux vivre loin de toi.
 
Dernière édition par un modérateur :

Lolocarbo

Laborantin
Ô te souviens-tu de cet âge?
Tu allais à l'école, moi à la taverne
Certes, je n'étais point toujours sage
J’errais, seul, la lance en berne
Et toi, ô toi, teintée de ce doux marbre
À la senteur des fleurs, mais la rigueur de l'arbre
Tu jetais sur moi un regard de lancier
À moi, qui rêvais tant d'être ton cavalier
Était-ce une raison pour qu'ainsi tu me pilles
Durant toute cette ère, et telle une statue
De pierre, j'attendais une fille
Et n'eut que temps et tant de ressources perdues
Ônagres! Ô désespoir !
De l'amour du guerrier, je suis le mémorial
Et si mon cœur frondeur, étreint dans ce pressoir
Dans ce cercle de pierres, dans ce chalet de mal
T'en voudra pour longtemps d'avoir brisé mes rêves
De cabanes, chaumières théâtres et ballets
Mon âme te pardonne, mon arbuste, ma tendre haie
D'avoir mis un menhir dedans mes amours brèves
Toi qui as su gagner, ces victoires de bronze
Et de façon charmante, m'a souvent attaqué
De passion éperdue, en seul et triste bonze
De mon humble rime...je ne sut que les couler.
 
Oh ! Mon beau Pilleur,
Avec ton cœur de pierre,
Tu as eu raison de mon armure de bronze,
Après avoir croisé le fer !

Oh ! Mon beau Pilleur,
Du haut de ton destrier,
Tu as parcouru mes routes de graviers,
Emportant tour à tour, granite, or, bijoux,
Mais qu’importe, ce ne sont que des cailloux,
Mes précieux que je t’abandonne,
Submergé par cette haleine de miel,
Que dégage ta bouche sous tes yeux de cuivre.

Oh ! Mon beau Pilleur,
Je souhaite que tu me reviennes,
Et me risque une attaque, chevauchant tes terres sauvages,
Entre granite et Albâtre, trésor d’un autre Âge.
Et je n’ai que faire, de tes archers montés et mercenaires,
Je ne cherche que toi, pour finir poussière de verre, entre tes doigts.

Oh ! Mon beau Pilleur,
Qu’importe ton âge, qu’il soit haut ou moyen,
L’amour n’a rien de classique quand il te foudroie !
Je rêve d’une renaissance, devenir Reine, ne pouvant y avoir deux Rois,
Et devenir ta terre, dans des draps de soie, que tu puisses piller, du matin au soir !

Oh ! Mon beau pilleur,
Je mets à terre mes troupes coloniales,
Eteins mes feux de garde, dissous ma guilde,
Pour me retrouver seul face à toi,
Et devenir, lors de notre prochaine bataille,
Ta Tour de la Victoire.

Oh ! Mon beau pilleur,
Nous voilà pratiquement côte à côte au bord de mes mers,
Toi, étincelant, sous les feux de mon Phare.
Moi priant, dans ma Cathédrale, sur la tombe de mes ex,
Pour que mon amour vienne à bout de Ta tour de Babel,
Et me permette d’être l’Arche au cœur de ta citadelle !

Et nous voilà face à face, toi tel Zeus, moi devenu statue,
Sentant la force de tes bras, m’emprisonnant tel Alcatraz,
Me déposer sur ce Lotus, Temple de ta Forêt Tropical !
Telle Gaïa, je me vois centre de ta terre, Chambre forte de tes graines.
Epris de toi, contre un château, j’accepte le deal,
Sophia tu me prénommes, dans mon Habitat, tu te consommes.

Amoureux solitaire, je rêve d’un Demain
Où sous un Capitole, tu consens en nos liens,
Espérant dans un ère Futur, y lier notre destin,
Avant que mon cœur ne refroidisse, telle une terre Arctique !
 
Dernière édition :

Wasserstoff

Laborantin
Bonsoir,
je soumets à votre sagacité ma prose.
Bonne lecture et continuez ces petits jeux !

Wasser

####
Depuis l'âge de pierre, les Romeus et les Julius s’assiégeaient pour le contrôle des forges de l'Empire. En cette fin de l'âge de Fer et afin de sceller la paix entre les deux guildes, le Colisée devait voir un ultime combat entre leurs champions. Le fondateur Romeus désigna Artemis l'Archère millénaire pour affronter le leader des Julius, le légionnaire Orion à la valeur légendaire. Utilisant habilement les rochers tandis qu'Orion restait sur les plaines, l'archère pris le dessus inexorablement. Le combat arrivait à son terme, Orion, désarmé regardait Artémis ôter son casque et encocher sa dernière flèche. Leurs regards se croisèrent, Orion voyait pour la première fois le visage d'Artémis. Devant une telle pureté, il s'éprit immédiatement de la belle et lui murmura : "Douce Artémis, retiens ton bras, une telle beauté ne saurait commettre un tel geste. Plus éclatant que le phare d'Alexandrie, en un regard, ton sourire m'a déjà envoûté. Hypnotisé par ta silhouette dès tes premiers mouvements, te combattre fut impossible. Je devinais les première boucles de ta chevelure encore dissimulée sous ton casque et déjà je te rêvais sur un pilier de la victoire regardant l'horizon, ta chevelure aux vents". Artémis, troublée abaissa lentement sa garde à mesure qu'Orion se rapprochait. L'amphithéâtre tout entier retenait son souffle, ignorant tout des sentiments naissants entre leurs héros. Artémis ne pouvait se cacher qu'au plus profond d'elle-même son attirance pour Orion surpassait l'enjeu du combat. Elle commençait à rougir et son pouls s'accélérait. Orion était maintenant si près d'elle qu'il pouvait sentir la fébrilité de sa déesse. Alors il sut que ses sentiments étaient réciproques et l'enlaça vigoureusement. Artémis esquiva le baiser d'Orion. Cette petite espièglerie décupla le désir d'Orion. Il clama haut et fort à l'assemblée "Artémis, ta dernière flèche m'a transpercé en plein cœur;
Ma douce, j'appelle de mes vœux à être ton seigneur"
Artémis s'abandonna passionnément dans les bras d'Orion, montrant une fois de plus que le meilleur remède au Guilde contre Guilde n'est pas la diplomatie, mais l'amour !
 
Compteur de lettres : 1753.
Bonne lecture :)


Ma demoiselle,
Je ne saurais par cette étrange approche,
Me présenter,
Car surement, déjà vous me connaissez,

Votre père,
Maintes fois,
Préféra envoyer son armée
Plutôt que de m’aider,

Mais au cours de ses pillages,
Et ce, malgré la différence de nos âges,
J’ai pu remarquer,
Ô combien vous transpiriez de beauté,

Maintenant que je suis à vos pieds,
Je ne peux que constater
Qu’il n’y a pas que votre beauté
Qui suinte en réalité.


Conscient que mes propos,
Pourraient, ne sait-on jamais,
Un tantinet vous choquer,
Je me permet dans la foulée
De vous glisser entre ces vers,

Les sentiments que j’éprouve,
Non seulement pour votre derrière,
Mais également pour votre personne,
Qui a de renommée,
Un assez drôle caractère,

M’accorderiez-vous quelques instants,
Un jour, ou bien un an,
Afin que nous fassions de notre rivalité,
Naître de beaux bébés.



Mon cher Damoiseau,
Vous êtes bien aventurier,
A oser de la sorte défier,
La princesse de votre rival.

Cependant, votre impétuosité,
M’a quelque peu impressionnée,
Et je me rappelle vous avoir regardé,
Lorsque nous pillions vos gens animés

Bien souvent attirée par des hommes aux grandes épées,
La vôtre me parait belle et dorée,
Et j’imagine parfaitement bien l’avoir dans mon appartement,
Afin d’apprendre avec le temps
A la dominer, et à la dompter.
Et j’imagine parfaitement bien l’avoir dans ma chambre,
Afin d’apprendre nuit après nuit
A la dominer, et à la dompter..

Vous me pardonnerez de vouloir vous diriger,
Mais ma famille, de sang sacré,
N’a su que m’enseigner comment diriger
Du haut de son Colisée.

Vous me parlez de bébé, et je vous avouerais
Que le fantasme de croiser
Mon sang royal avec votre audace,
Ne pourrait en ces temps ravagés,
Que m’enjouer, me faire rêver,
Mais surtout une fois pour toutes,
Me faire embarquer vers cette cité,
Que je recherchais, que j’enviais,
Et qui s’appelle Cythère.
 

pn1908

L'Aède Romantique
"La forêt tropicale a été notre complice. Cachés par l’épais feuillage nous nous sommes aimés.

Cet après-midi là, je ne l’ai pas oublié. L’image de nos deux corps enlacés reste imprimée dans mon esprit. L’odeur de ton corps titille mes narines à chaque fois que je passe près de ce parterre de mousse qui nous a servi de couche, de couche mille fois plus confortable que celle que nous aurait offerte nos belles villas en cristal…. Nous nous sommes aimés qu’une seule fois, mais quelle fois… Oserais-tu dire que toi tu n’as pas aussi été bouleversé par cette rencontre inattendue, par cette folle mêlée de nos deux corps. Est-ce mon refus qui t’a excité, est-ce la force avec laquelle je me suis tout d’abord défendue.. Vainqueurs votre horde avaient encerclé notre petit groupe ; les vainqueurs exigeaient un gage de soumission.

Chaque mâle a choisi sa femelle… Moi la princesse vaincue je t’ai vu toi me fixer, prêt à abuser (croyais-je) de moi, de ma faiblesse…. Tu m’as agrippée, tirée loin de ta troupe, et tu m’as jetée sur la mousse… Et non tu ne m’as pas prise de force… Tu m’as parlé, tu m’as dit que nous devions faire semblant si tu voulais garder le respect de tes hommes…J’ai voulu en profiter pour me sauver, tu m’as rattrapée, tu m’as embrassée, je t’ai griffé, tu m’as embrassée, je t’ai frappé, tu m’as embrassée nous nous sommes battus corps à corps … et … et … j’ai cédé…


Oses tu me dire que tu ne te rappelles pas sans émotion nos ébats, nos cris de plaisir….

Les vainqueurs , repus de plaisir, ont laissé les vaincues…. Notre groupe d’amazones s’est réuni en conseil…Toutes réclamaient vengeance… Je leur ai dit qu’on ne pouvait attaquer que si nous étions certaines de gagner, que peut être nous pourrions négocier…

Je suis venue te voir , te proposer une paix entre nos deux peuples mais ta guilde n’a pas voulu entendre.

Alors voilà pourquoi ce petit mot caché dans le tronc de cet arbre sous lequel nous nous sommes aimés… Tu l’as trouvé, tu me lis… Comme moi tout te revient… l’odeur, les gémissements, l’onde de plaisir, la douleur du plaisir qui monte, et le bien être une fois le plaisir explosé….

Chaque mardi, je partirai en expédition avec ma Guilde… et chaque mardi j’établirai mon bivouac sous notre arbre… Je t’y attendrai jusqu’au lendemain…. Et cela chaque mardi de toute ma vie…

Viens rejoins moi, nous créerons ensemble une nouvelle guilde avec les plus fidèles de nos alliés et nous pourrons traverser le futur océanique ensemble unis, amants, aimés par tous.
Ton amante, ton amie, ta Princesse pour la Vie"

édition le 30/11/2018 correction faute de grammaire
 
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DeletedUser20134

Guest
« L'homme sans cesse est entraîné à suivre la passion aux dépens de la raison » (Victor Cousin)

Je suis le prince Cy de la vénérable guilde du royaume d'Hadès et depuis 3 semaines, un doux et magnifique visage hante mes nuits, obsède mes pensées.

La princesse Gabriela a été enlevée lors de la dernière campagne de Greifental en l’an 606. Sa guilde et la mienne sommes ennemis jurés depuis bien longtemps. Nos regards se sont croisés et depuis une passion dévorante habite mon cœur et mon âme. Rien ni personne ne pourra maintenant m'arrêter, je dois lui déclarer ma flamme.

La princesse Gabriela est enfermée dans la plus haute tour de l'hôtel de ville. Je décide de rendre visite à ma belle captive. Un garde en armure de l’infanterie me mène en haut de la tour.

Derrière les barreaux j'aperçois allongée sur un lit la frêle silhouette de l'objet de mes désirs. J'ouvre la porte et me dirige vers elle. Elle se lève et dans ses yeux aucune peur, elle me défie, pleine de courage. Je m'approche, lui prend la main, elle ne me repousse pas.

Je suis revenu le lendemain et les jours suivants également. Nous avons appris à nous connaitre, je lui ai déclaré ma flamme et pour mon plus grand bonheur, elle déclara m’aimer aussi.

Et peu à peu, nos deux corps vibrèrent à l'unisson.

Quand mon père, roi tyran et cruel, m'annonça que le père de ma bien-aimée avait accepté de payer la rançon et qu'il était en route, je su alors que j'allais la perdre pour toujours. Jamais nos clans n’accepteraient notre union. Je ne pouvais pas vivre sans elle.

Lorsque je lui annonçais la nouvelle, ma belle princesse se mit à pleurer, me suppliant de ne pas la laisser repartir avec son père. Et cette nuit-là, blottis l'un contre l'autre, j'ai élaboré un plan pour nous enfuir loin de nos familles, de nos guildes.

Le lendemain avec l'aide de mes plus fidèles amis, j'ai libéré ma princesse. Nous avons chevauchés jour et nuit. Et un matin nous avons atteint les rives de Cirgard.

Cette histoire s'est passée il y a plus de vingt ans. De prince héritier, je suis devenu cordonnier. Aujourd'hui nous avons trois fils, devenus des hommes forts, fiers et honnêtes. Pas un instant nous avons douté ou regretté notre vie passée.

Aujourd'hui encore seul compte notre amour qui est éternel.
 
Dernière édition par un modérateur :
En ce matin brumeux, notre armée pris la route pour combattre nos ennemis jurés: les Abramovitch. Nos familles respectives étaient en conflit depuis des années pour acquérir le monopole de la production de textiles et de quelques provinces. Je voulais me battre, je m'étais entraînée depuis mon enfance mais il était hors de question pour mon père qu'une jeune femme soit sur un champ de bataille. J'ai alors décidé d'outre passé sa décision, et pris un uniforme, et alla en direction de l'écurie puis en me faufilant dans les rangs, un casque sur la tête, ni vu ni connu parmi les hussards. Arrivée sur le champs de bataille, je vis cet homme sur un bel étalon blanc à la tête de son armée, épée à la main et prêt à en découdre avec la notre. J’entendis dans nos rangs que c'était le fils héritier des Abramovitch. Il était clair que si je voulais l'estime de mon père et qu'il me reconnaisse en tant que guerrière, je devais de le capturer. Le combat s'engagea, après plusieurs ennemis vaincu par ma lame, me voici face à face avec cet homme, de nouveau le combat s'engagea et il me fit tomber de cheval, c'est alors que mon casque tomba et qu'il vit que j'étais une femme. Nos regards se sont alors croisés une fraction de seconde, une drôle de sensation m'envahit, comme si le temps s'arrêtait, j'étais perdue dans ces yeux d'un bleu si profond. Mais je devais revenir à la raison, c'était notre ennemi! Je me dirigea vers la forêt, il se mit alors à ma poursuite mais fût ralenti par un de nos hussards ce qui me permit d'avoir de l'avance et de lui tendre un piège qui le fit à son tour tomber de cheval. Le voici prisonnier mais nous étions à un jour de marche de ma cité. Pendant ce temps, nous avons beaucoup discuter, au début il était assez virulent mais il était aussi curieux et perplexe qu'une jeune fille puisse avoir les capacités de se battre. Au fil des heures, les discussions s'assagissaient et je réussi à le faire rire, en trébuchant bêtement sur une racine. J'étais rouge de honte, il m'aida à me relever malgré ses liens. Nos regards se croisèrent à nouveau plus longuement, nos lèvres se touchaient presque. J'entendis alors des cavaliers au loin, je le détacha de ses liens et lui dit de partir avant que la garde n'arrive. Il me regarda intensément et me dit: Nous devons nous revoir, votre fougue dans le combat m'a complètement charmé. Cette fougue est à la hauteur de votre beauté. Je ne vous vois plus comme ennemi mais comme une jeune femme quand j'ai envie de connaître, vous m'intriguez. De là est née un passionnel amour entre nous qui allaient nous attirer un tas d'ennuis avec nos familles respectives mais ça c'est une autre histoire ;-)
 

DeletedUser36007

Guest
Bonsoir,

Bien que tardive, et je m'en excuse, voici ma participation...
J'espère qu'elle vous conviendra...
D'après votre compteur de lettres, elle comporte 1618 signes...

A l’aube de nos vies, nous nous étions croisés
Et de ce jour, jamais, je n’ai pu t’oublier…
Te souviens-tu, ma mie, comment nous combattions
Frère et sœur, côte à côte, au courage des lions ?…
Puis tu as disparu, changeant de voisinage,
Quittant sans même un mot mon pauvre paysage…
Je t’ai cherché longtemps, j’ai parcouru le monde
Espérant te trouver, Princesse vagabonde,
Toi, ma belle Guerrière aux longs cheveux dorés
Pour laquelle mon cœur a souvent soupiré…
Quand, enfin, le Destin te met sur mon chemin,
C’est en compagnie de ces sombres assassins !…
Quoi ?… Tu appartiendrais à cette bande impie
Qui se livre au pillage et sans cesse trahit
Même leurs alliés, même leurs combattants
Tant est grande leur soif de pouvoir et d’argent ?…
Je ne peux pas y croire, mon cœur me dit : non !
Tu n’es pas de ceux-là, de ces tristes félons !
Ton âme est bien plus pure et ton cœur est sans tache…
Je t’ai connu naguère avec plus de panache !
Redeviens, je t’en prie, ma Guerrière intrépide,
Ma vaillante Princesse aux cheveux d’or liquide
Aux yeux de braise ardente, au courage indomptable…
Je t’aime, le sais-tu ?… Seras-tu intraitable ?…
Ne daigneras-tu pas un instant succomber ?…
En tout bien tout honneur, me laisser espérer…
Mais tu souris déjà, peut-être est-ce ma chance ?…
Laisseras-tu pour moi cette sinistre engeance ?…
Quitteras-tu ainsi leur clan sans foi ni loi ?…
Aurons-nous un demain, ensemble, toi et moi ?…
Je t’aime, je t’adore et t’ai toujours aimé,
Toi, ma douce, ma mie, ma chère Dulcinée,
Mes bras te sont ouverts, n’attendant plus que toi ;
Je t’en prie, mon amour, s’il te plaît, réponds-moi…


Bon, voilà, voilà... :-p

Bon courage à toute l'équipe pour cet événement... :-)

Cordialement.
 
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Louise 1120

Laborantin
Le visage de Joséphine, qui venait tout juste d’entrer dans l’ère où les doubles voies font leur apparition, s’illuminât de bonheur et son cœur se mit à battre la chamade quand elle vit Albert Le Chimiste dans ses nouveaux voisins. Depuis des mois, Joséphine n’avait d’yeux que pour sa cité mais n’avait jamais osé lui envoyer un message ou une demande d’amitié. Maintenant qu’ils étaient voisins, Joséphine pouvait chaque jour visiter sa cité afin de polir son parc urbain ou motiver un de ses garages.
Peut-être qu’un jour, il remarquera sa cité et qu’il lui enverra une demande d’amitié ?

Mais Albert Le Chimiste, champion depuis quatre semaines consécutives sur la tour de l’ère progressiste, vit d’un très mauvais œil l’arrivée de cette nouvelle voisine qui en conquérant un à un les territoires avec des canons à cadence rapide et des conscrits le détrôna de sa première place. Albert Le Chimiste, voulant à tout prix récupérer sa place de champion sur la tour progressiste, se hâta de réunir les plans et les ressources nécessaire à la construction d’un Alcatraz.

Alors que Joséphine avait perdu tout espoir qu’il la remarque, elle obtint en expédition de Guilde une relique inhabituelle qui lui donna cent points Forge. Joséphine n’hésita pas une seconde et posa sur l’Alcatraz fraîchement sorti de terre d’Albert Le Chimiste, les soixante points Forge nécessaire à la finalisation de sa construction.

Albert Le Chimiste intrigué par le geste de cette inconnue qu’il considérait jusque-là comme sa rivale, lui envoya un message de remerciement. Après quelques échanges de messages, il réalisât que Joséphine n’était pas une inconnue mais une collègue qui l’avait assidûment recherché dans les différents mondes de Forge of Empire grâce aux précieux indices glanés quelques mois plus tôt. Comprenant que Joséphine n’eut de cesse de gagner la tour progressiste que dans l’espoir d’attirer son attention, il mit aussitôt sa rancune de côté et lui déclara sa flamme.

Leur premier projet commun fût la création d’une petite Guilde afin d’unir leurs efforts et gagner les Championnats de Guilde. Dès qu’ils ont un moment de libre, Joséphine et Albert Le Chimiste se retrouvent sur la messagerie afin d’échanger des mots doux et discuter des événements en cours.
 

DeletedUser13861

Guest
“Les sanglots longs des violons de l’automne

Blessent mon coeur d’une langueur monotone

Tout suffocant et blême quand sonne l’heure”

Les quelques mots de ce célèbre récit de Verlaine

Résume la déclaration de mon coeur

Tout au long de ce poème.


Je me souviens très bien du jour où on s’est rencontré

Des premiers mots que tu m’as gentiment adressé

Tu t’es plaint d’avoir été pillée alors que tu me motivais

De suite je me suis excusé et tu m’as pardonné

Une longue histoire d’amour, nous avons commencé...

Dans ma guilde notre histoire à continuer


Nous marchions sereinement sur le même chemin

Nous avions mené tant de longs combats, parfois tumultueux

Qu’à ce moment, je ne savais pas que le destin

Te menerais loin de moi vers d’autres cieux


Sur une dispute avec le Général de notre armée

Tu es partis soudainement avec tes unités

J’ai bien essayer de te faire rester, j’ai tout essayer

Hélas ta décision était bel et bien décidée


Pendant de long mois, on m’a interdit de marchander avec toi

Ces règles sont heureusement passées au dessus de moi

Les jours défilèrent et devinrent identiques et monotones

Plus triste que les feuilles qui valsent en tombant durant l’automne

Le silence qui règne durant les tristes nuits d’hivers

On rendu mon fragile coeur dur, muet et solitaire


J'aimerais venir jusqu'à ta maison

Te charmer sous ton balcon

Grimper jusqu'à ton balcon

Te jouer un joli air langoureux de violon

Plus beau que Vivaldi et ses 4 saisons

Alors que ma guilde voudrait que je tire au canon


Ecoutes ton coeur, repenses à notre passion

Qui faisait que nos coeurs battaient à l’unisson

Soyons fou, partons à l’aventure, fais ta valise

Je deviendrais le beau et fort chevalier que tu idéalises.
 
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DeletedUser38378

Guest
En l' an de grâce 2017 après J-C nous étions mes archers et moi en train de défendre un secteur sur la carte tout age. Les combats avaient été nombreux mais ils ne nous restait qu' un seul combat pour casser le siege . Nous nous battions contre des lanciers assoifés de sang mais mes archers les éliminaient tous les uns apres les autres un seul restait mes hommes l' entouré leurs arcs bandés pres a décocher leurs fleche , a ce moment le lancier enleva son casque et je vit Lady une guerriere contre qui je me battait depuis plusieurs mois , mes yeux croiserent les siens qui étaient verts emeraude ,ils étaient remplis de larmes et je la voyait en proi au désespoir. Je n' arrivait pas a détacher mon regard du sien et je pris a ce moment une desicion qui époustouffla toute ma guilde , je me rendis et me jettant a ces genoux lui pris la main et la baisa, elle me releva et comme moi quitta sa guilde nous en avons formé une tout les deux et devinrent farmer .
Voila comment d'une haine reciproque nous sommes passés a un amour éternel
 

Mandrinus

Laborantin
L'homme s'extirpa avec une certaine difficulté de son char de combat de l’ère moderne, et ordonna l'ordre de replis sans pillage. A la place, il écrivit une lettre qu'il accrocha sur la porte de l' hôtel de ville.

Ma chère ennemie,

Nous nous connaissons depuis l'age de Fer et j'ai l'impression d'avoir vécu tous les jours de mon existence aupré de vous. Je me rappelle comme si c'était hier de nos premiers combats, alors que vous m'attaquiez avec vos légionnaires et que je n'avais que de pauvres soldat pour vous résister. De mes premières attaques avec mes grenadiers démontant avec plaisirs vos canons. De chaque pf posé pour améliorer mes GM de combats afin d'être à votre hauteur. Tout ce que j'ai dut donner afin d' avoir les ressources pour poser mon Alcatraz pour pouvoir chaque jour vous rendre visite n'a pas pesé lourd dans la balance face au plaisir de dévaster votre citée...

Aujourd'hui nous sommes l'un et l'autre de force presqu'égale, mais je ne peux m'empêcher de commencer ma journée par une visite de votre citée. Je souris à chaque compte rendu de vos attaques. Même si le plaisir de vous piller à disparu, seul demeure pour moi le plaisir de venir vous rendre visite, chaque jour. Et je sais qu'il en est de même pour vous puisque vous ne manquez jamais de me précéder où de vous venger presque à chaque fois. Mais mon cœur saigne à chaque instant où vous manquez à vos devoirs. Le peu de jours où vous n'êtes pas venu m'attaquer m'a à chaque fois paru comme la pire journée de mon existence. Mon cerveau et mon cœur meurtris échafaudent alors les pires des cauchemars ou les pires des raisons de votre absence. L'angoisse de ne plus pouvoir vous côtoyer, me ronge de l'intérieur alors, jour et nuit, jusqu'à votre retour tant désiré.

Chaque matin, je me lance à corps perdu dans la bataille, criant votre nom. Scrutant chaque unité, rêvant chaque jour de vous découvrir sous la casquette d'un parachutiste ou au volant d'une infanterie mobile. Mais je finis chaque bataille soulagé de ne vous avoir point tué en personne. Le supplice peut paraître paradoxale, mais je rêve chaque jour de vous tenir dans mes bras et suis soulagé chaque soir de savoir encore vivante. Mais quel plaisir de savoir que dans ces instants nos cœurs battent plus vite, presque à l'unisson. La frontière entre la haine et l'amour et plus fragile qu'une feuille de papier, et si je vous ais haï avant, aujourd'hui, je ne peux envisager de vivre sans vous, sans votre présence. Au fur et à mesure de nos affrontements tout aux longs de ces différents âges, nos existences se sont liées pour toujours et nos pensées ont formées ensemble nos existences. Aussi je vous dis ma douce ennemie ! Partons ! Partons ensemble ! Fondons ensemble notre propre Guilde afin de vaincre ensemble les événements de ce monde. Ensemble rien ne pourra nous résister ! Pour vous et avec vous je combattrai jusqu'au fond de l’arctique et déposerai à vos pieds tous les gains et les honneurs.






ps pour les juges : "c est dur de s’arrêter avant 3000 caractères ;)
 
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DeletedUser44704

Guest
Voile à tribord !

Je prends ma longue-vue pour étudier ce navire.

Garde un œil dessus.


Bien Cap’taine.


Je donne mes ordres pour qu’on accélère. Il se rapproche toujours…

Pavillon noir !

Bien vite c’est au tour des canons d’hurler, aux boulets de siffler, aux voiles de se déchirer, au bois de craquer…

Attention Capit…

Un choc interrompit cet avertissement alors que tout devint noir.



Un bourdonnement dans mes oreilles, la douleur se réveille dans mon dos, me réveille. Le roulis des vagues revient, quelque chose dans mon cou, doux, frais.. heureux changement.

..on..eu..en..dez…

Des sons incompréhensibles, de plus en plus apaisants. J’ouvre les yeux, recrache de l’eau. Les deux manœuvres brulent. La source se tarie alors que des mèches brunes viennent filtrer la lumière. Des yeux d’un vert incroyable me regardent avec compassion.

Vous m’entendez ?

Je souris pour seule réponse, enfin je crois. Je m’endors léger, rassuré par ce vert qui s’estompe lentement.



J’ouvre les yeux et cherche les siens. La pièce est sombre, inconnue. Une voix derrière moi, sa voix

Enfin debout ?

J’entends son sourire. J’arrive à répondre un

Oui

Elle se rapproche, passe sa main derrière mon crâne qu’elle redresse. La tendresse du geste, la douceur de sa peau sont délicieuses. Elle me fait boire une mixture, ça reste mieux que l’eau salée.

On l’appelle, elle s’éclipse. Je la suis du regard jusqu’à une porte, des hommes font rouler des tonneaux.. de café ? Le ton monte. Deux hommes entrent, me saisissent pour m’expédier dehors.


Lutter n’aurait rien accompli, un dernier regard en arrière, mais elle n’est pas là, je m’engouffre dans une rue.



Capitaine ?!

Je retrouve le reste de mon équipage, on me raconte l’abordage, les combats, les pertes, la reddition, le pillage, le sabordage du navire par les pirates.

Je les informe de ce qui m’est arrivé.

Ils ont notre café et tabac ?


Il semblerai oui..


Un plan de revanche se mit vite en place, un raid cette nuit, un incendie ?

Bah.. c’est l’danger du tabac.. ça brûle !

Rire de l'assemblée.

J’attrape du papier et de quoi écrire.

**
Mademoiselle,


Je m’excuse ne pas vous avoir demandé votre nom plus tôt. Je n’ai également pas pu vous remercier pour avoir pris soin de moi. J’aimerai faire cela de vive voix, mais je crains ne pas être le bienvenu vers chez vous. Aussi, je vous propose de me rejoindre ce soir, sur la plage où vous m’avez trouvé.


Je dois vous avoué que j’ai aussi dans l’espoir d’entendre à nouveau votre tendre voix et me plonger dans vos yeux. Le spectacle en était splendide au sortir de l’inconscience, j’aimerai pouvoir en profiter pleinement.


Un capitaine qui vous doit tout.

**


Une pièce donnée à un gamin pour qu’il apporte ce courrier.
La nuit tombe, feu sur le sable, le regard sur l’horizon. Des pas se font entendre, une silhouette s’approche lentement. Les flammes se reflètent dans deux émeraudes. Ces yeux, ses yeux ! Le sourire qu’ils expriment se dessine sur ses lèvres.
 

DeletedUser26557

Guest
Il était une fois, un grand et beau roi (c'est moi) qui vivait dans un grand royaume de glace. Ce grand souverain guerrier combattait avec ses compagnons pour délivrer un monde, alors aux prises d'une guilde ennemie sanguinaire. Sa vie n'était que guerre et lutte sur des territoires hostiles.
Un beau jour, au hazard d'un changement de voisinages, ses éclaireurs lui rapportèrent qu'une grande et belle reine guerrière de la guilde ennemie avait établi son royaume non loin de là.
"Allons donc lui rendre visite", se dit le roi. "Profitons-en pour motiver une de ses productions. Nous sommes déjà bien occupés avec les luttes de pouvoirs entre guildes pour provoquer le courroux dans les territoires voisins".
La réponse de la belle ne tarda pas et ce fut une production de 24h qui disparu.
"ce doit être un malentendu" se dit le roi. "Envoyons lui un message pour appaiser les tensions et proposons lui notre amitié".
"Si tu ne veux pas d'autres pillages, tu dois me payer un tribut journalier pour la construction de mon royaume." répondit la reine.
"Ma douce, que sont ces manières!" retorqua le roi. "Le seul tribut que je souhaite vous offrir, c'est mon coeur!".
"ah ah! Je n'ai pas besoin de cette ressource-là! Je préfère tes productions!"
Et les pillages continuèrent de nombreuses années, car le roi, déçu par l'attitude de la belle ne pouvait se résoudre à la combattre.
Bien des années plus tard, alors que la reine guerrière consummait son âme aux combats et aux pillages, un message arriva au royaume de notre roi:
"Salut Grand roi voisin! ça te dit que nous soyons amis? Nous pourrions aussi nous entraider. En ces temps glaciaires, rien ne vaut mieux que l'entraide." Ce message venait d'une jeune princesse pacifique voisine auquel le roi n'avait pas prêté attention, si occupé qu'il était à protéger les productions de son royaume.
Le roi accepta la demande de sa jeune voisine.
Le temps passa et les échanges se multiplièrent, si bien que le roi et la princesse se raprochèrent. Ils se rapprochèrent tellement que la princesse intégra la guilde du roi pour bénéficier de sa protection et conquis son coeur. Ensemble, grâce à leur complicité et leur entraide, ils devinrent si puissants qu'ils conquirent le monde et vainquirent la guilde énnemie et sa reine guerrière.
L'amour avait ainsi triomphé de la guerre.
 

DeletedUser33098

Guest
jeu concours st valentin :

Voisine, pourquoi me déteste tu?



Mais je ne te déteste pas doux voisin.



Alors dis moi.... Pourquoi ces pillages?



De quoi te plains tu l'ami, c'est le jeu ma pauvre Lucette !!



Attend... ne me dis pas, laisse moi deviner ces mots que je vois ne te ressemble pas.



Deviner quoi "Camelot", qu'est ce qui ne me ressemble pas?



Cette façon de parler, cette façon de me déterminer par rapport à ma Guilde.



Qui puis-je si les tiens et les miens s’étripent sur les champs de bataille?



Allons, allons fière amazone, pourquoi tant de fiel dans tes mots. Je me rappel au commencement, ils n'étaient que miel aux oreilles du voisinage. Et c'est pour cela, que j'ai entrepris de construire Babel, pour pouvoir atteindre le firmament et de ce point d'observation, pouvoir t'admirer à travers ta Citée. Mais là, ce n'était pas encore assez. De lointaines contrées, mes émissaires sont revenu avec les plans d'une machine insolite permettant d'explorer le ciel, mais ne t'y trouvant pas, je l'ai orienter vers tes contrées pour qu' a tout bien regardé tu devienne la voûte de mon univers.



Tout doux mon bon seigneur, il est facile de déclamer tant de choses aussi douces à mes oreilles, mais qu'en est-il de nos partis respectifs ? Me rapprocher de vous, mais a quel prix ? Il est vrai qu'il fût un temps ou nous nous élevions côte à côte, mais tu a refusé de me suivre chez les « Belliqueux ». Pourquoi devrais-je tout abandonner ?



Que nenni, ma Douce Reine. Point de rupture dans l'engagement, à moins que tu ne t'y retrouve plus. Les Guildes sont faites pour s'affronter et parfois s'allier. Il ne me semble pas impossible de lâcher les Saigneurs, au son des Bruyants, sur les champs de bataille et de fêter la hardiesse des Guerriers, et par là j’entends les deux parties, autour d'un bon banquet relevant les exploit des uns et des autres, ainsi que leurs maladresses.



Bâfreurie et beuverie, voilà ce que tu me demande ? Est ce là tout ce que tu me propose ? Il est vrai que j'aime les miens, mais ils sont comme toi plein de morgue et d'ego..... Ou sont donc ces douces paroles dont tu te voulais m’abreuver ?





J'ai déposé mon ego à tes pieds... Pourquoi me railler.Point de ripaille gargantuesque pour nous.il existe d'autres endroits pour conter les exploits.Et Il n'est pour moi qu'un seul héro et son nom est devenu histoire. Il existe un coin chez moi sous un arbre ou elle est contée. Je pense y allé à l'heure ou le Chien et le Loup semble identique et m'y tiendrais tous les soirs contant à mon tour la fable d'un Seigneur Amoureux et de son histoire, de tous ce qu'il est prêt a faire pour sa Belle Espérée.... et peut être, un jour, cette dernière viendra terminer cette complainte en une fin qui se voudra heureuse. Adieu donc ou a bientôt.
 

DeletedUser30144

Guest
Peace and love

Dans ces temps de guerre et combats tumultueux
Je te découvre au fil du jeu de mieux en mieux
Sous tes airs de guerrière se cache une âme belle
Sous la force de tes mots mon corps devient un rebelle

Tu me répètes sans cesse que je suis fou
si je suis fou ce n'est que de toi
Je dis partons loin quittons tout
Car je sais au fond que tu es juste faite pour moi

Même si résonnent les combats de l'age de fer
Dans mon cœur brûlent les flammes de l'enfer
J'enverrai ma horde de légionnaires et d'archers
Conquérir le cœur de ta lointaine cité

Alors je te construirai en bois d'ébène les plus belles maisons
Des monuments que je baptiserai de ton nom
Je ferai de simple tissus les plus belles tentures
Te couvrirai des bijoux les plus purs

C'est dans ces douces utopies que l'on appelle rêves
Que nous laisserons tombés nos glaives
En oubliant toutes nos futiles rancœurs
Alors s'exprimeront les vrais mots du cœur

Nous pourrons créer notre monde a nous
Nous rendrons amis et ennemis jaloux
Nous combattrons main dans la main
Sans penser ni aux conséquences ni au lendemain

Mon amour rejoins moi sans hésiter
Je serai ton rêve, ta fantaisie ton souhait
tu seras mon espoir , mon amour tout ce dont j'ai besoin
construisons ensemble notre plus beau destin

Enfin tu me dis que tu viens je suis heureux
je t'aperçois au loin mon corps est nerveux
sur cette route de gravier tu est si belle dans ta robe rouge
Je m'approche de toi plus rien autour ne bouge

Je plonge mes yeux dans ton regard qui brille de mille feux
Mes lèvres rencontrent tes lèvres et dans ce moment délicieux
je sais assurément que nous sommes partis pour une vie merveilleuse
faite de rires de larmes de joutes tumultueuses

je suis aujourd'hui le plus heureux des joueurs et des hommes
nous formons le plus beau couple que FOE a su mettre en forme
Que notre descendance perpétue la splendeur de notre royaume
craint des lointaines contrées jusqu'a Rome

Je veux dire aux créateurs un grand merci
d'avoir permit la rencontre de l'amour de ma vie
 

DeletedUser41305

Guest
Le Grand Jour est enfin arrivé ! Aujourd’hui je deviens un Homme, comme la tradition le veut pour mon 17ème anniversaire je vais accompagner pour la première fois les hommes de la cité. Je sens en moi une boule à la fois de joie, d’excitation mais aussi d’appréhension, de peur… Pour la première fois je vais réellement me battre, fini les épées de bois et les rires avec les amis dans le champ d’entrainement. Dans quelques minutes ce seront nos ennemis qui seront en face de moi, prêts à défendre leurs terres, leurs biens, leurs familles…

« Mon grand, c’est l’heure d’y aller ! » me dit mon père en me donnant une tape de courage sur l’épaule. Je monte ma plus fidèle amie, ma meilleure alliée, une belle jument au pelage doré. Après quelques heures de trajet, nous apercevons des maisons. Nous sommes enfin arrivé, nous voilà maintenant face aux guerriers qui gardent précieusement les portes de leur village. S’en suit un combat dont je ne me rappelle seulement quelques bribes, quelques images : mon épée recouverte de sang, un cheval ennemi à terre…

Et nous voilà déambulant, avec fierté, sur les chemins de cette petite cité. Tous les yeux sont tournés vers nous, le regard apeurés des enfants, se cachant dans les jupes de leurs mères. Le regard de celles-ci nous lançant de véritables épées… Nous entrons enfin dans un atelier, mon père me glisse à l’oreille « C’est à toi de jouer mon fils, celui-ci est pour toi ! ». Je me sens tout penaud, là debout devant ces femmes qui tissent leur laine. Je sens le poids des miens qui me pousse à avancer pour récupérer notre butin, notre dû.

Une jeune demoiselle se lève avec un tel aplomb, tenant à la main un si joli tissu. Je reste bouche bée devant tant de beauté ! Ses yeux d’un bleu perçant, ses yeux qui ne me quittent pas du regard, ses yeux qui me défient de venir lui enlever des mains le résultat de son dur labeur ! Je n’ai pas d’autre choix que de lui prendre… Je m’approche et tends honteusement mes mains pour récupérer ce qui devient mon butin. Nos doigts s’effleurent, nos regards se croisent… Je peux y lire tant de haine, tant de dégoût… Jamais elle ne baissera les yeux, elle semble si fière de ne pas être à ma place ! Mais il faut maintenant que je m’éloigne de cet être si mystérieux… Il faut partir, il nous faut rentrer dans notre cité pour célébrer cette victoire…

Je n’arrêterais pas de penser à ces sensations, à ces yeux si intenses posés sur moi, au contraste de la douceur de sa peau… Je n’arrêterais pas d’y penser durant le trajet du retour. Je n’arrêterais pas d’y penser devant le repas si copieux du soir. Je n’arrêterais pas d’y penser durant cette nuit où le sommeil me fuit… Je n’arrêterais pas d’y penser, jusqu’au lendemain, où je pourrais à nouveau l’apercevoir, après avoir blessés, tués les siens, pour lui voler le résultat de son dur labeur… Et cela jour après jour…
 

DeletedUser26051

Guest
L’homme que j'aime maintenant, est aussi mon plus grand ennemis depuis toujours. Nous étions prédestinés à nous détester… Lorsque l'on se croisait il y a quelques années nous nous jetions le regard le plus noir !
Je ne l'avais pas reconnu, ai-je autant changé que lui? Maintenant que je sais, je dois lui dire qui je suis.
Je l’aperçois…plus je m’approche et plus l’image que j’avais de lui s’efface… je ne sais plus pourquoi je le maudissais à ce point.
- Il faut que je te parle
Ses yeux…si je le regarde,je vais l’embrasser,et les heures n’existeront plus,et nous seront déjà demain, et je n’aurai rien dit...
-Nous… je prends une grande inspiration, nous nous connaissons déjà depuis longtemps, je suis désolée, je ne savais pas qui tu étais
-Si je t’avais déjà vue je m'en serais souvenu.
-Je ne blague pas, tu n’as pas compris, nous sommes les plus grands ennemis, regarde moi, tu vas me reconnaitre
Il me regarde,les secondes paraissent une éternité… ça y est, il sait.
-Tu n’es pas du tout celle que j’avais imaginée, à travers les histoires de guilde. Je me suis sentis si proche de toi, et pourtant nous ne devons plus nous revoir, notre liaison serait dangereuse pour nos deux guildes , et y apporteraient le chaos…
-Non ! puissant, chargé de toute l’émotion qui m’a déjà envahie…le seul mot que j'arrive à articuler, des larmes coulent sur ma joue. Je m’en aperçois quand sa main vient tenter de les essuyer… le contact de sa main, me redonne un peu de souffle, et je réussis à lui en dire un peu plus
- non, comment peux tu penser ça? tu réussirais à vivre maintenant que tu sais ce qui pourrait se passer entre nous ? l’attirance qui nous submerge ne peut pas être annulée juste parce que tu le décides.
-C’est vrai, je ne penserai plus à toi de la même façon, tu hanteras mes pensées, et je m’en voudrais surement de t’avoir dit ça et pourtant c’est comme ça , ce n’est pas possible de continuer. Nos guildes sont ennemies, nous n’avons pas d’avenir possible ensemble, il faut penser au bien des nôtres.
-Les nôtres, comme tu dis, veulent nous voir heureux et nous n’avons pas choisis ce que nous ressentons , nous nous devons de leur dire la vérité . Ils ont peut être été aveuglé autant que nous par ces vielles histoires pleines de rancoeur. Ces histoires bloquent nos guildes et les empêche d’évoluer. Il est temps de passer à autre chose, et notre rencontre pourrait être la meilleure chose pour rapprocher nos concitoyens. Il est temps de revoir notre politique, le monde évolue, nous devons penser à une alliance et pourquoi pas lier nos guilde par notre amour, pour en faire une seule, bien plus puissante .
L’espoir remplace la tristesse dans son regard.
-Tu as raison, il est temps d’avancer,ce ne sera pas facile, et beaucoup s’insurgeront, mais…
-Nous leur montrerons, que nous pouvons n’être plus qu’un peuple
-Même si ça doit prendre des années, pour que tous nous soutiennent, nous allons le faire… nous allons donner une chance à notre amour d’exister.
 

DeletedUser40360

Guest
Les jours etaient sombre sur les champs de bataille.
Mon père ne pensait qu'a une chose ,la gloire et le sang.
Un jour mon père et son son ami de toujours Rogue rentrèrent t'en guerre a cause d'un siège posé sur un secteur alors que cela était interdit.
les deux familles se déchirèrent et au milieu cécilia et moi mat , je devais la convaincre de fuir avec moi pour pouvoir vivre notre amour
je n'ai jamais put lui dire mes sentiments,que je l'aime en secret depuis notre tendre enfance.
Je décide de lui faire parvenir un message secret pour la faire venir ce soir sous l'arbre éternel de l'amour et lui déclaré ma flamme.
Le soir arriva je l'attendais impatient de voir sa beauté dans la lueur du soleil couchant.
Et elle arriva telle une déesse marchant telle un superbe mannequin et la patatra elle marche sur sa robe tribuche contre le banc de l'arbre éternel de l'amour et fini sa course la tete planté dans la terre.
elle releve la tete me regarde avec sa jolie bouche sans dent et son magnifique nez qui part maintenant vers la gauche,je la regarde aussi et lui dit oh presque jolie cecilia je t aime je t'ai toujours aimé,cette guerre entre nos deux famille ne peux pas nous détruire,viens partons et nous vivrons d'amour et d'eau fraiche.
oooooh mat je t'ai toujours aimé en secret j'ai du mal a parlé maintenant sans mes dents mais oui partons mon amour.
nous prenons donc nos clique et nos claque et direction main dans main vers la montgolfiere car j'ai un plan.
allez montez mon amour nous allons nous echappez et vivre loin d'ici en paix.
une fois la hauteur prise avec le ballon gonflable et patatra un drone de securité vient percé le ballon,s'en suit une énorme chute et direction l'infirmerie
quelque semaine plus tard une fois tous nos menbres réparé mon amour et moi avions décidé de prendre le systeme de transport personnel rapide et d'allé vivre notre amour a la campagne et patatra ils eurent beaucoup d'enfant ;-)
 
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