AMELIE7506
Chevalier
bien le bonjour,
voilà je me lance....Un gros gros doute sur 1 mot mais bon soyons honnêtes au Moyen age c"était des brutes bien plus vulgaires que ce que j ai osé écrire
bonne soirée à vous et bonne lecture en espérant ne pas vous endormir
ah oui j y ai même pas pensé, allons y pour braguette, ce sera en effet plus approprié. Du coup je relance le tout. Merci bonne soirée
Mon tendre
L’heure approche,bientôt les combats vont reprendre
Le sang va couler,les hommes vont tomber
Je serai là,poignard dressé
Avec les miens
A jamais contre les tiens
Ta famille a assiégé ma terre
Et toi,tu m’as mis à terre
Serait ce l'éther?
Trop souvent inhalé chez mon frère l’alchimiste
Ou la quintessence de ta beauté,oeuvre de l’antéchrist
Mais j'ai flanché
Et demain,à l’heure du tournoi
Je ne cesserai de penser à toi
Incapable de détacher mes yeux des tiens
Comment défendre les miens tout en gardant un œil sur toi?
Comment laisser les miens te faire du mal sans rien laisser voir?
Alors je divague ce soir,encore
Je revis ce jour ou a frappé le sort
Dans cette taverne lieu de dépravations
Où chacun cherchait femme malfamée et abusait des boissons
C'était une soirée d'hiver,un vent glacial sévissait
La neige recouvrait les rues mal pavées
Nous avions décidé d'attaquer votre cité
Piller vos fermes,voler vos pièces d’or
Brûler votre église et vos drapeaux
Et de venir vous provoquer à la taverne
Pour jouer avec vos femmes
Ton “Dégage bouffon,pauvre cul terreux" lancé d’un ton plébéien
M'a mis dans une humeur de chien
Je t'ai poussé,tu m'as repoussé comme un vaurien
A peine le temps de lever ton arbalète
Que je t’attrapais par la braguette
J'ai dû reculer sous ton coup de tête
A force des coups on a fini dehors
Sous un arbre tout rose qui semblait être un trésor
Il abritait un banc où était posé un flacon,en verre soufflé
Après avoir avalé la moitié,je te tendis le flacon
Et me mis à interpréter quelques vers d’une chanson
“Trinquons,buvons et à la fin du flacon,guerroyons”
Ayant fini de boire à ton tour,tu m’assommas avec la bouteille
Plus tard j'ouvrais les yeux et je te vis
Le regard avide,me souriant
Que tu me semblais beau! quelle belle moustache frétillante!
Ton œil en verre qui reflétait les rayons du soleil te rendait étincelant
Une barbe si épaisse,fournie à en faire pâlir d envie
Je voulu me blottir contre ce corps si bien bâti
Point d’hypocras! Diante,dans ce ce flacon un philtre d'amour
L'effet fut immédiat et depuis nous sommes ivres d'amour
Le sort en fut ainsi! nous sommes liés l’un à l’autre
Mais demain au premier coup d épée
Notre amour risque d'être dévoilé
Souhaites tu me voir tomber sous les coups de vos trébuchets?
Moi,je refuse de te voir souffrir sous les coups
Alors comment garder ce secret entre nous?
Si nos familles comprennent nous sommes morts
Nous risquons l'humiliation,le lynchage au milieu des rues mal pavées
Nus la corde au cou on nous verra défiler devant les maisons en grès
On va nous briser l'échine,nous fracasser la tête,nous éclater la poitrine
Alors je t'en supplie,fuyons
Heureux tous les deux en toute discrétion
Quand les lanternes vont s'éteindre demain
Vient me trouver près du médecin
Je te promets fidélité,amour éternel et des plaisirs divins
Je te promets le sel à portée de ta main
Des herbes incandescentes et une maison en brique
Je te promets ce sera idyllique
Ton chevalier
voilà je me lance....Un gros gros doute sur 1 mot mais bon soyons honnêtes au Moyen age c"était des brutes bien plus vulgaires que ce que j ai osé écrire
bonne soirée à vous et bonne lecture en espérant ne pas vous endormir
ah oui j y ai même pas pensé, allons y pour braguette, ce sera en effet plus approprié. Du coup je relance le tout. Merci bonne soirée
Mon tendre
L’heure approche,bientôt les combats vont reprendre
Le sang va couler,les hommes vont tomber
Je serai là,poignard dressé
Avec les miens
A jamais contre les tiens
Ta famille a assiégé ma terre
Et toi,tu m’as mis à terre
Serait ce l'éther?
Trop souvent inhalé chez mon frère l’alchimiste
Ou la quintessence de ta beauté,oeuvre de l’antéchrist
Mais j'ai flanché
Et demain,à l’heure du tournoi
Je ne cesserai de penser à toi
Incapable de détacher mes yeux des tiens
Comment défendre les miens tout en gardant un œil sur toi?
Comment laisser les miens te faire du mal sans rien laisser voir?
Alors je divague ce soir,encore
Je revis ce jour ou a frappé le sort
Dans cette taverne lieu de dépravations
Où chacun cherchait femme malfamée et abusait des boissons
C'était une soirée d'hiver,un vent glacial sévissait
La neige recouvrait les rues mal pavées
Nous avions décidé d'attaquer votre cité
Piller vos fermes,voler vos pièces d’or
Brûler votre église et vos drapeaux
Et de venir vous provoquer à la taverne
Pour jouer avec vos femmes
Ton “Dégage bouffon,pauvre cul terreux" lancé d’un ton plébéien
M'a mis dans une humeur de chien
Je t'ai poussé,tu m'as repoussé comme un vaurien
A peine le temps de lever ton arbalète
Que je t’attrapais par la braguette
J'ai dû reculer sous ton coup de tête
A force des coups on a fini dehors
Sous un arbre tout rose qui semblait être un trésor
Il abritait un banc où était posé un flacon,en verre soufflé
Après avoir avalé la moitié,je te tendis le flacon
Et me mis à interpréter quelques vers d’une chanson
“Trinquons,buvons et à la fin du flacon,guerroyons”
Ayant fini de boire à ton tour,tu m’assommas avec la bouteille
Plus tard j'ouvrais les yeux et je te vis
Le regard avide,me souriant
Que tu me semblais beau! quelle belle moustache frétillante!
Ton œil en verre qui reflétait les rayons du soleil te rendait étincelant
Une barbe si épaisse,fournie à en faire pâlir d envie
Je voulu me blottir contre ce corps si bien bâti
Point d’hypocras! Diante,dans ce ce flacon un philtre d'amour
L'effet fut immédiat et depuis nous sommes ivres d'amour
Le sort en fut ainsi! nous sommes liés l’un à l’autre
Mais demain au premier coup d épée
Notre amour risque d'être dévoilé
Souhaites tu me voir tomber sous les coups de vos trébuchets?
Moi,je refuse de te voir souffrir sous les coups
Alors comment garder ce secret entre nous?
Si nos familles comprennent nous sommes morts
Nous risquons l'humiliation,le lynchage au milieu des rues mal pavées
Nus la corde au cou on nous verra défiler devant les maisons en grès
On va nous briser l'échine,nous fracasser la tête,nous éclater la poitrine
Alors je t'en supplie,fuyons
Heureux tous les deux en toute discrétion
Quand les lanternes vont s'éteindre demain
Vient me trouver près du médecin
Je te promets fidélité,amour éternel et des plaisirs divins
Je te promets le sel à portée de ta main
Des herbes incandescentes et une maison en brique
Je te promets ce sera idyllique
Ton chevalier
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