Ma douce, il n'y a bien qu'au près de toi que je goûte à une jouissance de la plénitude
Et si la réforme agraire m'a fait connaitre cette jolie fermière perdu dans sa nature.
Je n'ai point user de mes mots ou de mes charmes qui te sont exclusivement réservés
Et même si ses fruits, fort appétissant par ailleurs, m'ont un instant détourné de ta beauté.
Sache que mon sabre à aucun moment est sortis de son fourreau brodé de ta croix d'or.
Ne fait point de salade pour mon comportement de gorille, tu sais bien que t'es mon seul trésor.
Ma mie, ma douceur n'entamons pas notre pain noir il nous reste tant de belles choses à vivre,
Mon cœur saigne littéralement sur notre merveilleuse histoire que sans toi je ne suis plus libre
Oh ma délicate amie, vois, regarde, observe tout cet hémoglobine
Qui tel des ruisseaux s'écoule de mes veines, ma tendre colombine.
Soigne ton infortuné ami de tes doux baisers qui me réjouisse tant,
Pose sur moi une fois encore ton bienveillant regard bleu océan.
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