• Événement Anniversaire 2024

    Joyeux anniversaire ! Notre équipe de scientifiques vous attend pour repartir à l'aventure dans notre nouvelle édition de l'évènement d'anniversaire !

    L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

    Forgiennes et Forgiens,
    Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Cot Cot Codeccc !
    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.281

    La mise à jour 1.281 aura lieu le mercredi 24 avril ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
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L' Esprit Littéraire

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

DeletedUser35622

Guest
homoncule ---- monticule ---- canicule ---- gesticule ---- réticule ---- clavicule ---- ovule ---- aspérule ---- cuticule ----- opercule


L'alchimiste engage un tango avec son succès : l'homoncule. Perché sur le monticule de sa fierté, il ne ressent pas la canicule et gesticule : pantin filipendule. Il voit en la réticule la plus lumineuse des idées de constellation. L'envers est à l'envers.
Les mains hypertrophiées de sa miniature soudain se serrent et font tourner le grand homme lui démettant la clavicule. Il tombe. Étendu sur le tapis vert, les yeux sondant les barbules célestes, il rêve à créer dans l'ovule de Gaïa le retour à l'état premier. L'odeur charmante de l'aspérule le berce : il en caresse la cuticule et sent son esprit qui se brûle : l'opercule de l'impossible se délite. Il fera.

homoncule ---- monticule ---- canicule ---- gesticule ---- réticule ---- clavicule ---- ovule ---- aspérule ---- cuticule ----- opercule
 

DeletedUser35622

Guest
Bonsoir :)

J'ai changé d'avis : je change la liste des mots :)

esprit ---- entretien ---- catapulte ---- in extenso ---- pomme ---- chemin de fer ---- vérin ---- chapeau ---- vide ----- clique
 

DeletedUser38242

Guest
Le glas sonne dans l'orphelinat d'Ing Kéou.... il annonce la mort de sœur Philomène, alors que les petites filles Indochinoises étaient entrain de réciter leurs prières :
- Je vous remercie ô mon Dieu de m'avoir crée, de m'avoir racheté et de m'avoir fait chrétien, comme aussi de toutes les grâces que j'ai reçu de vous, et particulièrement de m'avoir préservée cette nuit.
Sœur Lina, saine de corps et d
'esprit les invites à prier pour le repos de sœur Philomène. Les fillettes invoquent tout les Saints, la Sainte Vierge et le cœur agonisant de Jésus. Mais devant la dépouille mortelle de sœur Philomène, lorsque vient son tour d'asperger d'eau bénite le corps de la défunte, Juliette qui est la plus âgée de ses camarades demande à sœur Lina si il fallait vraiment croire aveuglement à tout ce que disent les Saintes Écritures. Sœur Lina rentra dans une colère folle en lui rétorquant que ce n'était pas à elle orpheline et abandonnée au pied d'un temple par sa mère de mettre en doute les Saintes Écritures et qu'elle lui avait demandé auparavant de faire l'entretien des sanitaires et qu'à ce jour cela n'avait toujours pas été fait ! Pleurant de tout son sou Juliette malgré l'affection qu'elle portait à sœur Lina reçu comme une catapulte dans le cœur en se demandant pourquoi cette sœur douce et aimante puisse être aussi méchante. Son labeur terminé, elle retourne vers ses camarades pour encore une fois prier mais elle n'en a plus la force, les heures qui suivent sont lugubres. Les illuminations de cierges, les prières et les cantiques rendent Juliette mal à l'aise. La messe est célébré sans tarder et les funérailles sont accomplies dans le respect de la liturgie chrétienne. Le cortège des religieuses et des enfants suit le cercueil porté par quatre hommes vers le cimetière, à travers les rizières inondées. Des fossoyeurs sont entrain d'en extraire les restes de ses occupants antérieurs. Après in extenso le « De Profondis » , le cercueil est descendu dans la fosse. Le cœur de Juliette se serre douloureusement lorsque toute la vie de missionnaire de sœur Philomène disparaît pour toujours sous l'eau et sous la boue du fond du caveau. Elle aimait bien la religieuse, parfois même elle se retrouvait toute les deux sous le préau de l'orphelinat à discuter et rire . De temps en temps sœur Philomène lui offrait une pomme en cachette à l'insu de la mère supérieure car les fruits étaient interdit les jours de semaines, seul le dimanche était autorisé. Le curé du village choisit cet instant pour présenter une requête qui décrispe du même coup l'atmosphère.
- Mesdemoiselles, il me vient une idée ! Vous qui chantez si bien la messe en latin, pourquoi ne viendriez vous pas de temps en temps à mon presbytère ? Et pourquoi pas aussi à l’hôpital militaire de la ville, pour consoler par vos chants nos blessés de leurs souffrances ?
Juliette est ravie, car elle aime chanter. En outre, on lui dit souvent « chanter c'est prier deux fois » Et puis c'est une bonne occasion d'échapper à la pension.
Traverser Haïphong le long de la voie de
chemin de fer est tout autant un amusement que d'apercevoir l'animation de la foule et l’agitation des cyclo-pousses et des pousse-pousses. Le chef de la chorale est un militaire français qui joue lui-même de l'harmonium pour accompagner les chants. Comme Juliette se distingue par sa voix, elle est sollicité pour chanter en solo les messes grégoriennes. Un jour, à la fin d'une messe , le chef de la chorale la retient pour lui parler.
-Je vais être rapatrié en France dans quelques jours et je tiens à vous remercier pour votre gentillesse. N'ayant pas l'opportunité de vous faire un cadeau, je serais très heureux si vous acceptiez ceci....Vous pourrez prendre le train pour rentrer à l'orphelinat ou vous vous achèterez ce qu'il vous plaira....

Un billet de cent piastres !!!!! Les yeux agrandis par la surprise, toute rougissante, Juliette n'ose le prendre. Mais l'homme insiste et,encouragée par ses camarades qui ont assistés à la scène, comme dans un rêve elle prend le billet. La voilà se dirigeant vers la gare de Haiphong pour qu'elle et ses compagnes de chants puissent prendre le train pour rentrer à la pension. Avec cent piastres elle peut facilement acheter un billet pour tout le monde et se faisant les voilà toutes assise en regardant le paysage défilé sous les yeux ébahies de ses amies. Quand soudain le train s'arrête!!! Juliette stupéfaite passe la tête par la fenêtre et demande ce qu'il a bien pu se passer vu qu'elles sont encore loin de l'orphelinat....Un homme de belle prestance lui répond qu'un
vérin de la locomotive aurait été endommagé.A l'intérieur du train, c'est la cohue, tout le monde se bouscule pour descendre au plus vite de peur qu'il ne se passe autre chose de fâcheux. Juliette et ses camarades vont devoir terminer le voyage à pied.... cela ne fait rien se dit elle, le voyage fût très agréable quand même et mes amies en on profité aussi, je pense qu'elles s'en souviendrons. En descendant du train, le chapeau de Juliette s'envole, elle cours à sa poursuite mais il virevolte au grès du vent même ses camarades n'arrivent pas à le rattraper. C'est alors que dans sa précipitation Juliette bouscule un jeune homme au regard vide s'excusant brièvement elle continue de courir afin d’attraper ce maudit son chapeau sinon la mère supérieure va encore la punir et Juliette voudrais un jour pouvoir quitter cet endroit austère et désuet. Mais le jeune homme part à sa poursuite, il ne veut pas en rester là, laisser échappé cette flèche qu'il vient de recevoir en plein cœur en voyant la beauté de Juliette au risque de la perdre pour toujours. Il court à en perdre haleine et réussi enfin à la rattraper. Il lui saisi le bras et la stop dans son élan, Juliette se retourne et lui dit:
- Monsieur je me suis déjà excuser que voulez vous de plus?
-Madame, je ne voudrais pas vous paraître impoli mais en vous voyant mon cœur s'est mis à battre la chamade je voudrais savoir à qui ai je l'honneur de m'adresser?
Juliette rougissant à sa demande et stupéfaite par sa question lui rétorqua que ce n'était pas des manières d'avoir ce comportement avec une jeune femme et qu'elle ne parlait pas aux inconnus (sœur Philomène le lui ayant conseillé avant son trépas). Ce faisant le jeune homme se présenta à Juliette, lui disant qu'il était d'une famille de haut rang et qu'il lui plairait de l'inviter à boire le thé un après-midi si toute fois la Demoiselle accepterai son invitation. Juliette accepte avec joie, mais dans un élan de désespoir elle lui dit:
-Je suis à l'orphelinat d'Ing Kéou et je ne suis pas comme vous de belle famille.... le jeune homme lui répondis que cela n’avait aucune importance. Le rendez-vous fut pris pour le lendemain et Juliette rejoignît sa
clique de camarades pour retourner à la pension le cœur rempli d'espoir.
désolé si mon texte est long:oops::oops::oops::oops:

Silence....présent....contrôle....héroïne....espérer....trajectoire....pour....rapatriement....réglisse....moment
 
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Loup Tenace

Empereur
Ah!!! Enfin le silence se fait dans la vieille demeure,
A présent le calme y règne en maître souverain,
Tout y est sous contrôle même les battements du coeur,
Ah!!! ma belle héroïne , tu peux espérer le retour du baladin.
Sa trajectoire si étrange soit elle te ramènera ton amour
Pour l'instant son rapatriement dans tes bras acceuillants
Au doux parfum de réglisse, ne sont pas à l'ordre du jour
Et oui belle amie ton baladin se la coule douce en ce moment.

Mon ... texte ... paix ... accord ... corps ... désaccord ... plage ... siffleur ... plongeon ... huile

 

DeletedUser35622

Guest
Mon ... texte ... paix ... accord ... corps ... désaccord ... plage ... siffleur ... plongeon ... huile

Mon
lancier n'apport pas de texte de paix : aucun accord n'est envisagé! Au corps à corps, il règlera notre désaccord!
La plage désormais m'appartient! Comme les cocotiers sont toujours sur la ZDD, on se fait toussss siffleur pour offrir un plongeon dans l' huile à la guilde temporaire (pour ne pas dire ghost, dixit loup) qui s'aventurerai sur nos grains de sable, en nous souhaitant bon appétit.


Mon ... texte ... paix ... accord ... corps ... désaccord ... plage ... siffleur ... plongeon ... huile
 

Loup Tenace

Empereur
Oh !!! Mon île des tempêtes, sublime et sauvage. Au doux parfum des alizées tropicales. Toi qui abrite mon jadin d'Eden où pousse pêle mêle tomates, poires, ananas et bien d'autres fruits. Cannibales végétariens, fauves herbivores, cervidés carnassiers il n'y a que toi île enchanteresse où de telles bisarreries se trouvent. Et même d'arbre en arbre, louvoyant de feuillages en feuillages d'étranges fantasques lapins arboricoles cherchent, ceuillent les noix de coco avant de les jetter sur de pauvres humains égarés. Maugréant de recevoir pareil présent sur leur chef.
Ah !!! Mon île des tempêtes, sublime et sauvage. Mon petit coin de paradis.:-D

Ile --- tempête(s) --- tomate --- cannibale --- louvoyant --- fantasque --- noix de coco --- maugréer (peut-être conjugué)...
 
l'ile est déserte, là où je me suis isolé
et toute pleine de tempête! ... ainsi, mouillé
désespéré même, à me réfugier cherchais
je, puis capturé, mis dans une soupe; mauvais
ça; de tomate, une tribu cannibale était
occupée, préparant le festin, j'échappais
louvoyant dans ce jus, et c'est de manière
fantasque que je me sauvai car en arrière
du camp, sur un garde tombais je et c'est une
noix de cocotier qui, tombant sur sa tête d'une
puis mon foulard rouge d'explorateur, étant
à son cou l'empêcha de maugréer, et sans
que l'alerte eut pu être donnée, j'échappais
à cette tribu par chance? au grand jamais!
mignonne --- cher --- rose --- amie --- magnifique --- honte --- délation --- déclin --- espoir --- retrouvailles
Bonjour au passage, voici mon premier essai dans cette section
 
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Loup Tenace

Empereur
Désolé c'est pas amusant si on respecte pas l'ordre donné des mots.
Donc ne pas tenir compte de ce qui a écrit entre parenthèse dans le message au dessus, merci.
 

DeletedUser36007

Guest
Histoire --- sorti(e) --- rebelle --- caché(e) --- corde --- verset --- rugir --- distinctement --- escogriffe --- poutre --- radier
 
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Loup Tenace

Empereur
Ceci est la triste histoire
d'un preux chevalier qui par une sortie hasardeuse
Se retrouva face à une rebelle sanguinaire cachée dans le noir
le sort malencontreux voulu qu'une simple corde lui fit perdre la gueuse.
Ah que n'aurait il pas mieux fait de lire le verset divin
et ainsi éviter de rugir distinctement contre l'escogriffe
Qui lui jetta la poutre qui le fit choir de son destrier sarazin
Se retrouvant à agoniser son dernier soufle au pied d'un centenaire if.

Couper dans son élan, radier de la vie
L'histoire se finit ainsi.

sanglot ... printemps ... herse ... jument ... sombre ... chêne ... lumière ... puits ... vole ... village ... caramel.
 
je vais vous raconter l'histoire
de "sortez votre vieille pétoire"
par un beau jour ou une nuit
je ne sais plus, j'étais sorti
boire un verre au café d'en face
c'est alors qu'au milieu des tasses
je découvre une rebelle
jolie! donc, tout mes mots s'emmêlent
elle était cachée là pour fuir
l'empire! Avec mon blouson de cuir
je la protégeais de la corde
(ainsi que mon confort....) La horde
de villageois s’amassaient en
cercle. je tentais poliment
un verset de la bible afin
de les calmer "oui, ton prochain
tu aimeras" (ce que je fit,
par la suite) mais j'entendis
rugir, je vis distinctement
mara jade! calmement
en escogriffe j'enfourchais
un soldat de l'empire, mauvais
je pris une poutre et donc j'ai /je jouai
j’
entrepris de radier, c'est vrai!
l'empire lui même, entier! Pour
garder ma belle en vie. Amour
va donc rechercher du vin rouge
j'ai soif! - Vieille outre, grosse éponge!

précision original / correction

nonnononononononon tant pis
loup, je ne t'ai pas encore insulté mais c'est pour bientôt :)
punaise j'avais fini il me manquait les mots suivants à mettre


sanglot ... printemps ... herse ... jument ... sombre ... chêne ... lumière ... puits ... vole ... village ... caramel.
 
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DeletedUser36007

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sanglot ... printemps ... herse ... jument ... sombre ... chêne ... lumière ... puits ... vole ... village ... caramel.
 
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DeletedUser42983

Guest
La tirade revisitée des nez …

Ah ! Non ! C'est un peu court, jeune homme !
On pouvait dire... oh ! Dieu ! ... bien des choses en somme...
En variant le ton, - par exemple, tenez ;
Agressif : « moi, monsieur, si j'avais un tel nez,
Il faudrait sur le champ que je me l'amputasse ! »
Tristement ; « vos sanglots avec tel essuie glace
Se perdent en bourrasque décrasser vos esgourdes !»
Coquin ; « l’engin lancé sur le pif comme en bourde
Se lève t il au printemps aussi droit que mandrin ?»
Paysan ; « comment bien farfouiller tous recoins
Avec une herse pour emmancher un sillon ?»
Forgien ; « ce monument, quand le visite-t-on ? »
Cavalier ; « quoi, l'ami, ce croc est à la mode ?
Trouvez sans rire jument qui s’en accommode ? »
Marin ; « sous pareil phare même en plein soleil
Sombre est le chicot pourtant friant de l’éveil !»

Jardinier ; « puisse un si beau chêne bien esseulé
Jeter un gland au jugé sur de vains terriers … »
Mutin ; « Déambuler muni de grand bougeoir
Planté sottement au beau milieu de la poire
Donne lumière sans qu’on en fût éblouit ! »
Savant ; « Monsieur si de malheur au fond d’un puits
Ce piolet venait à rompre, ne hurlez pas
Mais plutôt usez du manche depuis le bas ! »

Militaire ; « ce panneau qui montre la voie
Planté au cœur du village tient de guingois… »
Confiseur ; « qui ne rêva d’user du bonbon
Pour te planter un bon gros caramel maison ? »

- Voilà ce qu'à peu près, mon cher, vous m'auriez dit
Si vous aviez un peu de lettres et d'esprit :
Mais d'esprit, ô le plus lamentable des êtres,
Vous n'en eûtes jamais un atome, et de lettres
Vous n'avez que les trois qui forment le mot : sot !
Eussiez-vous eu, d'ailleurs, l'invention qu'il faut
Pour pouvoir là, devant ces nobles galeries,
Me servir toutes ces folles plaisanteries,
Que vous n'en eussiez pas articulé le quart
De la moitié du commencement d'une, car
Je me les sers moi-même, avec assez de verve,
Mais je ne permets pas qu'un autre me les serve....



sanglot ... printemps ... herse ... jument ... sombre ... chêne ... lumière ... puits ... vole ... village ... caramel.... ( ou pas ! )
 
"les sanglots longs des violons de l'automne
blessent mon cœur d'une langueur monotone"
une douce fin de printemps, en mai
marque le début d'une France aux français!
enfermés dans leur château de campagne
maquisards et autres sablent le champagne
pour fêter la victoire, en communion!
tandis que sur les délateurs malédictions
ainsi qu'une herse s'abattent. Justice!?
l'humanité tombe dans un précipice!
loin des épurations, une jument
errant sans maître, se promène à pas lents
elle sombre, peu à peu, dans l'obscur.
couche à l'ombre d'un chêne, son esprit pur,
sans malice, rejoins la lumière
on retrouve des corps au fond de puits, l'air
ambiant se radoucit, la colombe
vole, alors on pardonne, la faute incombe
aux autres! sur le village, silence
est roi, rester cois, alors on tait le sens
et c'est des années plus tard, par hasard
que des français tudieu, ancien salopards
profiteurs de guerres et des autres, couards!
ont refaits leur vie à l'abri de l'histoire
sonnons le glas, certes, c'est un rappel!
qu'on oublie pas!ce, avec des caramels


(non c'est trop guimauve)
certes et j'en suis désolé
parfois je crois vous moquez
ce que j'ai vous manquez
et ce j'en suis désolé

n'étant pas doué pour ordonner des mots

sanglot ... printemps ... herse ... jument ... sombre ... chêne ... lumière ... puits ... vole ... village ... caramel.... ( ou pas ! )
 
Dernière édition :
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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