@Brief : L'art et l'amour du beau deviennent malheureusement de plus en plus rares.
Raphaël, reviens...
Ce que je trouve triste, c'est qu'on peut avoir mauvais goût, par ignorance voire populisme.
Malheureusement quand on a pas eu la chance d'avoir été formé, instruit du Beau, je ne pense pas qu'on puisse ou veuille faire la différence.
Le souci, c'est que le mauvais goût et son encouragement sont majoritaires.
C'est affligeant.
Surtout quand on dénature par idéologie des symboles pourtant peu polémiques par nature.
Ce sapin bordelais, pauvre victime de la dénonciation hypothétique de la consumérisation est un exemple de décivilisation flagrant et de propagation massive d'une certaine éducation à la laideur.