DeletedUser16895
Guest
Par la barbe de Nagash, quel curieux spectacle !
Bert, décidément infatigable, continue de danser : il s'est lancé dans un kazatchok endiablé, les mains sur les hanches, le dos droit comme un i et les mâchoires serrées. Il fixe sévèrement le Poilu, comme s'il défiait l'animal à un duel de valse. Nul doute que leur affrontement fera l'objet d'un film à douze Oscars !
Derrière lui, le tavernier se prépare à parer. (et pas une côtelette)
Oreilles pointues semble avoir déserté le lieu, à moins qu'elle n'ait lancé un sort d'invisibilité.
Le Poilu, l'échine arquée et les babines retroussées, considère l'assemblée d'un regard rendu légèrement vitreux par le loupiac. Il gronde méchamment en direction du dessinateur en herbe, qui, le visage crispé par la douleur, se tient le bras, sommairement enveloppé dans un linge taché de sang.
Je saisis immédiatement la situation. Peste, mais ce loup ne sait donc pas se tenir !!?
Je comprends maintenant pourquoi l'air est à ce point électrique. La bagarre est proche. Je prends mon élan, et en trois bonds, atterris près du Poilu. Ma jambe droite cueille sa mandibule en un parfait coup droit. Il chancelle et j'en profite pour lui chatouiller délicatement l'occiput avec mon poing.
Le voilà à terre. Il a l'air sonné.
Je me tourne vers les autres, lisse ma tunique et rajuste ma frange. Bon, qu'il y-a-t-il de bon au menu ?
Tiens ? Erwan s'est évanoui !
Bert, décidément infatigable, continue de danser : il s'est lancé dans un kazatchok endiablé, les mains sur les hanches, le dos droit comme un i et les mâchoires serrées. Il fixe sévèrement le Poilu, comme s'il défiait l'animal à un duel de valse. Nul doute que leur affrontement fera l'objet d'un film à douze Oscars !
Derrière lui, le tavernier se prépare à parer. (et pas une côtelette)
Oreilles pointues semble avoir déserté le lieu, à moins qu'elle n'ait lancé un sort d'invisibilité.
Le Poilu, l'échine arquée et les babines retroussées, considère l'assemblée d'un regard rendu légèrement vitreux par le loupiac. Il gronde méchamment en direction du dessinateur en herbe, qui, le visage crispé par la douleur, se tient le bras, sommairement enveloppé dans un linge taché de sang.
Je saisis immédiatement la situation. Peste, mais ce loup ne sait donc pas se tenir !!?
Je comprends maintenant pourquoi l'air est à ce point électrique. La bagarre est proche. Je prends mon élan, et en trois bonds, atterris près du Poilu. Ma jambe droite cueille sa mandibule en un parfait coup droit. Il chancelle et j'en profite pour lui chatouiller délicatement l'occiput avec mon poing.
Le voilà à terre. Il a l'air sonné.
Je me tourne vers les autres, lisse ma tunique et rajuste ma frange. Bon, qu'il y-a-t-il de bon au menu ?
Tiens ? Erwan s'est évanoui !