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Que ces nobles sont idiots,
Pour eux, il n'y a pas de héros.
Ils disent que je n'existe pas,
Alors que je fus un grand roi.
Moi qui ai dirigé l'île de Bretagne,
Moi qui ai conquis et pacifié les campagnes,
Ils me renient,
Je fais, selon eux, parti de la mythologie.
Fils d'Uther Pendragon,
Élevé par Merlin,
Je ne me savais pas fils d'un grand châtelain.
Je me voyais déjà tueur de dragon.
J'ai sortit l'épée du rocher,
Et je suis devenu souverain.
Je me suis entouré
De chevaliers, pour seconder ma main.
Je possédais Excalibur,
Et la plus solide des armures,
Je vainquais tous mes ennemis,
Et j'agrandissais mon pays.
Je fus mortellement blessé
Durant la bataille de Camlann,
Je mourus, comme Léodagan,
Et Constantin III m'a succédé.
Mais mes descendants
Refusent d'avouer mon existence.
Ils se disent vaillants,
Mais passent leur temps à se remplir la panse.
Ils ne livrent plus bataille,
Postent juste des gardes devant leur portail
Et revendiquent leur toute-puissance,
Uniquement pour retarder la fatale échéance.
Ils se cachent,
Et ne sont que des lâches.
Ils prétendent que le courage ne fait rien,
Et que pour éviter la mort, se défiler est le meilleur moyen.
De là où je suis,
Je les maudis,
Car ce qu'ils ont fait de ma patrie
Est comme s'ils m'avaient trahis.
Ils ne méritent que la mort,
Car ils n'ont causé à mon pays que du tort,
Ils ont terni sa gloire,
Et réduit son territoire.
Mes héritiers se sont emparés
Des richesses que j'avais accumulées,
Et les ont dépensées
Leur bonheur, ils veulent financer.
Pour eux, il n'y a pas de héros.
Ils disent que je n'existe pas,
Alors que je fus un grand roi.
Moi qui ai dirigé l'île de Bretagne,
Moi qui ai conquis et pacifié les campagnes,
Ils me renient,
Je fais, selon eux, parti de la mythologie.
Fils d'Uther Pendragon,
Élevé par Merlin,
Je ne me savais pas fils d'un grand châtelain.
Je me voyais déjà tueur de dragon.
J'ai sortit l'épée du rocher,
Et je suis devenu souverain.
Je me suis entouré
De chevaliers, pour seconder ma main.
Je possédais Excalibur,
Et la plus solide des armures,
Je vainquais tous mes ennemis,
Et j'agrandissais mon pays.
Je fus mortellement blessé
Durant la bataille de Camlann,
Je mourus, comme Léodagan,
Et Constantin III m'a succédé.
Mais mes descendants
Refusent d'avouer mon existence.
Ils se disent vaillants,
Mais passent leur temps à se remplir la panse.
Ils ne livrent plus bataille,
Postent juste des gardes devant leur portail
Et revendiquent leur toute-puissance,
Uniquement pour retarder la fatale échéance.
Ils se cachent,
Et ne sont que des lâches.
Ils prétendent que le courage ne fait rien,
Et que pour éviter la mort, se défiler est le meilleur moyen.
De là où je suis,
Je les maudis,
Car ce qu'ils ont fait de ma patrie
Est comme s'ils m'avaient trahis.
Ils ne méritent que la mort,
Car ils n'ont causé à mon pays que du tort,
Ils ont terni sa gloire,
Et réduit son territoire.
Mes héritiers se sont emparés
Des richesses que j'avais accumulées,
Et les ont dépensées
Leur bonheur, ils veulent financer.
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