• Événement Historique 2024

    Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passerait si des personnages historiques de différentes époques et origines pouvaient se rencontrer ? Dommage si c'est le cas, car nous ne savons pas non plus ! Mais ... c'est cette idée qui nous a inspiré pour créer l'Événement Historique !

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  • Événement Mai 2024 - Le coup de crayon !

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Écrits

Teryar

Ouvrier
C'est ici que je posterai quelques-uns de mes écrits. J'espère que vous pourrez en profiter. :-)

Poèmes :

Sur la mer rivage lointain
S'abîment mes écrits incertains
Reflets de mon entrain
À garder l'esprit serein

Je brûle d'une fièvre intérieure
Qui me pousse à l'extérieur
À sans cesse divaguer de peur
De faire face à mon horreur

Contemplant l'abîme qui m'entoure
Je me transforme en troubadour
Jouant de mon luth nommé amour
À en devenir fiévreux et sourd

La paresse, témoin de ma faiblesse
Me joue des tours sans cesse
Dans ma recherche de richesses
Et ma quête éternelle d'ivresse

L'intensité de ma sensibilité
A fleur de peau, créditée
De ma volonté à espérer
M'offre le cœur de ma bien-aimée

Désir, quand tu me trouve
Je t'espère, toi qui me couve
De ta protection, digne d'une louve
Qui de sa férocité me le prouve

Timbre de ma voix, épistolaire
Qui me guide vers la lumière
Dans un partage de mystères
Et de rêves pourtant sincères

Je me guide à travers toi, véridique
Sur un chemin fait de briques
Et de décors beaux et magiques
Traversant les monuments antiques

Me remémorant les arènes d'antan
Où dans le creux de nos sentiments
Nous parvînmes à faire un serment
D'amitié, où rester fidèles et grands

Vendredi, on dit que tout est permis
Mais pour moi tout est circonscrit
Trop de liberté, trop d'ennui, c'est fini
J'en m'en vais loin de ce jour honni

Je préfère les jours lassants du labeur
Oh ! J'aimerais ne plus avoir peur
De cet avant week-end qui m'apeure
M'enfermant en une horrible rancœur

Café, cigarettes, ma santé s'y abîme
Comme la montagne, et son infinie cime
M'enjoignant à commettre les crimes
De la paresse et de ses affreuses rimes

Je préfère la joie du lundi, son réveil
Matinal, son coucher apostolique veille
Jusqu'au lendemain, rêve de treille
Et de bonheur, labeur fait de bon cœur

L'amour, cet esprit incertain
Impétueux dans son entrain
Est-il pour autant sain ?
N'est-il pas un idéal vain ?

Il me semble pourtant juste
Tel la campagne et ses arbustes
L'amour réside dans nos bustes
Mais n'est-il pas vétuste ?

Ces questions quoi qu'il en soit
Sont le propre d'un entre-soi
Mais je ne le trouve pas en moi
Et n'en fait point mon habitat

Je préfère l'amitié pour ma part
Car rien en elle n'est avare
Généreuse comme un beau soir
D'été, et telle la neige, rare

De pouvoir partager, un jour
Un mérite qui pour toujours
Ravira le cœur d'un être lourd
Du poids de mes pourtours

Qui suis-je pour t'espérer
Dans ma si folle témérité ?
Je te crédite de mon amour
Paré de ses plus beaux atours

Mais que m'offre-tu en retour ?
Toi, indicible fruit de velours
Ton cœur est le barème de ma cour
Et le jardin de notre basse-cour

Je t'aime à en mourir, sans
Rien en retour, pourtant, tant
A me donner, me faire perdre
En conjectures, adossé au cèdre

De mes états d'esprit.

Je rêve souvent d'un pays de merveilles
Fait de pommes et de mirabelles
Où je pourrais être libre de mes mœurs
Et indicible dans mes rancœurs

Ce pays, parangon de mon état de veille
Eternelle ivresse saupoudrée de miels
Venus des horizons d'un lointain Eldorado
Me ramène à l'outrage de mon ego

Cependant, loin de moi se profile
L'arbre nécessaire au fruit de mon labeur
Et, me résignant à cueillir les fleurs
Poussant sur cette merveilleuse île

Je me dis que peut-être, un jour
Les caresses portées sur tes atours
Pourront à leur tour
Ajourner mon désir d'un éternel retour
 
Dernière édition :

Teryar

Ouvrier
Sur la mer rivage lointain
S'abîment mes écrits incertains
Reflets de mon entrain
À garder l'esprit serein

Je brûle d'une fièvre intérieure
Qui me pousse à l'extérieur
À sans cesse divaguer de peur
De faire face à mon horreur

Contemplant l'abîme qui m'entoure
Je me transforme en troubadour
Jouant de mon luth nommé amour
À en devenir fiévreux et sourd

La paresse, témoin de ma faiblesse
Me joue des tours sans cesse
Dans ma recherche de richesses
Et ma quête éternelle d'ivresse
 
Dernière édition :

1977sergio

Mousquetaire
Sur la mer rivage lointain
S'abîment mes rimes incertains
Reflets de mon entrain
À garder l'esprit serein

Je brûle d'une fièvre intérieure
Qui me pousse à l'extérieur
À sans cesse divaguer de peur
De faire face à mon horreur

Contemplant l'abîme qui m'entoure
Je me transforme en troubadour
Jouant de mon luth nommé amour
À en devenir fiévreux et sourd

La paresse, témoin de ma faiblesse
Me joue des tours sans cesse
Dans ma recherche de richesses
Et ma quête éternelle d'ivresse

Poème intitulé : La paresse. :-)
S'abîment mes rimes incertains
rime est féminin, ou tu met une virgule devant
 

L.P.M.

Modérateur
Membre de l'équipe
Modérateur
Du coup, ça ne rime plus :hmph:
Que dirais-tu de "s'abîment mes écrits incertains" :) ?
 

L.P.M.

Modérateur
Membre de l'équipe
Modérateur
Autres commentaires : joli poème, cependant, il serait bon d'avoir un agencement régulier des mètres des vers ;)
 

Teryar

Ouvrier
Oui, je n'y arrive pas encore, pourtant ce n'est pas faute d'essayer ! ^^

Voilà une proposition un peu plus " métrique " :

L'intensité de ma sensibilité
A fleur de peau, créditée
De ma volonté à espérer
M'offre le cœur de ma bien-aimée

Désir, quand tu me trouve
Je t'espère, toi qui me couve
De ta protection, digne d'une louve
Qui de sa férocité me le prouve
 
Dernière édition :

1977sergio

Mousquetaire
Oui, je n'y arrive pas encore, pourtant ce n'est pas faute d'essayer ! ^^

Voilà une proposition un peu plus " métrique " :

L'intensité de ma sensibilité
A fleur de peau, créditée
De ma volonté à espérer
M'offre le cœur de ma bien-aimée

Désir, quand tu me trouve
Je t'espère, toi qui me couve
De ta protection, digne d'une louve
Qui de sa férocité me le prouve
Je l ai fait aussi plus par jeu par le passé, et puis il y a pas mal de site ou déjà longueur et richesses des rimes sont plutôt bien expliquées,
Si tu accroches pas je peux un peu t aider mais je suis pas un expert, même si j ai des bases qui sont pas trop mals, et certainement encore des lacunes ,
Équilibres et richesses sont ce qui complique, mais t enrichissent aussi personnellement, et puis comme dans tout ça peut-être très simple et très efficace, et parfois plus recherché et complexe pour un résultat optimal

Pour traverser un cours d eau tu peux juste couper un grand arbre et le mettre en travers ou construire quelque chose de plus élaboré, qui résisteront au courant si et seulement si , un certain fondement (une volonté réfléchit ou très instinctive ) est apportée
Et il vaut mieux le construire pour une seule personne que pour une multitude
 
Dernière édition :

Teryar

Ouvrier
Timbre de ma voix, épistolaire
Qui me guide vers la lumière
Dans un partage de mystères
Et de rêves pourtant sincères

Je me guide à travers toi, véridique
Sur un chemin fait de briques
Et de décors beaux et magiques
Traversant les monuments antiques

Me remémorant les arènes d'antan
Où dans le creux de nos sentiments
Nous parvînmes à faire un serment
D'amitié, où rester fidèles et grands
 
Dernière édition :

1977sergio

Mousquetaire
Timbre de ma voix, épistolaire
Qui me guide vers la lumière
Dans un partage de mystères
Et de rêves pourtant sincères

Je me guide à travers toi, véridique
Sur un chemin fait de briques
Et de décors beaux et magiques
Traversant les monuments antiques

Me remémorant les arènes d'antan
Où dans le creux de nos sentiments
Nous parvînmes à faire un serment
D'amitié, où rester fidèles et grands
peut être sert toi d un dictionnaire pour être sur , timbre= ton de voix , épistolaire = écrit ,,, donc un son écrit ?? ou je comprend mal !!
 

Teryar

Ouvrier
peut être sert toi d un dictionnaire pour être sur , timbre= ton de voix , épistolaire = écrit ,,, donc un son écrit ?? ou je comprend mal !!
Je voulais dire que ma voix se retranscrit dans mes écrits, par l'émotion du texte, des mots. C'est une question de sensibilité, d'accrochage… :-)
 

1977sergio

Mousquetaire
Je voulais dire que ma voix se retranscrit dans mes écrits, par l'émotion du texte, des mots. C'est une question de sensibilité, d'accrochage… :-)
Ok
Mais pour plus le marquer, moi j aurai fait ou
Tu aurais pu

« TIMbre de ma voIIE , epiiistolaiiire «
Pour marquer grave et aiguë ou l appui , ça fait inhabituel mais plus concret pour le lecteur
Ça lui raconte plus quelque chose comme ça , faut le faire percuter , toucher plus profondément sa sensibilité, s il en est capable ( de sensibilité) . débordé, exalté plus que vivant,, suis pas de formation littéraire, c est juste ce que j en ai compris à force de m intéresser un peu , pour perfectionner ce que je faisais, donc juste mon impression
Mais cela va retire la part d imagination que donne l écrit par rapport à une image que tu donnes plus précise comme dans un film ,,
J ai lu le dernier templier et la première scène vaut 100 000 fois plus quand elle est lu que vu en film
 
Dernière édition :

Teryar

Ouvrier
Ok
Mais pour plus le marquer, moi j aurai fait ou
Tu aurais pu

« TIMbre de ma voIIE , epiiistolaiiire «
Pour marquer grave et aiguë ou l appui , ça fait inhabituel mais plus concret pour le lecteur
Ça lui raconte plus quelque chose comme ça , faut le faire percuter , toucher plus profondément sa sensibilité, s il en est capable ( de sensibilité) . débordé, exalté plus que vivant,, suis pas de formation littéraire, c est juste ce que j en ai compris à force de m intéresser un peu , pour perfectionner ce que je faisais, donc juste mon impression
Mais cela va retire la part d imagination que donne l écrit par rapport à une image que tu donnes plus précise comme dans un film ,,
J ai lu le dernier templier et la première scène vaut 100 000 fois plus quand elle est lu que vu en film
Salut ! Alors je n'ai pas très bien percuté ce que tu voulais dire, mais si je comprends bien, il faudrait que je change carrément l'écriture traditionnelle du texte, pour parvenir à une forme carrément drastique ? Cela pose plusieurs problèmes selon moi :
- Tout d'abord, il y aurait un non-respect de l'orthographe et grammaire, ce qui pose un problème d'envergure, car si l'on ne prend pas la peine de respecter les règles d'écriture, comment peut-on parvenir à une forme transversale du texte ?
- Enfin, je pense qu'il n'y a pas besoin de " chercher à faire comprendre par la forme ". La poésie et la liberté qui se dégagent d'un texte sont, selon moi, ce qui définit sa qualité intrinsèque. En outre, chercher à rendre original un texte n'est pas intéressant en ce qui concerne sa forme d'appui, car j'ai plus vu dans ce que tu m'as proposé, je cite " TIMbre de ma voIIE, epiiistolaiiire ", une sorte d'humour décapant. o_O

Bref, tout ça pour dire que je trouve que ton raisonnement sort un peu trop du cadre stylistique que j'essaie de donner à mon poème. Mais ça m'aura tout de même bien fait rire ! Oo
 

Teryar

Ouvrier
Poème inspiré d'un gage qui m'a été donné sur le forum. Bonne lecture ! :tassecafe:

Vendredi, on dit que tout est permis
Mais pour moi tout est circonscrit
Trop de liberté, trop d'ennui, c'est fini
J'en m'en vais loin de ce jour honni

Je préfère les jours lassants du labeur
Oh ! J'aimerais ne plus avoir peur
De cet avant week-end qui m'apeure
M'enfermant en une horrible rancœur

Café, cigarettes, ma santé s'y abîme
Comme la montagne, et son infinie cime
M'enjoignant à commettre les crimes
De la paresse et de ses affreuses rimes

Je préfère la joie du lundi, son réveil
Matinal, son coucher apostolique veille
Jusqu'au lendemain, rêve de treille
Et de bonheur, labeur fait de bon cœur
 
Dernière édition :

L.P.M.

Modérateur
Membre de l'équipe
Modérateur
Joli poème :up:
Quelques remarques en vrac :
- Vers 10, il manque le 'n' de montagne
- Vers 12, 'rime' est un mot féminin, donc 'affreuses rimes' serait plus juste
- Vers 14, 'apostolique' signifie 'qui est relatif aux apôtres', j'ai du mal à concevoir cet adjectif associé au 'coucher'
- Vers 14&15, 'veille jusqu'au lendemain' rompt avec 'la joie du lundi', à moins que ce ne soit le 'coucher' qui 'veille', auquel cas la virgule suivant aposotolque est à supprimer.

J'apprécie beaucoup le ton du poème, cela dit ;)
 

Teryar

Ouvrier
Merci pour tes conseils, j'ai fait quelques modifications. Le terme " apostolique " est plus une marque qui appuie sur un côté grandiose, mais je me suis posé la même question concernant la justesse de son emploi avec " coucher " ; la raison pour laquelle je l'ai choisi étant que j'ai eu des difficultés à trouver le bon vocabulaire. C'était une sorte de solution de facilité. :)Quoi qu'il en soit, merci d'avoir apprécié mon texte, ça me fait plaisir ! :+1:
 

Teryar

Ouvrier
L'amour, cet esprit incertain
Impétueux dans son entrain
Est-il pour autant sain ?
N'est-il pas un idéal vain ?

Il me semble pourtant juste
Tel la campagne et ses arbustes
L'amour réside dans nos bustes
Mais n'est-il pas vétuste ?

Ces questions quoi qu'il en soit
Sont le propre d'un entre-soi
Mais je ne le trouve pas en moi
Et n'en fait point mon habitat

Je préfère l'amitié pour ma part
Car rien en elle n'est avare
Généreuse comme un beau soir
D'été, et telle la neige, rare

De pouvoir partager, un jour
Un mérite qui pour toujours
Ravira le cœur d'un être lourd
Du poids de mes pourtours
 

Teryar

Ouvrier
Petit poème ! :-)

Qui suis-je pour t'espérer
Dans ma si folle témérité ?
Je te crédite de mon amour
Paré de ses plus beaux atours

Mais que m'offre-tu en retour ?
Toi, indicible fruit de velours
Ton cœur est le barème de ma cour
Et le jardin de notre basse-cour

Je t'aime à en mourir, sans
Rien en retour, pourtant, tant
A me donner, me faire perdre
En conjectures, adossé au cèdre

De mes états d'esprit.
 
Dernière édition :

1977sergio

Mousquetaire
Ton cœur est le barème de ma cour ,,,, contradictoire avec ( mais tu me dira que c est poétique et que c est l essence de la poésie ) ,,,,, Mais que m'offre-tu en retour ? ,,,,Rien en retour, pourtant, tant
 
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