Teryar
Ouvrier
C'est ici que je posterai quelques-uns de mes écrits. J'espère que vous pourrez en profiter.
Poèmes :
Poèmes :
Sur la mer rivage lointain
S'abîment mes écrits incertains
Reflets de mon entrain
À garder l'esprit serein
Je brûle d'une fièvre intérieure
Qui me pousse à l'extérieur
À sans cesse divaguer de peur
De faire face à mon horreur
Contemplant l'abîme qui m'entoure
Je me transforme en troubadour
Jouant de mon luth nommé amour
À en devenir fiévreux et sourd
La paresse, témoin de ma faiblesse
Me joue des tours sans cesse
Dans ma recherche de richesses
Et ma quête éternelle d'ivresse
S'abîment mes écrits incertains
Reflets de mon entrain
À garder l'esprit serein
Je brûle d'une fièvre intérieure
Qui me pousse à l'extérieur
À sans cesse divaguer de peur
De faire face à mon horreur
Contemplant l'abîme qui m'entoure
Je me transforme en troubadour
Jouant de mon luth nommé amour
À en devenir fiévreux et sourd
La paresse, témoin de ma faiblesse
Me joue des tours sans cesse
Dans ma recherche de richesses
Et ma quête éternelle d'ivresse
L'intensité de ma sensibilité
A fleur de peau, créditée
De ma volonté à espérer
M'offre le cœur de ma bien-aimée
Désir, quand tu me trouve
Je t'espère, toi qui me couve
De ta protection, digne d'une louve
Qui de sa férocité me le prouve
A fleur de peau, créditée
De ma volonté à espérer
M'offre le cœur de ma bien-aimée
Désir, quand tu me trouve
Je t'espère, toi qui me couve
De ta protection, digne d'une louve
Qui de sa férocité me le prouve
Timbre de ma voix, épistolaire
Qui me guide vers la lumière
Dans un partage de mystères
Et de rêves pourtant sincères
Je me guide à travers toi, véridique
Sur un chemin fait de briques
Et de décors beaux et magiques
Traversant les monuments antiques
Me remémorant les arènes d'antan
Où dans le creux de nos sentiments
Nous parvînmes à faire un serment
D'amitié, où rester fidèles et grands
Qui me guide vers la lumière
Dans un partage de mystères
Et de rêves pourtant sincères
Je me guide à travers toi, véridique
Sur un chemin fait de briques
Et de décors beaux et magiques
Traversant les monuments antiques
Me remémorant les arènes d'antan
Où dans le creux de nos sentiments
Nous parvînmes à faire un serment
D'amitié, où rester fidèles et grands
Vendredi, on dit que tout est permis
Mais pour moi tout est circonscrit
Trop de liberté, trop d'ennui, c'est fini
J'en m'en vais loin de ce jour honni
Je préfère les jours lassants du labeur
Oh ! J'aimerais ne plus avoir peur
De cet avant week-end qui m'apeure
M'enfermant en une horrible rancœur
Café, cigarettes, ma santé s'y abîme
Comme la montagne, et son infinie cime
M'enjoignant à commettre les crimes
De la paresse et de ses affreuses rimes
Je préfère la joie du lundi, son réveil
Matinal, son coucher apostolique veille
Jusqu'au lendemain, rêve de treille
Et de bonheur, labeur fait de bon cœur
Mais pour moi tout est circonscrit
Trop de liberté, trop d'ennui, c'est fini
J'en m'en vais loin de ce jour honni
Je préfère les jours lassants du labeur
Oh ! J'aimerais ne plus avoir peur
De cet avant week-end qui m'apeure
M'enfermant en une horrible rancœur
Café, cigarettes, ma santé s'y abîme
Comme la montagne, et son infinie cime
M'enjoignant à commettre les crimes
De la paresse et de ses affreuses rimes
Je préfère la joie du lundi, son réveil
Matinal, son coucher apostolique veille
Jusqu'au lendemain, rêve de treille
Et de bonheur, labeur fait de bon cœur
L'amour, cet esprit incertain
Impétueux dans son entrain
Est-il pour autant sain ?
N'est-il pas un idéal vain ?
Il me semble pourtant juste
Tel la campagne et ses arbustes
L'amour réside dans nos bustes
Mais n'est-il pas vétuste ?
Ces questions quoi qu'il en soit
Sont le propre d'un entre-soi
Mais je ne le trouve pas en moi
Et n'en fait point mon habitat
Je préfère l'amitié pour ma part
Car rien en elle n'est avare
Généreuse comme un beau soir
D'été, et telle la neige, rare
De pouvoir partager, un jour
Un mérite qui pour toujours
Ravira le cœur d'un être lourd
Du poids de mes pourtours
Impétueux dans son entrain
Est-il pour autant sain ?
N'est-il pas un idéal vain ?
Il me semble pourtant juste
Tel la campagne et ses arbustes
L'amour réside dans nos bustes
Mais n'est-il pas vétuste ?
Ces questions quoi qu'il en soit
Sont le propre d'un entre-soi
Mais je ne le trouve pas en moi
Et n'en fait point mon habitat
Je préfère l'amitié pour ma part
Car rien en elle n'est avare
Généreuse comme un beau soir
D'été, et telle la neige, rare
De pouvoir partager, un jour
Un mérite qui pour toujours
Ravira le cœur d'un être lourd
Du poids de mes pourtours
Qui suis-je pour t'espérer
Dans ma si folle témérité ?
Je te crédite de mon amour
Paré de ses plus beaux atours
Mais que m'offre-tu en retour ?
Toi, indicible fruit de velours
Ton cœur est le barème de ma cour
Et le jardin de notre basse-cour
Je t'aime à en mourir, sans
Rien en retour, pourtant, tant
A me donner, me faire perdre
En conjectures, adossé au cèdre
De mes états d'esprit.
Dans ma si folle témérité ?
Je te crédite de mon amour
Paré de ses plus beaux atours
Mais que m'offre-tu en retour ?
Toi, indicible fruit de velours
Ton cœur est le barème de ma cour
Et le jardin de notre basse-cour
Je t'aime à en mourir, sans
Rien en retour, pourtant, tant
A me donner, me faire perdre
En conjectures, adossé au cèdre
De mes états d'esprit.
Je rêve souvent d'un pays de merveilles
Fait de pommes et de mirabelles
Où je pourrais être libre de mes mœurs
Et indicible dans mes rancœurs
Ce pays, parangon de mon état de veille
Eternelle ivresse saupoudrée de miels
Venus des horizons d'un lointain Eldorado
Me ramène à l'outrage de mon ego
Cependant, loin de moi se profile
L'arbre nécessaire au fruit de mon labeur
Et, me résignant à cueillir les fleurs
Poussant sur cette merveilleuse île
Je me dis que peut-être, un jour
Les caresses portées sur tes atours
Pourront à leur tour
Ajourner mon désir d'un éternel retour
Fait de pommes et de mirabelles
Où je pourrais être libre de mes mœurs
Et indicible dans mes rancœurs
Ce pays, parangon de mon état de veille
Eternelle ivresse saupoudrée de miels
Venus des horizons d'un lointain Eldorado
Me ramène à l'outrage de mon ego
Cependant, loin de moi se profile
L'arbre nécessaire au fruit de mon labeur
Et, me résignant à cueillir les fleurs
Poussant sur cette merveilleuse île
Je me dis que peut-être, un jour
Les caresses portées sur tes atours
Pourront à leur tour
Ajourner mon désir d'un éternel retour
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