Mais une poignée de villageois toujours dévoués à Antoineman commencèrent à comploter contre Speedy. Une nuit, ils décidèrent d'agir. 5 rebelles s'infiltrèrent dans la cité grâce à un ami passeur. Ils se rendirent au château ni vu ni connu et, pendant que les 4 autres montaient la garde, le chef passa sous le nez des gardes pour arriver à la chambre de Speedy.Il y rentra et y trouva Speedy, dos à lui, en train de fouiller dans des papiers. Grâce à son talent d'espion, il ôta la couronne de la tête de Speedy sans que celui-ci s'en aperçoive. C'est alors qu'il vu les papiers que Speedy lisait. Ça disait : «Plan d'extermination des rebelles». Le document indiquait que Speedy allait attaquer la base rebelle le lendemain pour la prendre par surprise. Le rebelle sauta donc par la fenêtre et descendit quelques fenêtres plus bas où il entra. C'était la salle des armes. Ce qui faisait la force de Speedy, c'était qu'il ensorcelait ses armes avec la pierre de puissance, une gemme qui rend les armes qu'elle touche magiques. Mais sa faiblesse, c'était que c'était très explosif. C'était une pierre unique que seul Speedy possédait. Le rebelle fit donc exploser la gemme, ce qui rendu toutes les armes de Speedy et de ses soldats normales et fit exploser la moitié du château, dont la salle des armes qui contenait la quasi totalité des armes. Seules quelques unes étaient gardées ailleurs, mais elles n'étaient plus ensorcelées, donc inoffensives. Le rebelle s'enfuit en vitesse mais Speedy l'attendait.
-C'est donc toi, le chef de ces rebelles qui m'empêchent de prospérer?
Le chef garda le silence.
-Dit moi où se cache Antoineman et je te laisserai la vie sauve, dit-il.
-Non...
-Bien, alors, prépare toi à souffrir
Alors, le rebelle sauta par dessus Speedy et s'enfuit, mais Speedy eu le temps de voir que le chef de la rébellion n'était ni plus ni moins que celui qu'il cherchait, Antoineman...
Antoineman ayant prévenu les rebelles, l'attaque du lendemain fut un désastre pour l'armée de Speedy qui fut ravagée. Speedy revint donc chez lui piteux et sans aucun soldat pour l'aider, alors que la rébellion s'organisait dans la ville et que de plus en plus de personnes rejoignait le camp des rebelles.