DeletedUser14976
Guest
Comme les saisons réapparaissent avec régularité, je fais mon retour sur cette partie du forum que j'affectionne particulièrement.
Je vous présente une de mes dernières créations. J'espère qu'il vous plaira
Pour ceux ou celles qui souhaiteraient découvrir certains de mes écrits, je vous propose de visiter mon blog entièrement dédié à la poésie : http://coeur-ardent.over-blog.com/
Bonne lecture
Le morose qui s'impose...
D'où viennent ces cris qui résonnent dans sa tête ?
Sur le parquet, tes mégots de lendemain de fête.
Elle entend ta voix dans son sommeil, et tes caresses...
Tout comme tes pas dans le vent, qui disparaissent.
Elle ne devrait pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Où sont passé ces milliers d'instants, que tu émerveilles ?
Accroupie sur le parquet, elle vide encore une bouteille.
Elle ouvre les yeux au matin, mais son ciel est rouge.
Tout comme le sang sur ses mains. Sa vie s'égoutte.
Elle ne doit pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Où vont ces gens qui s'aiment, avant qu’arrive la tristesse ?
Livide sur le parquet, elle saigne, c'est l'amour en détresse.
Tout comme ce voile qui se tend et recouvre le jour.
Son cœur s’enfuit lentement, impossible retour.
Elle ne peut pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Restera cette musique dans sa tête. Qui résonne.
Sur le parquet il y a un avis de tempête, il y a plus personne.
Seulement sa vie qui s’égraine, de ses amours mortes.
En s'envolant elle voit les vestiges de la fête, mais peu importe.
Elle n'aurait pas dû rester seule.
Si seule, face au morose qui s'imposait sur son rose.
By Vim.
Je vous présente une de mes dernières créations. J'espère qu'il vous plaira
Pour ceux ou celles qui souhaiteraient découvrir certains de mes écrits, je vous propose de visiter mon blog entièrement dédié à la poésie : http://coeur-ardent.over-blog.com/
Bonne lecture
Le morose qui s'impose...
D'où viennent ces cris qui résonnent dans sa tête ?
Sur le parquet, tes mégots de lendemain de fête.
Elle entend ta voix dans son sommeil, et tes caresses...
Tout comme tes pas dans le vent, qui disparaissent.
Elle ne devrait pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Où sont passé ces milliers d'instants, que tu émerveilles ?
Accroupie sur le parquet, elle vide encore une bouteille.
Elle ouvre les yeux au matin, mais son ciel est rouge.
Tout comme le sang sur ses mains. Sa vie s'égoutte.
Elle ne doit pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Où vont ces gens qui s'aiment, avant qu’arrive la tristesse ?
Livide sur le parquet, elle saigne, c'est l'amour en détresse.
Tout comme ce voile qui se tend et recouvre le jour.
Son cœur s’enfuit lentement, impossible retour.
Elle ne peut pas rester seule.
Seule, face au morose qui s'impose sur le rose.
Restera cette musique dans sa tête. Qui résonne.
Sur le parquet il y a un avis de tempête, il y a plus personne.
Seulement sa vie qui s’égraine, de ses amours mortes.
En s'envolant elle voit les vestiges de la fête, mais peu importe.
Elle n'aurait pas dû rester seule.
Si seule, face au morose qui s'imposait sur son rose.
By Vim.