1940 : Révolution dans le monde linguistique
Tout a commencé avec une pétition, lancée par un consortium composé de 12458 Toulousains, auprès du Comité Anglo-Saxon pour le Soutien, la Promotion Intensive, l'Enseignement et le Développement (C.A.S.S.P.I.E.D.) de l'anglais, afin que le verbe "to lose" ("perdre") soit supprimé de la langue anglaise et remplacé par un autre mot, à connotation moins négative à l'encontre de notre bonne Ville Rose.
En effet, ce verbe "to lose" de par sa prononciation et également son dérivé "loser" ("perdant") a été jugé préjudiciable, certains plaisantins outre-Manche n'hésitant pas à multiplier les jeux de mots douteux, particulièrement dans la presse.
Le C.A.S.S.P.I.E.D. ayant violemment rejeté cette proposition, la quasi-totalité des Toulousains sont montés au créneau, et en quelques mois, on a pu assister à une prise des armes, une déclaration d'indépendance de la part de Toulouse et sa région, un bombardement nucléaire sur Londres, (merci à la Russie pour son appui logistique) qui a encore réduit Londres en cendres, et une annexion de l'île avec l'aide matérielle et humaine des Irlandais et des Écossais. (qui ont vu dans cette opération l'occasion idéale de bouter l'Anglois hors de leur territoire, une bonne fois pour toutes)
Les vainqueurs Toulousains ont, à la suite de cette victoire écrasante, installé leur base arrière dans l'ancienne ville de Londres, qu'ils ont rebaptisée, pour marquer le coup, en "Tou-Ouine" ("to win")
"Mwouhahaha" (ça c'est le rire de Loup T.)