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[JEU] L'Histoire sans fin...

  • Auteur de la discussion Ludoveik
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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouvé une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générée un effervescence au sein de la cité
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouvé une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait ....
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouvé une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouvé une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouvé une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conscéquent, une terrible frayeur
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi...
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui meme a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais .....
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte.
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté ...
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté en veau t'il vraiment la peine de se sacrifier pour le récupéré et au finale avoir une femme qui causerais sa perte, dans quel direction .....
 

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Aquilamaximus

Empereur
Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté en veau t'il vraiment la peine de se sacrifier pour le récupéré et au finale avoir une femme qui causerais sa perte, dans quelle direction devait il aller. Milles idées se bousculées dans sa tête sans pour autant faire émerger la solution idoine. Il avait envie d' hurler quand un dragon descendit des cieux. L’animal était majestueux et imposant . Partagé entre la peur et la fascination il ne put s'empêcher de l'observer. Mais à mesure que le dragon s'approchait, il se rendait compte du risque qu'il prenait. Ce genre de créature est connu pour son comportement imprévisible, mais l'empereur aurait bien voulu tourner cette visite à son avantage. C'est alors que la bête tourna sa gigantesque tête dorée, et, croisant le regard du souverain, il lâcha un gémissement à terrasser une montagne. Ce dernier, qui bien évidemment parlait dragonnien depuis sa tendre enfance, comprit que..loin de pouvoir éventuellement l'aider, le dragon avait lui-même des problèmes! Notre empereur, ayant une bien piètre opinion des femmes, se dit alors, que finalement peut-être il serait moins compliqué de venir en aide au dragon que de trouver l'épouse idéale.
Ayant mûrement réfléchi, il décida de venir en aide au dragon, mais il ne pensait pas que cela allait à jamais changer sa vie. Il ne pouvait plus faire marche arrière. Il s'avança, et demanda ce qu'il pouvait faire pour aider le dragon.
 

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Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté en veau t'il vraiment la peine de se sacrifier pour le récupéré et au finale avoir une femme qui causerais sa perte, dans quelle direction devait il aller. Milles idées se bousculées dans sa tête sans pour autant faire émerger la solution idoine. Il avait envie d' hurler quand un dragon descendit des cieux. L’animal était majestueux et imposant . Partagé entre la peur et la fascination il ne put s'empêcher de l'observer. Mais à mesure que le dragon s'approchait, il se rendait compte du risque qu'il prenait. Ce genre de créature est connu pour son comportement imprévisible, mais l'empereur aurait bien voulu tourner cette visite à son avantage. C'est alors que la bête tourna sa gigantesque tête dorée, et, croisant le regard du souverain, il lâcha un gémissement à terrasser une montagne. Ce dernier, qui bien évidemment parlait dragonnien depuis sa tendre enfance, comprit que..loin de pouvoir éventuellement l'aider, le dragon avait lui-même des problèmes! Notre empereur, ayant une bien piètre opinion des femmes, se dit alors, que finalement peut-être il serait moins compliqué de venir en aide au dragon que de trouver l'épouse idéale. Ayant mûrement réfléchi, il décida de venir en aide au dragon, mais il ne pensait pas que cela allait à jamais changer sa vie. Il ne pouvait plus faire marche arrière. Il s'avança, et demanda ce qu'il pouvait faire pour aider le dragon. Ce dernier répondit : "Comment oses-tu, misérable petit être, pouvoir prétendre aider un animal tel que moi !" Vexé, le dragon tourna le dos au souverain, et juste avant qu'il ne prenne son envol...
 

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Guest
Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté en veau t'il vraiment la peine de se sacrifier pour le récupéré et au finale avoir une femme qui causerais sa perte, dans quelle direction devait il aller. Milles idées se bousculées dans sa tête sans pour autant faire émerger la solution idoine. Il avait envie d' hurler quand un dragon descendit des cieux. L’animal était majestueux et imposant . Partagé entre la peur et la fascination il ne put s'empêcher de l'observer. Mais à mesure que le dragon s'approchait, il se rendait compte du risque qu'il prenait. Ce genre de créature est connu pour son comportement imprévisible, mais l'empereur aurait bien voulu tourner cette visite à son avantage. C'est alors que la bête tourna sa gigantesque tête dorée, et, croisant le regard du souverain, il lâcha un gémissement à terrasser une montagne. Ce dernier, qui bien évidemment parlait dragonnien depuis sa tendre enfance, comprit que..loin de pouvoir éventuellement l'aider, le dragon avait lui-même des problèmes! Notre empereur, ayant une bien piètre opinion des femmes, se dit alors, que finalement peut-être il serait moins compliqué de venir en aide au dragon que de trouver l'épouse idéale. Ayant mûrement réfléchi, il décida de venir en aide au dragon, mais il ne pensait pas que cela allait à jamais changer sa vie. Il ne pouvait plus faire marche arrière. Il s'avança, et demanda ce qu'il pouvait faire pour aider le dragon. Ce dernier répondit : "Comment oses-tu, misérable petit être, pouvoir prétendre aider un animal tel que moi !" Vexé, le dragon tourna le dos au souverain, et juste avant qu'il ne prenne son envol, le dragon renversa un flambeau, situé non loin de là, avec sa gigantesque queue, le feu s'empressa de grimper à de riches tissus qui ornaient les murs, le feu s’étendit rapidement...
 

Aquilamaximus

Empereur
Dans la cité de l'Empereur qui pensait tout savoir se déroula une tragédie, quelqu'un lui vola son sceptre magique que lui avait offert le grand Sorcier de la contrée du nord et de l'ouest. En vain il envoya son caniche préféré le récupérer. Las de ces tentatives, il voulut mourir comme l'avait fait son grand-oncle, le vénérable Arius 1° qui avait bu du sang de nain des falaises jusqu'à en être totalement bourré et se noyer dans sa soupe au potiron. Il ordonna à ses hommes d'aller lui chercher une jolie fille d'un mètre cinquante-neuf précisément et surtout qu'elle ait les cheveux aussi noirs que le charbon. Trouver une telle jeune fille ne fut pas une chose aisée car en apprenant la recherche de cet homme, les jeunes filles qui correspondaient à ces critères s'étaient empressées de déserter la contrée ou bien avaient trouvé refuge dans les mines souterraines. D'autres, afin de ne pas répondre aux critères imposés, avaient passé des jours et des jours à s'auto-torturer sur l'écarteleur dans l'espoir de gagner quelques centimètres. En un mot cette situation générait une effervescence au sein de la cité, et chaque homme du peuple se trouvait à penser que sa dulcinée ou promise pouvait correspondre aux critères, ou bien sa propre fille. Par conséquent, une terrible frayeur balaya l'empire, d'autant que l'Empereur n'avait toujours pas retrouvé son sceptre magique. C'est ainsi, qu'il se mit lui même a la recherche de cette fille qui lui manque tant, mais son Oracle le prévint : elle allait lui cause sa perte. Il était devant un dilemme difficile : la fille était le seul moyen de récupérer son sceptre, mais d'un autre côté en veau t'il vraiment la peine de se sacrifier pour le récupéré et au finale avoir une femme qui causerais sa perte, dans quelle direction devait il aller. Milles idées se bousculées dans sa tête sans pour autant faire émerger la solution idoine. Il avait envie d' hurler quand un dragon descendit des cieux. L’animal était majestueux et imposant . Partagé entre la peur et la fascination il ne put s'empêcher de l'observer. Mais à mesure que le dragon s'approchait, il se rendait compte du risque qu'il prenait. Ce genre de créature est connu pour son comportement imprévisible, mais l'empereur aurait bien voulu tourner cette visite à son avantage. C'est alors que la bête tourna sa gigantesque tête dorée, et, croisant le regard du souverain, il lâcha un gémissement à terrasser une montagne. Ce dernier, qui bien évidemment parlait dragonnien depuis sa tendre enfance, comprit que..loin de pouvoir éventuellement l'aider, le dragon avait lui-même des problèmes! Notre empereur, ayant une bien piètre opinion des femmes, se dit alors, que finalement peut-être il serait moins compliqué de venir en aide au dragon que de trouver l'épouse idéale. Ayant mûrement réfléchi, il décida de venir en aide au dragon, mais il ne pensait pas que cela allait à jamais changer sa vie. Il ne pouvait plus faire marche arrière. Il s'avança, et demanda ce qu'il pouvait faire pour aider le dragon. Ce dernier répondit : "Comment oses-tu, misérable petit être, pouvoir prétendre aider un animal tel que moi !" Vexé, le dragon tourna le dos au souverain, et juste avant qu'il ne prenne son envol, le dragon renversa un flambeau, situé non loin de là, avec sa gigantesque queue, le feu s'empressa de grimper à de riches tissus qui ornaient les murs, le feu s’étendit rapidement...

Il arriva bientôt près de l'empereur, sa tunique allait prendre feu sous peu, quand soudain, il vit sur la droite, une petite crevasse, il s'y dirigea, et faillit tomber, en effet....
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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