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Un peu de poésie!

Philian

Banni
"Le temps d'une fiction..."

Dès les premiers instants, de vives sensations
Le puissant tourbillon, des plus doux sentiments
Au cœur de la passion et de tous ses tourments
Le regain désarmant, d'une énorme attention

A chaque apparition, elle crève l'écran
En un jeu saisissant, frôlant la perfection
Sublime femme-enfant, aux désirs d'évasion
Suivant les intuitions, de son cœur innocent

Ce film m'évoque tant, ton immense affection
L'incroyable émotion de revoir les moments
De nôtre douce union aux éclats de printemps

Magnifique éclosion, un "Eastwood" flamboyant
Sans armes ni action, musique de "Legrand"
"Breezy" est rayonnant, un divin trait d'union...


(Phil Ver / 2022 / Sonnet)

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kyhd

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kyhd

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Attention à ce que vous publiez. Bien que ce soit un espace libre, tout n'est pas permis.
 
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Philian

Banni
"Ça suffit!"

D'une mine hébétée, la frayeur dans les yeux
Loin des jours vaniteux, de croyance entêtée
Ils sentent peu à peu, l'odeur de vérité
Commencent à capter, les mensonges odieux.

Sous couvert de santé et autres faits douteux
Loin de l'aspect sérieux, ils ont tout accepté
Jusqu'à jouer le jeu, perdre leur dignité
Cédant leurs libertés, sans même un désaveu.

Aujourd'hui injectés et toujours contagieux
Un soupçon révoltés, il se font plus soucieux
Du manège mafieux, que l'on veut nous dicter.

D'une unique fierté, ne soyons plus niaiseux
Grand temps de constater, leurs desseins nébuleux
Je nous sais malheureux, il faut tout arrêter...

(Phil Ver / 2022 / Sonnet)


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Philian

Banni
"Pour l'amour de nôtre bien...'

De nôtre humanité, dans toute sa bonté
Ils se jouent de nos peurs, par des discours trompeurs
Nous affectent le cœur, en décrets de malheur
Détruisent nos libertés, ruinent notre santé

De leur perversité, blindée de lâcheté
Se trahit la noirceur, de tout leur déshonneur
Nos âmes se meurent, pour leur plus grand bonheur
Déjà tant infectées, par leur insanité

Loin de la vérité, de nôtre destinée
En ces jours sans pitié, il faut nous réveiller
D'une divine ardeur, renverser la vapeur

Fatigués d'acquiescer, ne plus rien concéder
Pour une éternité, tous les envoyer chier
Retrouvons nos valeurs, notre unique splendeur...

(Phil Ver 2021 / Sonnet)

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Philian

Banni
"Triste ignominie..."

Aux yeux de ce triste monde
En faire tous des terroristes
Des malfaisants, des fous de Dieu
Un peuple de vifs parasites
Des nouveaux-nés aux derniers vieux
Un projet diablement immonde

Pour accomplir leur triste affaire
Les concentrer, les enclaver
Les démunir, les avilir
Les affamer, les décimer
Se réjouir de les voir mourir
À tout jamais les faire taire

Ironie de ce triste sort
Croire en l'inutile ONU
Cent quatre vingts treize états
Qui ne bougent pas leurs gros culs
Laissant la bande de Gaza
A ses malheureuses aurores

Une seule et triste question
Combien d'offensives encore
Pour anéantir le troupeau
A ne plus dénombrer les morts
Hisser un tout autre drapeau
Célébrer l'extermination...

(Phil Ver 2020, octosyllabe)

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Philian

Banni
"Respects..."

A travers les terres, se rassemblent les cœurs
Dans le bruit des moteurs, du convoi en colère
Ignorant la froideur, d'un rigoureux hiver
Sédition sincère, d'une incroyable ardeur

La magie opère, une nation fait chœur
Unie pour un meilleur, quitte à le payer cher
S'en est allée la peur, des mensonges pervers
A ne plus se taire, devant les oppresseurs

Ottawa prend couleur, son peuple se libère
En chaque camionneur, rejaillit la lumière
D'une âme si fière à regagner son honneur

Le sentiment majeur, d'un élan populaire
Dont le flux salvateur, franchira les frontières
Pour défier de concert, leur satanée terreur...

(Phil Ver / 2022 / Sonnet)

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Philian

Banni
"L'âme animale..."

Désirer un tout autre ailleurs
Tant qu'à faire, cent fois meilleur
Ce besoin de changer de peau
De m'échapper loin du troupeau


Ne plus être le spectateur
Devenir l'auteur et l'acteur
D'un magnifique scénario
Les animaux en seuls héros

Toujours d'égale et douce humeur
Sans le moindre soupçon d'aigreur
Comme le bel éléphanteau
Qui aime se jouer de l'eau

Respirer toute la douceur
Ressentir avec tout son cœur
Comme le cheval au galop
Sur de sublimes littoraux

La vie sans aucune laideur
Très loin de toutes ses horreurs
Comme les fiers aigles royaux
Qui contemplent cela d'en haut

Etre enfin le réjoui vainqueur
De toutes mes intenses peurs
Me redécouvrir aussi beau
Qu'un majestueux lionceau...

(Phil Ver 2018, octosyllabe)

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Philian

Banni
"A chacun sa vérité..."

Tous ces profonds ahuris
Aux insensées théories
Remémorant notre histoire
Comme seul fruit du hasard

Le fou récit du big bang
Seulement celui d'un gang
Darwin et l'évolution
Une aigre prostitution

Les six missions "Apollo"
Comme ce fut rigolo
Les faits de l'humanité
Sans relâche falsifiés

Absurde la belle idée
De croire en leur vérité
Arrêtons de tout gober
Commençons par écouter

Observons ce qui peut l'être
En se méfiant du paraitre
Posons-nous les vraies questions
Crions-leur nos objections.

Pourquoi pas un créateur
De toute cette splendeur
Pourquoi pas la religion
Face à tant d'aberrations...

(Phil Ver 2019, heptasyllabe)

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Philian

Banni
"Tu ne tueras point..."

En ce centième et triste anniversaire
De ces quatre années des plus meurtrières
C'est à vous seuls que je lève mon verre
Vous qui avez fui cette immonde guerre

Respectables et braves déserteurs
De toute cette démoniaque horreur
Vous êtes les véritables vainqueurs
De ce noble et obligeant choix du cœur

Vous vouliez simplement rester vivants
Vivre de nouveaux merveilleux printemps
Chérir passionnément femme et enfants
Ne pas trépasser pour rien dans un champ

Les lâches vous traiteront de couards
De ne pas avoir suivi l'étendard
Tous ces politicards en beaux costards
Planqués loin de leur putain de bagarre

Au-delà de cette peur de tomber
Il y a avant tout celle de tuer
Quitte à finir maté et fusillé
Sous un dernier et doux soleil d'été...

(Phil Ver 2018, Décasyllabe)

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kyhd

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Bonjour Phillian,
Il est interdit de supprimer ou d'éditer un post qui a été modéré. Par conséquent, je vous prierai de cesser de supprimer le post modéré.
Merci de l'attention apportée à mon message.
 

Philian

Banni
"Tout ce que je mérite..."

Après quelques verres, d'une ordinaire cuite
Ressurgit mon Edith, l'éclat de mes yeux verts
J'ai le cœur qui palpite et la tête à l'envers
En cet immense hiver, notre amour ressuscite

Au plus fou de l'alcool, une fable inédite
Une soif sans limite et une appétence folle
La peur qui m'agite et que plus rien ne console
Très loin d'être drôle, ton doux reflet me quitte

Un vieux blues s'invite, il me noie de tristesse
Mon phrasé hésite, je me reprends sans cesse
L’âme vengeresse, ton absence m'irrite

Finir la bouteille, me saborder plus vite
S'évanouit mon soleil, ma belle aphrodite
Réalité ou mythe, J'ai perdu l'essentiel...


(Phil Ver 2021 / Sonnet)

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Philian

Banni
"Réminiscence..."

Comme il m'est facile, de te chérir encore
Exempt de tout effort, ma mémoire jubile
Tout l'éclat de l'aurore en seul témoin subtil
Dans les couleurs d'avril, puiser ton réconfort

Comme il m'est si léger, de te savoir heureuse
En journées joyeuses, sans le moindre danger
D'une harmonie rieuse en beaux désirs partagés
Comme à notre apogée, une copie radieuse

Comme il m'est vraiment doux, d'aimer pouvoir te dire
En mes mots qui se jouent, d'un immense plaisir
Le temps d'un sourire, que tu fus mon Pérou

Comme il m'est très heureux, de t'avoir câlinée
Du seul bleu de tes yeux, tu m'auras tant donné
De nos jours passionnés, j'ai le rêve gracieux...

(Phil Ver 2020, Sonnet)

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Philian

Banni
"Romance enchantée..."

J'entends de par tes yeux, un air si délicieux
Au rythme mélodieux, tout droit venu des cieux
Comme de par ta voix, le plus bel opéra
Nommé "La Traviata", l'éclat de "Violetta"

J'entends de par tes mains, ce sublime refrain
Que j'aimais fredonner, quand j'étais tout gamin
Comme de par ton corps, les plus profonds accords
D'un génial disque d'or, au délice sonore

J'entends de par ton cœur, le plus grand des rockers
Au style ravageur, au déhanché joueur
Comme de par ta joie, les succès d'autrefois
Que l'on chante parfois, bien tranquille chez soi

J'entends de par mes nuits, un chantre de génie
Au bout de l'insomnie, cela s'est mal fini
Comme de par mes peurs, la douleur d'un crooner
Les pleurs de sa noirceur, noyant toute lueur...

(Phil Ver 2019, Alexandrin)

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Philian

Banni
"Pauvre de moi..."

Je n'ai pas hésité, pour ne plus me mentir
A la laisser s'enfuir, l'astreindre à me quitter
Ne pouvant lui offrir, tout ce qu'elle méritait
J'ai cessé de lutter, quitte à vraiment souffrir

De tout ce qu'elle était, je n'ai pas su saisir
Qu'elle ait pu me choisir, à ce point se planter
A sans fin sourire, à m'aimer sans compter
J'ai trahi sa bonté, perdu dans mon délire

J'aimerais revenir, au jour de cet été
En l'instant enchanté, où je l'ai vue rougir
Pour ne pas m'y pointer, la laisser repartir

En ses yeux bleu-saphir, j'ai fini d'exister
Je me dois l'accepter, ne jamais en guérir
Je l'ai bien mérité, il m'est temps d'en mourir...

(Phil Ver / 2022 / Sonnet)

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Philian

Banni
"Je ne t'oublierai pas..."

Je ne t'oublierai pas, c'est impossible en soi
Que je le veuille ou pas, tu seras toujours là
Tu fais partie de moi, tu as tout fait pour ça
Je n’ai pas d'autre choix que ce cruel karma

Je ne t'oublierai pas et je sais bien pourquoi
Ton délicieux minois, mes yeux comblés de joie
La douceur de ta voix, la chaleur de nos bras
Le bonheur à tout-va d'un amour nirvana

Je ne t'oublierai pas au contraire de toi
Quel profond désarroi d'avoir perdu ta foi
De ce sombre constat, mon âme s'apitoie

Je ne t'oublierai pas en cet immense froid
Je les entends déjà, les voix de l'au-delà
Tous les "Ave Maria" ne changeront cela...


(Phil Ver / 2022 / Sonnet)

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