Vivi586
Cueilleur
Très chère petite voix… La ferme !
A cause de toi, petite voix, j’ai failli ne même pas essayer, ne même pas tenter le coup. Alors que je risquais quoi, franchement ? Que je ne corresponde pas à ce qu’il recherche ? En vrai, ce n’est pas ça qui te fait peur… Ce qui te fait vraiment peur, petite voix, c’est qu’au contraire je corresponde à ce qu’il recherche !
Tu as peur que je réussisse, car cela me sortirait de ce joli cocon où tu veux me garder, ce cocon dont tu veux m’empêcher de sortir. Si je n’en sors pas, je ne risque pas l’échec et mon ego est bien protégé.
Je sais que tu veux me protéger, petite voix de la peur.
Mais j’ai besoin de sortir de ce cocon. J’ai besoin de prendre des risques pour grandir, j’ai besoin d’évoluer pour atteindre mes objectifs et pour vivre ma vie idéale. Je sais que ça te fait peur, je sais que tu paniques à l’idée que je mette mon ego en danger, à l’idée que je sois vulnérable. Je te comprends, et j’ai peur avec toi. Tu sais, ce n’est pas confortable pour moi, mais c’est nécessaire. Aujourd’hui tu as peur que je passe à l’action, mais moi j’ai peur d’un jour regretter de ne pas l’avoir fait.
Alors, petite voix de la peur, je ne t’ai pas écouté.
J’ai envoyé mon book, et je verrai bien ce qu’il se passe. Je sais que si je suis retenue, tu me diras que je n’aurai pas dû, que je ne serai pas à la hauteur, que je vais être humiliée etc… Je te connais, avec le temps. Je t’entends à chaque fois, mais je décide de t’écouter de moins en moins, car si je t’écoute je ne progresserai jamais.
Je sais que tes attentions sont bonnes, comme un parent qui veut éviter des souffrances à son enfant.
Certes, en ne prenant aucun risque j’évite les échecs. Mais j’évite aussi les réussites, et pour cela je ne peux pas te laisser faire. Le temps passe, je ne peux pas rester assise en regardant les opportunités me passer sous le nez, juste parce que tu as peur pour moi.
Tu me dis sans cesse que je ne serai pas assez bien, que le monde est dangereux, que je vais souffrir… Mais tu te trompes.
Tu veux me faire croire le contraire, mais je sais que j’ai de la valeur et que je suis légitime dans mon travail, je sais que je le fais bien. Tu veux me faire croire que le monde est dangereux, mais j’ai fait de merveilleuses rencontres qui m’ont tellement enrichie. Tu veux me faire croire que je vais souffrir, mais en prenant des risques de belles choses me sont arrivées.
Alors, même si ça te déplaît chère petite voix, je prends le risque.
Cette fois-ci tu as perdu petite voix. Je prends le risque d’échouer et de souffrir, mais c’est pour avoir la possibilité de réussir et d’être plus heureuse.
Sans rancune j’espère ! Je suis sûre que l’on se reverra bientôt, petite voix : je te connais
A cause de toi, petite voix, j’ai failli ne même pas essayer, ne même pas tenter le coup. Alors que je risquais quoi, franchement ? Que je ne corresponde pas à ce qu’il recherche ? En vrai, ce n’est pas ça qui te fait peur… Ce qui te fait vraiment peur, petite voix, c’est qu’au contraire je corresponde à ce qu’il recherche !
Tu as peur que je réussisse, car cela me sortirait de ce joli cocon où tu veux me garder, ce cocon dont tu veux m’empêcher de sortir. Si je n’en sors pas, je ne risque pas l’échec et mon ego est bien protégé.
Je sais que tu veux me protéger, petite voix de la peur.
Mais j’ai besoin de sortir de ce cocon. J’ai besoin de prendre des risques pour grandir, j’ai besoin d’évoluer pour atteindre mes objectifs et pour vivre ma vie idéale. Je sais que ça te fait peur, je sais que tu paniques à l’idée que je mette mon ego en danger, à l’idée que je sois vulnérable. Je te comprends, et j’ai peur avec toi. Tu sais, ce n’est pas confortable pour moi, mais c’est nécessaire. Aujourd’hui tu as peur que je passe à l’action, mais moi j’ai peur d’un jour regretter de ne pas l’avoir fait.
Alors, petite voix de la peur, je ne t’ai pas écouté.
J’ai envoyé mon book, et je verrai bien ce qu’il se passe. Je sais que si je suis retenue, tu me diras que je n’aurai pas dû, que je ne serai pas à la hauteur, que je vais être humiliée etc… Je te connais, avec le temps. Je t’entends à chaque fois, mais je décide de t’écouter de moins en moins, car si je t’écoute je ne progresserai jamais.
Je sais que tes attentions sont bonnes, comme un parent qui veut éviter des souffrances à son enfant.
Certes, en ne prenant aucun risque j’évite les échecs. Mais j’évite aussi les réussites, et pour cela je ne peux pas te laisser faire. Le temps passe, je ne peux pas rester assise en regardant les opportunités me passer sous le nez, juste parce que tu as peur pour moi.
Tu me dis sans cesse que je ne serai pas assez bien, que le monde est dangereux, que je vais souffrir… Mais tu te trompes.
Tu veux me faire croire le contraire, mais je sais que j’ai de la valeur et que je suis légitime dans mon travail, je sais que je le fais bien. Tu veux me faire croire que le monde est dangereux, mais j’ai fait de merveilleuses rencontres qui m’ont tellement enrichie. Tu veux me faire croire que je vais souffrir, mais en prenant des risques de belles choses me sont arrivées.
Alors, même si ça te déplaît chère petite voix, je prends le risque.
Cette fois-ci tu as perdu petite voix. Je prends le risque d’échouer et de souffrir, mais c’est pour avoir la possibilité de réussir et d’être plus heureuse.
Sans rancune j’espère ! Je suis sûre que l’on se reverra bientôt, petite voix : je te connais