• Événement Historique 2024

    Vous êtes-vous déjà demandé ce qui se passerait si des personnages historiques de différentes époques et origines pouvaient se rencontrer ? Dommage si c'est le cas, car nous ne savons pas non plus ! Mais ... c'est cette idée qui nous a inspiré pour créer l'Événement Historique !

    Notre événement historique se déroulera du 6 au 27 mai ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Mai 2024 - Le coup de crayon !

    Forgiennes et Forgiens,
    Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Le coup de crayon !
    Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
  • Mise à jour 1.282

    La mise à jour 1.282 aura lieu le mercredi 08 Mai ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
    Pour une description détaillée des changements à venir, veuillez cliquer ici.

Tiens ! t'auras du boudin !

  • Auteur de la discussion Paslapourrigoler
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DeletedUser

Guest
Tout d'abord je tiens à vous saluer toutes et tous , auteurs... lecteurs (trices)... écriteurs (teuses) ^^.
Je voudrais vous préciser sans être trop prétentieux que nous souhaiterions ma co-auteur et moi-même (pour le moment) que les lecteurs évitent d'intervenir dans le texte, nous vous en serions très reconnaissant. Merci d'avance et bonne lecture... enfin on espère !

Bien entendu, vous pouvez prendre contact avec nous par mp cela va sans dire ^^




Tiens ! t'auras du boudin !​




"TCHAK"

Le père RIOLE, Thiégaud de son prénom, boucher de son état et bon gaulois à ses heures surtout en fin de journée lorsqu'il arpente les ruelles sombres pour dénicher la énième bonne taverne ou on ne sera pas trop regardant sur son état, le père Thiégaud disais-je, reste concentré sur son geste lorsqu'il découpe avec son tranchoir une belle échine de porc...

"TCHAK"

D'un revers du poignet, il s'essuie rapidement le front couvert de sueur et reprend aussitôt sa tâche. La journée est belle et le petit vent tourbillonnant qui fait lever la poussière devant son échoppe ne lui déplaît pas. Il lève enfin les yeux de son activité et regarde la ruelle qui s'anime peu à peu.
Il est encore tôt se dit-il mais il espère avec force que les clients viendront nombreux ce jour car depuis que des rumeurs de guerre se propage à grande vitesse à travers la ville, son étal fait moins recette ...

Il se retourne vivement, plisse les yeux et cherche dans la pénombre de son arrière boutique la silhouette facilement reconnaissable de son apprenti.

GUDUUULE hurle-t-il à l'adresse du jeune homme qui à plus intérêt à éviter son maître qu'à faire ce qu'il lui demande.

- Bon dieu ! il est ou ce fainéant de mes deux !
 
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DeletedUser

Guest
DONG ... DONG .... DONG .... DONG ... DONG ... DONG .... DONG .... DONG

Cunégonde a un peu flâné en revenant de laudes où elle a prié pour ses pêchés et surtout ceux à venir. Il faut dire que Mme Cunégonde est bien aise de ce dieu qui vous absout à chaque pâques pour peu d'être un tantinet austère au carême.
Comme chacun des matins de l'année , excepté les jours de grâces bien entendu, madame ouvre boutique sur la grand rue. Elle y vend les miches et la brioche que pétri et cuit par l'apprenti de son défunt mari maître Gironde, boulanger de son état.
Etat précaire ma foi car, celui ci ayant eut un mal de sang, passa à trépas en quelques heures. Il venait d'épousailler en cinquième noce la jeune Cunégonde née Francoeur et n'avait pas passé la noce que celui ci s'éffondra et ne se releva plus. Chacun le regretta pour son pain, moins pour son caractère.

Cunégonde veuve à peine après avoir dit oui se retrouva à la tête de l'affaire familiale. N'ayant ni famille, ni enfants vivants; la boutique, le fond de commerce lui revenait. Elle garda l'apprenti comme ouvrier et attira le chaland par ses manières, son sourire et son visage avenant....

TCHAC


TCHAC

GUDUUULE


Le bonheur aurait pu être parfait...
 

DeletedUser

Guest
Maître ? vous me cherchez ?

La petite voix mal assurée de l'apprenti résonne doucement dans l'arrière boutique. Le jeune homme, maigrichon s'il en est, de taille moyenne, a l'âge ou tout doit encore se faire. La tignasse brune, un visage fin mais non sans charme, des yeux d'un noir de jais, il s'approche respectueusement de son maître.

Le père RIOLE, d'un air mauvais regarde approcher son apprenti. De sa grande main salie par le sang, il désigne son étal...

- Dis donc Gudule ! les côtelettes de cochon, c'est moi qui les met sur le présentoir ? hein dis ? c'est moi ?
- Non mon maître !
- Alors magne toi un peu le derrière, avant qu'il ne rougisse, et occupe toi de ça. Je dois m'occuper des comptes dans la maison. Appelle moi s'il vient du monde compris?

- Bien maître !

Le père RIOLE se dirige au fond de sa maison et taloche, en passant, l'arrière du crâne d'un Gudule qui sourit intérieurement. C'est ça ... va boire un coup ... andouille ! pense ce dernier.
 

DeletedUser

Guest
Tout en dégageant les lourds volets de bois avec Tancrède son apprenti, Cunégonde ne peux échapper à la scène qui se déroule à quelques pieds d'elle. Il faut dire que la rue est bien étroite et n'accepte tout au plus qu'une carriole à bras. Elle aurait souhaité que l'échoppe soit sur la grande rue comme celle de son amie Gisèle l'apothicaire... mais hélas son défunt mari aimait la promiscuité... et appréciait de n'avoir que deux pas à faire pour aller jouer aux dés et s'étancher le gosier avec cet immonde Père Riole le boucher d'en face.

S'assurant que Mon sieur Riole avait tourné talon, elle héla doucement le jeune apprenti boucher.

Gudule? Viens... j'ai une brioche toute ronde pour toi.


Le même cinéma avait lieu presque chaque matin.

Viens je te dis...viens dans mon échoppe, viens.....viens....tater ma brioche... viens...

Mais le Gudule n'approchait pas et invariablement c'était Tancrède qui allait lui mettre dans la poche avec en prime une tape dans le dos.

Elle pensait par derrière elle: ... quelle misère ce jeune homme, si gentil et terrorisé par cette brute... il faut dire que la donzelle aurait bien engagé conversation avec ce jeune homme à la figure encore marqué par l'enfance. Elle se pensait bonne et bienfaisante et espérait chaque matin en secret sauver ce pauvre oisillon des mains de cet ogre malfaisant.
Après un long soupir...

Tancrède veux tu vérifier la chaleur du four pour la seconde fournée et après accorde toi un peu à manger.

Et comme chaque matin Cunégonde s'installait près de l'étal le visage souriant et le décolleté pigeonnant.
 

DeletedUser

Guest
- Alors, deux qui font dix ! et dix qui font vingt !

Les piles de pièces montaient irrégulièrement les unes à côté des autres et s'empilaient sur la table du bureau du Sieur RIOLE. Au bout de quelques minutes, celui-ci se leva, se gratta consciencieusement les fesses et se dirigea vers la fenêtre. Or, le charmant tableau qui s'offrait à sa vue le ravi. Sa voisine, la boulangère, se tenait devant son étal avec tout ce que lui offrait la nature de si tentant. Il observa une bonne minute tout ce décor affriolant et ne pouvant résister plus longtemps, ouvrit la fenêtre et s'écria :

- Oh Dame Cunégonde ! Dites ! vos miches, vous ne les prêteriez pas par hasard ? et il partit d'un rire gras en se tenant le ventre qui avait une fâcheuse tendance à tressauter, signe d'une vie bien remplie et de quelques abus notables.

Avant que sa voisine ne puisse réagir, il descendit aussitôt l'escalier menant à son étal afin de rejoindre et sans doute martyriser un peu plus son apprenti. C'est toujours riant qu'il s'approcha de lui et se penchant à son oreille lui dit :

- je lui pétrirai bien ses miches moi! pas toi ? et c'est toujours en riant qu'il repris sa besogne.
 

DeletedUser

Guest
Bien malgré moi, je me vois obligé de mettre un terme à cette histoire. Pour ne rien ajouter à ce que nous avons reçu comme message de la part des modérateurs, je vous laisse juge des propos que l'on nous a tenu, mais nous nous réservons le droit d'y laisser également notre réponse (en espérant, on peut toujours rêver, que ce ne soit pas supprimer)
Merci à tous nos lecteurs et nous sommes, encore une fois, désolés d'avoir heurté la sensibilité de certains.
Au plaisir...


[Suppression pour non respect du règlement]:
Tominor a dit :
-La copie partielle ou totale d’un message privé ne peut être rendue publique sans l’accord des deux parties.
 
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DeletedUser

Guest
Comme l'a très justement écrit mon co-équipier, nous avons répondu. Et dans un soucis d'équité je poste ce que nous avons envoyé.
En vous souhaitons une bonne continuation sur le forum et sur le jeu. Et JOYEUX NOËL!




[Suppression pour non respect du règlement]:
Tominor a dit :
-La copie partielle ou totale d’un message privé ne peut être rendue publique sans l’accord des deux parties.
 
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Aquilamaximus

Empereur
Bonsoir.

Ce genre de débat n'a pas lieu de se faire ici, ce n'est pas pour rien que je suis passé en message privé et non pas directement ici à la vue de tous :-) .

J'ai donc supprimé les messages en infractions avec le règlement.

Bonne soirée et joyeux noël.
Aquilamaximus.
 
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