DeletedUser53003
Guest
Avé à tous.
Voici un recueil regroupant quelques une de mes anciennes créations.
Bonne lecture à vous.
Poème en honneur à Hermès : (Mots imposés : Caducée, sandales, voleur, messager, voyage et Olympe)
Poème dont le thème imposé est la dorure :
Poème dont le thème imposé est le racisme :
Poème au thème particulier, se basant sur les émotions éprouvées à l'écoute de cette chanson : Low Shoulder - Through the Trees.
Poème au thème imposé : Ode au Jeans
Voici un recueil regroupant quelques une de mes anciennes créations.
Bonne lecture à vous.
Poème suite à la Saint Valentin, sur Grépolis, adressé à la douce Théssaloniké :
Ô douce Thessaloniké, Sirène au chant envoutant,
Sur le sable doux je suis étendu, face à l’océan,
Attendant patiemment que des profondeurs bleutées
Tu émerges dans les brumes de mes pensées.
Envouté par les vagues de l’émotion qui me submergent,
Entre écume et flot déchainés au gré du vent,
Je reste là, seul, attendant patiemment ton retour
Afin que de mes mots je puisse t’exprimer mon amour.
Ô douce Thessaloniké, Princess à l’éclat séduisant,
Voguent aux vents, remontant les courants,
Perles murmurant en kyrielle de mots assurés,
Viennent sur chacune de tes écailles caresser mes baisers.
Attendant patiemment que des profondeurs bleutées
Tu émerges dans les brumes de mes pensées.
Envouté par les vagues de l’émotion qui me submergent,
Entre écume et flot déchainés au gré du vent,
Je reste là, seul, attendant patiemment ton retour
Afin que de mes mots je puisse t’exprimer mon amour.
Ô douce Thessaloniké, Princess à l’éclat séduisant,
Voguent aux vents, remontant les courants,
Perles murmurant en kyrielle de mots assurés,
Viennent sur chacune de tes écailles caresser mes baisers.
Poème en honneur à Hermès : (Mots imposés : Caducée, sandales, voleur, messager, voyage et Olympe)
Toi Hermès, messager des immortels,
Entends mon appel, mes louanges.
Loin de l’Olympe, je t’implore face à cet autel,
Délivre-moi de ce fléau, de cette fange.
Toi Hermès, messager des immortels,
Vêts de tes sandales mes pieds souillés de désespoir,
Guide mes pas vers la fin de ces brouillards,
Délivre-moi de ce voyage sombre et cruel.
Toi Hermès, messager des immortels,
De ton caducée apaise mes songes emplis de larmes,
Repousse ces voleurs et offre-moi les armes
Afin que je puisse surmonter ce calvaire irréel.
Loin de l’Olympe, je t’implore face à cet autel,
Délivre-moi de ce fléau, de cette fange.
Toi Hermès, messager des immortels,
Vêts de tes sandales mes pieds souillés de désespoir,
Guide mes pas vers la fin de ces brouillards,
Délivre-moi de ce voyage sombre et cruel.
Toi Hermès, messager des immortels,
De ton caducée apaise mes songes emplis de larmes,
Repousse ces voleurs et offre-moi les armes
Afin que je puisse surmonter ce calvaire irréel.
Poème dont le thème imposé est la dorure :
Dans les ténèbres de mon âme si mutilée
Je t’implore Dionysos, de me libérer.
Damné à jamais par cette malédiction,
Ma vie depuis cette nuit n’est plus qu’infection.
Mon avarice a eu raison de mes excès,
Voilà que tout devient or au simple touché.
C’est vers toi aujourd’hui que les anges me portent,
Mais que le Diable aussi, sans accalmie, m'escorte.
Je t’implore de me libérer de ce sort,
Afin que je puisse retrouver mon aimée,
Qui depuis cette fameuse nuit charnelle à souhait,
Reflète de son éclat doré tous mes torts.
Damné à jamais par cette malédiction,
Ma vie depuis cette nuit n’est plus qu’infection.
Mon avarice a eu raison de mes excès,
Voilà que tout devient or au simple touché.
C’est vers toi aujourd’hui que les anges me portent,
Mais que le Diable aussi, sans accalmie, m'escorte.
Je t’implore de me libérer de ce sort,
Afin que je puisse retrouver mon aimée,
Qui depuis cette fameuse nuit charnelle à souhait,
Reflète de son éclat doré tous mes torts.
Poème dont le thème imposé est le racisme :
J’erre, pensive, à travers les maintes contrées
Observant ces Hommes victimes du racisme,
Ces Hommes usés par le manque de civisme
De ces oppresseurs se prétendant bonifiés.
Mon cœur est enchaîné par cette vérité,
Ce monde saturé par cette intolérance
Où la retenue ignore nos différences
Sans même se soucier de cette duplicité.
Dans mes veines coule le sang de cette rixe
Afin d’abolir toute discrimination.
Mais évitons de trop se révéler prolixe
Face à cette lutte contre l’extermination.
Ces Hommes usés par le manque de civisme
De ces oppresseurs se prétendant bonifiés.
Mon cœur est enchaîné par cette vérité,
Ce monde saturé par cette intolérance
Où la retenue ignore nos différences
Sans même se soucier de cette duplicité.
Dans mes veines coule le sang de cette rixe
Afin d’abolir toute discrimination.
Mais évitons de trop se révéler prolixe
Face à cette lutte contre l’extermination.
Poème au thème particulier, se basant sur les émotions éprouvées à l'écoute de cette chanson : Low Shoulder - Through the Trees.
Comme un vol âcre et criard d'oiseaux en émoi
Cette chanson emporte mes pleurs, mes regrets,
Tous mes souvenirs s'abattent crûment sur moi,
Et mon cœur pleure ces douloureuses pensées.
Si loin de ton regard et si loin de tes mains,
Par-delà cette chanson mon cœur se souvient,
Ton regard si élégant aux couleurs noisette,
Ton visage dans ma mémoire se reflète.
Le deuil est étendu sur ce chant douloureux
De cet oiseau qui fut mon premier grand Amour,
Et qui sérine encore comme au premier jour
L’aubade que fut nos sentiments mélodieux.
Chanson de pleurs, de sanglots et emplie de peur
Semblable aux cris lointains de l’atroce douleur,
M’envahissant de ces maints frissons qui m’enlacent,
Au rythme que nos derniers souvenirs s’effacent.
Tous mes souvenirs s'abattent crûment sur moi,
Et mon cœur pleure ces douloureuses pensées.
Si loin de ton regard et si loin de tes mains,
Par-delà cette chanson mon cœur se souvient,
Ton regard si élégant aux couleurs noisette,
Ton visage dans ma mémoire se reflète.
Le deuil est étendu sur ce chant douloureux
De cet oiseau qui fut mon premier grand Amour,
Et qui sérine encore comme au premier jour
L’aubade que fut nos sentiments mélodieux.
Chanson de pleurs, de sanglots et emplie de peur
Semblable aux cris lointains de l’atroce douleur,
M’envahissant de ces maints frissons qui m’enlacent,
Au rythme que nos derniers souvenirs s’effacent.
Poème au thème imposé : Ode au Jeans
Douce toile de denim en bleu indigo,
Ton aspect vieilli, ta parfaite solidité
Redonne enfin vie à mes bals oubliés,
L’éclat d’une nuit de mon être mendigot.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Ton coton, mélangé au lin ou à la laine
Dans ces précieuses étoffes dîtes futaines,
En parfaite adéquation avec mon corps,
Ton aisance à être imprimé de cet accord.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Toile de coton écrue à armure de serge,
Corps à corps et volume autour de mon corps,
Ton étoffe imprime l’usure du temps à tort,
Doux tissu, ma masculinité tu héberges.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Redonne enfin vie à mes bals oubliés,
L’éclat d’une nuit de mon être mendigot.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Ton coton, mélangé au lin ou à la laine
Dans ces précieuses étoffes dîtes futaines,
En parfaite adéquation avec mon corps,
Ton aisance à être imprimé de cet accord.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Toile de coton écrue à armure de serge,
Corps à corps et volume autour de mon corps,
Ton étoffe imprime l’usure du temps à tort,
Doux tissu, ma masculinité tu héberges.
Il n'y a rien entre mon Calvin et moi.
Poème dont le thème imposé est l'innocence :
Ci-dessous, une petite Ballade composée de trois huitains d'octosyllabes (Couplets symétriquement égaux) suivis d'un quatrain (Renvoi, nommant le dédicataire de ce poème) ainsi que d'un refrain (Retour du même vers à la fin de chaque couplets ainsi qu'à la fin de l'envoi). Poème composé à l'occasion d'un Battle.
Ébahi par le charme de ton innocence,
Tu es consolation de toutes mes souffrances,
Tu es mon illusion d’amour et d’espérance
De mes matins qui apaise mon rêve d’errance.
Ébahi par le charme de ton innocence,
Rien de plus beau que le visage de l’enfance,
Pour venir réveiller dans nos cœurs la conscience
Que nous avions égaré dans le silence.
Ébahi par le charme de ton innocence,
Simple battement de cils pour une réjouissance,
Dans tes yeux se trouve toutes les évidences,
La vérité de l’innocence, l’inconscience.
Tu es mon illusion d’amour et d’espérance
De mes matins qui apaise mon rêve d’errance.
Ébahi par le charme de ton innocence,
Rien de plus beau que le visage de l’enfance,
Pour venir réveiller dans nos cœurs la conscience
Que nous avions égaré dans le silence.
Ébahi par le charme de ton innocence,
Simple battement de cils pour une réjouissance,
Dans tes yeux se trouve toutes les évidences,
La vérité de l’innocence, l’inconscience.
Ci-dessous, une petite Ballade composée de trois huitains d'octosyllabes (Couplets symétriquement égaux) suivis d'un quatrain (Renvoi, nommant le dédicataire de ce poème) ainsi que d'un refrain (Retour du même vers à la fin de chaque couplets ainsi qu'à la fin de l'envoi). Poème composé à l'occasion d'un Battle.
De ma plume au bord de l’eau
Je me perds dans mes pensées,
Rongé par l’écume des flots,
En sublimant mon phrasé.
Face à la bruine élevée,
S’éveille, d’allure si charnelle
Toutes mes pensées pour elle.
Mes pas suivent ce courant d’eau
Par cette mélodie guidés,
Torrent au son crescendo,
Je commence à m’évader.
Ne jamais plus m’éveiller,
Pour lui promettre éternelles,
Toutes mes pensées pour elle.
Errer le long du ruisseau,
Recherchant ma Muse sacrée.
Fleuve limpide et soleil chaud,
Profilent un début d’été.
Saisons peuvent se succéder,
Demeurent aux couleurs pastelles,
Toutes mes pensées pour elle.
Kyrielle de mots satinés
Afin qu’elle puisse savourer,
Si précieuses et sensuelles,
Toutes mes pensées pour elle.
Je me perds dans mes pensées,
Rongé par l’écume des flots,
En sublimant mon phrasé.
Face à la bruine élevée,
S’éveille, d’allure si charnelle
Toutes mes pensées pour elle.
Mes pas suivent ce courant d’eau
Par cette mélodie guidés,
Torrent au son crescendo,
Je commence à m’évader.
Ne jamais plus m’éveiller,
Pour lui promettre éternelles,
Toutes mes pensées pour elle.
Errer le long du ruisseau,
Recherchant ma Muse sacrée.
Fleuve limpide et soleil chaud,
Profilent un début d’été.
Saisons peuvent se succéder,
Demeurent aux couleurs pastelles,
Toutes mes pensées pour elle.
Kyrielle de mots satinés
Afin qu’elle puisse savourer,
Si précieuses et sensuelles,
Toutes mes pensées pour elle.