Je ne sais pas si c'est proportionnel (hypothétiquement et sans préjuger des effets de seuil, ça peut aussi être ou devenir logarithmique ou exponentiel) mais en tout cas c'est corrélé positivement : moins un joueur est frustré, moins il ressent de triomphe/soulagement/progression/etc, et sa réciproque. Bref, pour qu'il existe une sensation gratifiante, il ne faut pas seulement un retour positif, mais également en amont des efforts et de la frustration.
Y'a eu pas mal d'études scientifiques (et commerciales) sur le sujet. Du point de vue du joueur c'est peu agréable, mais d'un point de vue neuromarketting c'est la recette qui fonctionne le mieux : l'équilibre et l'alternance très délicats entre frustration et plaisir.