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    L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici !
  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

    Forgiennes et Forgiens,
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Pourquoi jouez-vous à FoE ?

Pourquoi jouons-nous, parfois depuis des années ici ? C’est une discussion (très) générale mais sans doute aussi la question la plus importante vu le temps passé.

********

Je vais distinguer 3 catégories que je vais à chaque fois évaluer entre 0 (aucun intérêt) et 10 (passionnant) :

- Les rencontres IRL et les discussions ne portant pas sur le jeu avec des personnes rencontrées ici. (10/10)


· FoE, comme tout endroit où nous croisons d’autres personnes est aussi un lieu de rencontres (au sens large même s’il y a des couples qui se forment ici voire des « mariages FoE »). Pour moi c’est un des aspects les plus durablement essentiels du plaisir que j’ai à être ici car, si j’ai croisé quelques « pénibles » (vite jugés sans importance d’ailleurs) ce lieu, de par sa diversité, m’a permis de rencontrer des personnes de divers horizons dont un nombre limité mais précieux a intégré mon cercle d’amis les plus proches. Avec d’autres j’ai et ai eu des discussions très riches… La communauté de FoE est vraiment aussi riche que variée.


- Les relations avec les autres dans le cadre du jeu lui-même (9/10)

· Les défis relevés avec la guilde : C’est souvent très sympa et offre une belle aventure humaine (9/10)

. L'organisation la gestion,l'animation, la vie quotidienne de tout un groupe : Là aussi c'est et un challenge et une très belle aventure, l'occasion aussi d'amitiés, de découvertes... (9/10)

· Le fait de pouvoir aider les autres : Dans mon cas depuis un an c’est souvent via les rushs (8.5/10)

· Les discussions sur le jeu lui-même avec d’autres, que ce soit dans la guilde, sur le jeu, sur ce forum, en MP… C’est très sympa mais il manque parfois des interlocuteurs aimant approfondir un sujet ou dépasser la simple utilité pour leur ville (7.5/10).

· Voir rager quelques personnes antipathiques à mon sujet : Ce n'est pas essentiel et c’est puéril, je ne cherche pas (plus) à alimenter mais cela me fait sourire de temps à autre. Pourquoi le cacher ? (6/10)



- Le jeu lui-même aujourd’hui (6/10)

** La cité (7/10)

· La qualité graphique, réelle (7.5/10)

· Agencer au mieux le plan de ville : C’est un puzzle amusant : (7/10)

· Faire monter les GMs. C’est sympa mais très routinier (6/10)

· Avoir une défense de ville honorable (5.5/10)




** Les activités proposée (3.5/10)

· Passer les meilleures défenses adverses des voisins. Ce sont les seuls combats un peu techniques qui restent mais c’est trop facile pour un joueur avancé (6.5/10)

· Les EGs : Trop facile pour une ville développée maintenant et donc 3.5/10. Cela offrait plus de challenges au début du niveau 4, avec moins d’unités puissantes, sans le Kraken…

· Les events : Animent un peu et offrent des cadeaux mais les quêtes sont très routinières (3/10)

· Les quêtes journalières : un peu des « sous-events pour moi (2.5/10)


· La GvG. C’était très riche au début mais est devenu très peu jouable et très répétitif à mes yeux (2/10). A voir avec les évolutions prévues

. Les pillages : 1/10

· Les récoltes et autres polimotis sont juste une corvée nécessaire après tant d’années (0,5/10)



** Le reste (8/10 mais basé sur un aspect très particulier)


· Organiser des stratégies sur des mois voire plus d’un an : C’est la partie du jeu demandant nle plus d'analyses comme la plus stimulante à mes yeux (9.5/10)

· Les classements : C’était un défi très stimulant au départ mais ils ont, il me semble, perdu toute pertinence et donc 2/10




Donc et si je devais résumer, pour moi ce jeu n’est réellement intéressant que par sa communauté et pour les échanges qu’il permet. Sinon il est distrayant mais ne justifierait pas de passer plus de quelques minutes par jour.

Note globale pour moi de FoE en incluant toutes ces dimensions : 7.5/10


Et pour vous ?


Amitiés et bon jeu à chacun.

PS : Il manque obligatoirement des éléments que vous pouvez ajouter si vous le désirez... et ceux que le sujet ne motive pas (ce que je peux comprendre) ne doivent pas se sentir obligés de participer :-)
 
Dernière édition :

Loup Tenace

Empereur
Pourquoi je joue à FOE depuis des décennies (humm non quand même pas, :-D) disons je joue depuis 2013 (soit plus ou moins 5 ans dont 4 passais à être Modérateur de ce forum pfff que le temps passe :-p).

Bon pourquoi je joue donc, oui pourquoi ? Je serai tenté de répondre : Parce que...:-) je suis un joueur (oui vous voilà bien avancé ou pas). Non plus sérieusement après être passé plus d'un temps certain sur un autre jeu que je citerai pas vu qu'Inno n'en est pas le concepteur. La bas (sur cet autre jeu) j'ai été le fondateur et à ce poste j'ai dirigé une équipe qui au fur et à mesure d'année en année avons eu des réussites et des échecs qui ont soudé le groupe, c'était une merveille. voulant changer d'air (comprendre changer de jeu) j'ai découverts FOE et me suis dis pourquoi pas et voilà, c'est simple et inexplicable je joue encore.
Ah!!!! Si c'est explicable : Je suis un joueur. :-D

Je suis pas comme son Éminence @Richelieu1585 :-p et donc pas capable de mettre une note à telle ou telle partie du jeu ou aspect extérieur au jeu lui même. Mais le temps passé dans l'équipe de modération aura été pour moi un réel plaisir à discuter, échanger, déconner (oui aussi il y avait ça :-p) sur Skype. Modérer certain car vraiment ils étaient limite, à aider beaucoup (un réel plaisir à faire) Organiser des évents forum, les corriger, bref que du bonheur mais à tout il faut une fin donc voilà.

En résumer et c'est surtout là l'essentiel si je suis ENCORE sur le jeu c'est que je suis un... Joueur.
Mais ça je l'ai déjà dis. :-D
 
Pourquoi je joue à FOE depuis des décennies (humm non quand même pas, :-D) disons je joue depuis 2013 (soit plus ou moins 5 ans dont 4 passais à être Modérateur de ce forum pfff que le temps passe :-p).

Bon pourquoi je joue donc, oui pourquoi ? Je serai tenté de répondre : Parce que...:-) je suis un joueur (oui vous voilà bien avancé ou pas). Non plus sérieusement après être passé plus d'un temps certain sur un autre jeu que je citerai pas vu qu'Inno n'en est pas le concepteur. La bas (sur cet autre jeu) j'ai été le fondateur et à ce poste j'ai dirigé une équipe qui au fur et à mesure d'année en année avons eu des réussites et des échecs qui ont soudé le groupe, c'était une merveille. voulant changer d'air (comprendre changer de jeu) j'ai découverts FOE et me suis dis pourquoi pas et voilà, c'est simple et inexplicable je joue encore.
Ah!!!! Si c'est explicable : Je suis un joueur. :-D

Je suis pas comme son Éminence @Richelieu1585 :-p et donc pas capable de mettre une note à telle ou telle partie du jeu ou aspect extérieur au jeu lui même. Mais le temps passé dans l'équipe de modération aura été pour moi un réel plaisir à discuter, échanger, déconner (oui aussi il y avait ça :-p) sur Skype. Modérer certain car vraiment ils étaient limite, à aider beaucoup (un réel plaisir à faire) Organiser des évents forum, les corriger, bref que du bonheur mais à tout il faut une fin donc voilà.

En résumer et c'est surtout là l'essentiel si je suis ENCORE sur le jeu c'est que je suis un... Joueur.
Mais ça je l'ai déjà dis. :-D

Donner une note c'est juste une façon de résumer/quantifier, comme lorsqu'un médecin demande à un patient de noter sa douleur entre 0 et 10. Cela donne une idée rapide de ce que pense/ressent l'autre... Pas plus mais pas moins non plus.

Tu sembles aussi jouer plus pour les relations humaines que pour le jeu en lui-même si je te comprends bien... et oui, modérer est clairement un aspect possible pour vivre cette dimension de façon très riche.

Merci pour ta réponse :-) !
 

DeletedUser42360

Guest
J'ai découvert FOE dans les wc à mon boulot, une pub sur mon tel, j'ai dis ^pourquoi pas^ et cela fait maintenant 3 ans, totalement addict , des rencontres sympa, sans épiloguer un jeu passionnant pour ma part, je but à la fin des technos océanique il me hâte de découvrir la nouvelle ère.
 

DeletedUser22870

Guest
Je ne sais absolument plus pourquoi ni comment ni quand j'ai atterri sur FoE mais je sais pourquoi j'y reste : un jeu vivant et modulable que l'on peut adapter selon nos disponibilités, qui cherche à se renouveler sans cesse, diverses possibilités d'axes de jeu, cumulables ou non et une communauté active.
 

Lilith*

Force de frappe
J'ai découvert le jeu grâce à un ami il y a 3 ans et demi et depuis, il n'y a pas un jour où je ne me suis pas connectée plusieurs fois par jour :) C'est un jeu vivant, on y joue comme on veut selon nos stratégies, nos envies ou le temps qu'on a à y consacrer. J'adore :)
 

DeletedUser37000

Guest
Pour les courageux...
une source a dit :
Multiplication des parcs à thème, invasion des jeux vidéo, foisonnement des jeux télévisés, explosion des groupes de jeux de rôle grandeur nature, prolifération des trottinettes et rollers… Depuis une dizaine d’années, le jeu semble étendre son territoire hors des magasins de jouets et des chambres d’enfants pour s’introduire dans le monde si sérieux des adultes. La « civilisation des loisirs » – quasi prophétisée par le sociologue Joffre Dumazedier dans les années 60 (Vers une civilisation des loisirs, Seuil 1972) – serait-elle responsable de cette inéluctable déferlante ? Les « grandes personnes » sombreraient-elles dans une douce régression vers les comportements infantiles normalement réservés à la prime jeunesse ? En témoigneraient les kilos de sucettes qui circulent ouvertement dans les bureaux les plus hauts placés de l’intelligentsia parisienne.

Recréer la réalité
Eh bien non ! « La preuve, c’est que les gens qui considèrent leur métier comme un jeu réussissent mieux que ceux qui s’enferment dans un travail routinier, explique Lenore Terr, professeur de psychiatrie à l’université de Californie (In “Beyond Love and Work”, Scribner, 1999). C’est ce que j’ai découvert en menant une étude auprès de centaines de personnes sur les conditions psychologiques qui favorisent le travail. Les joueurs ont l’air plus heureux, arrivent à mieux se concentrer et sont plus productifs que les autres. » Exactement l’inverse des croyances « anti-jeu », datant des premières sirènes d’usines qui ont transformé les fils de paysans en ouvriers. En effet, depuis l’avènement du monde industrialisé, jouer ne rime pas avec « rentabilité », mais avec « oisiveté ». Un état que l’on pardonne bien volontiers aux enfants, mais pas aux adultes. A tel point que, en 1899, le sociologue Thorstein Veblen écrit “La Classe des loisirs”, qui dénonce les divertissements « improductifs » pour la société ! Les jeux de hasard sont – tout juste – tolérés, les profits n’étant pas liés à la sacro-sainte notion de travail.

Jouer n’est pas régresser
« Les personnes imprégnées du modèle social de l’ère industrielle se doivent d’être tristes pour avoir l’air sérieux, explique le formateur en entreprise et spécialiste de la créativité Hubert Jaoui. Pour eux, être adulte, c’est ne pas sourire, ne pas jouer, ne pas pleurer, ne pas éprouver d’émotions, ne pas mélanger principe de plaisir avec principe de réalité. Finalement, ces “réalistes-rationalistes” sont des déprimés : ils ont tendance à prendre les choses de façon passive et fataliste. A l’inverse, les créatifs, qui s’amusent et sourient, savent que la réalité est flexible. Ils ont donc du plaisir à jouer avec elle pour, sans cesse, la recréer. Si on prend l’existence trop au sérieux, on se prive du pouvoir de la modifier. »

Cela signifierait-il que jouer, loin d’être une régression ou de l’infantilisme, se révèle une fonction naturelle ? « C’est même un besoin fondamental pour la santé mentale et la créativité, poursuit Hubert Jaoui. Si on ne joue pas, l’esprit se mécanise, les émotions s’assèchent. Or, le jeu est une véritable source d’énergie, pleine, par essence, d’émotions positives. Voilà pourquoi les stages de comico-thérapie, de clown-thérapie et de créativité, où l’on joue beaucoup, ont tant de succès aux Etats-Unis. »

Selon les psychologues, le jeu, chez les enfants, est capital pour l’affirmation de soi, car c’est un moyen de structuration de la personnalité, d’apprentissage de la vie, de découverte des autres, de développement des facultés d’imagination, de logique, d’adresse physique. Le plaisir rend facile ce qui est difficile. Mais pour les adultes ? D’après Lenore Terr, l’élément psychologique fondamental est que le jeu permet de s’oublier soi-même. Et seul l’oubli de soi, associé au plaisir – qui, on le sait, est la voie royale de l’apprentissage – permet de se dépasser et d’être créatif. Voilà la grande différence entre les enfants et les grandes personnes : les premiers, en effet, jouent pour se découvrir et se structurer ; les seconds, pour s’oublier et se dépasser.

Un cadre extraordinaire
« Nous participons régulièrement à des jeux de rôle grandeur nature organisés par une association de Nancy, expliquent Caroline et Thierry, 31 et 33 ans. Vivre déguisés, recréer l’ambiance du Moyen Age, de la Chine ancienne ou des années 20, est une évasion totale ! C’est une véritable respiration, enrichissante, car il faut bien connaître la période historique et résoudre des énigmes. Tout ce que l’on ne peut exprimer dans la vie quotidienne est permis : fantaisie, liberté d’être ce qu’on veut, de dire ce qu’on veut à qui on veut, intuition, émerveillement, etc. »

Individuel ou collectif, le jeu, par essence échappe aux normes de la vie sociale ordinaire. Il permet aux adultes de sortir de leur quotidien pour s’immerger momentanément et totalement dans un cadre fabuleux. Une évasion d’autant plus impérieuse que la société sera rigide et pesante. Voilà qui explique le succès actuel des jeux de rôle à taille humaine ou des interminables parties de « paintball » – des grands y jouent à de gentilles guéguerres en se pourchassant pendant des heures, armés de fusils en plastique munis de billes de peinture…

La part des émotions
« Quelle est la différence entre un père et son petit garçon ? » Réponse : « Le prix de ses jouets ! » Une boutade révélatrice d’un homme « infantile par nature », une image qu’ont parfois les femmes. « Il est vrai que certains pères ont plus tendance à jouer avec leurs enfants que les mères, mais ce n’est pas une généralité, dit Hubert Jaoui. En jouant, ils s’autorisent à exprimer leurs émotions, alors que les femmes le font plus naturellement. En outre, cela leur permet de prendre contact avec l’enfant qui sommeille en eux. »

Cette notion d’« enfant intérieur » est, depuis quelques années, au centre de certaines techniques de développement personnel. Selon les thérapeutes, il représente cette partie de nous qui est sensible, vulnérable, régie par les émotions. C’est ce que nous sommes à la naissance, notre noyau, notre personnalité naturelle riche de tous nos talents, de notre intuition et, surtout, de notre imagination. « Lorsque je joue avec mes enfants, je suis à chaque fois émerveillé de pouvoir retrouver cet esprit d’ouverture et de curiosité que j’avais à leur âge, raconte Jean-François, 38 ans. Comme si c’était contagieux, je redécouvre aussi la spontanéité qui nous manque tant dans nos relations sociales. » Voilà bien la preuve que, lorsqu’on joue, on n’a pas d’âge ! Etre à l’écoute de l’enfant qui n’a jamais cessé d’exister en nous peut même être une nécessité vitale : « En cas de conflit ou de crise personnelle, dans les moments où l’on est malheureux ou désemparé, avoir pris l’habitude de jouer, donc d’être en contact avec son enfant intérieur, permet de retrouver plus facilement son équilibre émotionnel, explique la thérapeute américaine Margaret Paul (In “Renouez avec votre enfant intérieur”, Le Souffle d’or, 1993). Lui seul est capable d’utiliser naturellement ses facultés d’intuition et de spontanéité pour trouver les bonnes solutions lorsque l’adulte est enfermé dans son mental, ses peurs et ses a priori. »

Non seulement jouer permet d’être plus créatif, plus heureux et plus performant, mais empêche aussi… de vieillir ! Ainsi, « chaque personne vieillit selon l’image qu’elle se crée elle-même du vieillissement, explique le psychologue Guido Verbrugghe (In “Vieillir au-delà des clichés”, Bernet-Danilo, 1998). C’est ce que l’on appelle une “croyance limitante”. Ceux qui restent jeunes sont ceux qui gardent l’aptitude à jouer. Dès que l’on cesse d’avoir du plaisir à jouer, on vieillit… ».

Jouer, un jeu d’adultes
Gabriel Balbo est psychanalyste, directeur de publication du “Journal français de psychiatrie” et coauteur, avec Jean Bergès, de “L’Enfant et la Psychanalyse” (Masson, 2000). Il nous explique l’historique du jeu.

« Courses de chars, compétitions sportives, théâtre chez les Grecs et les Romains, jeux de voix chez les Esquimaux ou cerf-volant chez les Chinois : on oublie trop souvent que, tout au long de l’histoire de l’humanité, jouer a été considéré comme une activité si sérieuse qu’elle était réservée aux adultes ! Avant la fin du XIXe siècle, époque à laquelle l’industrie du jouet commence à se développer, le terme même de “jouet” désignait, en France, les bijoux ou les animaux de compagnie qui servaient à amuser les adultes. Et, aussi loin que l’on remonte, les enfants ont eu très peu de jouets – les mêmes partout dans le monde : balle, poupée de chiffon, osselets, marelle, etc. Les historiens qui ont étudié l’évolution du jeu affirment que l’esprit ludique est l’un des ressorts principaux, pour les sociétés, des plus hautes manifestations de leur culture ; et pour les individus, de leur progrès intellectuel. »

Jeu : Quatre fonctions psychologiques
Il existe une telle diversité de jeux que le philosophe et essayiste Roger Caillois, dans “Les Jeux et les Hommes” (Folio/Essais, 1991), les a classés en quatre catégories. Elles répondent chacune à une fonction psychologique dominante :

• Agôn, la « compétition » (courses, luttes, billard, football, échecs, jeux vidéo interactifs, etc.). Ces jeux permettent d’exprimer ses ressources personnelles dans un environnement où tout le monde part à égalité, ce qui n’est pas le cas dans la vie réelle. Bénéfices psychologiques : dépassement de soi et, en cas de victoire, valorisation personnelle.

• Alea, le « hasard » (roulettes, dés, loteries, certains jeux de carte). Les jeux de hasard sont projectifs : ils permettent de rêver, car ils font mettre en scène la possibilité de devenir riche tout en faisant l’économie du travail. Ils obligent également à lâcher prise, puisqu’il faut accepter l’idée de tout perdre sur un simple jet de dés. Enfin, ils abolissent les inégalités sociales, car les chances sont les mêmes pour tous.

• Mimicry, le « simulacre » (carnaval, masques, déguisement, jeux de rôle grandeur nature, théâtre, jeux vidéo d’aventure). Paradoxalement, se déguiser et se dépouiller temporairement de sa personnalité pour en adopter une autre permet de libérer sa véritable personnalité.

• Ilinx, le « vertige » (manèges de fêtes foraines, ski, voltige, rollers). Ces jeux, dont certains se déroulent en compétitions, provoquent un trouble physiologique, une sorte de transe qui efface la réalité. Associée à une certaine jouissance physique, cette transe permet d’entrer en contact avec d’autres dimensions de sa personnalité.
 

DeletedUser46080

Guest
Pourquoi jouer ? et pourquoi pas ? :-p

Plus sérieusement, j'ai commencé début 2013 après moults demandes (harcèlements ^^) d'un ami irl pour que je le rejoigne (soit-disant j'avais fais pareil quelques années auparavant sur un autre jeu en ligne ... :rolleyes:)

J'ai donc débuté sans me soucier réellement du jeu, durant 1 an et demi et puis j'ai stoppé parce que j'en avais marre :-D
Mon arrêt a duré 2 ans il me semble, et puis j'ai repris et je me suis fixé des objectifs et étant très têtu, je vais toujours au bout des choses, donc je risque fort d'être présent pendant encore des années :oops:

Ce qui a finit par me plaire dans ce jeu, c'est le forum déjà, avec un staff présent, à l'écoute et ouvert.
Des events forums et jeux qui sont nombreux et permettent de toujours avoir quelque chose à faire.
Une communauté vivante qui évolue au fil des ans et nous enrichit (de bonne ou mauvais manière).
Et enfin le plus important, un jeu de gestion, de stratégie (court, moyen ou long terme) qui ne demande pas forcément beaucoup de temps de présence mais qui permet d'avancer à son rythme, qui ne bouffe pas tout notre temps :cool2:

Bizarrement, je ne recherche pas le côté humain de ce jeu, je joue en guilde et je m'investis dans ma guilde mais au final hormis mon ami irl, je ne parle aux autres que pour un sujet : la pose de pf sur GM.

Ne consacrant pas énormément de temps au jeu, je ne vois pas l'utilité d'avoir des amitiés mais qui sait, l'avenir me réservera peut-être des surprises :-)
 

DeletedUser

Guest
itou.
et
pour le son activé en expé. (ça fait flipper)
le graphisme du jeu, bien que je déplore la disparition des aigles en futur... (moi les ovnis, j'aime pas ça : flippage aussi)
:-)
 

Izygomatique

Mathématicien
Je joue aussi pour les défis et les objectifs que l'on peut se fixer, et tout donner pour les atteindre.
Ainsi je me suis battu chaque jour pour être ignoré par le plus de personnes possibles, et je lance aujourd'hui ici un appel, le sos d'un terrien avec des tresses, existe-t-il un moyen pour les opérateurs de nous communiquer le nombre de personnes qui nous ignorent ? Cela m'intéresse, vraiment.
Cordialement ou pas.
 

DeletedUser

Guest
contente toi de voir qui apprécie tes messages quand tu postes mon brave.
estime que le reste t'ignore.
ça fait beaucoup, j'avoue. Mais as-tu réellement besoin du reste pour vivre ?
ça te donnera juste une idée de l'ignorance à ton endroit., que les opé ne te communiquera jamais :rolleyes:
rassure-toi, elle n'est pas vitale, pendant que tant d'autres, derrières leurs écrans souffrent de cette insuffisance.

Dis-toi juste que tu joues à ce jeu, et par ce biais répondre à la question posée , pour le plaisir :-)
As-tu réellement besoin d'une confirmation d'autrui ?
De l'assentiment d'un autre pour continuer à venir ?

Et quand bien même tu leur déplairais ?
Hein ?
Tu n'enfreins rien.
Alors ça va :-):-):-)
 
Bonsoir,

Oui il nous est tout à fait possible de connaitre ce chiffre. Si vous souhaitez avoir la réponse, je vous invite à le demander par ticket sur le support. :-)

MAGNIFIQUE :-):-):-) !

Tu me feras toujours rire Izy. Amitiés en passant.

Et sinon je rejoins Wardiablo sur le côté sympa qu'il y a à pouvoir adapter ici son jeu à son temps disponible. J'ai beaucoup joué depuis août dernier et quasiment pas l'année d'avant, dans les deux cas parce que cela correspondait bien à mon IRL. Peu de jeux permettent de jouer des années tout en pouvant ajuster finement ses choix à ses disponibilités.
 

Harley D

Forgeur d'or
Pourquoi jouez vous à FOE ?

C'est un jeu ???? On ne risque pas sa vie ?
Plus sérieusement, car selon le philosophe Raymond Devos, "le rire est quelque chose de sérieux, il ne faut pas plaisanter avec.", je joue pour .... M'AMUSER !
Et pourquoi à FOE ? Car c'est le seul jeu gratuit, sur navigateur, que j'ai trouvé, qui permet d'évoluer de plein de façons différentes.
 
Dernière édition :
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