DeletedUser6756
Guest
tout d'abord un petit coucou à tous mes amis (es) de forge.
le temps, le travail, ne me laisse plus trop de connexion.
mais je pense à vous fortement tous les jours.
un petit retour pour ces tristes circonstances...
grosse bises à tous, Peace and love.
PARIS sans A.
Tu es l’animal sauvage qui à gouter au sang humain,
Tu es l'animal sauvage qui d'instinct s'est sali les mains.
Tu es l'humain qui à perdu son phare dans le lointain,
Tu es l'humain qui en silence par centaines à éteint.
Le regard vers les abimes des compassions,
tu as perdu sens en l'humanité des terriens.
Tu avance tel un robot fixé sur ta mission,
tu n'entend rien, ne vois rien, ne dit rien...
Regardes cet enfant pas tout a fait majeur,
la tète sur les pavés, s'est laisser choir.
En souffrance, néanmoins au futur songeur,
les yeux plein d'amour et emplis d'espoir.
Regardes ce couple tourné vers le néant,
pris dans leur toile de fond ensanglanté.
Main dans la main, laissant à leurs enfants,
l'espoir en guide pour les accompagner.
Regardes celui qui tient un frère ou une sœur,
accrochés à ses yeux en cascade déferlante.
Qui de par sa présence, lui réchauffe le cœur,
pourtant impuissant face à cette longue attente.
Regardes autour toi, vois la vie, l'amour d'autrui,
ne sommes nous pas issue du même moule ?
Quel créateur peut il vouloir autant de bruits,
en t'emmenant sur les abysses qui te saoulent ?
.Asti.
le temps, le travail, ne me laisse plus trop de connexion.
mais je pense à vous fortement tous les jours.
un petit retour pour ces tristes circonstances...
grosse bises à tous, Peace and love.
PARIS sans A.
Tu es l’animal sauvage qui à gouter au sang humain,
Tu es l'animal sauvage qui d'instinct s'est sali les mains.
Tu es l'humain qui à perdu son phare dans le lointain,
Tu es l'humain qui en silence par centaines à éteint.
Le regard vers les abimes des compassions,
tu as perdu sens en l'humanité des terriens.
Tu avance tel un robot fixé sur ta mission,
tu n'entend rien, ne vois rien, ne dit rien...
Regardes cet enfant pas tout a fait majeur,
la tète sur les pavés, s'est laisser choir.
En souffrance, néanmoins au futur songeur,
les yeux plein d'amour et emplis d'espoir.
Regardes ce couple tourné vers le néant,
pris dans leur toile de fond ensanglanté.
Main dans la main, laissant à leurs enfants,
l'espoir en guide pour les accompagner.
Regardes celui qui tient un frère ou une sœur,
accrochés à ses yeux en cascade déferlante.
Qui de par sa présence, lui réchauffe le cœur,
pourtant impuissant face à cette longue attente.
Regardes autour toi, vois la vie, l'amour d'autrui,
ne sommes nous pas issue du même moule ?
Quel créateur peut il vouloir autant de bruits,
en t'emmenant sur les abysses qui te saoulent ?
.Asti.
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