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Le chant d'Herenis
Te souviens-tu de ces histoires,
celles que tu me racontais les jours où tu étais vers moi.
Je les entends toujours au son de ta voix,
ces soir ou je me sens seul devant ce feu de bois.
Il y a toujours le chant d'une bûche,
celle qui côtoie la braise quand les flammes dansent autour.
Elles m'entrainent dans ce souvenir,
celui de ton rire,
de la douceur de tes gestes,
de ta voix qui souffle dans le creux de mon oreille.
Tu me manques tellement.
Comme un appel,
celui de ton cœur, quand le soleil se lève,
je te rejoins dans cette endroit.
Celui de l'espoir où je cherche ton regard
perdu dans cette immensité.
Alors, je ferme les yeux et je sens cette douce caresse,
elle glisse sur mon visage,
parcours mon corps en faisant danser le voile.
Puis, je me rappelle
Du haut de cette falaise, debout,
je te cherche devant cette immensité mouvante.
L'océan, alors que la colère entraine,
me prend ton corps un matin de printemps.
Retenu prisonnier de ses vagues,
Il oubli notre amour, nos souvenirs.
Mais ton âme, libre,
lui échappe pour venir à moi.
Puis, quand le soir est là,
je retourne vers le chant d'une bûche,
réchauffant mon cœur,
écoutant nos histoires.
Je sais que tu es près de moi.
Caliandre
Te souviens-tu de ces histoires,
celles que tu me racontais les jours où tu étais vers moi.
Je les entends toujours au son de ta voix,
ces soir ou je me sens seul devant ce feu de bois.
Il y a toujours le chant d'une bûche,
celle qui côtoie la braise quand les flammes dansent autour.
Elles m'entrainent dans ce souvenir,
celui de ton rire,
de la douceur de tes gestes,
de ta voix qui souffle dans le creux de mon oreille.
Tu me manques tellement.
Comme un appel,
celui de ton cœur, quand le soleil se lève,
je te rejoins dans cette endroit.
Celui de l'espoir où je cherche ton regard
perdu dans cette immensité.
Alors, je ferme les yeux et je sens cette douce caresse,
elle glisse sur mon visage,
parcours mon corps en faisant danser le voile.
Puis, je me rappelle
Du haut de cette falaise, debout,
je te cherche devant cette immensité mouvante.
L'océan, alors que la colère entraine,
me prend ton corps un matin de printemps.
Retenu prisonnier de ses vagues,
Il oubli notre amour, nos souvenirs.
Mais ton âme, libre,
lui échappe pour venir à moi.
Puis, quand le soir est là,
je retourne vers le chant d'une bûche,
réchauffant mon cœur,
écoutant nos histoires.
Je sais que tu es près de moi.
Caliandre
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