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Le petit coin de Caliandre

  • Auteur de la discussion Caliandre
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DeletedUser

Guest
Le chant d'Herenis


Te souviens-tu de ces histoires,
celles que tu me racontais les jours où tu étais vers moi.
Je les entends toujours au son de ta voix,
ces soir ou je me sens seul devant ce feu de bois.
Il y a toujours le chant d'une bûche,
celle qui côtoie la braise quand les flammes dansent autour.
Elles m'entrainent dans ce souvenir,
celui de ton rire,
de la douceur de tes gestes,
de ta voix qui souffle dans le creux de mon oreille.

Tu me manques tellement.

Comme un appel,
celui de ton cœur, quand le soleil se lève,
je te rejoins dans cette endroit.
Celui de l'espoir où je cherche ton regard
perdu dans cette immensité.
Alors, je ferme les yeux et je sens cette douce caresse,
elle glisse sur mon visage,
parcours mon corps en faisant danser le voile.

Puis, je me rappelle

Du haut de cette falaise, debout,
je te cherche devant cette immensité mouvante.
L'océan, alors que la colère entraine,
me prend ton corps un matin de printemps.
Retenu prisonnier de ses vagues,
Il oubli notre amour, nos souvenirs.
Mais ton âme, libre,
lui échappe pour venir à moi.

Puis, quand le soir est là,
je retourne vers le chant d'une bûche,
réchauffant mon cœur,
écoutant nos histoires.
Je sais que tu es près de moi.

Caliandre
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser12

Guest
Salut,

"les jours ou" où
"ces soir ou je me sent" ces soirs où je me sens
"les flammes danse" dansent
"Puis, je me rappel" rappelle
"tu es prêt" près

Joli chant, avec de bonnes figures de style et tournures de phrase, du vocabulaire et qui est très sympathique à lire. :)
 

DeletedUser

Guest
" tu me manque tellement " manques
" je te rejoints " rejoins
" cette endroit " cet
" ou " où
" je sent cette douce caresse " sens
" entraine " entraîne
" il oubli " oublie

J'ai tenté de compléter le camarade Famine n_n

Tu aménages bien ton petit coin avec ce premier texte, dont la mélancolie est plus douce que je l'aurais moi-même conçu pour un thème pareil, ce qui n'est toutefois pas un travers puisque cette douceur rend le texte très agréable à la lecture et plutôt sympa, pour reprendre famine. J'ajouterais une question : ne faut-il pas mettre des majuscules au début de vers ?

Néanmoins alléché, je me permets une moindre requête : d'autres textes :D
 

DeletedUser

Guest
Bonjour, j'ai rectifier les erreurs trouvés en vous remerciant. :) Pour les majuscules en début de phrase, je n'en ai aucune idée.

Vos commentaires me font très plaisir et me donne envie de continuer, aussi voici un deuxième texte, celui-ci a été écris après avoir écouté un chant bouddhique, en vérité trois texte en son sortie durant ces trois journées en tant qu'invité, à crois que le chiffre trois durant cette période était important (bien-sur en restant objectif et mon coté saint Thomas :o). Je me suis trouvé submergé par ce chant qui en soit était une prière. J'y ai découvert durant l'écoute trois son, on m'expliqué que c'était la communion avec l'univers. Si on y prête vraiment attention Vous avez le chant lui même grave, un son continue grave genre moteur d'avion (imagé ;) ) et un son continue aigü continu modulable. Très surprenant en tout cas.

Voici le premier texte qui en est sortie.

Le son de l'univers

Entends la portée de l’innocence
La couleur de la phrase insondable
Ouvre la romance des mots
Chante, chante, chante
Le pouvoir de l’unique appel
Au son infini de l’univers.

Entends la basse de la vertu
La mélodie de la voix mystérieuse
Ouvre le tempo des percussions
Vibre, vibre, vibre
L’organe de l’unique s'élève
Au son infini de l’univers.

Entends la flûte de la perfection
La symphonie de la pureté profonde
Ouvre le cœur des voix
Siffle, siffle, siffle
La clarté de l’unique cri
Au son infini de l’univers.

Caliandre
 

DeletedUser

Guest
Oula, qu'ai-je fait ? J'ai oublié de commenter ce petit texte.
Ça se sent bien que ton texte est imprégné du chant, car il touche parfois à la litanie. La forme impérative et la structure anaphorique donnent cette dimension de prière. Malgré ça, je ne vis pas le poème (est-ce que c'en est un?). Je sens plus sa forme sous son aspect répétitif (notamment les vers qui répète trois fois un verbe), et je ne parviens pas à apprécier les sursauts emphatiques, qui sont un peu bancales (surtout " la symphonie de la pureté profonde " qui reste coincé).
Toutefois le texte fonctionne, et si la première lecture m'a perturbé, le calcul derrière la structure est cohérent. Je dirais que c'est une belle ode à la grandeur de l'univers et de la musique :D
Je reste donc un peu sur ma faim, et j'espère que tu te reconnecteras un jour pour partager les deux autres textes issus de ce chant, pour pouvoir me combler à nouveau :)
 

Aquilamaximus

Empereur
Bonjour,

Je ferme ce sujet pour cause d'inactivité.

L'auteur peut me demander sa réouverture par Mp :-)

Bonne journée.
Aquilamaximus.
 
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