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Événement Anniversaire 2024
Joyeux anniversaire ! Notre équipe de scientifiques vous attend pour repartir à l'aventure dans notre nouvelle édition de l'évènement d'anniversaire !
L'événement débute le 2 Avril et se poursuivra jusqu'au 23 ! Pour plus de détails, vous pouvez cliquer ici ! -
Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc
Forgiennes et Forgiens,
Il est l'heure de participer à notre tout nouvel événement forum : Cot Cot Codeccc !
Pour en savoir plus, vous pouvez cliquer ici.
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Mise à jour 1.281
La mise à jour 1.281 aura lieu le mercredi 24 avril ! Comme d'habitude, il y aura une courte interruption des serveurs pendant la mise à jour et nous vous prions de nous excuser pour ce petit désagrément.
Pour une description détaillée des changements à venir, veuillez cliquer ici.
L' Esprit Littéraire
- Auteur de la discussion Loup Tenace
- Date de début
- Statut
Loup Tenace
Empereur
Ah, diable qu'as tu fais là, cruelle Rose
Sous couvert d'une épée, ton épine me blesse
Mon sang jaillit et tombe sur ce sol glacé.
Voilà une cohorte de tes sœurs qui osent,
Emportées par une pulsion vengeresse,
M'assaillir profitant de ma vulnérabilité.
Oh Mater !!!! Entends mon humble prière
Que sous la neige ne repose pas mon âme
je ne veux point de ce couvercle froid.
Il fait bien trop noir sous cette verrière
Et l'absence bienveillante d'une flamme
Ferait de moi un vagabond et non un roi.
Je me sens partir vers ce monde inconnu
Où je ne sais se qui m'attends encore
Quelle invention pourrait me sortir de là ?
Peux t'être ton sourire belle ingénue ?
Et enfin j'ose croire que dans ce décor
Toi Rose cruelle, tu ne sera pas mon Judas.
Commentaire ... Journée ... Livres ... Couleur ... Trouvère ... Filmographie ... Gorille ... Manchon ... Safran ... Luciole ... Solstice
Sous couvert d'une épée, ton épine me blesse
Mon sang jaillit et tombe sur ce sol glacé.
Voilà une cohorte de tes sœurs qui osent,
Emportées par une pulsion vengeresse,
M'assaillir profitant de ma vulnérabilité.
Oh Mater !!!! Entends mon humble prière
Que sous la neige ne repose pas mon âme
je ne veux point de ce couvercle froid.
Il fait bien trop noir sous cette verrière
Et l'absence bienveillante d'une flamme
Ferait de moi un vagabond et non un roi.
Je me sens partir vers ce monde inconnu
Où je ne sais se qui m'attends encore
Quelle invention pourrait me sortir de là ?
Peux t'être ton sourire belle ingénue ?
Et enfin j'ose croire que dans ce décor
Toi Rose cruelle, tu ne sera pas mon Judas.
Commentaire ... Journée ... Livres ... Couleur ... Trouvère ... Filmographie ... Gorille ... Manchon ... Safran ... Luciole ... Solstice
BlackKwolph
Biologiste
Oserai-je proposer une mélodie pour accompagner et rythmer ce superbe texte ??? Les mots collent tellement bien....
BlackKwolph
Biologiste
L'écolier affamé lance un regard critique
Au grand plat en métal où fume on ne sait quoi...
Une étrange tambouille, rata couleur d'aloi...
La cuisine en ces lieux est peu académique.
Il a rêvé souvent d'y trouver la dépouille
De ce sot cuisinier peu doué en ragoût
Et dont la bouille abaisse jusqu'à l'arrière-goût
Des étranges poissons qu'accompagne sa rouille.
En sa mémoire il fouille, a-t-il un jour aimé
Un seul de ces brouets ? Et ses tendres gencives
Lassées des épinards, brocolis et endives,
Ne rêvent que de nouille et dessert bien sucré.
Quand soudain tout se brouille, il prend un grand élan.
Dans un geste ample et lent, il jette son assiette
Au visage rougeaud qui aussitôt hoquette...
Souille le costume de ce niais d'intendant !...
Ses parents, alertés, pondent une bafouille,
S'excusent platement de ce comportement.
Il s'accuse à genou, ils sourient à présent...
Après lui avoir mis une « bonne » baffe, ouille !
Sa chemise que mouille une larme d'enfant
Abrite désormais un coeur plus endurci.
De toutes ces andouilles, à l'ego bien farci,
Il fera du pâté ! Et fugue s'esclaffant.
Primevère - Errance - Perce-neige - Rêvasser - Calembour - Chausson - Louise - Dépeindre - Soupente - Vif/vive - Eclat -
Au grand plat en métal où fume on ne sait quoi...
Une étrange tambouille, rata couleur d'aloi...
La cuisine en ces lieux est peu académique.
Il a rêvé souvent d'y trouver la dépouille
De ce sot cuisinier peu doué en ragoût
Et dont la bouille abaisse jusqu'à l'arrière-goût
Des étranges poissons qu'accompagne sa rouille.
En sa mémoire il fouille, a-t-il un jour aimé
Un seul de ces brouets ? Et ses tendres gencives
Lassées des épinards, brocolis et endives,
Ne rêvent que de nouille et dessert bien sucré.
Quand soudain tout se brouille, il prend un grand élan.
Dans un geste ample et lent, il jette son assiette
Au visage rougeaud qui aussitôt hoquette...
Souille le costume de ce niais d'intendant !...
Ses parents, alertés, pondent une bafouille,
S'excusent platement de ce comportement.
Il s'accuse à genou, ils sourient à présent...
Après lui avoir mis une « bonne » baffe, ouille !
Sa chemise que mouille une larme d'enfant
Abrite désormais un coeur plus endurci.
De toutes ces andouilles, à l'ego bien farci,
Il fera du pâté ! Et fugue s'esclaffant.
Primevère - Errance - Perce-neige - Rêvasser - Calembour - Chausson - Louise - Dépeindre - Soupente - Vif/vive - Eclat -
Dernière édition :
Loup Tenace
Empereur
Courgette, carotte, radis, topinambour
Encens, santal, copal, lavande
Quelle belle balade en ce jardin imaginaire.
Aile, plumes, duvet
Carapace, coquille, corne
Faut il être rustre pour ne pas voir la poésie.
Fadaises, balivernes, niaiseries
Rien ne me dérange dans ma ballade de l'Esprit
Pied, patte, sabot,
Falaise, piton, pain de sucre
Que ma fantaisie m’entraîne loin.
Largesse, horoscope, administration, océan, roche, caravansérail, cloche, insecte, chapelle, retard
Encens, santal, copal, lavande
Quelle belle balade en ce jardin imaginaire.
Aile, plumes, duvet
Carapace, coquille, corne
Faut il être rustre pour ne pas voir la poésie.
Fadaises, balivernes, niaiseries
Rien ne me dérange dans ma ballade de l'Esprit
Pied, patte, sabot,
Falaise, piton, pain de sucre
Que ma fantaisie m’entraîne loin.
Largesse, horoscope, administration, océan, roche, caravansérail, cloche, insecte, chapelle, retard
BlackKwolph
Biologiste
Pfffff l'avenir ne fait guère preuve de largesse, j'avais pourtant un bon horoscope : "Côté finances : aujourd'hui, vous recevrez un courrier important de l'Administration. Côté professionnel : vous aurez l'attention de vos supérieurs. Côté coeur : votre moitié vous prépare une surprise".
Tout allait bien : vacances pascales au Maroc, allongé face à l'océan sur une roche en surplomb, je me laisse bercer par le bruit de la houle. Plage privée, l'hôtel est confortable. J'imagine l'excursion de demain au Caravansérail Arfoud, dans l'oasis jardin de Tifina.... Il est même prévu une ballade à dos de chameau sur les plus hautes dunes du Maroc, dans l'Erg Chebbi..... Ma chérie adorée sera de la partie, elle atterrit ce soir à Marrakech-Menara, et me rejoint après un déplacement professionnel de plusieurs jours à Venise. Mon coeur....
La cloche du dîner se fait entendre et je me lève à regret. Pourtant, les buffets sont admirables. D'accord, cuisine plutôt européenne qu'orientale, mais les jus d'orange frais, les fruits, les légumes sont délicieux, les grillades parfaites. Ils ont même cédé à la mode bobo et proposent des insectes grillés. Je les laisse aux accros aux protéines concentrées. Les parfums des épices deviennent plus présents et me font accélérer le pas.
En passant devant la chapelle, je salue un couple gay en costume blanc. Ils viennent de se marier. Chacun tient par la main un adorable bambin qu'ils ont adopté il y a peu dans ce pays aussi. Je souris et presse le pas. Je ne voudrais pas être en retard pour l'arrivée du courrier de midi.
Voici le vaguemestre, toujours obséquieux, il me salue, se penche en me tendant 2 lettres. Je lui souris et dépose un pourboire dans sa main négligemment tendue.
Ah ? une enveloppe de mes parents ! Elle est épaisse et contient deux recommandés qu'ils ont retirés avant-hier pour moi.... Un courrier de l'administration fiscale... Inquiet, je déchire rapidement l'enveloppe et découvre effaré un avis de redressement de 2.000 € !
Fébrile, j'ouvre la seconde lettre en provenance de l'entreprise qui m'emploie... convocation à un entretien préalable pour licenciement économique !
Effondré, j'ouvre l'autre enveloppe, bien fine celle-là et parfumée. Je reconnais le parfum en prenant connaissance de quelques mots rapidement griffonnés par une main nerveuse : "Notre histoire doit se terminer, j'ai rencontré une femme exceptionnelle, je l'aime. Je sais que tu comprendras et que tu préfèreras que je vive pleinement cette passion. Bises."
... Je me dirige mécaniquement vers le brouhaha de la salle à manger.
Orientation - sirocco - salar - découvrir - jupe - accablant(e) - épanoui(e) - escalader - crâne - zoom - waterproof
Tout allait bien : vacances pascales au Maroc, allongé face à l'océan sur une roche en surplomb, je me laisse bercer par le bruit de la houle. Plage privée, l'hôtel est confortable. J'imagine l'excursion de demain au Caravansérail Arfoud, dans l'oasis jardin de Tifina.... Il est même prévu une ballade à dos de chameau sur les plus hautes dunes du Maroc, dans l'Erg Chebbi..... Ma chérie adorée sera de la partie, elle atterrit ce soir à Marrakech-Menara, et me rejoint après un déplacement professionnel de plusieurs jours à Venise. Mon coeur....
La cloche du dîner se fait entendre et je me lève à regret. Pourtant, les buffets sont admirables. D'accord, cuisine plutôt européenne qu'orientale, mais les jus d'orange frais, les fruits, les légumes sont délicieux, les grillades parfaites. Ils ont même cédé à la mode bobo et proposent des insectes grillés. Je les laisse aux accros aux protéines concentrées. Les parfums des épices deviennent plus présents et me font accélérer le pas.
En passant devant la chapelle, je salue un couple gay en costume blanc. Ils viennent de se marier. Chacun tient par la main un adorable bambin qu'ils ont adopté il y a peu dans ce pays aussi. Je souris et presse le pas. Je ne voudrais pas être en retard pour l'arrivée du courrier de midi.
Voici le vaguemestre, toujours obséquieux, il me salue, se penche en me tendant 2 lettres. Je lui souris et dépose un pourboire dans sa main négligemment tendue.
Ah ? une enveloppe de mes parents ! Elle est épaisse et contient deux recommandés qu'ils ont retirés avant-hier pour moi.... Un courrier de l'administration fiscale... Inquiet, je déchire rapidement l'enveloppe et découvre effaré un avis de redressement de 2.000 € !
Fébrile, j'ouvre la seconde lettre en provenance de l'entreprise qui m'emploie... convocation à un entretien préalable pour licenciement économique !
Effondré, j'ouvre l'autre enveloppe, bien fine celle-là et parfumée. Je reconnais le parfum en prenant connaissance de quelques mots rapidement griffonnés par une main nerveuse : "Notre histoire doit se terminer, j'ai rencontré une femme exceptionnelle, je l'aime. Je sais que tu comprendras et que tu préfèreras que je vive pleinement cette passion. Bises."
... Je me dirige mécaniquement vers le brouhaha de la salle à manger.
Orientation - sirocco - salar - découvrir - jupe - accablant(e) - épanoui(e) - escalader - crâne - zoom - waterproof
Dernière édition :
Loup Tenace
Empereur
Popeye : Olive, Olive, OLIVE où sont mes Épinards je les trouvent pas.
Olive : Vraiment t'exagère, ils sont là dans la réserve, faut pas craindre de fouiller un peu.
Pendant ce temps Brutus pris en Flagrant délit de vol de Roquefort fût conduit à la prison Samouraï
surnommait ainsi car lors de la seconde guerre mondiale y était incarcéré les prisonniers japonais.
La Tête haute l'immense colosse cogitait à un plan d'évasion pour retrouver sa Grotte, son refuge, son paradis.
Popeye toujours à la recherche de sa "précieuse" source de sa force surhumaine, n'en finissait pas de chercher dans la réserve.
Popeye : je trouve décidément pas, Olive t'es sûr qu'ils sont ici ?
Olive : Oui je suis sûr, j'ai couché Mimosas dans sa chambre puis ranger les courses et appeler Thérèse
Popeye : OLIVE tu devinera jamais ce que j'ai trouvé entre deux caisses ?
Olive : Quoi ? qu'est ce que tu as bien pu trouver ?
Popeye : Et bien entre deux caisses d'Abricots, j'ai trouvé Mimosas, tu perds la boule ma pauvre fille.
il me reste plus qu'à aller dans sa chambre pour retrouver mes précieux épinards.
clavier ... sornette ... dahu ... pièce ... rossignol ... sacoche ... transmetteur ... herbage ... caisse
Olive : Vraiment t'exagère, ils sont là dans la réserve, faut pas craindre de fouiller un peu.
Pendant ce temps Brutus pris en Flagrant délit de vol de Roquefort fût conduit à la prison Samouraï
surnommait ainsi car lors de la seconde guerre mondiale y était incarcéré les prisonniers japonais.
La Tête haute l'immense colosse cogitait à un plan d'évasion pour retrouver sa Grotte, son refuge, son paradis.
Popeye toujours à la recherche de sa "précieuse" source de sa force surhumaine, n'en finissait pas de chercher dans la réserve.
Popeye : je trouve décidément pas, Olive t'es sûr qu'ils sont ici ?
Olive : Oui je suis sûr, j'ai couché Mimosas dans sa chambre puis ranger les courses et appeler Thérèse
Popeye : OLIVE tu devinera jamais ce que j'ai trouvé entre deux caisses ?
Olive : Quoi ? qu'est ce que tu as bien pu trouver ?
Popeye : Et bien entre deux caisses d'Abricots, j'ai trouvé Mimosas, tu perds la boule ma pauvre fille.
il me reste plus qu'à aller dans sa chambre pour retrouver mes précieux épinards.
clavier ... sornette ... dahu ... pièce ... rossignol ... sacoche ... transmetteur ... herbage ... caisse
Loup Tenace
Empereur
Patient, le rêve éveillé trouble la nuit endormie au fond des Serres du jardin, sa Rate l'incommode au plus haut point.
Ainsi malgré que le songe soit délivrance, ici dans la Ferme le temps du rêve s'achève Assombri par la noirceur du cœur impie qui veille encore en son sein. Bien des trouvères en feront des pièces de Théâtre et à travers le pays colporteront le drame du Rêve. Éclairé donc la nuit braves gens et écoutait la complainte de Patient le rêve qui de Rives en dérive Brave encore et encore son destin, nul cauchemar ne serait être un Atout pour vaincre son mal intérieur. Oyé oyé braves gens, ayez l'Élan du cœur et ne blâmait pas trop vite le conteur. Dans le drame qu'il vous conte il n'y est pour rien. Louer vos sièges, vos fauteuils, vos chaises etc si vous voulez connaitre la suite de ce dramatique conte. L'Essence même de ce drame est à chercher dans l'obscurité du jour naissant.
Debout ... tour ... argon ... savonnette .. flèche ... lys ... bouillon ... Juliette ... fournaise ... proie ... glaive ... livresque
Ainsi malgré que le songe soit délivrance, ici dans la Ferme le temps du rêve s'achève Assombri par la noirceur du cœur impie qui veille encore en son sein. Bien des trouvères en feront des pièces de Théâtre et à travers le pays colporteront le drame du Rêve. Éclairé donc la nuit braves gens et écoutait la complainte de Patient le rêve qui de Rives en dérive Brave encore et encore son destin, nul cauchemar ne serait être un Atout pour vaincre son mal intérieur. Oyé oyé braves gens, ayez l'Élan du cœur et ne blâmait pas trop vite le conteur. Dans le drame qu'il vous conte il n'y est pour rien. Louer vos sièges, vos fauteuils, vos chaises etc si vous voulez connaitre la suite de ce dramatique conte. L'Essence même de ce drame est à chercher dans l'obscurité du jour naissant.
Debout ... tour ... argon ... savonnette .. flèche ... lys ... bouillon ... Juliette ... fournaise ... proie ... glaive ... livresque
Loup Tenace
Empereur
Comme un cri
Encore une fois la bulle légère s'envole comme un cri
Et l'appel creuse encore plus le vide d'une présence
Que l'absence masque la face dévoilée d'une belle de nuit.
Parfois une contrepèterie se rie des gens si vieux,
Le mouvement allant, parfois par malchance
Le cri s'illumine tel un soleil, éblouissant les yeux.
Sous la coupe de l'Esprit de raison, le cri se tue
Tombant là, immobile dans le silence
Rien, ni personne ne vient, la voie est sans issue.
Tulle ... anagramme ... immobilité ... Lune ... plan ... folie ... stagnante ... bruit
Encore une fois la bulle légère s'envole comme un cri
Et l'appel creuse encore plus le vide d'une présence
Que l'absence masque la face dévoilée d'une belle de nuit.
Parfois une contrepèterie se rie des gens si vieux,
Le mouvement allant, parfois par malchance
Le cri s'illumine tel un soleil, éblouissant les yeux.
Sous la coupe de l'Esprit de raison, le cri se tue
Tombant là, immobile dans le silence
Rien, ni personne ne vient, la voie est sans issue.
Tulle ... anagramme ... immobilité ... Lune ... plan ... folie ... stagnante ... bruit
Dernière édition :
Loup Tenace
Empereur
Enfin les vacances sont là, le temps des plaisirs de la désobéissance
Quand je pense à ta main ferme, Rose tu ose là sur ce coffre un jeu bien alléchant...
Et oui à ton invitation audacieuse, la braguette cède et l'âme comme le cœur est à tes ordres.
Tu semble vouloir me faire perdre la boule avec ta danse terriblement lascive,
Hum la passion me dévore le corps comme l'esprit, oui je suis ton Arlequin, ton Phoébus
A ta voix, j'obéis mais n'en suis nullement l'esclave.
Sulfureuse est ta danse, vraiment ma reine j'ai bien eu raison d'accourir ici.
Depuis que sur la lettre, j'ai vu le tampon royal je me suis dis la Messe est dite.
Elle sera mienne comme je serai sien.
Course ... apiculture ... éclopés ... ange ... marteaux ... jardin ... musical ... voilures ... glaive ... liasse ...
Quand je pense à ta main ferme, Rose tu ose là sur ce coffre un jeu bien alléchant...
Et oui à ton invitation audacieuse, la braguette cède et l'âme comme le cœur est à tes ordres.
Tu semble vouloir me faire perdre la boule avec ta danse terriblement lascive,
Hum la passion me dévore le corps comme l'esprit, oui je suis ton Arlequin, ton Phoébus
A ta voix, j'obéis mais n'en suis nullement l'esclave.
Sulfureuse est ta danse, vraiment ma reine j'ai bien eu raison d'accourir ici.
Depuis que sur la lettre, j'ai vu le tampon royal je me suis dis la Messe est dite.
Elle sera mienne comme je serai sien.
Course ... apiculture ... éclopés ... ange ... marteaux ... jardin ... musical ... voilures ... glaive ... liasse ...
DeletedUser35622
Guest
loooool je croyais ça disparu 
)
La Course annuelle du trophée d' apiculture réunit une kyrielle d'athlètes et d'éclopés : un ange gourmand, des amis marteaux calés dans le jardin à l'ombre du kiosque musical, chacun espère les voilures dorées des ouvrières, dont le glaive naturel porte à la vie des liasses de paris à Bruxelles : et si les abeilles ne venaient pas?
commence(r) ... téléphone ... apostrophe ... lune ... colibri ... Mexico ... descendre ... bus ... chiot ... veste ...
)La Course annuelle du trophée d' apiculture réunit une kyrielle d'athlètes et d'éclopés : un ange gourmand, des amis marteaux calés dans le jardin à l'ombre du kiosque musical, chacun espère les voilures dorées des ouvrières, dont le glaive naturel porte à la vie des liasses de paris à Bruxelles : et si les abeilles ne venaient pas?
commence(r) ... téléphone ... apostrophe ... lune ... colibri ... Mexico ... descendre ... bus ... chiot ... veste ...
Dernière édition par un modérateur :
galignan Lahache
Lancier
Tout Commencer sur un coup de téléphone,
Tout finir une nuit d'une apostrophe.
Toujours le soir, soumis au clair de lune.
Tout Colibri désire l'exæquo,
Tout Recommencer, Ô fête, à Mexico.
Toujours descendre du bus, faire un tour d'une.
Tout! Puis se lier à un chiot, crier aphone;
Toute veste en dedans, va catastrophe.
mouais je remets
Commencer par un coup de téléphone comme
on apostrophe dans la rue une dame ou un homme.
S'envoler, prendre sa lune de miel, frivole
au nid du colibri, à Mexico. Au bol,
faire une rechute, descendre du ciel!
Je bus, tu bus, il but, nous bûmes le fiel
au réveil: du passé, du présent, du futur!
Avoir un chiot ou ne plus en avoir? Peu sûrs?
Se prendre une veste? la fouiller? Confiance,
ton deuil soudain sonne le glas de ton enfance...
moins triste
commence ma journée monotone,
je saisis dès lors mon téléphone.
La " Lune " est haute dans le ciel
déjà le colibri bat des ailes.
Sous cette chaleur de Mexico
Je dois donc: descendre illico
prendre le bus, revenir chez moi.
Sortir le chien, saisir ma veste à moi
car ce soir encore je sors moi.
commence(r) ... téléphone ... apostrophe ... lune ... colibri ... Mexico ... descendre ... bus ... chiot ... veste ...
Tout finir une nuit d'une apostrophe.
Toujours le soir, soumis au clair de lune.
Tout Colibri désire l'exæquo,
Tout Recommencer, Ô fête, à Mexico.
Toujours descendre du bus, faire un tour d'une.
Tout! Puis se lier à un chiot, crier aphone;
Toute veste en dedans, va catastrophe.
mouais je remets
Commencer par un coup de téléphone comme
on apostrophe dans la rue une dame ou un homme.
S'envoler, prendre sa lune de miel, frivole
au nid du colibri, à Mexico. Au bol,
faire une rechute, descendre du ciel!
Je bus, tu bus, il but, nous bûmes le fiel
au réveil: du passé, du présent, du futur!
Avoir un chiot ou ne plus en avoir? Peu sûrs?
Se prendre une veste? la fouiller? Confiance,
ton deuil soudain sonne le glas de ton enfance...
moins triste
commence ma journée monotone,
je saisis dès lors mon téléphone.
La " Lune " est haute dans le ciel
déjà le colibri bat des ailes.
Sous cette chaleur de Mexico
Je dois donc: descendre illico
prendre le bus, revenir chez moi.
Sortir le chien, saisir ma veste à moi
car ce soir encore je sors moi.
commence(r) ... téléphone ... apostrophe ... lune ... colibri ... Mexico ... descendre ... bus ... chiot ... veste ...
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