DeletedUser27939
Guest
Muse... Il semblerait que la gent masculine n'ait pas d'équivalent. A muse ur ? Ange ou elfe ? La question restera posée encore un certain temps...
Le non équivalent de muse au masculin est probablement du au fait que la femme inspirée par l'homme est capable de vivre dans son ombre, à sa différence à lui qui a besoin de lumière et de reconnaissance... Enfin bref....
Pour écrire un poème, il est besoin de prendre son temps ! Ouvrir son cœur sans jamais de pudeur, l'écouter chanter et regarder, ardent...Écrire sur le papier les mots comme autant de jolies fleurs et les laisser courir comme du vif argent...
Quelquefois, gai ou bien triste, le poète respire.. on l'imagine ailleurs, il est ici, pourtant...Mais quel est ce bruit … ? C'est son cœur qui soupire... car les nuages passent et cachent le beau soleil, malgré les jolies fleurs...qu'il est loin le printemps...Petit à petit, les mots vont s’enchaîner, ondoyant dans les poèmes, nous apportant rêves et beauté, parfois hautes pensées ou encore vaines palabres . Derrière chaque mot se cache un sourire, une larme, une graine qui fait germer les rimes chantant nos peines et nos joies ...
Merci tu es sourire ...Pour renaître pour toi , il a fallu que je redevienne petite...Toi, qui passait sans me voir.. n'osant pas même un furtif regard... Les vers seront peut-être espoirs, retenant un instant ton œil fugitif. En taquinant le hasard ou le destin, nous finirons par nous rencontrer tôt ou tard et là ho mon bel indifférent, daigneras-tu enfin m’apercevoir.. !!!
Bonheur de rencontrer l'autre, le trouver charmant ...Oser le toucher, lui parler ...Non dans le but vraiment de trouver un amant.. paroles hasardeuses.. compliments ou simples avis, enfin se rendre compte s'il en est encore besoin que cet autre est riche de tant de diamants qu'on ne peut se résoudre à ne pas rencontrer ce passant . Vouloir faire un credo du bonheur de l'autre, n'attendant rien de plus que cette joie d'aimer. Amour user de toi avec chaleur, liberté et cependant raison et oser chaque jour recommencer avec persévérance et abandon... Rien en fait, ne nous est dû ! Ta profondeur, nous la choisissons...Tendresse de ta main se posant sur ma main , et qui sent en retour ta main qui a tremblé, dans un élan du cœur, geste inespéré. Tu regardes l'horizon, les nuages disparaissent et tu vois le ciel briller dans un soleil resplendissant. Si nous pouvons ressentir cela, c'est un signe du Ciel, vivons cet instant qui n'est point éternel..
Moi qui marche sur ce chemin emprunté.. je devrais savoir me reposer... mais une telle envie d'abdiquer me vient devant la réalité...revenir en arrière retrouver ma page blanche ...je n'ai plus cette force d'avancer contre vents et marées, de garder cette espérance contre toute adversité attendant qu'un jour, par bonheur la page se remplisse...
Pour écrire, petite... humble poétesse, comment dois-je m'y prendre ? Initier deux trois mots même s'ils ne riment point, repartir, revenir sans jamais compter mes pas et laisser parler mon cœur avec fantaisie... ? Fébrile, agitée avec émoi, comme vous je cherche avec quoi et comment faire rimer ce joli mot. Cache cœur où naissent de si beaux sentiments, en ce monde ou beaucoup se retrouvent en suspens, cache-misère des sans eldorado.
Seule la langue de Molière me sied, fière et amoureuse de notre « Français », notre ancienne langue d’oïl qui le mérite bien. Je veux tordre les vers, les plier à ma guise en y mêlant mort avec éternité, amour avec humour et tenter de dompter mon cher alexandrin.Je ne suis guère encline à me prendre au sérieux...ainsi je versifie, sans tambour ni trompette, espérant juste rendre ma page vive dans le plaisir d'écrire, ostensiblement sans vergogne ni pudeur , en mon âme et conscience ...vous livrant ma passion en une réelle et sincère ovation à mère poésie... espérant juste de votre part bienveillance et surtout indulgence car prosodie et métrique ne sont point mes fidèles compagnons...
Le non équivalent de muse au masculin est probablement du au fait que la femme inspirée par l'homme est capable de vivre dans son ombre, à sa différence à lui qui a besoin de lumière et de reconnaissance... Enfin bref....
Pour écrire un poème, il est besoin de prendre son temps ! Ouvrir son cœur sans jamais de pudeur, l'écouter chanter et regarder, ardent...Écrire sur le papier les mots comme autant de jolies fleurs et les laisser courir comme du vif argent...
Quelquefois, gai ou bien triste, le poète respire.. on l'imagine ailleurs, il est ici, pourtant...Mais quel est ce bruit … ? C'est son cœur qui soupire... car les nuages passent et cachent le beau soleil, malgré les jolies fleurs...qu'il est loin le printemps...Petit à petit, les mots vont s’enchaîner, ondoyant dans les poèmes, nous apportant rêves et beauté, parfois hautes pensées ou encore vaines palabres . Derrière chaque mot se cache un sourire, une larme, une graine qui fait germer les rimes chantant nos peines et nos joies ...
Merci tu es sourire ...Pour renaître pour toi , il a fallu que je redevienne petite...Toi, qui passait sans me voir.. n'osant pas même un furtif regard... Les vers seront peut-être espoirs, retenant un instant ton œil fugitif. En taquinant le hasard ou le destin, nous finirons par nous rencontrer tôt ou tard et là ho mon bel indifférent, daigneras-tu enfin m’apercevoir.. !!!
Bonheur de rencontrer l'autre, le trouver charmant ...Oser le toucher, lui parler ...Non dans le but vraiment de trouver un amant.. paroles hasardeuses.. compliments ou simples avis, enfin se rendre compte s'il en est encore besoin que cet autre est riche de tant de diamants qu'on ne peut se résoudre à ne pas rencontrer ce passant . Vouloir faire un credo du bonheur de l'autre, n'attendant rien de plus que cette joie d'aimer. Amour user de toi avec chaleur, liberté et cependant raison et oser chaque jour recommencer avec persévérance et abandon... Rien en fait, ne nous est dû ! Ta profondeur, nous la choisissons...Tendresse de ta main se posant sur ma main , et qui sent en retour ta main qui a tremblé, dans un élan du cœur, geste inespéré. Tu regardes l'horizon, les nuages disparaissent et tu vois le ciel briller dans un soleil resplendissant. Si nous pouvons ressentir cela, c'est un signe du Ciel, vivons cet instant qui n'est point éternel..
Moi qui marche sur ce chemin emprunté.. je devrais savoir me reposer... mais une telle envie d'abdiquer me vient devant la réalité...revenir en arrière retrouver ma page blanche ...je n'ai plus cette force d'avancer contre vents et marées, de garder cette espérance contre toute adversité attendant qu'un jour, par bonheur la page se remplisse...
Pour écrire, petite... humble poétesse, comment dois-je m'y prendre ? Initier deux trois mots même s'ils ne riment point, repartir, revenir sans jamais compter mes pas et laisser parler mon cœur avec fantaisie... ? Fébrile, agitée avec émoi, comme vous je cherche avec quoi et comment faire rimer ce joli mot. Cache cœur où naissent de si beaux sentiments, en ce monde ou beaucoup se retrouvent en suspens, cache-misère des sans eldorado.
Seule la langue de Molière me sied, fière et amoureuse de notre « Français », notre ancienne langue d’oïl qui le mérite bien. Je veux tordre les vers, les plier à ma guise en y mêlant mort avec éternité, amour avec humour et tenter de dompter mon cher alexandrin.Je ne suis guère encline à me prendre au sérieux...ainsi je versifie, sans tambour ni trompette, espérant juste rendre ma page vive dans le plaisir d'écrire, ostensiblement sans vergogne ni pudeur , en mon âme et conscience ...vous livrant ma passion en une réelle et sincère ovation à mère poésie... espérant juste de votre part bienveillance et surtout indulgence car prosodie et métrique ne sont point mes fidèles compagnons...