DeletedUser43660
Guest
Bribes d’attente…
Tu m’as quitté, ô désespoir
Tu es la lumière de mes jours
Je ne crois pas à ton départ
Je penserai à toi toujours
Le jour me semble bien trop pâle
Je voudrais être dans tes bras
Et le ciel bleu paraît glacial
Lorsque je suis seule sans toi
Sans toi ma vie n’a plus de sens
Et mon bonheur est avec toi
Je me consume en ton absence
Ce feu me fait mourir de froid
Hier encore tu me soufflais
Des mots tendres et apaisants pour
Me faire rire et me faire danser
De tes lèvres ourlées de velours
Je me rappelle tes baisers
Le temps qui me semblait trop court
Ton sourire m’a réchauffée
Jusqu’au soleil de ton retour.
Tu m’as quitté, ô désespoir
Tu es la lumière de mes jours
Je ne crois pas à ton départ
Je penserai à toi toujours
Le jour me semble bien trop pâle
Je voudrais être dans tes bras
Et le ciel bleu paraît glacial
Lorsque je suis seule sans toi
Sans toi ma vie n’a plus de sens
Et mon bonheur est avec toi
Je me consume en ton absence
Ce feu me fait mourir de froid
Hier encore tu me soufflais
Des mots tendres et apaisants pour
Me faire rire et me faire danser
De tes lèvres ourlées de velours
Je me rappelle tes baisers
Le temps qui me semblait trop court
Ton sourire m’a réchauffée
Jusqu’au soleil de ton retour.
Écoutez le violon raconter son histoire ..
Et la douleur de la séparation a diffusé sa plainte:
Les hommes et les femmes pleurent de sa plainte.
Je veux un coeur déchiré, des adieux ..
Pour lui avouer la douleur du désir ..
Déraciné de lui ..
Toujours en attente depuis longtemps ..
Ainsi j'ai chanté dans les forums
Je frissonne aux heureux et soupire aux misérables
Tout le monde pense que j'ai un compagnon
Mais aucun d'entre eux (heureux et misérable) n'a pas réalisé ce que j'étais !!
Ce n'était pas secret, loin des aspects, cependant
Où est l'oreille consciente et l'œil visionnaire ?!
La plainte du violon est une flamme de feu
Il n'y avait personne qui ne se brûle pas son cœur dans le feu.
Le feu du violon est le vin, une fièvre ..
Ainsi le violon était un jules ..
Et nous dit les conversations des relations folles
La sagesse qu'il raconte est interdite pour ceux qui ne comprennent pas,
Parce qu'il n'entend ces paroles que l'oreille consciente.
Et la douleur de la séparation a diffusé sa plainte:
Les hommes et les femmes pleurent de sa plainte.
Je veux un coeur déchiré, des adieux ..
Pour lui avouer la douleur du désir ..
Déraciné de lui ..
Toujours en attente depuis longtemps ..
Ainsi j'ai chanté dans les forums
Je frissonne aux heureux et soupire aux misérables
Tout le monde pense que j'ai un compagnon
Mais aucun d'entre eux (heureux et misérable) n'a pas réalisé ce que j'étais !!
Ce n'était pas secret, loin des aspects, cependant
Où est l'oreille consciente et l'œil visionnaire ?!
La plainte du violon est une flamme de feu
Il n'y avait personne qui ne se brûle pas son cœur dans le feu.
Le feu du violon est le vin, une fièvre ..
Ainsi le violon était un jules ..
Et nous dit les conversations des relations folles
La sagesse qu'il raconte est interdite pour ceux qui ne comprennent pas,
Parce qu'il n'entend ces paroles que l'oreille consciente.
On a été jeunes
Te rappelles-tu ?
On a été jeunes
Oui, te souviens-tu ?
On vivait sans peine
Ma main dans ta main
Et sans perdre haleine
On courait toujours
Vifs et sans détour.
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Oui, te souviens-tu
Que notre vigueur
Soutenait le combat
De toutes nos ardeurs
As-tu en mémoire
Que tous nos déboires
N'entamaient jamais
Notre tendre attrait
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Nous avons fait feu
Du bois de nos rêves
Car nous étions deux
A lutter sans trêve
Nous avons construit
Tant et tant de choses
Que jusqu'aujourd'hui
Nous portons nos causes
Mais sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Enfants de l’ardeur
Savez-vous entendre
Qu’heure après heure
On doit tout apprendre
Apprendre de lui
Sans jamais qu’il dise
Ce qui le construit
Sans qu’il en devise
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Que deviendras-tu
Seul au bout du monde
Et où iras-tu
Si ce bout s’inonde ?
De toutes les larmes
Que pour toi je verse
Car je n’ai plus d’armes
Pour que tu me restes
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Te rappelles-tu ?
On a été jeunes
Oui, te souviens-tu ?
On vivait sans peine
Ma main dans ta main
Et sans perdre haleine
On courait toujours
Vifs et sans détour.
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Oui, te souviens-tu
Que notre vigueur
Soutenait le combat
De toutes nos ardeurs
As-tu en mémoire
Que tous nos déboires
N'entamaient jamais
Notre tendre attrait
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Nous avons fait feu
Du bois de nos rêves
Car nous étions deux
A lutter sans trêve
Nous avons construit
Tant et tant de choses
Que jusqu'aujourd'hui
Nous portons nos causes
Mais sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Enfants de l’ardeur
Savez-vous entendre
Qu’heure après heure
On doit tout apprendre
Apprendre de lui
Sans jamais qu’il dise
Ce qui le construit
Sans qu’il en devise
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
Que deviendras-tu
Seul au bout du monde
Et où iras-tu
Si ce bout s’inonde ?
De toutes les larmes
Que pour toi je verse
Car je n’ai plus d’armes
Pour que tu me restes
Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids
De l'opium de l'humanité.
Ainsi donc, nous tous, humains de conditions diverses, et de sociétés non moins variées,
voila après quoi, tous, nous courons.
Ainsi cet attachement fortuit, tantôt puissant et fugace, tantôt diffus et tenace,
Se révèle être le fil rouge de toutes nos vies.
Qu'il soit dirigé vers nos créateurs, nos amis de tous poils, ou un simple autre humain inconnu,
Ainsi cet instinct s'immisce par-delà notre raison.
toujours une pensée, un flash, à n'importe quel moment, dirigée vers l'autre quel qu'il soit.
Toujours une pensée, tantôt puissante et fugace, tantôt diffuse et tenace...
Ainsi donc, nous tous, humains de conditions diverses, et de sociétés non moins variées,
voila après quoi, tous, nous courons.
Ainsi cet attachement fortuit, tantôt puissant et fugace, tantôt diffus et tenace,
Se révèle être le fil rouge de toutes nos vies.
Qu'il soit dirigé vers nos créateurs, nos amis de tous poils, ou un simple autre humain inconnu,
Ainsi cet instinct s'immisce par-delà notre raison.
toujours une pensée, un flash, à n'importe quel moment, dirigée vers l'autre quel qu'il soit.
Toujours une pensée, tantôt puissante et fugace, tantôt diffuse et tenace...
Mon cœur, tu es tout pour moi,
Quand je suis avec toi,
Je suis heureux
Quand tu pars je suis malheureux
Ton odeur me suis partout
Et de te sentir me rend fou
Si tu serais à mes cotés
Je pense que je t'embrasserais
Et quand tu t'es absenté
Je peux que t'imaginer
Quand tu es auprès de moi
Je sais que rien ne peux m'arriver
Quand je suis prés de toi
Je sais que l'on peut que se mirer
Si je te vois
Mon corps s'émerveille
Si je te caresse
Mon corps s'éveille
Si je t'embrasse
Mon corps ne reste jamais en veille
Je te dirais pas le mot interdit
Mais je sais que tu le lis
Sur mes lèvres ébahis
Quand je suis avec toi,
Je suis heureux
Quand tu pars je suis malheureux
Ton odeur me suis partout
Et de te sentir me rend fou
Si tu serais à mes cotés
Je pense que je t'embrasserais
Et quand tu t'es absenté
Je peux que t'imaginer
Quand tu es auprès de moi
Je sais que rien ne peux m'arriver
Quand je suis prés de toi
Je sais que l'on peut que se mirer
Si je te vois
Mon corps s'émerveille
Si je te caresse
Mon corps s'éveille
Si je t'embrasse
Mon corps ne reste jamais en veille
Je te dirais pas le mot interdit
Mais je sais que tu le lis
Sur mes lèvres ébahis
Depuis que je t'ai vue, ébloui par ta lumière,
Mon œil s'est voilé de ton image
Quand je fermes les yeux, je te vois saisie par l'onde du plaisir
Cette image, la tienne, apparaît, et me suit
Au plus profond de mon âme et de mes rêves.
Que j'adore cueillir la douceur dans tes yeux
Tes yeux dont la flamme scintille
Ce regard plein de vie et de tendresses
Près de toi le temps est infini
Loin de toi.... je n'y pense même pas
C'est ton âme qui vole au-devant de mon âme
Tous deux réuni
Mes yeux dans tes yeux
Au delà de l'infini
Mon œil s'est voilé de ton image
Quand je fermes les yeux, je te vois saisie par l'onde du plaisir
Cette image, la tienne, apparaît, et me suit
Au plus profond de mon âme et de mes rêves.
Que j'adore cueillir la douceur dans tes yeux
Tes yeux dont la flamme scintille
Ce regard plein de vie et de tendresses
Près de toi le temps est infini
Loin de toi.... je n'y pense même pas
C'est ton âme qui vole au-devant de mon âme
Tous deux réuni
Mes yeux dans tes yeux
Au delà de l'infini
Au delà de nos différences, au delà du temps
Malgré nos origines, notre culture et notre passé
Oublieux tant de nos divergences que nos ressemblances
Un simple regard nous a pourtant un jour rassemblé
Réunis en une seule seconde pour jamais ne se quitter
Tant de choses non dites, tant de choses à faire
Ombres et lumières d'un soir, douceurs d'un matin
Unies en un éclair par l'espoir d'alors pouvoir
Jalousement garder caché secrètement en mon sein
Ou peut être cependant révélé un soir à dessin
Uniquement à ton coeur, à ton âme, à ton être
Ravagé par l'abime envoutant de la passion
Soupirant sous le vent ton nom : Acrostiche
Malgré nos origines, notre culture et notre passé
Oublieux tant de nos divergences que nos ressemblances
Un simple regard nous a pourtant un jour rassemblé
Réunis en une seule seconde pour jamais ne se quitter
Tant de choses non dites, tant de choses à faire
Ombres et lumières d'un soir, douceurs d'un matin
Unies en un éclair par l'espoir d'alors pouvoir
Jalousement garder caché secrètement en mon sein
Ou peut être cependant révélé un soir à dessin
Uniquement à ton coeur, à ton âme, à ton être
Ravagé par l'abime envoutant de la passion
Soupirant sous le vent ton nom : Acrostiche
COUTURE D’AMES
De deux étoffes particulières
Naquit l’ouvrage de la dentellière
En unissant ces frêles morceaux
Elle les sublima d’un tricot
Au début ils furent comme soie
le corps des motifs s’enchevêtra
Et vint de leurs entrelacements
Le tendre dessein de cœurs amants
les années passent, le fil est usé,
la trame de ces âmes est abîmées
La couturière ne cède pas
Elle pique dans le taffetas
Elle reprise les trous, les points
Découpe ,recoud le tissu fin
Ses gestes sont sûrs, déterminés
l’œuvre fixée les voilà mariés
Mais la besogne n’est pas finie
Il faut consolider l’établis
Une jolie pièce est ajoutée
Bientôt paraîtra le nouveau-né
De deux étoffes particulières
Naquit l’ouvrage de la dentellière
En unissant ces frêles morceaux
Elle les sublima d’un tricot
Au début ils furent comme soie
le corps des motifs s’enchevêtra
Et vint de leurs entrelacements
Le tendre dessein de cœurs amants
les années passent, le fil est usé,
la trame de ces âmes est abîmées
La couturière ne cède pas
Elle pique dans le taffetas
Elle reprise les trous, les points
Découpe ,recoud le tissu fin
Ses gestes sont sûrs, déterminés
l’œuvre fixée les voilà mariés
Mais la besogne n’est pas finie
Il faut consolider l’établis
Une jolie pièce est ajoutée
Bientôt paraîtra le nouveau-né
Le temps éphémère
Quoi de plus beau que celui de la rencontre
Intense et enivrant, unique et audacieux
Celui de la découverte et de l’aventure
Les premiers moments à jamais gravé
Dans la mémoire et le destin de chacun.
Quoi de plus beau que celui de l’installation
Celle d’un foyer, désormais nous sommes deux
Célébré par une union à jamais réunis
Voyages, projets, un futur en devenir
Le meilleur reste à venir.
Quoi de plus beau que celui de la construction
Celle d’une famille, désormais nous sommes trois
Quand l’enfant né agrandit nos cœurs
Et que lui suivent frère et sœur
Chaque instant restera gravé dans nos cœurs
Quoi de plus beau que de vieillir ensemble
Au-delà des épreuves et du quotidien
Avancer ensemble sur le même chemin
C’était écrit c’est notre destin
Merci pour tous ces lendemains.
Quoi de plus beau que celui de la rencontre
Intense et enivrant, unique et audacieux
Celui de la découverte et de l’aventure
Les premiers moments à jamais gravé
Dans la mémoire et le destin de chacun.
Quoi de plus beau que celui de l’installation
Celle d’un foyer, désormais nous sommes deux
Célébré par une union à jamais réunis
Voyages, projets, un futur en devenir
Le meilleur reste à venir.
Quoi de plus beau que celui de la construction
Celle d’une famille, désormais nous sommes trois
Quand l’enfant né agrandit nos cœurs
Et que lui suivent frère et sœur
Chaque instant restera gravé dans nos cœurs
Quoi de plus beau que de vieillir ensemble
Au-delà des épreuves et du quotidien
Avancer ensemble sur le même chemin
C’était écrit c’est notre destin
Merci pour tous ces lendemains.
Le voleur de coeurs.
Mais qui donc est ce voleur ?
Chaque jour, il vole mon coeur.
Mais qui donc est cet usurpateur ?
Chaque nuit, il aiguille ma peur.
Il remplit ma vie de couleurs,
Il m'éloigne de tous ces malheurs.
Avec lui plus de douleurs.
Il me fait perdre toute pudeur,
Et je vole en apesanteur.
Perdue au milieu des rumeurs,
il provoque cependant ma fureur !
Il se pose en grand dompteur,
Ses bras me propose leur chaleur.
Il est tour à tour :
Dictateur, Consolateur, Rêveur, Rodeur,
Menteur, Cajoleur, Jongleur, Rieur,
Il est surtout,
Et avant tout !
Le plus grand des "Arnacoeurs"
Mais qui donc est ce voleur ?
Chaque jour, il vole mon coeur.
Mais qui donc est cet usurpateur ?
Chaque nuit, il aiguille ma peur.
Il remplit ma vie de couleurs,
Il m'éloigne de tous ces malheurs.
Avec lui plus de douleurs.
Il me fait perdre toute pudeur,
Et je vole en apesanteur.
Perdue au milieu des rumeurs,
il provoque cependant ma fureur !
Il se pose en grand dompteur,
Ses bras me propose leur chaleur.
Il est tour à tour :
Dictateur, Consolateur, Rêveur, Rodeur,
Menteur, Cajoleur, Jongleur, Rieur,
Il est surtout,
Et avant tout !
Le plus grand des "Arnacoeurs"
Poëme: Sans Interdit
Toi qui ne m'est pas compté,
je te demande permission;
De nous trouver volupté
et que nous nous unissions.
Cette recherche burlesque,
m'amène à te désirer.
Comme une belle fresque,
on t'y vois te refléter.
L'envie de m'épanouir,
je le projette en ton sein,
afin de te conquérir,
et d'or en faire le plein.
De te voir est mon plaisir!
tout en savourant mon due,
je vais et je viens au rire,
sous ton regard fort goulue.
Se sentiment agréable,
me porte au firmament.
Et me sentant affable,
j'en perd tout mes arguments.
Toi qui ne m'est pas compté,
je te demande permission;
De nous trouver volupté
et que nous nous unissions.
Cette recherche burlesque,
m'amène à te désirer.
Comme une belle fresque,
on t'y vois te refléter.
L'envie de m'épanouir,
je le projette en ton sein,
afin de te conquérir,
et d'or en faire le plein.
De te voir est mon plaisir!
tout en savourant mon due,
je vais et je viens au rire,
sous ton regard fort goulue.
Se sentiment agréable,
me porte au firmament.
Et me sentant affable,
j'en perd tout mes arguments.
Ode à la raclette
Doucement, l'hiver s'installe,
Un vent polaire fouette sauvagement mon corps,
Les doux flocons de neige je les avale.
Malgré cette longue étole que j'arbore,
Une délicate odeur me vint au nez,
Une alliance de senteurs exquises.
Vers ce chalet je me sens acheminée,
Quelle fut alors ma surprise.
À la vue de cette table bien garnie,
Un spectacle merveilleux,
Du fromage, des pommes de terre, de la charcuterie,
Annonçant un dîner des plus savoureux,
Ambiancé par la lueur des chandeliers,
Ainsi que le crépitement des bûches enflammées.
Je retire alors mes beaux souliers,
Et prépare mon estomac bien armé.
En cette journée de fête,
Où Cupidon est à l'honneur,
Rien de mieux qu'une raclette,
Pour réchauffer son cœur.
Je ne mange pas pour vivre,
Je vis pour manger,
Accompagnée tu me rends ivre,
Sur toi ma raclette, je vais me venger.
Doucement, l'hiver s'installe,
Un vent polaire fouette sauvagement mon corps,
Les doux flocons de neige je les avale.
Malgré cette longue étole que j'arbore,
Une délicate odeur me vint au nez,
Une alliance de senteurs exquises.
Vers ce chalet je me sens acheminée,
Quelle fut alors ma surprise.
À la vue de cette table bien garnie,
Un spectacle merveilleux,
Du fromage, des pommes de terre, de la charcuterie,
Annonçant un dîner des plus savoureux,
Ambiancé par la lueur des chandeliers,
Ainsi que le crépitement des bûches enflammées.
Je retire alors mes beaux souliers,
Et prépare mon estomac bien armé.
En cette journée de fête,
Où Cupidon est à l'honneur,
Rien de mieux qu'une raclette,
Pour réchauffer son cœur.
Je ne mange pas pour vivre,
Je vis pour manger,
Accompagnée tu me rends ivre,
Sur toi ma raclette, je vais me venger.
LES A. Interdites
A toi ma belle, qui m’enveloppes
Matin, midi et soir,
Omniprésente, obsédante. Vite, une clope,
Une autre, tuer le temps… Et puis l’espoir :
Retrouver ma Pénélope.
S'
Il Brûle de tout feu, mon coeur ?
Non, mon coeur n’oublie pas
Ton visage, tes mots doux tout en fleur.
Et ils ne fânent pas
Restants bien là à toute heure.
Donne-moi souvent de tes nouvelles
Interdites, enflammées, elles seront belles
Tant qu’elles viennent de ton coeur.
Et je serai bientôt là.
Sur le chemin du retour déjà...
A toi ma belle, qui m’enveloppes
Matin, midi et soir,
Omniprésente, obsédante. Vite, une clope,
Une autre, tuer le temps… Et puis l’espoir :
Retrouver ma Pénélope.
S'
Il Brûle de tout feu, mon coeur ?
Non, mon coeur n’oublie pas
Ton visage, tes mots doux tout en fleur.
Et ils ne fânent pas
Restants bien là à toute heure.
Donne-moi souvent de tes nouvelles
Interdites, enflammées, elles seront belles
Tant qu’elles viennent de ton coeur.
Et je serai bientôt là.
Sur le chemin du retour déjà...
Le poème de l’interdit
La vie peut être belle,
Elle peut mener au bonheur.
Quand on trouve celui ou celle,
Qui faire battre notre cœur.
On vit alors tout plus intensément
Tout semble plus vrai
Le chemin ne fait plus semblant
Et nous emmène vers le firmament
Les mots nous viennent comme par magie
Notre poitrine cogne de plus en plus
Dès qu’on entrevoit notre vie
Filer tout droit vers ce que l’on a toujours voulu.
Un couple de vie,
Un couple de sentiment
Il compte pour moi, je compte pour lui
C’est ça, le plus important
Elle se donne à lui, telle Juliette à Roméo
Il se donne à elle, pour toujours
Tout sera désormais très beau
Le soleil illumine désormais leurs jours.
La vie peut être belle,
Elle peut mener au bonheur.
Quand on trouve celui ou celle,
Qui faire battre notre cœur.
On vit alors tout plus intensément
Tout semble plus vrai
Le chemin ne fait plus semblant
Et nous emmène vers le firmament
Les mots nous viennent comme par magie
Notre poitrine cogne de plus en plus
Dès qu’on entrevoit notre vie
Filer tout droit vers ce que l’on a toujours voulu.
Un couple de vie,
Un couple de sentiment
Il compte pour moi, je compte pour lui
C’est ça, le plus important
Elle se donne à lui, telle Juliette à Roméo
Il se donne à elle, pour toujours
Tout sera désormais très beau
Le soleil illumine désormais leurs jours.
Ode à ma souris
De jour comme de nuit je te clique,
t’impose mille mouvements,
Et via à ton fil électrique
Nous érigeons des monuments.
En ce jour de Saint-Valentin,
O toi si fidèle instrument,
Pointe en moi un désir certain
De t'avouer mes sentiments :
Quand ma main saisit ton plastique,
Dirige vers un bâtiment
Ta flèche toujours symétrique,
Arrive au galop le printemps.
Pris par le jeu tel un bambin
J’oublie les aléas du temps...
Et nous voilà mains dans la main,
Chassant pf, plans et diamants!
De jour comme de nuit je te clique,
t’impose mille mouvements,
Et via à ton fil électrique
Nous érigeons des monuments.
En ce jour de Saint-Valentin,
O toi si fidèle instrument,
Pointe en moi un désir certain
De t'avouer mes sentiments :
Quand ma main saisit ton plastique,
Dirige vers un bâtiment
Ta flèche toujours symétrique,
Arrive au galop le printemps.
Pris par le jeu tel un bambin
J’oublie les aléas du temps...
Et nous voilà mains dans la main,
Chassant pf, plans et diamants!
Le rendez-vous des esprits éclairés
Peu à peu tu m'as invité à emprunter tes voiles,
en berçant silencieusement mon cœur si meurtri,
comme un jour de marée basse où le passé se dévoile,
tant les sensations sont d'une splendeur infinie.
Cette douce échancrure de l'âme oh combien primordiale,
dans ce monde ou l'homme s'y sent totalement démuni,
si bien que je voudrais lui donner le nom d'idéal,
lorsque l'émotion me conduit bien au-delà de l'utopie.
Un exil sans limite ou je bascule de façon viscérale,
dans son refuge bienveillant aux frissons garantis,
dont le doux et léger parfum aux couleurs estivales,
à fait de moi, ton esclave pour la vie.
Peu à peu tu m'as invité à emprunter tes voiles,
en berçant silencieusement mon cœur si meurtri,
comme un jour de marée basse où le passé se dévoile,
tant les sensations sont d'une splendeur infinie.
Cette douce échancrure de l'âme oh combien primordiale,
dans ce monde ou l'homme s'y sent totalement démuni,
si bien que je voudrais lui donner le nom d'idéal,
lorsque l'émotion me conduit bien au-delà de l'utopie.
Un exil sans limite ou je bascule de façon viscérale,
dans son refuge bienveillant aux frissons garantis,
dont le doux et léger parfum aux couleurs estivales,
à fait de moi, ton esclave pour la vie.
Jusqu’au dernier souffle
Il n’y a pas de recettes
Les auteurs en parlent peu
Le coup de foudre en fait
Frappe un peu quand il veut
Ce fut en février
A l’aube du millénaire
Timides, émerveillés
Nos regards se croisèrent
De l’orée des matins
Au coucher du soleil
Nous sommes main dans la main
Explorons milles merveilles
Nous grandissons ensemble
Creusons notre sillon
Faisant que rien ne tremble
Et ce fut un garçon
Puis vint sa petite sœur
Et les joies de l’école
Chantons tous Haut les cœurs
Mais les années s’envolent
On fait du mieux possible
Malgré les tourbillons
Sans être trop sensible
Les enfants s’éloigneront
Viendra la solitude
Et nos corps vieillissant
Avec grande mansuétude
Jugerons-nous nos enfants ?
Quand au bout du chemin
Le temps aura passé
Nos destins prendront fins
Nous serons arrivés
Nos yeux se fermeront
Dans un dernier baiser
Nous nous remémorerons
Ce mois de février
Il n’y a pas de recettes
Les auteurs en parlent peu
Le coup de foudre en fait
Frappe un peu quand il veut
Ce fut en février
A l’aube du millénaire
Timides, émerveillés
Nos regards se croisèrent
De l’orée des matins
Au coucher du soleil
Nous sommes main dans la main
Explorons milles merveilles
Nous grandissons ensemble
Creusons notre sillon
Faisant que rien ne tremble
Et ce fut un garçon
Puis vint sa petite sœur
Et les joies de l’école
Chantons tous Haut les cœurs
Mais les années s’envolent
On fait du mieux possible
Malgré les tourbillons
Sans être trop sensible
Les enfants s’éloigneront
Viendra la solitude
Et nos corps vieillissant
Avec grande mansuétude
Jugerons-nous nos enfants ?
Quand au bout du chemin
Le temps aura passé
Nos destins prendront fins
Nous serons arrivés
Nos yeux se fermeront
Dans un dernier baiser
Nous nous remémorerons
Ce mois de février
Ce matin, recouverte de rosée
Une petite fleur j'ai trouvée
Ses pétales fermés
Elle grelottait.
Alors je l'ai cueillie
De par sa fragilité, attendri
De par sa beauté, ébloui.
D'un joli ruban, je l'ai entourée
Pour que son petit coeur soit réchauffé.
Tu vois,
Elle est comme toi :
Si fragile, mais si belle à la fois.
Cette jolie fleur est pour toi.
Je te l'offre pour que ton sourire illumine ton joli minois,
Que ton regard charmeur se pose sur moi.
Elle a besoin qu'on prenne soin d'elle
Qu'on la protège pour qu'elle reste belle.
Tu vois,
Elle est comme toi,
Toi ma p'tite fleur à moi.
Et je suis fou, fou de toi.
Une petite fleur j'ai trouvée
Ses pétales fermés
Elle grelottait.
Alors je l'ai cueillie
De par sa fragilité, attendri
De par sa beauté, ébloui.
D'un joli ruban, je l'ai entourée
Pour que son petit coeur soit réchauffé.
Tu vois,
Elle est comme toi :
Si fragile, mais si belle à la fois.
Cette jolie fleur est pour toi.
Je te l'offre pour que ton sourire illumine ton joli minois,
Que ton regard charmeur se pose sur moi.
Elle a besoin qu'on prenne soin d'elle
Qu'on la protège pour qu'elle reste belle.
Tu vois,
Elle est comme toi,
Toi ma p'tite fleur à moi.
Et je suis fou, fou de toi.
Histoire d'Elle et Lui
Ma vie avec elle est la plus belle des fêtes.
Notre bonheur, c'est d'abord d'être ensemble.
Pour vivre heureux, un seul secret, nous vivons cachés.
Nous donnons et c'est plus doux que de recevoir.
Notre poésie est le chant de nos intérieurs réunis.
Ma vie avec elle sera la plus belle des retraites.
Toujours ensemble, bien que la terre tremble.
Notre propre force est de nous protéger.
Ce qui la touche, se grave dans ma mémoire.
Notre passion est la fièvre de nos esprits.
Notre vraie passion nous donne du courage.
Et, nous traversons tous les ages.
Ma vie avec elle est la plus belle des fêtes.
Notre bonheur, c'est d'abord d'être ensemble.
Pour vivre heureux, un seul secret, nous vivons cachés.
Nous donnons et c'est plus doux que de recevoir.
Notre poésie est le chant de nos intérieurs réunis.
Ma vie avec elle sera la plus belle des retraites.
Toujours ensemble, bien que la terre tremble.
Notre propre force est de nous protéger.
Ce qui la touche, se grave dans ma mémoire.
Notre passion est la fièvre de nos esprits.
Notre vraie passion nous donne du courage.
Et, nous traversons tous les ages.
TOI…
Le jour où nos chemins se sont croisés
La flamme de mes yeux s'est allumée
Et mon coeur à toi s'est accroché.
La beauté de ton visage angélique
Embellis ma vie et la rend magnifique.
Tu m’as fait oublier ma tristesse
Tu m’as ensorcelé par ta gentillesse
Tu m’as baigné dans ta tendresse.
Tu m’as offert tant de bonheur
Tu es pour moi la plus belle des fleurs
C'est toi qui enflamme mon cœur.
Tu es le printemps de ma vie
L’étoile qui éclaire mes nuits
Le soleil de mes jours, la lune de mes nuits.
Partout où je suis, tu es présente dans mon esprit
Être dans tes bras est mon unique envie
L’unique rêve de ma vie.
Telle une rose, tu as tout embelli autour de moi
Telle une mélodie, ton rythme prend possession de moi.
Quand je pense à toi
Le temps devient plus doux que la soie.
Je suis fou de toi
Je ne suis rien sans toi
Tu es tout pour moi
Tu es ma source de joie
Tu as tout éclairé autour de moi
Tu es tout ce qui compte pour moi
Tu m'as rendu fou de joie
Tu as pris possession de moi
Tu es devenue ma passion et ma foi.
Je ne peux pas vivre sans toi
Je ne vis qu’en pensant à toi
Je rêve de faire ma vie avec toi
Je rêve que ma fin sera dans tes bras.
Le jour où nos chemins se sont croisés
La flamme de mes yeux s'est allumée
Et mon coeur à toi s'est accroché.
La beauté de ton visage angélique
Embellis ma vie et la rend magnifique.
Tu m’as fait oublier ma tristesse
Tu m’as ensorcelé par ta gentillesse
Tu m’as baigné dans ta tendresse.
Tu m’as offert tant de bonheur
Tu es pour moi la plus belle des fleurs
C'est toi qui enflamme mon cœur.
Tu es le printemps de ma vie
L’étoile qui éclaire mes nuits
Le soleil de mes jours, la lune de mes nuits.
Partout où je suis, tu es présente dans mon esprit
Être dans tes bras est mon unique envie
L’unique rêve de ma vie.
Telle une rose, tu as tout embelli autour de moi
Telle une mélodie, ton rythme prend possession de moi.
Quand je pense à toi
Le temps devient plus doux que la soie.
Je suis fou de toi
Je ne suis rien sans toi
Tu es tout pour moi
Tu es ma source de joie
Tu as tout éclairé autour de moi
Tu es tout ce qui compte pour moi
Tu m'as rendu fou de joie
Tu as pris possession de moi
Tu es devenue ma passion et ma foi.
Je ne peux pas vivre sans toi
Je ne vis qu’en pensant à toi
Je rêve de faire ma vie avec toi
Je rêve que ma fin sera dans tes bras.