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Concours St Valentin 2018 - "Poème de l'interdit"

  • Auteur de la discussion DeletedUser43660
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DeletedUser43660

Guest
Bribes d’attente…

Tu m’as quitté, ô désespoir
Tu es la lumière de mes jours
Je ne crois pas à ton départ
Je penserai à toi toujours

Le jour me semble bien trop pâle
Je voudrais être dans tes bras
Et le ciel bleu paraît glacial
Lorsque je suis seule sans toi

Sans toi ma vie n’a plus de sens
Et mon bonheur est avec toi
Je me consume en ton absence
Ce feu me fait mourir de froid

Hier encore tu me soufflais
Des mots tendres et apaisants pour
Me faire rire et me faire danser
De tes lèvres ourlées de velours

Je me rappelle tes baisers
Le temps qui me semblait trop court
Ton sourire m’a réchauffée
Jusqu’au soleil de ton retour.

Écoutez le violon raconter son histoire ..
Et la douleur de la séparation a diffusé sa plainte:
Les hommes et les femmes pleurent de sa plainte.
Je veux un coeur déchiré, des adieux ..
Pour lui avouer la douleur du désir ..
Déraciné de lui ..
Toujours en attente depuis longtemps ..
Ainsi j'ai chanté dans les forums
Je frissonne aux heureux et soupire aux misérables
Tout le monde pense que j'ai un compagnon
Mais aucun d'entre eux (heureux et misérable) n'a pas réalisé ce que j'étais !!
Ce n'était pas secret, loin des aspects, cependant
Où est l'oreille consciente et l'œil visionnaire ?!
La plainte du violon est une flamme de feu
Il n'y avait personne qui ne se brûle pas son cœur dans le feu.
Le feu du violon est le vin, une fièvre ..
Ainsi le violon était un jules ..
Et nous dit les conversations des relations folles
La sagesse qu'il raconte est interdite pour ceux qui ne comprennent pas,
Parce qu'il n'entend ces paroles que l'oreille consciente.

On a été jeunes

Te rappelles-tu ?
On a été jeunes
Oui, te souviens-tu ?
On vivait sans peine

Ma main dans ta main
Et sans perdre haleine
On courait toujours
Vifs et sans détour.

Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids

Oui, te souviens-tu
Que notre vigueur
Soutenait le combat
De toutes nos ardeurs

As-tu en mémoire
Que tous nos déboires
N'entamaient jamais
Notre tendre attrait

Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids

Nous avons fait feu
Du bois de nos rêves
Car nous étions deux
A lutter sans trêve

Nous avons construit
Tant et tant de choses
Que jusqu'aujourd'hui
Nous portons nos causes

Mais sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids

Enfants de l’ardeur
Savez-vous entendre
Qu’heure après heure
On doit tout apprendre

Apprendre de lui
Sans jamais qu’il dise
Ce qui le construit
Sans qu’il en devise

Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids

Que deviendras-tu
Seul au bout du monde
Et où iras-tu
Si ce bout s’inonde ?

De toutes les larmes
Que pour toi je verse
Car je n’ai plus d’armes
Pour que tu me restes

Et sur ton cœur
Je posais ma tête
Et de mes peurs
Tu portais le poids

De l'opium de l'humanité.

Ainsi donc, nous tous, humains de conditions diverses, et de sociétés non moins variées,
voila après quoi, tous, nous courons.
Ainsi cet attachement fortuit, tantôt puissant et fugace, tantôt diffus et tenace,
Se révèle être le fil rouge de toutes nos vies.
Qu'il soit dirigé vers nos créateurs, nos amis de tous poils, ou un simple autre humain inconnu,
Ainsi cet instinct s'immisce par-delà notre raison.
toujours une pensée, un flash, à n'importe quel moment, dirigée vers l'autre quel qu'il soit.
Toujours une pensée, tantôt puissante et fugace, tantôt diffuse et tenace...

Mon cœur, tu es tout pour moi,
Quand je suis avec toi,
Je suis heureux
Quand tu pars je suis malheureux

Ton odeur me suis partout
Et de te sentir me rend fou

Si tu serais à mes cotés
Je pense que je t'embrasserais
Et quand tu t'es absenté
Je peux que t'imaginer

Quand tu es auprès de moi
Je sais que rien ne peux m'arriver
Quand je suis prés de toi
Je sais que l'on peut que se mirer

Si je te vois
Mon corps s'émerveille
Si je te caresse
Mon corps s'éveille
Si je t'embrasse
Mon corps ne reste jamais en veille

Je te dirais pas le mot interdit
Mais je sais que tu le lis
Sur mes lèvres ébahis

Depuis que je t'ai vue, ébloui par ta lumière,
Mon œil s'est voilé de ton image
Quand je fermes les yeux, je te vois saisie par l'onde du plaisir
Cette image, la tienne, apparaît, et me suit
Au plus profond de mon âme et de mes rêves.
Que j'adore cueillir la douceur dans tes yeux
Tes yeux dont la flamme scintille
Ce regard plein de vie et de tendresses
Près de toi le temps est infini
Loin de toi.... je n'y pense même pas
C'est ton âme qui vole au-devant de mon âme
Tous deux réuni
Mes yeux dans tes yeux
Au delà de l'infini

Au delà de nos différences, au delà du temps
Malgré nos origines, notre culture et notre passé
Oublieux tant de nos divergences que nos ressemblances
Un simple regard nous a pourtant un jour rassemblé
Réunis en une seule seconde pour jamais ne se quitter
Tant de choses non dites, tant de choses à faire
Ombres et lumières d'un soir, douceurs d'un matin
Unies en un éclair par l'espoir d'alors pouvoir
Jalousement garder caché secrètement en mon sein
Ou peut être cependant révélé un soir à dessin
Uniquement à ton coeur, à ton âme, à ton être
Ravagé par l'abime envoutant de la passion
Soupirant sous le vent ton nom : Acrostiche

COUTURE D’AMES


De deux étoffes particulières
Naquit l’ouvrage de la dentellière
En unissant ces frêles morceaux
Elle les sublima d’un tricot

Au début ils furent comme soie
le corps des motifs s’enchevêtra
Et vint de leurs entrelacements
Le tendre dessein de cœurs amants

les années passent, le fil est usé,
la trame de ces âmes est abîmées
La couturière ne cède pas
Elle pique dans le taffetas

Elle reprise les trous, les points
Découpe ,recoud le tissu fin
Ses gestes sont sûrs, déterminés
l’œuvre fixée les voilà mariés

Mais la besogne n’est pas finie
Il faut consolider l’établis
Une jolie pièce est ajoutée
Bientôt paraîtra le nouveau-né

Le temps éphémère

Quoi de plus beau que celui de la rencontre
Intense et enivrant, unique et audacieux
Celui de la découverte et de l’aventure
Les premiers moments à jamais gravé
Dans la mémoire et le destin de chacun.

Quoi de plus beau que celui de l’installation
Celle d’un foyer, désormais nous sommes deux
Célébré par une union à jamais réunis
Voyages, projets, un futur en devenir
Le meilleur reste à venir.

Quoi de plus beau que celui de la construction
Celle d’une famille, désormais nous sommes trois
Quand l’enfant né agrandit nos cœurs
Et que lui suivent frère et sœur

Chaque instant restera gravé dans nos cœurs
Quoi de plus beau que de vieillir ensemble
Au-delà des épreuves et du quotidien
Avancer ensemble sur le même chemin
C’était écrit c’est notre destin
Merci pour tous ces lendemains.

Le voleur de coeurs.

Mais qui donc est ce voleur ?
Chaque jour, il vole mon coeur.
Mais qui donc est cet usurpateur ?
Chaque nuit, il aiguille ma peur.

Il remplit ma vie de couleurs,
Il m'éloigne de tous ces malheurs.
Avec lui plus de douleurs.
Il me fait perdre toute pudeur,
Et je vole en apesanteur.

Perdue au milieu des rumeurs,
il provoque cependant ma fureur !
Il se pose en grand dompteur,
Ses bras me propose leur chaleur.

Il est tour à tour :
Dictateur, Consolateur, Rêveur, Rodeur,
Menteur, Cajoleur, Jongleur, Rieur,

Il est surtout,
Et avant tout !
Le plus grand des "Arnacoeurs"

Poëme: Sans Interdit

Toi qui ne m'est pas compté,
je te demande permission;
De nous trouver volupté
et que nous nous unissions.

Cette recherche burlesque,
m'amène à te désirer.
Comme une belle fresque,
on t'y vois te refléter.

L'envie de m'épanouir,
je le projette en ton sein,
afin de te conquérir,
et d'or en faire le plein.

De te voir est mon plaisir!
tout en savourant mon due,
je vais et je viens au rire,
sous ton regard fort goulue.

Se sentiment agréable,
me porte au firmament.
Et me sentant affable,
j'en perd tout mes arguments.

Ode à la raclette

Doucement, l'hiver s'installe,
Un vent polaire fouette sauvagement mon corps,
Les doux flocons de neige je les avale.
Malgré cette longue étole que j'arbore,
Une délicate odeur me vint au nez,
Une alliance de senteurs exquises.
Vers ce chalet je me sens acheminée,
Quelle fut alors ma surprise.
À la vue de cette table bien garnie,
Un spectacle merveilleux,
Du fromage, des pommes de terre, de la charcuterie,
Annonçant un dîner des plus savoureux,
Ambiancé par la lueur des chandeliers,
Ainsi que le crépitement des bûches enflammées.
Je retire alors mes beaux souliers,
Et prépare mon estomac bien armé.
En cette journée de fête,
Où Cupidon est à l'honneur,
Rien de mieux qu'une raclette,
Pour réchauffer son cœur.
Je ne mange pas pour vivre,
Je vis pour manger,
Accompagnée tu me rends ivre,
Sur toi ma raclette, je vais me venger.

LES A. Interdites

A toi ma belle, qui m’enveloppes
Matin, midi et soir,
Omniprésente, obsédante. Vite, une clope,
Une autre, tuer le temps… Et puis l’espoir :
Retrouver ma Pénélope.
S'

Il Brûle de tout feu, mon coeur ?
Non, mon coeur n’oublie pas
Ton visage, tes mots doux tout en fleur.
Et ils ne fânent pas
Restants bien là à toute heure.
Donne-moi souvent de tes nouvelles
Interdites, enflammées, elles seront belles
Tant qu’elles viennent de ton coeur.
Et je serai bientôt là.
Sur le chemin du retour déjà...

Le poème de l’interdit
La vie peut être belle,
Elle peut mener au bonheur.
Quand on trouve celui ou celle,
Qui faire battre notre cœur.
On vit alors tout plus intensément
Tout semble plus vrai
Le chemin ne fait plus semblant
Et nous emmène vers le firmament
Les mots nous viennent comme par magie
Notre poitrine cogne de plus en plus
Dès qu’on entrevoit notre vie
Filer tout droit vers ce que l’on a toujours voulu.
Un couple de vie,
Un couple de sentiment
Il compte pour moi, je compte pour lui
C’est ça, le plus important
Elle se donne à lui, telle Juliette à Roméo
Il se donne à elle, pour toujours
Tout sera désormais très beau
Le soleil illumine désormais leurs jours.

Ode à ma souris

De jour comme de nuit je te clique,
t’impose mille mouvements,
Et via à ton fil électrique
Nous érigeons des monuments.

En ce jour de Saint-Valentin,
O toi si fidèle instrument,
Pointe en moi un désir certain
De t'avouer mes sentiments :

Quand ma main saisit ton plastique,
Dirige vers un bâtiment
Ta flèche toujours symétrique,
Arrive au galop le printemps.

Pris par le jeu tel un bambin
J’oublie les aléas du temps...
Et nous voilà mains dans la main,
Chassant pf, plans et diamants!

Le rendez-vous des esprits éclairés

Peu à peu tu m'as invité à emprunter tes voiles,
en berçant silencieusement mon cœur si meurtri,
comme un jour de marée basse où le passé se dévoile,
tant les sensations sont d'une splendeur infinie.

Cette douce échancrure de l'âme oh combien primordiale,
dans ce monde ou l'homme s'y sent totalement démuni,
si bien que je voudrais lui donner le nom d'idéal,
lorsque l'émotion me conduit bien au-delà de l'utopie.

Un exil sans limite ou je bascule de façon viscérale,
dans son refuge bienveillant aux frissons garantis,
dont le doux et léger parfum aux couleurs estivales,
à fait de moi, ton esclave pour la vie.

Jusqu’au dernier souffle

Il n’y a pas de recettes
Les auteurs en parlent peu
Le coup de foudre en fait
Frappe un peu quand il veut

Ce fut en février
A l’aube du millénaire
Timides, émerveillés
Nos regards se croisèrent

De l’orée des matins
Au coucher du soleil
Nous sommes main dans la main
Explorons milles merveilles

Nous grandissons ensemble
Creusons notre sillon
Faisant que rien ne tremble
Et ce fut un garçon

Puis vint sa petite sœur
Et les joies de l’école
Chantons tous Haut les cœurs
Mais les années s’envolent

On fait du mieux possible
Malgré les tourbillons
Sans être trop sensible
Les enfants s’éloigneront

Viendra la solitude
Et nos corps vieillissant
Avec grande mansuétude
Jugerons-nous nos enfants ?

Quand au bout du chemin
Le temps aura passé
Nos destins prendront fins
Nous serons arrivés

Nos yeux se fermeront
Dans un dernier baiser
Nous nous remémorerons
Ce mois de février

Ce matin, recouverte de rosée
Une petite fleur j'ai trouvée
Ses pétales fermés
Elle grelottait.
Alors je l'ai cueillie
De par sa fragilité, attendri
De par sa beauté, ébloui.
D'un joli ruban, je l'ai entourée
Pour que son petit coeur soit réchauffé.
Tu vois,
Elle est comme toi :
Si fragile, mais si belle à la fois.
Cette jolie fleur est pour toi.
Je te l'offre pour que ton sourire illumine ton joli minois,
Que ton regard charmeur se pose sur moi.
Elle a besoin qu'on prenne soin d'elle
Qu'on la protège pour qu'elle reste belle.
Tu vois,
Elle est comme toi,
Toi ma p'tite fleur à moi.
Et je suis fou, fou de toi.

Histoire d'Elle et Lui

Ma vie avec elle est la plus belle des fêtes.
Notre bonheur, c'est d'abord d'être ensemble.
Pour vivre heureux, un seul secret, nous vivons cachés.
Nous donnons et c'est plus doux que de recevoir.
Notre poésie est le chant de nos intérieurs réunis.

Ma vie avec elle sera la plus belle des retraites.
Toujours ensemble, bien que la terre tremble.
Notre propre force est de nous protéger.
Ce qui la touche, se grave dans ma mémoire.
Notre passion est la fièvre de nos esprits.

Notre vraie passion nous donne du courage.
Et, nous traversons tous les ages.

TOI…

Le jour où nos chemins se sont croisés
La flamme de mes yeux s'est allumée
Et mon coeur à toi s'est accroché.

La beauté de ton visage angélique
Embellis ma vie et la rend magnifique.

Tu m’as fait oublier ma tristesse
Tu m’as ensorcelé par ta gentillesse
Tu m’as baigné dans ta tendresse.

Tu m’as offert tant de bonheur
Tu es pour moi la plus belle des fleurs
C'est toi qui enflamme mon cœur.

Tu es le printemps de ma vie
L’étoile qui éclaire mes nuits
Le soleil de mes jours, la lune de mes nuits.

Partout où je suis, tu es présente dans mon esprit
Être dans tes bras est mon unique envie
L’unique rêve de ma vie.

Telle une rose, tu as tout embelli autour de moi
Telle une mélodie, ton rythme prend possession de moi.

Quand je pense à toi
Le temps devient plus doux que la soie.

Je suis fou de toi
Je ne suis rien sans toi
Tu es tout pour moi
Tu es ma source de joie
Tu as tout éclairé autour de moi
Tu es tout ce qui compte pour moi
Tu m'as rendu fou de joie
Tu as pris possession de moi
Tu es devenue ma passion et ma foi.

Je ne peux pas vivre sans toi
Je ne vis qu’en pensant à toi
Je rêve de faire ma vie avec toi
Je rêve que ma fin sera dans tes bras.
 

DeletedUser43660

Guest
VALENTIN-VALENTINE

A la Saint-Valentin,
A la Sainte-Valentine
Y'aura des gros câlins,
Et des cadeaux sublimes.
Des bisous romantiques

C'est cliché, c'est classique
Des bisous ravageurs
Pour ceux qui n'ont pas peur.

Des étreintes enflammées
Quand les couples enlacés
Viennent brûler leurs ailes
En brasiers éternels.
D'la tendresse à deux balles

C'est déjà pas si mal
Et du sourire en coin
Celui des petits taquins.
Et si vous oubliez de fêter ce jour là

Ne vous inquiétez pas, Cupidon vous dira
Qu'il oeuvre tous les jours, en hiver, en été
Contre vents et marées, pour vous ensorceler

Le poème de l'interdit

Une saint Valentin bien froide cette année
A l'image de l'eau qui a tout envahi
Ces prairies où nous nous sommes tant promenés
Quand nous courions assouvir nos folles envies.

Un Roméo tout couvert de givre et de glace
A l'image des flocons qui tombent, retombent
Lentement, patiemment et qui prendront leur place
Jusqu'à ensevelir ces êtres d'outre-tombe.

Une Juliette encore tout endolorie
A l'image de cette nature violée
Dans son intimité par d'insolites bruits
Des bruits de féraille qui dament les allées

D'autres saint Valentin, je m'en souviens encore,
Nous vivions dans un monde éloigné du réel
Nous faisions des expés pour trouver des trésors
Et construisions une arche pour atteindre le ciel ...

Séparation

L’histoire semblait éternelle
N’être qu’un avec lui et elle
Aller main dans la main
Sans se soucier du lendemain
Sur une épaule, une tête posée
Attendre le matin et sa rosée
Partager de doux instants
Comme arrive le printemps

Les mots de tendresse échangés
Finalement se sont envolés
Toute cette jolie complicité
Le temps ne l’a pas préservé
On n’a pas toujours le choix
Couple où il faut faire une croix
Le lien de cœurs est brisé
A qui la faute en vérité


Chacun partira de son côté
Vers une nouvelle complicité
Retenant toujours les pleurs
On attendra cette nouvelle heure
D’une belle rencontre espérée
Car la vie se doit de continuer

A Toi

A Toi qui es entré dans ma vie un soir d'été.
A Toi qui as tout bouleversé à tout jamais.

Un serment nous avons fait, être unis à tout jamais.
Deux beaux enfants sont nés, nos galères, nos fiertés.
La vie ne nous a pas épargné,
Mais toujours nous nous sommes relevés.
Envers et contre tous, main dans la main,
Nous avançons sur le chemin.

A Toi qui m'as ouvert les yeux aux beautés de la vie.
A Toi qui illumines mes jours et enflammes mes nuits.

Tu donnes sans compter pour me combler,
Je suis comme une Princesse de conte de fée.
J'ai découvert des plaisirs insoupçonnés,
Auxquels tu m' as initiés.
Nuits torrides, et passionnées,
Malgré les années, ne cessent de se succéder.

A Toi qui me donnes la force de traverser les drames.
A Toi qui as touché le plus profond de mon âme.

Ce poème, pour que jamais tu n'oublies,
Que chaque jour, tu illumines ma vie.
Que lorsque tes yeux sur moi se posent,
Mon corps trésaille et mon cœur explose.
Que 25 ans après, mon seul et unique souhait,
Est de continuer de me réveiller à tes côtés.

Notre envol

Sous mes ailes, je suis les bras protecteurs,
La délicate plume, auteur de cet écrit,
Quand Vénus s’empare de ton vulnérable cœur,
Pour te le rendre chéri, comme il n'est permis.

Je suis la moitié de tes innombrables fous-rires,
Cet homme qui partage tes moments complices,
Et efface dans ton miroir ce reflet du martyr,
Faisant naître doucement un brin de malice.

Accepte que je devienne les bras d’un époux,
Cette voix envoûtante ranimant ton désir,
Cette pensée troublante dessinant ton avenir.

Et par Éros, je ferai naître en ton cœur,
Cette immense passion, cette envie d'offrir,
Rien qu'une flèche, et tu seras libérée de tes peurs.

Les secondes s’écoulent, les minutes tombent,
Les heures chavirent, sans que ma flamme ne sombre,
Ainsi va la nuit, ainsi va mon cœur,
A jamais épris de ton sourire charmeur.

Les secondes chuchotent, les minutes baillent,
Les heures toussotent sans que ma flamme défaille,
Ainsi va ma vie, ainsi va mon cœur,
A jamais épris de mon unique fleur.

Les secondes défilent, les minutes volent,
Les heures se passent, sans que ma flamme s’étiole,
Ainsi va le temps, ainsi va mon cœur,
A jamais cherchant à parfaire ton bonheur.

Les secondes s’entassent, les minutes glissent,
Les heures se comptent, sans que ma flamme faiblisse,
Ainsi erre l’errant, ainsi va mon cœur,
A jamais cherchant que jamais tu ne pleures.

Les secondes s’arrêtent, les minutes hésitent,
Les heures se figent, et seule ma flamme résiste,
Ainsi s’achève le chant, ainsi va mon cœur,
A jamais épris, qu’il y ait des rires ou des heurts.

La vie est une leçon de rimes

Ma vie en février n’était que monorime
Cœur dur, moral en berne, solitude et déprime.
Sans amie, sans amant, dans le fond de l’abîme
Mes peurs de finir seul semblaient fort légitimes.
Au détour d’un matin, d’une foule anonyme
Tu as crevé l’écran, lumineuse et sublime.
En quelques jours à peine, nous étions très intimes
Et j’étais convaincu de mon bonheur ultime.

Ma relation d’avril était alors suivie
Comme un Colissimo, déjà pré-affranchi.
Du lever au coucher, je ne pensais qu’à toi
A la chance que j’avais de t’avoir avec moi.
Du matin jusqu’au soir, je ne pensais qu’à nous
A nos futurs enfants – seront-ils vraiment roux ?
Jamais ô grand jamais, je ne pensais à elle
Puisqu’à cette époque-là, elle n’était pas réelle.

Mais c’est au mois de juin, que je l’ai embrassée
Moi qui pensais toujours, toujours t’être fidèle.
Du coucher au lever, je ne pensais qu’à elle
A l’envie que j’avais de l’avoir à côté.
Du matin jusqu’au soir, je pensais peu à toi
A nos futurs disputes, tes comment, tes pourquoi ?
Plus jamais désormais, je ne pensais à nous
Notre futur commun s’était alors dissous.

Et c’est au mois d’octobre que nos destins croisés
Se sont pourtant soudés, à jamais cette fois.
Depuis ton grand pardon, je n’ai pensé qu’à toi
A toujours te séduire, à toujours te combler.
A dater de ce jour, je n’ai pensé qu’à nous
A nos huit enfants roux, et nos deux tourterelles.
Pas une fois depuis, je n’ai pensé à elle
Excepté un jeudi, en mangeant du tripou.

Des terres immortelles, Eros l’a fait descendre,
Eros l’a fait partir, vivre dans la volupté,
Le sang des frères mortels, la haine l’a fait épandre,
La haine l’a fait souffrir qu’on l’ait abandonnée.

Eros a tous les matins ses grands yeux aveuglés,
Et quoiqu’il en incombe, la haine l’a fait pendre,
Eros a son destin toujours illuminé,
Dans la sinistre tombe, la haine l’a fait étendre.

Sa flamme est si grande, son feu est si fort,
Qu’il attaque l’enfer, qu’il terrasse la mort,
Qu’il arrache de ses fers sa fidèle Eurydice.

Belle pour qui ce beau meurt en vous tant chérissant,
Voyez s’il fut jamais un plus beau sacrifice,
Voyez s’il fut jamais un si parfait galant.

A mon Adoré !

Le jour où le destin nous a réuni
J'ai laissé parler mon cœur et je l'ai juste écouté.
Un geste, un baiser, un regard en retour,
Et je fus éprise en ce jour, pour toujours.
Elle était là, la clé du bonheur, ce sentiment si sacré
qui chaque jour me procure un immense bonheur.
Pour le meilleur et pour le pire, je te chéri depuis.
Je veux pour l'éternité te garder dans mon cœur,
Et à l'aube du crépuscule, près de toi mon adoré,
Je veux le vivre pleinement et intensément,
Pour que vive la passion jusqu'au firmament.

SANS AUCUN INTERDIT

Avec toi je traverserais le désert du monde
Pour que nous affrontions, ensemble, le tonnerre qui gronde
Afin de dire la vérité et ne plus avoir peur
Pouvoir marcher dans tes pas sans aucune retenue ni pudeur

Pour toi je quitterais tous les royaumes - plus de secrets
L'orient ou l'occident, peut m'importe où je vais
Tu es mon miroir, mon autre, l'objet de toutes mes envies
Pour toi j'irais même jusqu'à abandonner les jardins du paradis

Pour nous, j'irais même jusqu'à me faire emprisonner
Car les liens qui nous unissent, jamais ne vont se terminer
Mon cœur, c'est avec toi que je veux apprendre à vieillir
Et jusqu'à mon dernier jour, sentir ton souffle me couvrir.

Le Baiser

Tout n'est que ruine et désolation!!
Tout n'est que cendre et poussière!!
Seul face a face, un homme, une femme.
Un silence, lourd et oppressant...
Seulement rompu par quelques crépitements de flamme, envahi leurs esprits.
Sont'ils loin, sont'ils proche, sont'ils vraiment vivants?!
Sans bouger ils s'avancent, se distinguant a peine,
jusqu’à être proche et sentir enfin leurs souffles sur leur corps.
Ils s'observent...
Sales, fatigues, abîmés par une vie les dépassant,
blessés dans leurs corps comme dans leurs âmes,
par on ne sait quelle histoire.
Leurs yeux racontent la douleur et la souffrance, mais aussi l'espoir...
Le temps s’évapore...
Autour d'eux tous se met a tourner, de plus en plus vite
jusqu’à n’être plus...
Ils flottent...
Les vents se réveillant enfin, renaissants de l'oubli,
éloignant les odeurs nauséabondes en balayant les poussières de leur corps.
En modifient le temps, et le changement est là...
Leurs cheveux brillants et dansant à nouveau reflètent
ce soleil levant jusqu’à illuminer leur visages.
Les sens en éveil, leurs regard perdu l'un
dans l'autre, ils s'oublient, ils s'ouvrent, s'offrent.
Se connaissent-ils, se souviennent-ils?!
Une attirance l'un pour l'autre semble jaillir.
Leurs lèvres s’entrouvrent...
Leurs yeux doucement se referment...
Des sentiments qui s’étaient perdu dans les méandres
de leurs mémoires ressurgissent...
La passion, fut-elle palpable... était là.

Un baiser.

LETTRE A ELISE

C’est une belle journée de printemps, la nature se réveille et les oiseaux chantent.
Alors que je me promène sur le sentier à l’orée de la forêt, j’entend une douce euphonie qui m’attire hors de ma route.
J’écoute mon coeur, je décide de suivre la mélodie.
Je m’infiltre dans la forêt, j’écarte les branches et je tombe sur une fleur.
Une fleur qui est tellement belle que tous mes sens se métamorphosent et qu’il faudrait que je m’appelle Verlaine pour trouver les mots afin de te la décrire un peu. Je vais essayer.
Mes yeux sont éblouis par la beauté de cette miss végétale.
Mes oreilles succombent à sa jolie voix.
Mon nez est enivré par le subtil parfum qu’elle dégage.
Mes doigts n’osent pas la toucher tant elle est fragile et moi qui suis omnivore, je n’ose la manger tant elle est resplendissante avec ses pétales multicolores.
Je repars avec des regrets pleins la tête bien qu’elle ai perforé mon coeur répandant ainsi son odeur sur les chemins du bonheur.
Tout en marchant, je me dis qu’elle a des similitudes avec une personne que je connais.
Je suis incapable de m’en souvenir……….
Lorsque tout à coup, je me réveille et je me crois au paradis parce que je suis dans tes bras.
Ah ma chérie, j’ai oublié de dire que la fleur c’était TOI !!!

DES MOTS (philippe 1998)

Il existe des mots
Venant d'un autre monde
Qui font que l'on succombe
Comme aux pires des maux
Des brins d'affirmations
Qui font que l'on angoisse
Car ce sont des questions
Quoi qu'on dise ou qu'on fasse
Et quand on a vécu
Pour en savoir le prix
Ces mots ne sortent plus
et on se sent maudit.

Il est de ces vocables
Qui nous rendent affable
Frôlant le merveilleux
A nous monter aux yeux
Qu'on prenne ou qu'on les tende
Qu'importe le voyage
Pourvu qu'on les entende
Et puis qu'on les partage
Ces mots là m'ont hanté
Depuis quelques semaines
A ce point que je sais
Qu'au fond de moi je t' ...

LES DECLARATIONS
elle:
Ton café lyophilisé
la chasse d'eau jamais tirée
tes chaussettes dans l'entrée
le courrier jamais posté
lui :
Ce matin c'est Saint Valentin
oublie ton réveil programmé
j'tai amené les p'tits pains
vive la grasse matinée
Elle :
Ton découvert autorisé
tes copines botoxées
tes absences prolongées
tes mensonges erronés
Lui :
T'en fais pas mon lapin
Ca va etre une belle journée
après je sors le chien
viens je t'emmène diner
Elle :
Tes fleurs a moitié fanées
tes excuses à peine murmurées
ton regard souvent détourné
tes promesses chaque fois répétées
Lui :
suis passé au supermarché
les roses rouge y'avait pas
l'avantage avec les oeillets
c'est qu'eux ne piquent pas
Elle :
Tes soirées alcoolisées
tes pets dans le canapé
tes mégots dans l'évier
tes clés dans le cendrier
Lui :
Ce soir on fait la fete
oublie donc le passé
allez ! prends ta coupette
et sois toujours ma fée

*Sans voler à Bobby Lapointe de son stylo seulement son stratagème
Je t'écris là des mots qui formeront un système
et tu comprendras qu'il s'agit d'un épithème
"pour te dire que, te dire que je... oui"
Je t'ai porté un beau bouquet d'hélianthièmes
J'ai fait le même l'année passée et je ressème
Et je sèmerai l'année prochaine des xéranthèmes
"pour te dire que, te dire que je... oui"
Je suis guérie de mon mégalérythème
car j'ai mangé des mésembryanthèmes
ça a réglé mes soucis de gynosystème
Et je t'assure, je ne souffre plus d'oedèmes
tout ça
"pour te dire que, te dire que je... oui"
Aussi vaillante que le vaillant monotrème,
Je t'assure que je ne suis pas Nicodème
La preuve, je peux définir le mot " agrosystème"
Et j'ai même pris des cours de Louchebeme
"pour te dire que, te dire que je... oui"
Ouiiiiiiiiiiiii

INTERDIT

Des minutes volées,
Un rendez-vous masqué
Une alcôve isolée,
Des mains qui se cherchent
Des lèvres qui se touchent,

Deux amants comblés,
Des paroles échangées,
Des envies réfrénées,
Des regards attendris,
Le goût de l'interdit,

Recherche d’intimité,
Dans un endroit discret
Loin des regards inquisiteurs,
Pour dissimuler ce feu ravageur,

Occulter la lumière dorée,
D’une belle après-midi d’été,
Et ce laisser rêver,
Que la nuit est tombée,
Qu'on va la partager,
Un petit bout d'éternité,
Un moment volé,

Cette passion interdite,
Ignorant les règles de la fidélité,
Cette passion maudite,
Qui voit mon corps s'enflammer,
Grandit et se nourrit,
De fous rires complices,
De regards plein de malice,

Demandez-vous honnêtement,
Qui n’a pas été tenté un moment,
Par les yeux d’un bel inconnu,
Croisé au coin d’une rue,

Posez-vous tout simplement la question,
N’avez-vous pas ressenti la tentation,
De vouloir vivre une autre vie,
Quand le couple est fini.

ENSEMBLE EN UTOPIE

Entends tu la mer
gémir sur les rochers?
Écoute cette vague ,
qui en moi se vient briser!

Les flots ondulent ,
un bateau rentre au port ,
tes mains qui me caressent ,
ton corps contre mon corps ...

Écoute les mouettes ,
qui s'affairent au large !
et le vent qui soulève
le sable sur la plage...

Humes tu cette odeur,
qui franchit la fenêtre ?
Ferme les yeux,
le temps s'arrête....

Plongeons dans le plaisir
qui nous embrasera...
alors , ensemble,
nous allons arriver
à la crête de la vague
qui va nous emporter
et , le rythme trouvé ,
élançons nous soudés ,
gémissant et criant ,
nous allons voyager ,
vers ce monde enchanté
où ivres de désir ,
atteignant le plaisir,
nous allons chavirer....

Mon étoile filante.

Semblable aux Perséides
Scintillant dans la nuit,
Silencieuses, apaisantes,
Délicieusement ardentes,
Tu enchantes ma vie,
de ta beauté candide.

Des cieux tombée sur terre
Sous une pluie d'or en poudre,
J'ai attrapé, ma chère,
Non pas un coup de foudre
Charriant le tonnerre ;
Mais un coup d'étoile filante
Par ta douceur enivrante.

Sous ce ciel étoilé
par la nouvelle lune
tendrement enlacés ;
nos lèvres prêtaient serment
si langoureusement
de nous laisser libre
de nous rendre ivre
de vies pétulantes
telles ces étoiles filantes.

Nous somme une vague de chaleur dans un hiver têtu.
Nous sommes le soleil, avec toutes les couleurs de la lumière.
Nous sommes le vent.
Les oiseaux chantent ont changé de place près de nous.
Les poissons entend nos paroles sont venue au poisson, et se met a sauté.
De cette excitation les vagues continuent à venir.
L'âme a reçu des oreilles pour entendre des choses que l'esprit ne pouvait pas comprendre.
Dans le monde du Grand Esprit,
La douceur de notre conversation est ce que nous apportons au monde.

Lucie ces mots à ce jour que je vous écrits
Sont là pour vous dire qu'il y a le feu
Ce feu déclenché dans mon corps par vos yeux
Réchauffe mes journées et consume mes nuits.

Dans ce monde où valeurs ne sont que dollars
Votre beauté s'érige tel une oeuvre d'art
Délicate harmonie de couleurs infinies
Douceur inouïe de votre couleur bruni.

Vos paroles sont à mes oreilles un chant,
Chant, du rossignol aux premiers jours du printemps,
Parler, chanter, ensorceler moi en entier
Fais naître en moi une âme d'aventurier.
Oh, voila que je me laisserais emporter,
Veuillez m'excuser de vous avoir tutoyer.

Ne soyez pas choquée de la portée de ces mots,
Ce ne sont que des mots pour annoncer tout haut
Que brûle un grand feu dans mon coeur, dans vos yeux
Qui de sa fumée embaume les cieux.
 

DeletedUser43660

Guest
Pour toi


J'ai posé ma plume pour te contempler,
Toi la belle dans le noir de la nuit et l'obscurité,

Ta silhouette me hante et ton corps apparaît,
Au contour de l’éclat que dégage ta beauté,

ô toi la Merveille que je cherche à retrouver,
Mon Symbole du charme et de la pure sensualité,

Par ton sourire et ton visage tu m'as emporté,
Vers l'univers des anges et le paradis des fées,

Dans un monde où chaque instant doit être savouré,
Pour que notre existence soit au moins imprégnée,

Nous revoilà à un renouveau bien préparés,
Pour que notre vraie passion dure à l’éternité,

Ni la distance, ni l'absence ne pourront nous éloigner,
Car nos sentiments sont plus forts pour nous faire rencontrer,

Afin de profiter de nos affinités et de notre intime complicité,
Dans une atmosphère où règne notre bonheur mérité

Je ne sais pas quand je t'ai perdu,
était-ce ce jour où j'ai enfanté notre premier fils ?
ou bien le second peut-être ? étais-tu jaloux,
étais-je moins attentive, moins disponible ?
quand je suis partie en vacances seule avec les garçons,
quand ils ont grandi et que j'ai repris des études ?
Trente années après notre séparation, je te confie
aujourd’hui que tu me manques car j'aurais voulu
partager avec toi, et toi seul,
le bonheur d'être grand-mère.
Imagine : nous deux sur le canapé,
toi qui fais la sieste avec ton petit fils
endormi dans le creux de tes bras,
et moi qui vous contemple le cœur battant de tendresse.
C'est le Bonheur

Ces mots de tous les jours

Avec des mots de tous les jours,
J’aurais voulu faire une tresse
Une tresse de velours,
Toute imprégnée de caresses.

Avec des mots de tous les jours,
J'aimerais tant écrire un livre
Rempli de soleil et d'humour
Et te chantant la joie de vivre.

Avec des mots de tous les jours,
Je voudrais prendre tes tristesses
Et te prodiguer en retour
Les chauds élans de ma tendresse.

Ces gentils mots de tous les jours
Ne sont, hélas, plus à la mode,
Et mes chansons de troubadour
Devront se choisir un exode.

Un cycle, des vies

Deux êtres s'oposent
Et malgré les différences
Deux êtres s'attirent
Car de la simple passion
Nait une idyle dont le fruit
Grandit neuf mois durant
Dans le ventre de la future maman
Deux vies unies à jamais
Pour le meilleur et pour le pire
Et le pire, malheureusement reste à venir
Une naissance, un décès
Tel est la vie, telle est la mort
Pourtant, de haine envers l'enfant
Le parent survivant jamais n'éprouvera
L'enfant grandit, un homme il devint
et à son tour l'âme soeur vint sur son chemin
Un cycle, des vies
Tantôt heureuses,
Tantôt malheureuses.

Tous ces mots

Ces mots que l'on ne doit pas dire
Ces mots que ton regard balaie d'un battement de cils
Ces mots qui meurent au bord de mes lèvres
Ces mots qui embaument mon coeur de douceur
Ces mots qui peuplent mes rêves
Ces mots qui accompagnent mes jours
Ces mots qui font battre nos coeurs
Ces mots qui brillent de mille feux dans les cieux
Ces mots qui ont un gout d'éternité
Ces mots je voudrais tant te les dire
Mais ces mots nous sont interdits
Et font de nous les nouveaux Romeo et Juliette maudits

Nos coeurs

tes murmures à mon oreille
n ont pas leurs pareil
ton souffle sur mon visage
me donne un bon présage
les caresses de tes mains
dessinent un doux chemin
tes baisers posés doucement
deviennent de plus en plus brûlants
tes yeux en disent long
je vois là mon bel étalon
ta respiration s'amplifie
je sais que tu es ma vie
mes yeux se ferment
je te ressent dans mon épiderme
nos corps s'enlacent
nos esprits dansent
dans ce transport du désir
son ardeur me donne du plaisir
nos coeurs palpitent avec vitesse
j en ressent toute l ivresse
mon corps est de fièvre
j unis nos lèvres
nos coeurs sont à l unisson
et nous nous endormons
dans de doux frissons

de M à N
Janus des sentiments, Rama aux cent visages,
Fin et commencement, il est désir et mort.
Nul n'y échappera, que l'on soit fou ou sage,
Par Vénus et Héra, il a scellé mon sort.
Au détour d'un message anodin et léger,
Un simple badinage, que pouvais-je répondre ?
Des vagues de douceur que j'entends s'harpéger
Plaisir annonciateur de ma vie qui s'effondre.
Et dans un tourbillon de baisers délicieux,
De jeux doux et ardents, de moments sulfureux,
J'oublie qu'un papillon fait pour virevolterOublie ses sentiments sans jamais s'arrêter.
Faudrait-il pour autant cesser de vivre et rire ?
Quand le fond de mon coeur n'est qu'amertume et ire.Me venger du galant inconstant et turpide ?
Que non ! Pas de rancoeur ! Je prends Eros pour guide.

A ma Valentine

Aujourd'hui fête de la Saint valentin fête ou l'on offre normalement des fleurs
je voudrais simplement t'adresser ces quelques mots qui me viennent du fond cœur.
A toi qui, par un beau jour inespéré d'été
sur moi a jeté ton regard qui allait pour toujours m'ensorceler.
Moi qui errais seul dans ce monde froid, gris et tumultueux
et qui de ce jour ai vu apparaître le soleil dans le fond de tes yeux.
A toi d'être toujours là pour moi, moi qui ne suis plus rien sans toi
moi qui avant ce jour errais telle une âme en peine sans but et sans foi.
A toi qui par ta douceur et tes mots m'a fait oublier le mot temporel
dans mon cœur et mon âme tu as su graver le mot éternel !
A toi qui m'acceptes pour ce que à tes yeux simplement je suis
même si quand près de toi et tes sentiments je parais bien petit.
A toi qui par cette magique union de nos cœurs
as su créer et sublimer notre parfait bonheur.
A toi, je te dis humblement Merci et sache que quand tu es dans la peine
nous sommes désormais deux pour affronter cette déveine
et que, pour ensemble le plus longtemps nous continuons cette envie
main dans la main à jamais , c'est ensemble que nous marcherons dans la vie

Mon soleil,

Beauté brulante, incandescente, rayonnante,
De ses braises, dans la nuit, rougeoyantes
Telles des étoiles filantes dans une course effrénée,
Anime ma passion pour ce soleil toute l'année.
Me laissant aller à un songe d'été,
Aux senteurs de ta peau si parfumée,
Ton rayon de soleil sur moi s'est posé,
Comme ce baiser que tu m'as volé.
Lorsque l'astre du jour au zénith nous contraint,
De rechercher l'abri à l'ombre du jardin
Je te prendrai la main juste pour t'emmener
Vers le fruit défendu au milieu du verger.

comme

Comme Cupidon éprit de passion
Comme un Amant plein de sentiment
Comme une relation pleine d’affection
Comme un troubadour qui te fait la coure
Comme un adolescent plein de questionnement
Comme un couple aux quatre-cent coups
Comme Narcisse plein d'érotisme
Comme une idylle avec une fille
Comme un pot de peinture sur une penture
Comme Andromaque qui cherche son mac
Comme un bébé recherche sa tété
Comme la sincérité s'offre à la virginité
Comme une moule chahutée par la houle
Comme ornithorynque pour toi je trinque
Comme l'igloo par le chaud devient tout mou
Comme l'arc bandé déborde de volupté
Quand la femme passionnée de chasteté
Donne un baiser plein de sensualité
L'homme devient obsédé par sa moitié

De haut en bas

A peine je t’ai vu, mon cœur s’est ému et à la mairie, nous avons lié nos destinées.
Malgré quelques défauts, je me suis vite sentie à l’abri dans tes bras et tellement en sécurité auprès de toi
Oh, bien sûr le chemin n’a pas été simple et de nombreux chaos ont croisé notre route
Une fille puis un garçon ont couronné notre union, aujourd’hui bien grands mais tellement reconnaissants
Rêver de vieillir ensemble est ce qui berce chacune de mes nuits passées auprès de toi. Je tenais à te dire tout simplement « idem ».

Lorsque tu es parti

De battre mon cœur s’est arrêté
Lorsqu’un beau jour tu m’as délaissé
De moi si loin te souviendras-tu ?
Vers moi reviendras-tu ?
D’une seule et unique chose je suis sur
Il me semble que je n’étais point mûr
C’est un grand choix que tu as fait
C’est une peine que je m’infligeais
Te retrouverais-je un jour ?
Ici ou l’or d’un détour ?
De loin me feras tu signe ?
Pour qu’enfin j’en sois digne
Alors très fort je te serrerais
Alors très fort je t’enlacerais
Pour ne plus jamais que tu repartes
Et qu’enfin à jamais tu ne t’écartes
De toi je ferais un sentiment
Afin que de mon cœur définitivement
Tu sois enfin devenu prisonnier
Et ne plus jamais pouvoir me quitter
Mais peut-on seulement te retenir ?
Sans jamais oser te trahir ?
Le temps passé nous le dira
Ou le trépas futur l’emportera
Alors jamais nous n’entendrons
Sonner le diapason de cette union
Ainsi à force de oui et de non
Nous mettrons enfin un nom
Qui jusqu’ici d’employer il nous est interdit

Le Poème de l'Interdit


Quel est ce sentiment, ce sentiment
Qui au plus profond de moi est ardent
Mais ce sentiment est interdit hélas
Que ferai-je sans pouvoir le briser

On me dit qu’il est interdit de l’écrire
Il m’est impossible d’en parler ici
Mais au fin fond de mon âme vierge
Brûle cette sensation étrange

Mais un jour il me sera possible
Possible de le dire à toute voie
De le chanter, de le crier, de le hurler
Et de déclarer enfin ma flamme

A cet être tant convoiter
A cette femme d’une étrange beauté
Et cette personne me rejoindra
Pour l’éternité je n’en doute pas

Le dire sans le dire

Comment exprimer une passion,
Que l’on peut ressentir,
Si le jeu impose l’interdiction
D’utiliser les mots qui peuvent la décrire.

Bien sûr on peut utiliser des synonymes,
Ou tous autres paraboles,
Trouver dans un dictionnaire de rimes,
Ou attraper une muse en vol.

Mais ce simple mot
Est tellement grand, tellement fort.
Que même si les autres sont beaux,
Il en manque encore.

Adorer, Idolâtrer, Vénérer…
Cela ne fait pas humain.
Apprécier, Estimer, Affectionner…
C’est bon pour un copain.

A lors comment faire ?
I nventer un nouveau mot ?
M anipuler les vers
E mpiler de bas en haut ?
R ajouter une ligne sans en avoir l’air !

A ttention avec ardeur,
M aintenant je te déclare ma flamme,
O céan de bonheur,
U ne vague de sentiments pour ma femme,
R éunissant nos deux cœurs

M (comme Mike, pas comme le verbe interdit que l’on peut sous-entendre)

Il est comme le parfum de la rosée du matin
qui ravive nos sens jusqu'au lendemain.

Il est comme une symphonie où les notes s’envolent
telle une mandoline impossible à dépeindre.

Il est comme le flamand rose qui prend son envol
dans la lumière étonnante du jour qui va poindre.

Parfois il nous fait faire de grands détours
pour embrasser notre être chère, au fil des jours.

Il fait battre nos cœurs, tant l’émotion est grande.
A chaque rencontre c'est toujours une offrande.

Il nous fait oublier les hivers qui défilent
pour toujours renaître dans un printemps flamboyant
où les muses, dans un décor floral, s’illuminent
en annonçant un été scintillant
de milles feux, pour nous mener au bonheur.

Mots perdus

C'est un sentiment puissant qui égare
Surgissant du fond de l'âme
Qui nous étreint sans crier gare
Et nous donne parfois le vague à l'âme.

Lorsqu'il s'épanouit dans le bonheur
Heureuse rencontre d'âmes soeures
Il est un soleil qui sur tous rayonne
Pour que de nouvelles histoires bourgonnent.

Mais lorsqu'il s'épanouit dans les ombres
Déchirant les coeurs des éconduits,
Même les âmes les plus fortes sombrent
Et se perdent dans le plus noire des nuit.

Saisi par la peur d'un sentiment éperdu,
Ces mots au bord de mes lèvres se sont tus.
Ainsi, pour le pire ou pour le meilleur,
Jamais de réponse à tes lèvres suspendue
Afin que jamais mon âme ne se meurt.

A ma Princesse ,

Ma mémoire se glace.
Mes souvenirs s'entassent.
Mon malheur s'efface.
Mon coeur cherche ta trace.

La lune se retire ,
Le jour se lève.
Le soleil respire
Un bonheur sans trêve.

Mon âme pleine de tendresse,
Mon coeur planté dans ton regard,
Je suis l'épris qui s'accapare
En toi d'autant d'allégresse.

Je vois ton sourire,
Le bonheur me gagne.
J'entends ton soupire
Et tous maux s'éloignent.

Le ciel entend mes cris,
Le soleil sèchent mes envies.
Chaque soir me le dit,
Tu es la Princesse de ma vie.

L'éternité

Partir dans l'au-delà, partir dans le lointain,
Cela m'est infernal, et je n'en peux rien.
Je ne vis que pour toi mon ange de toujours,
Puisses-tu toujours être à mon côté jusqu'au dernier jour.

Nous sommes l'un est le tout de la vie,
Nous sommes la création de l'univers.
Nous sommes éternels quand tu ries,
Nous serrons éternels malgré les rudes hivers.

Tout est notre existence,
Rien n'existe pendant l'absence.
L'union a tout créé,
L'union nous a rapproché.

Nos sentiments traversent déjà les âges,
Notre union s'écriera sur ses vierges pages.
Nous traverserons les multiples étoiles,
Car nous brillerons plus vivement que sur cette modeste toile.

Nous existons depuis toujours,
Nous continuerons jusqu'à l'éternité.
Nous existerons jusqu'à ce jour,
Où nous serons réunis pour l'éternité

Comme des arbres jumeaux ayant grandi ensemble
Dont les troncs sont tressés, les feuilles mélangées,
Quand ils passent tous deux on dit qu’ils se ressemblent
Ce que vient de dire l’un l’autre l’avait pensé

Le premier à faiblir nul ne l’a remarqué
Retenu qu’il était par son double pérenne
La frondaison commune a trop longtemps caché
Les attaques sournoises de ce temps qui s’égrène

Quand un dernier orage les aura fait trembler
Même si l’un pour l’autre ils auront résisté
Ils tomberont ensemble et encore enlacés

Le campagnard


Toute ma vie je t'attendrai au bord du lac,
Telle une feuille après une averse dans sa flaque,

Je t'attendrai même si tu viens de vraiment loin,
Tel le veau attendant patiemment son foin,

Seul et perdu au fin fond de ma chère campagne,
Je ne peux guère t'offrir plus qu'un bol de champagne,

Allons petite ensemble cueillir quelques framboises,
Que je puisse voir enfin comment tu es grivoise,

Bientôt nous reviendrons à mon humble chaumière,
Là où rapidement j'ôterai ta brassière,

Après de fougueux et majestueux ébats,
Je te regarde dormir au creux de mes bras.
 

DeletedUser43660

Guest
A l'aube de cette AN
Un village venait d'être pilier
Femmes et enfants mutilait
Je rencontrais cette Ordre
Créer part de pauvres chevaliers
Qui disais venir de loin
Il rechercher des guerriers
Dans leurs yeux briller milles flammes
J'ai cru entendre ce jour
Un appel au secour
Un bruit sourd venant de toi
Soudain tu te réchauffe
Toi qui ma adopté
Pour ton honneur et ta gloire
Je vais affronter ,montagnes et vents
Démons et marais
J'affronterais les pires brigands
Pour te voir grandir,je survivrais
Je suis presser,de prendre les armes
Avec mes compagnons , pour vaincre tes ennemis
Jours et nuits ,nous marcherons en quête d avenir
Car depuis ce jour,je me bat pour toi
Je serais demain en Océanique
Je porterais le deuil une épée a la main
Je la vois cette lueur , la haut
La ou coule l'amitiés à flots
Nous sommes toujours en Vie
Pour TOI MA GUILDE

Ode à tous les excès

Une sieste sous une fougère
j'ouvre ma bière
et tout s'accélère

j'avance dans l'inconscience
qui met en émoi tous mes sens

Viens ma douce
gouter à cette fraicheur
qui nous enflamme le coeur

Hum! qu'elle est douce
cette sensation d'apesanteur
qu'il est séducteur
le souffle de cette rousse!

moelleux et spongieux
dans ce bain volupteux
bière ou fougère
rousse ou mousse
ça éclabousse

Dans ce cadre de verdure
je voudrais que cette rousse perdure
mais sans le moindre bruit
elle me ravit et me punit.

Cette foi en l’autre, qui anime le coeur des rêveurs
En chacun brûle, en attendant la bonne âme sœur
Quiconque un jour en perçu sa grande douceur
Se réjouit alors d’un futur haut en couleurs.

Peu importe son intensité, son ampleur
Elle ouvre en tous, maintes fenêtres de bonheur.
A chaque instant, éclairée de milliers de feux
Elle rappelle aux hommes, combien si il suffit de peu.

Si pour quelque raison, arrivait ce malheur
De la voir disparaître, en emmenant sa lueur
Il ne serait pas aisé de trouver vendeur
Pour avoir ne serait-ce qu’un semblant de chaleur.

Car souvent de rien, naît ce grand moment jouisseur.
Que l’on appelle depuis le commencement….

Quel dilemme
Entre FEL et Korch
Tout à commencer avec Fel, ma premier passion.
Je connaissait rien, il m'a tout appris, c'étais la premiére fois.
Je pensais que cela n'allait pas durer, un passage éphemere, car auparavant j'avait eu pas mal de désilussion.
Puis il(elle) me permit de rencontrer des gens pour partager notre anthousiasme.
De la timidité nous sommes passé à conquérant et nous avons voulu découvrir le monde...et Korch est arrivé.
Bien vite la fièvre est montée, un rivalité est née entre ses deux fréquentations.
Maintenant ils ont le même age.
Nous avons muris et appris le partage.
Le plaisir parfait sans clivage.

Fascination

Il paraît que ça commence comme ça,
Avec de beaux "il était une fois".
Oui, nos sentiments étaient si forts.
Vivants, ils traversaient tout mon corps.

Tellement, mon coeur n'a pu le supporter.
Au creux de tes mains, il ressuscitait.
En robe blanche, rien , au pied de l'autel,
Ne me détournait de tes yeux bleus ciels.

L'anneau fin et brillant à mon doigt
Me rappelant que j'étais à toi.
Mais, après un court voyage aux îles,
S'en fut terminé de notre idylle.

Toujours au téléphone ou absent,
Je la connais, je sais que tu ments.
Dans notre contrat de mariage
Il n'y avait pas le mot partage.

Je n'envisageais pas l'optimum,
Mais, s'en fut trop de l'ultimatum.
La réalité m'a rattrapée,
Mettant fin au beau conte de fée.

Tu t'occupais de payer les factures,
Tandis que je subissais les fractures.
Alors, la réelle violence de tes poings
A remplacée la douceur de tes mains.

Aussi attentionné et charmant,
Tu jouais avec mes sentiments.
Tu as mis mon petit coeur en cage
Avec ton vicieux double visage.

Ne sachant lequel est mon mari,
De tes rages et colères infinies,
Il me faut protéger cette vie
Qui lentement en mon sein grandit.

Il est temps de lâcher prise enfin.
Je préfère finir seule le chemin.
C'est la fin de notre relation.
C'est la fin de la fascination

Quand elle me dit qu’ elle préfère le silence, je lui offre mon sourire
Je vais pas à pas dans la hardiesse de sa tendresse
Je m égosille sans fin à mesure que ma vie s’écoule dans ses veines
Et que je jouis du privilège de la connaître chaque jour davantage.
Je ne me remettrai pas de ses faiblesses et pourtant
Je serai plus fort que l’ombre qui l emprisonne
Si je puis n être que celui par qui la lumière l’assiège, Je serai celui là
Bafouant tout ce que je fus pour qu’elle respire enfin a l’air libre de sa joie
Peu m’importe les blessures les coups de canifs
J’irai au delà de ce qu’ elle me demande
J’ enfreindrai mes idéaux, je négocierai avec l’ennemi
Pour qu’ elle sache combien son rire m’importe plus que mes yeux
Et dans le miroir limpide de mes songes inavouables je ferai d’elle mon reflet.
Je lui apprendrai qu’il est vain de songer qu’un homme n’est que paresse et bêtise
Je me ferai humble et arrogant à la fois
Et dans les soupirs de nos corps il y aura comme une étreinte
Qui jamais ne s’ éteint qui jamais ne s’éteint......

Nous sommes au delà, nous sommes plus loin que ce que le monde nous propose.......

LA VIE.... plus forte que la vie.....

La vie de chaque jour
Qui doit rimer avec toujours
La vie sans peur
Qui doit rimer avec bonheur
Une vie d'émotion
Qui ne pourra se passer de passion
Pourtant un jeu
Pas toujours heureux
Le jeu du chat et de la souris
Qui commence le jour ou l'on se marie
Car au bout du bout
Il n'y aura pas vraiment de bonheur
Sans quelques épisodes de malheur
Qui sont là pour me rappeler
Qu'il n'y a pas que dans ses bras que j'étais en sécurité
Car un jour sa vie s'arrête
et mon cœur avec, tout net....
Il va falloir apprendre
A dissocier le bonheur
De ses bras et de sa chaleur
Alors pour pouvoir avancer
Il ne faut pas se retourner
Pour pouvoir avancer
Il ne faut rien oublier
Mais pour pouvoir avancer,
Il faut savoir gommer...
Gommer le laid et le malheur
Pour conserver l'éclat du bonheur
C'est le bonheur d'hier qui construira celui de demain
Et la vie toujours plus forte
A ouvert une nouvelle porte.....
Tu as chassé mes peurs depuis que tu tiens ma main
Alors abattons les murs et repeignons les volets
Même dehors c'est sur nous soignerons le jardinet
Et comme d'un coup de baguette magique...
Par les fenêtres à nouveau, s'échappera la musique.

A ma chienne,

A quatre pattes ma jeune chienne a fière allure,
Elle est mienne, je suis tellement fier!
Lorsque, doucement, elle aboie comme on murmure,
Je suis un si heureux propriétaire !

*

La vielle chatte est devenue toute ramollie,
Avec l’âge elle bave et perd ses poils !
Mais elle est si douce que je la chéris,
Même si après la caresse je sens vaguement comme un maroilles.

*

Trop de fières Saint Valentin
Chienne de vie qui nous transforme en cat, hein.
Jeunes ou vieux, affectionnez vos animaux,
Et, poètes, de mots en maux, laissons les vers apprécier les derniers os.

Ce petit poème délicat est dédié à France Gall qui, comme moi a su garder une âme d’enfant, adorant les animaux comme les sucettes et nous a quittés trop tôt.

Petit bout de coeur

Petit bout de coeur
Porteur de bonheur ou de tristesse,
Tel un petit mouchoir de papier,
Parfois on te déchire sans aucune détresse

Comme un petit bout de mouchoir,
Tu fais partie de tous les instants,
Nos petits et grands tourments,
Et tu bois nos larmes de bonheur

Comme une belle blanche page
Tu reçois souvent tous nos déboires,
Tu nous passes le message
de tristesse ou d'espoir

De la vie que nous as apportée,
Tu forges notre personne
Tu bats au rythme de nos faits
Et pourtant tu finis trop souvent brisé

Pauvre petit bout de coeur ....

Toi m'as Valentine qu'est dans mes pensées comme dans mes rêves.
Tu es mon astre brillant comme le soleil, ton regard enflamme mon cœur et illumine ma route dans ce monde plein d'incertitude.
Tes bras sont comme les éruptions solaire, ils m'ont attrapés et plus relâchés ce qui fait de moi ton serviteur c'est une certitude.
Tes belles et longues jambes me font rester sur terre car sans toi je serais en dérive dans le vide interstellaire.
C'est pour toi ce jour exceptionnel qui font de toi ma reine du jour
Comme tous ceux de l'année qui font de moi ton aliéné.

Une lettre au temps

J ai écris une lettre au temps , je lui es demandé de s arrêter
de s arreter pour que je te retrouve
être avec toi, cet pendule qui est mon coeur
est en retard il reste au temps passé avec les souvenirs, car le monde
est plus beau ainssi au temps passé

Je ne regarde plus couller le temps
je ne regarde plus le soleil se coucher
je ne regarde plus la nuit se lever

Quand la nuit embrasse le jour je me vois t embrasser
Quand la mer carresse le sable je me vois te carresser

Alors dis toi que tant que le jour ira au rendez-vous de la nuit
et que la mer viendra mourir sur le sable
je vivrais au temps passé tout en rêvassant a ces beaux moments

Petit bidule

Tu es mon bidule, mon p’tit bidule
T’as des binocles, une tête de mule
Un jour, dans une cour de recré
T'envoyas ton ballon en plein sur mon nez
J’ai crié, pleuré... je t’ai maudit très fort
Tout penaud, tu t’es excusé de ton tort
Le calme revenu, tu étais devenu bidule
Puis, rires, sourires, et câlins sur ton pull
J’aimais mon bidule, cabot et charmant
Plus jamais, je ne désirerais autre amant
Tu as blanchi, nous avons vieilli, tout gris
Mais en moi, brûle encore ce jour de pluie
Où bidule à viser mon pif et m’a éveillée à la vie

Rencontre à demi-mot

Alors que j’errais dans la rue
Cette fille passe, je matte son cou
Jolie sourire, qui me secoue
Je suis sûr que je lui ait plu

Ne pensant pas qu'elle me voyait
Je regarde un peu son décalco
Un cœur pourpre, vraiment très beau
Collé sur le sac qu'elle portait

Voulant lui parler d'ce dessin
Je lui dit "j'toucherai bien tes rêves"
"pour peu que tu m'accorde une trève"
"Promis je t'emmerai très loin"

Prenant alors un peu d'recul
J'lui ai dit "toi faut que j't'emmène"
"dans tous ces endroits où l'on mène"
"notre vie jusqu'au crépuscule"

Apparemment, je lui plaisait
Elle avait de très beau cheveux
Et je pouvais voir dans ses yeux
Comme une lueur se refléter

La sentant encore inquiète
Me suis dit qu'un coup de cafard
Est peut être ce qui nous sépare
Moi et ma douce conquête

Je tente alors d'la rassurer
En lui disant "je vais t'servir"
"Bien plus que mon plus beau sourire"
"J'ai bien plus qu'ça à t'apporter"

S'inquiétant d'savoir où j'habite
J'm'empressait d'lui montrer ma carte
Quelques photos de mon appart'
Ses inquiétudes avaient réduite

Et c'est ainsi, comme je vous dit
Qu'elle a pris en main mon destin
Et que depuis lors, chaque matin
C'est avec elle que je vis

Tes grands yeux de velours dans mes yeux bleu d’azur
Qui transpercent mon âme et me brûlent et m’emportent
Comme une vague folle venant frapper la grève
En une étreinte sauvage finissant en murmure
Et tendre est cette étreinte, si tendre mais si brève....

Car elle n'est pas réelle, mais juste virtuelle
Et du domaine du peut être, oui du domaine du rêve
Si dur est le réveil, si dur est le réel ...

Tu es la force douce et moi la fragilité sauvage
Quand la vague rejoindra t elle mon rivage ?
quand le vent ravivera t il ma flamme ?

Nous sommes toi et moi le feu et puis la flamme
Nous sommes toi et moi l'homme et puis la femme ...

Très tôt, tous les matins,
Le long d’un p’tit jardin,
Je croise des mains,
des mains dans la main
Des gosses en patins!
Des bonheurs anodins

Je pense à des câlins
Qui ne durent qu’un matin!
J’en ai marre des requins
Ou pire des plaisantins !
J’ai horreur des crétins
Qui lisent encore ‘TinTin’ !

Quel serait mon destin ?
Te croiser ce matin
Avec un esprit sain
Quel rêve ! Main dans la main
Dans tes pas , aerien
Marcher dans ce jardin!

L’air pur est un satin
Flottant sur le bleu Rhin
Doucement jusqu’à la fin.
Il nous rend souverains
Invincible ,pas hautain
Heureux sur ce terrain!

La nuit, le noir, je crains!
La peur me fige, soudain!
Ton sourire , hier me revint
Ta beautée maintenant m'enclin
Ce matin vers toi ,atteind
je vais marcher dans ce jardin

Quel beau petit jardin!
Au dessus de nous, gardien
A su croiser nos chemins
Ce matin main dans la main
Le vent est si doux , divin
Avec toi main dans la main

L'âge sombre, mon bel ami
De ce monde fantastique qui nous a réunit
Peuplé de créatures étranges qui nous ressemblaient
A refermé ses portes depuis des années

Et pourtant, mon bel amant
Dans la réalité, nous voici maintenant
Ensemble, plus forts et plus beaux
Jamais loin de nos nordiques châteaux

Du rêve à la réalité,
Le miroir, nous avons traversé
Libres, heureux et sans soupirs
Nous marchons encore ensemble vers l'avenir

Tu prends toujours le temps de me caresser des yeux
D'enlacer ma bouche de tes lèvres tendres
De me protéger de tes bras câlins
Ta patience jamais ne s'éteint

Alors continuons notre chemin, inséparables
Retournons, dans ces mondes incroyables
Vers ces îles oubliées, traversons encore le miroir
Renouvelons nos vœux muets, pleins d'espoir

Oh toi, enfant de lumière,
Toi qui réchauffe les coeurs.
Oh toi, enfant de la terre,
Toi qui fait naître toutes les couleurs.
Oh toi enfant de la mer,
Toi qui fait naître marées et vents.
Oh toi, enfant du ciel,
Toi qui illumine et vois tout
Oh toi enfant des ténèbres,
Toi qui a été engendré par toutes les lumières.
Oh toi, enfant du voyage,
Toi qui est allez sur les chemins.
Oh toi, enfant de l'humanité,
Toi qui a inventé compassion et pardon.
Oh toi déesse de toutes choses,
Laisses moi être ton prince charmant.

Apparue dans ma vie,

Par la voie directe du cœur,
Tu es la clé d’une belle famille
Où règne le bonheur.

Ce long chemin fleuri,
Tout comme dans mes pensées,
Est devant nous, ma chérie
Tu es ma destinée

Le soleil nous réchauffera la peau,
Nos sentiments partagés,
Tout sera si beau
Avec toi pour l’éternité

Tes yeux dans les miens,
Nos mains entrelacées,
Je sais qu’on sera bien
Sur ce chemin tout tracé

Tout, je te donnerai tout
Ce dont ton cœur a rêvé
Et dans les instants les plus fous
Ton corps se mettra à vibrer

La chaleur de nos corps,
L’obscurité comme témoin,
Nous rendra encore plus forts
Pour aller toujours plus loin.

Je ne peux le dire,
Dans ce poème de l’interdit.
Mais pour moi, l’avenir
C’est à ton prénom que je le lie.

LA ROSE

Cette rose éclatante je te l’envoi
En espérant profondément que ta joie
Sera au plus haut de toi
Cette rose c’est toi et moi
Elle t’emplira le cœur de gaieté
cette rose vers toi elle va
pour être notre super nova
Quant nous seront séparer

cette rose vers toi elle vole
pour être une super auréole
cette rose comme grand tourbillon
t'envoie toute ma passion
cette rose c'est notre union
qui exprime notre passion

cette rose c'est toi et moi
avec toutes nos joies
cette rose c'est pour la vie
elle est dans notre sang
comme l’eau de la vie
dans un grand océan

Si le point G dans les lettres, vient bien après l'A mûr,
même si s'égarent les êtres, sans pousser jusqu'au X impur!
et si ceux que l'on M se perdent en chemin
d'autres lettres volent au vent, en quête de beaux lendemains.
T' Elle,M "fait mi-nain"miroitant vers W
petit M inversé, mais qui est bien grand'..île!
On apprend l'Alphabet quand on est tout petit
mais chérir A,M,Etc..ça, çà prend toute une vie!
Certains s'adonnent plus tard, aux plaisirs interdits.
lorsqu'ils perdent la mémoire, la vue du Paradis..
Il y a pourtant quelque part, une lettre pour vous, UT'île.
une partition d'espoir,une lettre pour vous,saut au V!
pourquoi donc s'ABC,aux penchants les + vils?
pourquoi donc tant de N,quelle gloire à l'arrivée?
et même si le Q s'invite sur quelques lignes
l'histoire d'O,l'R de rien,n'est pas c'L la plus digne.
Je pourrais continuer tout au fil des mots
d'énumérer ces lettres, au gré des mes envies
mais ce serait blasphémer, ou jouer les faux dévots!
aucune séparément, n'a vraiment d'importance.
mais seuls 2 vrais amants, savent les lire comme une chance!
si bien qu'elle, M, lui W,s'apprivoisent en silence
comme 2 êtres appariés, à 10 lettres de distance.
Et c'est toute la magie de nos souvenirs d'enfance
qui revit par les mots,lorsqu'on a l'âme en transe
quand Cupidon nous blesse,pas besoin d'ambulance!
C'est Valentin qui nous teste,en prenant de l'avance..
quand aux histoires de fesse? jouissance sans élégance
mieux vaut se prendre une veste parfois, saGe prudence!
 

DeletedUser43660

Guest
Où es-tu ?

Où es-tu et quel jour enfin te verrai-je ?
Es-tu blonde ou bien brune ? Je ne sais pas.
Tes yeux émeraude m’ont pris au piège
Des fantasmes ; depuis je cours à mon trépas.

Les jours sans fin à te chercher, invisible
Dans cette foule, et pourtant tu existes.
Ces nuits, longues, très longues, ce noir horrible
De l’attente d’une rencontre m’attristent.

Où es-tu, Toi qui sans le savoir a empli
Mon âme de cette envie pressante
De ne faire qu’un. Et mon sang en un instant

Renouvelé de ces besoins non assouvis
Qu’il ne faille voir là le destin d’aujourd’hui.
Où es-tu tendre cœur, fantôme de mes nuits ?

Manipulation

Deux « moitiés d'orange »
se cherchent et se rêvent,
s'épient et se fuient
en un ballet étrange...

Voici qu'entrent en action
le coquin Eros
qui affectionne les bouquets de roses,
Hermès le lettré
qui achemine les missives parfumées
et le joufflu Eole
qui de ses bises nous cajole ;
tous trois animés de diverses intentions !

Ils s'en donnent à cœur joie
pour nous ravir ou nous désespérer,
vont jusqu'à se moquer
de nos hésitations, provoquer des passions
des ruptures et des réconciliations
entre toi et moi.

Alors Valentin intervient
car il tient absolument
à préserver cet unique moment
et nous retrouver enlacés
en ce quatorze février
fête de la Saint-Valentin !

COUP DE FOUDRE SUR FOFE
Lire ses mots, entendre sa voix,
mon cœur chavire et je suis sans voix
Une rencontre virtuelle à des kilomètres,
un coup de foudre, il devient mon maître.
La tendresse et la douceur de ses mots,
résonnent dans mon cœur, comme dans un étau.
L'écran devient témoin de cette aventure,
pleine de sentiments, d'émotions tellement purs.
Sur les champs de bataille nous guerroyons,
côte à côte l'ennemis nous repoussons.
Chaque connexion est une joie,
Un déchirement quand connecté tu ne l’es pas
Des PFs sur des GMs, des chaînes sans fin,
des polimotavations sont notre quotidien.
Merci Fofe de nous avoir réunis,
Emotions virtuelles pour la vie.

En quelques lignes tu m'as intrigué,
tel un aimant tu m'as attiré,
Et même si la vie ne nous a pas épargné,
Jamais rien de pourra nous éloigner,

notre passion n'a rien de virtuelle,
malgré l'absence de désirs charnels,
Toujours baignée dans l'émotionnelle,
notre histoire n'en demeure que plus belle,

Toi et moi ce sera magnifique,
notre vie sera fantastique,
Plus jamais d'instants tragiques,
Tout sera tellement magique,

Ce que je ressens est sincère,
Et il y a du chemin à faire,
loin de moi de t'imposer ce calvaire,
Ensemble un jour je l'espère

La vie à deux

Qu'il est bon d'être heureux
avec l'homme ou la femme de sa vie.
Nos coeurs battent à l'unisson
et notre bonheur est immense.
Le moindre regard
est synonyme de passion,
la moindre décision
est synonyme de complicité.
Et oui, depuis que nous nous sommes trouvés,
la vie est un vrai paradis.
Mais les jours sombres
me direz vous?
Comment déclarer sa flamme
si l'un ou l'autre tourne le dos.
Un seul regard, un seul baiser
et tout repart.
Pas de rancune entre nous,
pas de haine non plus.
Il n'y a que la confiance,
l'entraide et la complicité
pour que la vie de tous les jours
ressemble à un cadeau.
Alors profitons de cette heureuse
harmonie ensemble
et rions de tout ensemble.
Soyons heureux,
soyons nous.

Ce sentiment interdit

Un regard, un sourire,
Quelques mots échangés,
Malgré l'interdit
Mon coeur a chaviré.

Entre toi et moi,
Dès le début tout été clair,
Mais avec le temps ce sentiment interdit m'a envahi.

Dans tes yeux bleu je chavire,
Dans mes yeux bleu je te sens revivre,
Je suis ton interdit,
Mais rien entre nous rien n'est interdit.

Même si il n'est qu'à sens unique,
Je ne veux le balayer, ou l'ignorer,
pour moi tu es unique,
Je te sens désirer.

Ce sentiment interdit,
c'est comme un non dit,
comme la vie nous remplie
de joie et de vie.


Il me rend heureuse...
Il me fais sourire...
Tu me rend heureuse...
Tu me fais sourire...

C'est donc pour moi,
une chose magnifique
que ce sentiment interdit.

INFINI

Depuis le jour de mes 20 ans,
déjà plus de 40 ans,
le feu, la flamme
et la tendresse infinie.

Dans la lumière de nos différences,
le dialogue de ton silence
et de mon bavardage,
nos pensées en un regard.

Ciel gris des galères,
Soleils de nos victoires,
Tempêtes de plaisir,
Éclairs et tonnerre
de nos orages,
Petits chagrins et grandes peines.

Larmes de joie aussi,
En bleu, en rose
étincelles du rire de nos enfants,
Doux nuages de leurs câlins,
Arc en ciel de nos vies.

De bonheur et de tendresse,
à nous deux,
à l'infini....

Mon miracle
Je n'y croyais plu
Et en ce jour
Nos regards ce sont croisés
Et là tu m'a plu
Sans détour
Avec mon coeur brisé
Je suis venu vers toi
Et me suis enfui
Puis dans ce couloir étroit
On s'est sourit
Et là, tout a commencé
Enfin je vis, mon coeur bat
Mes larmes ont cessés
Des rires sans débat
Des moments de bonheur
On s'est construit
Sans compter les heures
Dans une vie épanouie
Aujourd'hui 23 ans,
On a évolué avec le sourire
ils ont 15 et 20 ans
On les regarde grandir
Certains jours sont difficiles
Nous et notre vie ont changé
Et tout nous parait accessible
Car nous sommes heureux

Tout le matin c’est pareil,
Tout le matin c’est la même,
Mes me trahissent
Ma vie se déroule
chaque minutes passées
sans que le temps ne me dressent

Mon cœur bat à fond,
Mes chevilles se mettent à trembler
Au secours j’ai besoin de renfort
Ma vie tu viens de chambouler
Chaque fois que tu passes mon pouls trépassent
chaque fois que nos regards se croisent
Mes pensées s’emporte
sur le pas de ma porte
Je te promets de prends soin de toi chaque jour
Avec ou sans ce poeme
sans pour pouvoir dire Je t’……

Bousculées les certitudes,
Bredouillées les platitudes,
Me voilà maladivement timide
Mes joues délicates
Brusquement écarlates
Et les paupières humides

Ainsi ma raison abdique,
Mes réactions erratiques
Témoignent de ma langueur
Qui t’envoie chahuter mon cœur ?
Le facétieux Cupidon,
Aphrodite ou Apollon ?

Quel sentiment me torture,
M’inspirant désirs charnels
Ou quelque élan fraternel
Comme les pensées les plus pures ?

Las, en moi, je pressens
Qu’au-delà de ces paraboles
Il faudrait libérer la parole
Et nommer ce que je ressens
Hélas, je ne peux le citer
Telle est la règle du jeu
Suggérer la glace et le feu
Et ne jamais tout expliquer

A la femme de ma vie

Un jour, une rencontre, tu m'as souri
Et ce fût le démarrage d'une nouvelle vie
Belle comme les étoiles dans le ciel
Rayonnante le jour comme la nuit
Sensuelle, douce et charnelle
Tu es mon fantasme d'hier et d'aujourd'hui
Vivre avec toi ce n'est que du bonheur
Il n'y a que toi dans mon cœur
Tu hantes mes pensées et mes rêves les plus fous
L'union de notre couple nous a offert un bout de choux
Une minute sans toi auprès de moi est impossible
Toi et moi nous sommes indivisibles
Je t'adore plus que tout
Mon cœur t'appartient pour toujours

ODE D'UNE NUIT


Comme une plume, tu glisses sur moi
survolant mes sentiments
tu me fais vibrer d émoi,
sous chaques légers frottements .


Comme une enclume, tu pèses sur mon cœur,
appuyant sur mon corps, mes levres,
je suis enivrée par ton odeur
jusqu a ne sentir que ma fièvre.


Comme une riviere, tu coules dans mes veines
ne faisant qu'un tour , je t appartiens...
tu m as tout donné sans peine,
le jour est là, c est deja demain.


Comme le vent, tu es reparti,
tu t envoles au dessus de mon destin
libre d une nouvelle vie.
c etait juste pour la st valentin.

Sur les bancs de l'école nous nous sommes rencontrés,
De nombreuses journées ensemble nous avons passées,
Qu'ils ont été forts les rires,
Qu'ils ont été longs les soupirs,

Des heures, des jours, des mois se sont écoulés,
Avant que le premier sentiment ne pointe son nez,
Qu'il a été étrange de le voir venir,
Qu'il était agréable de te voir sourire,

De plus en plus je me suis attaché,
De moins en moins je voulais m'éloigner,
Qu'il était difficile de te voir partir,
Qu'il était pénible de ne rien te dire,

J'ai fini par croire que ton cœur était attiré,
Alors dans mes rêves je me suis projeté,
Alors à la recherche de la vérité je me suis lancé,
Jamais je n'aurais pensé être si peu désiré,

Mais je me suis accroché à mon espoir,
Et je refusais de te croire,
Lorsque tes mots me laissaient meurtri,
Tes yeux me faisaient revenir à la vie,

Tu as finalement fini par le voir,
Tu as finalement accepté un jour, un soir,
De me redonner ce baiser que je t'avais volé,
C'est ainsi que notre bonheur a commencé,
C'est ainsi que depuis ce jour que j'ai tant désiré,
Tu ne l'as jamais regretté.

À MONA MOORE

Je dédie ce poème
À Mona Moore
Pour un jeu thème
Tu, pour toujours
Toi, que j’émeus
Et qui m’émeus
Nous nous semons
Dans un frisson

Comme deux aimants
Déboussolés
Quand le cœur ment
Sont esseulés
Si le mot dit
On ne le pense
On est maudits
Sans descendance

Comme Pyrame
Et sa Thisbé
Comme Pelléas
Et Mélisande
Ou bien Orphée
Et Eurydice
Encore Acis
Et Galatée

Enfin, vous tous
Que cet archer
A transpercés
De flèches douces
Mais qui jamais
N’on put marier
Les serrements
De leurs serments

Alors finis
Les faux blasphèmes
Les interdits
De ce jeu thème
Chère âme sœur
Mon âme court
A cent à l’heure
Vers Mona Moore !

Notre voyage
J'ai parcouru les âges, les ères et le temps
Traversant les villages, les déserts, les étangs
J'ai cherché ton visage , lumière de ces instants
J'ai imploré le voisinage , militaires et marchands

Où cours tu si loin mon doux et secret ami ?
N'Ignores tu point toutes les quêtes et défis ?
Trésors , gloire , fortune n'ont que peu d'importance
Mes songes nocturnes ne réclament que ta présence

Mon cœur meurtri me le dicte à chaque seconde
Nos destins unis sera le verdict de chaque monde
Je me dis sans cesse que ce serait un si merveilleux voyage
Qu'avec toute ta délicatesse nous ne ferons jamais naufrage

Viens , rejoins moi, écoute cette petite voie intérieure
Viens, sans effroi, ne redoute pas cette douce lueur
Partons avant que je ne tremble
Cœurs vains, nous irons loin sans faiblir
Allons vers d'autres cieux ensemble
Vainqueurs, nous forgerons notre empire

Folie, ovation et émotion

Fustigeant un désir intense et inébranlable,
Oserais je lui avouer un jour mes sentiments ?
Rayonnante tristesse qui me ronge le sang,
Graine de folie et admiration débordante me rendent impuissant
En face de la femme de ma vie qui reste intouchable.

Œuvrant pour qu'elle devienne ma reine,
Ferais-je n'importe quoi pour elle ?

Emprisonné dans ce dédale de tourments.
Mourant à petit feu de ne pas dire ce que je ressent.
Prônant ainsi une vie de solitude éternelle,
Il me tarde de m'extraire de ce cocon irréel.
Rêveur obstiné tel un Valeureux chevalier,
Encouragé par le bonheur de ma dulcinée,
Sauverais-je mon âme pour tout lui donner?

Des sentiments purs et transgressifs
Sans être trop dur ou invasif.
Madame on ne joue bien le jeu du coeur qu'en y mettant du corps
et c'est force de longs efforts que l'on peut savourez ces heures.
Ces heures de délices où l'on jouit de plénitude
accompagné du vice sous toutes ses amplitudes.
Le jeu courtois de la séduction est profitable s'il ne s'éternise,
qu'il reste une agréable distraction durant laquelle je nous idéalise.
Comment ça un porc ? Je vous convoite et vous objectifie ?
Ce dont je vous implore c'est que vous le fassiez aussi.

La lumière…

Il est des matins gris
Où tout paraît compromis
Le ciel est bien bas
Et puis te voilà
Enfin la Lumière…

Quand j’ouvre les volets
Que le soleil apparaît
A tous, je le claironne :
« C’est ton sourire qui rayonne »
Encore le Lumière…

Tout devient possible
Tant que nous sommes ensemble
Et les projets prennent vie
Car, tout nous sourit
La Lumière toujours…

Vieillir n’est plus une peur
Avec toi tout est bonheur
Et je chante sur tous les tons
Que mon avenir porte ton nom
C’est sûr tu es ma Lumière pour toujours.

A toi, l'élue, ma moitié,
tel le yin et le yang,
nous sommes si différents,
et pourtant si complémentaires,
nous nous bonifierons avec le temps,
je l'espère.
Notre histoire est comme ce bon vin,
symbole de notre rencontre,
main dans la main,
que seul le temps peut interrompre.
je t'écris ces quelques vers,
pour une fois de plus te surprendre,
tu es devenue mon unique univers,
c'est à n'y rien comprendre.
Cette folie, cette passion,
à nos enfants nous transmettrons,
les joies d'une famille unie,
tu es la mienne, ma chérie.

Un jour en passant...
Un regard croisé , nous nous sommes rencontrés sans nous connaître et sans parler. Ma vie s'est arrêtée pour vous, j'ai voulu rester vous tendre la main mais j'ai continué mon voyage. Aujourd'hui je pense à vous, je rêve de vous, je parle avec vous et je me demande ou êtes-vous, avec qui êtes-vous?
Oh Inconnue d'un jour, d'un matin, seulement de votre regard, de votre parfum, m'a suffi pour tomber amoureux de vous.
Mes sentiments se battent et poussent mon être à se dématérialiser éthiquement et à s'évoiler dans le vide pour vivre impalpable sans vous pour l'éternité.
Portant ma belle, je sais que je ne connais pas votre prénom mais seulement votre visage candide et innocent et que je l'en porterai gravé dans mon coeur pendant cent ans encore pour le réchauffer mes jours d'hiver...

Qui es-tu inconnu ? Pertubant mon réveil
étreignant mon corps pur d'un sentiment nouveau
perçant ma pauvre armure, subissant tes assauts
déjà, je n'en peux plus d'un si ardent soleil

Tu m'assailles et m'agresses avec tant de douceur
Tu me brûles et consumes, plus encore et toujours
tu reviens et allumes un feu en moi et tout autour
tu y mets tant d'addresse que j'y laisse mon cœur

Envahie par ce flot qui me noie de désir
Maintenant je connais, oui, je sais qui tu es
Je resterai auprès de toi à tout jamais
Tu me donnes ce cadeau, ce joyau, ce plaisir

Après ce tumulte violent et si doux
Tu m'as ouvert les yeux, et mon cœur reposé
Je vois ce demi-dieu qui saura me combler
Aujourd'hui, j'exulte et grâce à cet atout

Que tu m'as apporté, ce trésor si précieux
Que je n'ose le nommer, l'appeler par son nom
peut-être le murmurer ensemble à l'unisson :
Mon homme, ma moitié, mon avenir, mon voeu

Jamais ne serai seule, car nous formons un tout
Il est moi, je suis lui, uni pour l'infini
Il est mes jours, mes nuits et mon soleil qui luit
que les autres le veulent... ou pas, j'ai un époux

Espérez pauvres hères, qu'il s'abatte sur vous
unissant l'un, l'autre par l'invisible lien
et il sera vôtre, croyez-le et demain
Vous comprendrez qu'hier, nous étions comme des fous
 

DeletedUser43660

Guest
Tu es là devant moi, et je sens couler le sang dans mes veines
Je te vois aussi belle qu'une fleur aux fragrances de lilas.

Alors tous les jours que Dieu fait se mélangent des senteurs de verveine.
Quels bonheurs, aujourd'hui encore Dieu merci tu es là .

Incompréhensible cette attirance qui s'empare de moi jour après jour.
l'étonnement de ces sentiments qui me prenent et m'étreigne le cœur.

Cette étrange sensation d'euphorie qui me poursuit tour à tour.
Pour dès que je te vois, font pétiller mes yeux de bonheurs.

Car ton beau visage reflète les parfums du printemps.
Et c'est pour cela que de toi, ma douce je m'éprends.

'' Le po-ême de l'inter-dit ''

J'en reste interdit . Que je vous dise...
Ce grand acteur a une fille exquise
La silhouette d'une girl à la James Bond
Un regard mystérieux façon Joconde
Dont elle partage le doux prénom latin .
Elle envahit mon esprit , j'suis épris :
Son image...son visage comme une image
Dessous mes paupières virevoltent
Oreilles emplies de son rire désinvolte
Je sais son parfum , je la touche de mes yeux
Veux la croquer , j'ai craqué : y'a pas mieux .
Pas de répit pour un esprit épris :
Cette fille trop jolie faut que j'la marie !
Mes ange et démon me chuchotent , cabotins
L'un : TAIRE ! Dis ! ( l'autre ) ... Di-LEMME !...
Ça chamade dans mon coeur . Aucun problème !
Je dis , sens interdits , sans interdits
Je m'en moque et l'articule : elle m'émeut ,
Mona Moore

Solstice

Un séjour en Enfer
Ne saurait, à nous deux,
Rien qu'un peu nous complaire.
Nous toucherons aux cieux
Puis encore aux tréfonds.
A nouveau être un cycle
Que nos âmes recyclent,
À finir en poussière
Dans les terres et les eaux
Du Néant grabataire,
Nous foudroyons les airs
De nos élans rebonds.

L'aube chevaleresque dessine son armée de rayons solaires,
Alors que chaque fragment sombre lui cède un peu plus cette victoire.
Et le crépuscule est son contraire,
Comme un dragon ne peut protéger qu'un trésor à la fois.
Un Serpent dévore le Faucon, diront certains.
L'Astre tourne autour de nous, diront d'autres.
Nous tournons autour de lui, devrions-nous dire.
À chacun sa raison, à chacun son trésor.
Et je sais que tu brilleras encore.
Que ce solstice d'hiver annonce de plus belles aubes.

Forgeresse,

Jadis au fond de ma tour de Babel,
Je t'ai vu pour la première fois,
Toi mon prince, mon envie, ma passion.

Mon cœur avait perdu la foi,
Tu es si doux, ma raison, ma vie,
Tu as su forger mon cœur en or.

Chaque moment à tes côtés dans notre cocon,
Me remplie de joie et de réconfort ,
Ce désir si charnel me met en émoi

Toi ma liaison, mon âme sœur,
Je suis en admiration devant ta grandeur,
Nos deux corps se réunissent.

Est-ce bien la réalité ? Suis-je bien éveillée ?
Promets moi de ne jamais partir,
De rester toujours à mes côtés.

A toi mon coeur

Par un matin de février
Un doux baiser tu m'as donné
Main dans la main au bord du Leguer
On s'est à nouveau embrassé
Et depuis ce jour à l'unissons
Nos coeurs voient défiler les saisons

Il y a maintenant dix ans
Que tu m'as proposé d'avancer ensemble
Il y a bientôt cinq ans
Qu’officiellement nos alliances nous unissent
Et il y a un millième de fois
Que j'adore être à tes côtés

Mon chéri,
malgré le temps, les épreuves et nos différences
Tu restes l'unique homme qui me fait chavirer
Malgré les changements qui nous font parfois violences
Tu restes celui que j'ai toujours désiré
Et je l'espère,
pour encore de très longues années

En ce jour de Saint valentin

Je voudrais être la lettre cherchée depuis toujours
Et qui viendrait se déposer dans ta main
De mon coeur, elle serait le troubadour.
En ce jour de Saint Valentin
Je voudrais être un baiser
Celui dont on a toujours faim
Quand il vient de l’être aimé
Être la personne toujours là pour toi
Qui jamais ne t'a demander quoi que ce soit
alors pourquoi en cette journée de saint-valentin
ne lui montrerais-tu pas a quel point tu y tiens
un simple sourire sera comme celui de tout les jours
mais une bonne saint-valentin ainsi qu’un câlin
me montrera alors que tu ne m'a point oublié

J’ai des doutes
En me baladant dans la forêt ce matin, j’ai croisé une femme à la beauté envoûtante. Enfin je crois, car je suis encore sous le charme...
J’ai croisé son regard, elle a croisé le mien, et depuis lors mes pieds n’ont plus touché terre. Suis-je encore là-bas ? Suis-je revenu ? Je ne sais plus...
Je la revois encore avec sa chevelure blonde, ses yeux bleus dans lesquels je me suis perdu. Et depuis, depuis, que m’est-il arrivé ? Elle m’a invité dans un monde parallèle, un monde dont elle est la reine. Je m’y suis promené, j’ai senti son aura tout autour de moi. Son parfum, même sa voix. Pourtant elle n’a rien dit...
Sa voix m’est apparue somme une évidence. Ou était-ce un murmure, une ambiance ? J’ai senti cette présence réconfortante, apaisante, énergisante. Pourtant elle n’a rien dit...
Son parfum, était-ce elle ou la forêt ? Tout se mélange dans mon esprit. Les fleurs, les fruits, les champignons, tout se mêlant dans cette ambiance harmonieuse. Elle était à distance, l’ai-je réellement sentie ?...
Je lui ai souri, elle m’a souri, était-elle aussi sous le charme ? Bien sûr, je le sens au fond de moi. Pourtant elle n’a rien dit, rien fait, ne s’est pas approchée. J’ai des doutes...

Les mots interdits

Je me souviens de toi , de ton sourire , de ton regard ,
de nos rires incessants , de nos illusoires bagarres .
Toi, mon amie des premiers jours , mon amie de toujours.
Je t'ai contemplée vivre , partir , revenir , mais, dans mes reves les plus fous et les plus doux,
j'espérai, en secret , qu'un jour, toi et moi , se dirait " Nous " .
Je n'ai jamais osé te dévoiler mes pensées , de peur de détruire notre tendre amitié .
Mais, aujourd'hui que tu es partie , loin de moi , loin , tres loin de ma vie ,
j'aimerai, enfin, que tu entendes à travers mon cri ,
tous ces mots interdits , que je ne t'ai jamais dits .......

Passion

Avec force et vigueur
Il dessine sur sa toile
Déphasé mais avec rugueur
le peintre lève le voile
Tout sentiment est peint
Sans fard sous détour
le rouge n'est pas peint
la couleur badine avec humour
Autour d'une explosion de joie
Une fusion de sentiments
Tout ceci en moi
La passion etant la mienne
débordante ou maitrisée
La passionanime les désirs
Sans jamais s'effiler
La passion est dire
Que tout peut arriver
La vie seule peut le dire
J'aime sentir la chaleur en moi
Puissante telle un cratère en éruption
Elle me donne la force, cette passion
Le tous me met en émoie

Valentin et Valentine

Quel autre plus beau jour que celui qui consacre
Une histoire improbable à l’ombre de l’ambulacre.
Etourdi et rêveur, Valentin imagine,

Venant du fond des âges, sa belle Valentine.
Il y pense, il est sûr. C’est ce jour qu’il verra
Venir son espérance, venir sa tanagra.
Et ainsi va la vie …

La belle se fait attendre, sait se faire désirer
Avec son beau bronzage et ses cheveux moirés.
Mais elle espère aussi trouver son prince charmant
Où qu’il soit, elle l’espère, elle le veut, elle l’attend.
Un jour de février, le quatorze s’il vous plait
Réunis ils le sont, incroyable mais vrai !

Se peut-il que nous n'ayons pas le droit
De cacher notre commun émoi
Qui nous permet de bannir l'effroi
Et de n'avoir peur de nulle loi

Aucune guilde ne nous séparera
Aucun combat ne nous déchirera
Car tu es moi et moi toi
Et qu'en nous deux chacun a foi

Nos sentiments ne sont pas cycliques
Nul besoin d'avoir recours à l'autoclic
Nous n'avons pas besoin de déclic
Dans nos assiettes nous ne verserons pas d'arsenic

Ensemble nous écrivons un conte
Ensemble nous n'avons jamais honte
Ensemble nous sommes un mastodonte
Ensemble nous sommes un double compte

La rencontre de ma vie

La lumière de mes yeux s’est allumée
Le jour ou je t'ai rencontré
L’après midi ou nous nous sommes dis oui
J'en rêve toutes les nuits
Aujourd’hui l"avenir nous appartient
A nous deux prendre le même chemin
Comme je te le répète souvent
Et je ne m’en lasse pas honnêtement
Tu es la personne au monde qui m’est le plus cher
Et c’est pour ça que je serai tiens la vie entière
Ton sourire me rempli de joie et de bonheur
Qu’il fait battre chaque jour bien plus vite mon coeur
Ton charme entier me conquit

Dès le petit matin de la Saint Valentin
Comme tu m'avais promis de m'rouler un patin
Je m'étais levée tôt pour te faire un gratin
J'avais fait des efforts
Et tu dormais encore.

Arrivé à midi de la Saint Valentin
Tu faisais toujours la teuf avec ton traversin
Et j'avais oublié d'arrêter le gratin
Comme toi lui aussi
Il était bien trop cuit.

Arrivé à minuit de la Saint Valentin
J'tai plaqué, tu ronflais comme un gros marcassin
Et puis tu me gonflais trop avec ton baratin
Finis donc le gratin
C'est la Saint Valentin !

Ah sacre valentin Valentine

Ah sacre valentin Valentine
Tant de sentiment pour l’être cher
Passion naissante et jeunesse ardeur
Chaleur et dévotion tu verras
Fantaisie et tendresse tu auras
Notre cœur est toute à nous Valentin Valentine
Ivresse de notre tendresse
Jours après jours tu chanteras le bonheur
Tu accompagneras le plaisir
Tu attendras l'autre la peur au ventre
De l'inquiétude du silence à l'incompréhension du retard
Tu verras le doute puis tu chanteras sous la douche
Les plaisirs de la vie, de l'amitié et du bonheur
Ah sacré Valentin Valentine tu nous tiens.

Toi

Toi qui es parti loin de moi, alors que mon cœur ne vibrait que pour toi,
Ce manque que je ressens rempli ma vie de néant.

Toi qui m'avais donné les clefs de ton cœur, j'éprouve beaucoup de rancœur
De ne pas avoir su te garder.

Toi qui ensoleillais mes journées avec tes rires joyeux résonnants dans notre « éden»,
Dorénavant je ne vois que la noirceur autour de moi.

Toi qui m’avais apporté ces sentiments de bien-être et de plénitude,
Maintenant mes journées sont remplies de pleurs.

Peut être que si j’avais connu l’issue, j’aurai su apprécier les moindres moments passés avec toi…

Mon Valentin

Tu ressembles au soleil
Que je vois au réveil
Tu ressembles à la pluie
Douce mélancolie
Tu es comme la terre
Là où mes peurs se terrent
Tu es pareil au vent
A la mer et aux champs
Tu es mon univers
A l'endroit, à l'envers
Tu es ma joie de vivre
Ma raison de survivre
Tu es mon horizon
Tu es ma déraison
Tu es mon avenir
Ou bien, mon souvenir
Tu es toutes mes peurs
Solitude et terreur
Tu es toutes mes joies
Le rire où je me noie
Tu es ma préférence
Mon désir, mon urgence
Tu es mon Valentin
Et tu es mon destin.

Au commencement était le bronze.
Un peu sauvage, déterminée j’étais perdu.
Près de la forge tu t’arrêtas et m’abordas.
Je ne sais pourquoi mais l’alchimie opéra.
Dans notre histoire ce moment-là fut le début.

Par ta maturité tu me canalisas
Ton savoir, ta culture nous ont appartenu.
Le classique le moderne chaque pas fut soutenu
À travers les âges notre beau voyage défila.

À tes côtés j’étais forte t’étais l’évidence.
C’était le jour, l’instant, c’était notre moment.
A ta question mon grand oui fut retentissant.
Tu acceptes mes proches, mes caprices mes silences ...

Au commencement était le bronze.
Un peu mystérieux mais toujours attentionné.
C’est près de la forge que tu t’étais arrêté.
Dans mon monde féerique je t’ai fais entrer.
Avec toi défilent les jours, les mois les années.

Depuis 800 jours et un peu plus ...
au commencement était le bronze.
Au commencement c’était nous ...

« Je t’ai dans la peau »

Tes cheveux doux comme une pelouse au printemps
Ton regard profond comme l’océan
Ton visage méritant d’être mis en peinture
Ton corps digne de la plus belle des sculptures
Tes petits doigts qui glissent sur ma peau tel un pianiste
Tes longues jambes toujours prêtes à parcourir les pistes
Tes vêtements colorés d’un autre temps
Ton chapeau qui s’envole dès qu’il y a du vent
Ton esprit affuté comme un sabre de Samouraï
Ton haleine unique surtout après avoir mangé de l’aïl
Tout dans toi mérite ce qu’il y a de plus beau
En un mot, je te kiffe trop !

Petite élégie pour un baiser à Grenade

Si je vous parlais d'eau
de myrthe et de fiançailles
d'une oasis des sens
dans un midi trop blanc

Je vous dirais le jour
découvrant la merveille
de s'éprendre à mourir
et de ne mourir pas

la nuit qui vient lécher
langue fraîche la lune
aux murs hauts des carmens
les jasmins encore chauds

Mémoire de mon cœur
mon beau fruit éclaté
à l'ombre du peinador
toujours je resterai

écouter vibrer l'air
sur la source avelline
comme une arche d'iris
et l'écho des zambras

Non tu n'es pas mon interdit:
Voici tous ce que tu représentes pour moi ma chérie,
je t’adore, je me dévoue, je t'admire,
tu me passionnes, tu m’extasies,
tous mes penchants sont des sentiment d'affection,
c'est le béguin qui m'enflamme, nous sommes fusion,
tu es tendresse, tu es mon ange,
avec ton arc tu m'a transpercé , je suis ton cupidon ,
mon cœur s'attache avec ardeur et deviens légéreté
tu es ma muse, mon égérie,
tu es le flambeau de ma vie,
tu es ma folie pour toujours
tu es ma rose à jamais éclose
qui resteras pour toujours passion.
 

DeletedUser43660

Guest
Mes points forges
Vous êtes mon bonheur du quotidien
A chacune de vos apparitions
Je sautille comme mon petit chien
Et je m’empresse d'apporter mes contributions

Sur les grands monuments des gros joueurs
Car ce sont eux qui détiennent la recette
Pour gagner des milliers par heure
Sans en laisser une miette

Grace à mon ami 'l'Arche quatre vingt '
Meilleur que le vin
Plus somptueux que mes sandwich habituels
Ils m'engouffrent aussi dans des combats conflictuels

Contre mes voisins les plus téméraires
De la race de ceux qui répondent a mes pillages
Passant mes chars planeurs et surmontant leur peur
De se faire un ennemi à travers les ages

Je construis pour eux des temples de prière
La tour d'innovation pour gaver mes habitants
Le cap pour colorier la lune de leur lueur
Et le Kraken pour nourrir mes poissons

Ils dictent mon réveil et conditionnent mon humeur
A travers mes placements je suis leur devenir
Ils grossissent mon stock à chaque heure
Me rendant serein et satisfait au béat sourire

Par ce poème je brise ma passion interdite
Pour ces drôles de monnaie qui circulent vite
Qu'importe que certains racontent qu'ils sont virtuels
Ils sont mes plus surs que ma mutuelle.

Par un sandwich du désert

Naissance des sentiments .
D'une rencontre au hasard , d'un échange timide , un ange passe et Cupidon fait son apparition .
Deux êtres se cherchent et s'évitent du regard en même temps .
Chacun d'eux sait qu'il devra oser , oser se désarmer et se rapprocher .
La magie opère , maintenant ils se parlent et se sourient , les armures tombent mettant à nu deux âmes emplies d'émoi .
Il ne voit plus qu'elle et elle ne voit plus que lui , leurs mains se rapprochent et se frôlent .
La tentation et la réserve se mélange en un doux trouble , le premier qui bouge mettra le feu !
Cupidon aura ici le dernier mot et nos deux jeunes tourtereaux s'en vont à présent , main dans la main écrire leur histoire commune dans le grand livre de la vie .

Dames ou Recluse, suivant le thème

Ames, ourdissez vos armes, et sans aucun blasphème
Conjuguez vos esprit, vos coeurs, enfin vos corps
Gardez vôtre le désir de cette vie de Bohème
Souviens toi que le lit a de mauvais ressorts

Il convoite tes lèvres comme une flamme ourlée
Rubis, fascinant gemme, étincelles à vos yeux
Mille émotions assaillent, il vous faut sans parler
Basculer sur un lit blotti au creux des cieux

Sous tes yeux consentants, il s'enfonce sans drame
Au profond de ton corps est dressé ce totem
Il s'anime et vit au coeur de cette flamme
Ouragan de folie, étamines qu'il sème

Viens mon bébé
Nous avons besoin de parler
Éteint moi cet télé
Tend l'oreille pour m'écouter
Ton smartphone est connecté
Je vais finir par le lancer
Si on allait plutôt se balader

La nature est belle
Ça me rappelle quand je me suis dit c'est elle
Tu etais une jeune et jolie demoiselle
Chez moi tu as fait pousser des ailles
J'aurais même fait la vaisselle
Et crois- moi c'est inhabituel
Viens suis-moi on va sur le ravel

Regarde un panier de pique nique
Il vient de nulle part c'est fantastique
Installes-toi j'ai eu un déclique
Tu es vraiment magnifique
Les moments avec toi sont magiques
Avant de devenir Amnésique

Je voudrais te proposer
Après tout ce qu'on a déjà fait
Tous les bons moment passer
Les mots doux les Baiser
Mon bébé veux-tu m'épouser

C’est petit que j’en entendis parler,
Près des bancs, l’été, dans l’coin des mémés.
Elles radotaient, chantaient, pleuraient, riaient !
On les trouvait étranges, mais folles à souhait !
Et des histoires à nulles autres pareilles,
Nous remplissaient la tête de merveilles…
Un jour, l’une d’elle perdit son pépé,
Et sur le banc, une histoire fut contée.
Non point celle de Roméo et Juliette,
Mais celle, moins connue, de Jean et Huguette.
C’était une histoire triste, mais vraiment belle !
Digne d’être chantée dans nos vieilles ritournelles !
Histoire de loupés, de chassés croisés,
Rendez-vous ratés, sentiments frustrés…
Certes, à cette histoire, il manque les détails !
Que voulez-vous, la mémoire a ses failles !
A ces mots mémé cessa de pleurer
Et nous retournâmes au ballon jouer.
Et ce jour là, je me suis décidé
A enfin donner mon premier baiser !

Douce prémonition.

Après une soirée plein de solitude
J'oserais dire, comme à son habitude
Je me réveillais émerveillé
D'un rêve fabuleux j’émergeais.

Une journée qui commença pourtant comme les autres
Excepté que je ne me levais pas du pied gauche
Un énorme sourire sur les lèvre
Je sentis comme monté la fièvre.

Quand enfin le soir venu, devant une façade de restaurant bondée
Comme un ange elle m'apparut, avec sa douce chevelure dorée
À cet instant j'ai tout de suite compris
Que sans un mot elle m'avait déjà tout pris.

Prenant mon courage à deux main j'osais l'invité
Dans ce restaurant qui une seconde plus tôt me dégouté.
Croyais moi, la tête que j'ai fait
Quand j'ai compris qu'elle venait d'accepter !

Moi aussi Je me croyais perdu
Quand comme tombé du ciel je trouva mon élu.
Il se trouve certainement pour vous au prochain coin de rue
Alors ouvrez l’œil et quand vous tomberez dessus...

SURTOUT NE LE PERDAIS PAS DE VUE !

Ton corps ma passion

Qu’il est bon d’être dans tes bras qui m’enlacent
Le gout du miel sur tes lèvres que j’embrasse
Laissent en moi la trace d’un sentiment nouveau
D’une drogue qu’enivre mon cerveau
Ton corps est une Oasis qui jamais ne s’assèche
Ton corps est une Oasis où cupidon trouve ses flèches
Au moment de nos caresses sensuelles
Nos corps s’affrontent dans un langoureux en duel
Tes mains parcourent mon corps
Me rendant plus fou encore
Ma bouche qui caresse ton corps de déesse
Mes mains qui pétrissent tes fesses
Même dans la douleur
Jamais je n'oublierai ce corps que je connais par cœur.

Ma petite déclaration

La serrer dans ses bras,
et lui parler tout bas,
elle est si belle et douce comme la soie,
en ce doux mois,
Une douceur,
qui est comme une fleur.
En la regardant chaque jour,
rire à mon humour,
elle est magnifique,
et magique.
on ne peut décrire ses sentiments,
mais elle sait que je suis présent à chaque instant.
Lui offrir en ce beau jour de saint valentin,
Un bijou à sa douce main,
et lui dire qu'on sera là demain,
toujours à veiller sur elle, mains dans la mains,
et lui offrir des roses,
est la plus belle des proses.

" un monde irréel "

Le monde dans lequel nous vivons
au delà de tout soupçons
nous empêche de prononcer
ses mots qui nous ferait tant vibrer.
Pourtant si nous pouvions nous le dire
il serait remplis de rire.
il serai remplis de tendresse
et non pas de détresse.
que c'est -il passé auparavent
pour que ces mots s'envolent au vent.
il ne peux y avoir d'avenir
alors autant en finir.
l'humanité est venue grâce à ses mots
mais elle ne se remettra pas de tous ses maux.
alors révoltons nous !!
avant d'être mis à genoux !!

Tu pourrais être mon choix involontaire
De vivre ma vie jusqu'au bout
Tu pourrais être celle que j'kifferai toujours
Tu pourrais être celle qui écoute
Mes questions les plus indiscrètes
Tu pourrais être celle que j'kifferai toujours
Je serai là dès que je le pourrai
Mais je suis occupé à réparer les morceaux cassés
De la vie que j'ai eu avant
D'abord il y a eu celle qui a défié
Tous mes rêves et tout mon équilibre
Elle ne pourra jamais être aussi bien que toi
Tu pourrais être mon choix involontaire
De vivre ma vie jusqu'au bout
Tu devrais être celle que je kifferai toujours

Les beaux Diamants

Si sur ce forum je m'inscris
C'est qu'épris de diamant je suis
Mais si mes réponses diffèrent
Plutôt que la gloire c'est l'enfer

Pourtant t'adorer je le veux
Alors insister je le peux
Mais si déçu de toi je suis
Peut-être alors demain je fuis

Entre nous vivons la passion
Mais pas en étant un mouton
Alors ne soit pas trop cruel
Si tu veux que je sois fidèle

Enfin je veux te remercier
Le temps que tu m'as consacré
Pour les jeux bien organisés
Demain je vais me connecter

Si ce poème que tu as lu
Quelque part t'as un peu ému
Mon compte peut être en regardant
Reverrai-je les beaux diamants

Je t'envole !
Je te le dis, je te l'écris, comme d'autres l'ont fait, sans interdit, pour clamer leur ascenseur et répéter je t'envole à ton oreille, sur les murs, sur les nappes, sur les troncs des arbres et sur les bancs publics, sur tous les GM de Forge et dans les tavernes des copains. Car l'ascenseur n'a pas d'interdit pour ceux qui s'envolent. Alors, je t'envole à la folie, d'un ascenseur sans fin qui atteint les étoiles, mes yeux dans tes yeux, ma main dans la tienne, d'un ascenseur sans limite et sans interdit. Je t'envole, mon ascenseur.

Doliprane et préjugés.

Le mimétisme du malbaisé est secondaire,
Regardez donc bien ce connard de Voltaire,
Tantôt grisonnant, tantôt peu fier,
Il arpente la banquise et nous ordonne de nous taire.

Non mais quel pingouin, le petit Francis,
Toujours infâme avec les miss,
Il vaudrait mieux qu'il file en douce et qu'il se taise,
Avant qu'on ne teigne sa chevelure blanche de nuance de braise.

Et qu'en est-il du vieux husky?
Incapable de respirer sans parler de lui,
Je vous en incombe, ma chère hermione,
Clouez leur le bec, the game is on.

Une dernière chose, je dois vous dire,
Sachez que moi, je suis bien pire,
Mon ego peigné, je n'oserais tout vous dire,
Mais retenez cela, les cons, eux, n'ont pas d'épis, mais un surplus conséquent de cire.

Peur et Désire,

Qu'il me plairait d'etre dans tes bras,
me laisser aller à t'ecouter,
tes écrits étant le reflet de ton ame,
qu'une idée nous sommeil, nous envoler.

Tu es celui qui me fait rire,
toujours là le soir pour m'écouter,
je n'attends que ton soupir,
pour enfin me réveler.

Oui je te désire inévitablement,
mais j'ai peur que ce sentiment,
ne soit pas le fruit de tes envies,
alors que pour moi, ça serait pour la vie.

fait moi un signe,
montre moi ton désir,
tel une rime,
pour notre avenir.

A toi que je ne peux pas nommer

Tu animes la passion de deux êtres chers
Qui se choisissent au quotidien comme l'ont fait nos pairs
pour vivre une expérience sentimentale unique
pour certains épistolaire pour d'autres charnelle
comme un met au gout sucré saupoudré de cannelle
comme un vêtement ajusté, une belle tunique

Ta force leur permets de déplacer des montagnes
Grâce à ta constance, ils s'accompagnent
pour le meilleur et pour le pire
pour embellir la vie et apporter le réconfort
le filtre puissant plus fort que la mort
le secret intime est de savoir se le dire...

Sérendipité d'un acrostiche côtier

Antique rivage battu par les embruns
Mélopée sauvage des horizons marins
Ombre subtile du vent dans tes cheveux
Ubuesque mélodie de tes doux aveux
Ressentiment fragile parcourant ton regard
Icarien survol vers d'autres égards
Nacre de ta voix fendant les brumes
Tabou de l'ivresse, des maux interdits
Encre jetée au secours de la plume
Ritournelle sensuelle des désirs enhardis
Détour stratégique d'une ultime caresse
Icône farouche de nos véhémentes prouesses
Tout à ton sourire, révéler mon adresse

petit poème pour ma petite femme Tara88


Le jour ou je t'ai vue je me suis dis elle est si belle,
elle illumine par sa présence ma vie tel un merveilleux rayon de soleil qui réchauffe mon coeur,
quand je t'ai touchée ta peau avait la douceur,
cette douceur qui m'a envoutée et à laquelle je ne pouvais plus me passer,
tes yeux chocolatés avaient une étincelle qui me fit chavirer,
depuis de toi je ne peux que penser,
j'ai tout de suite su que c'étais toi la petite princesse que je voulais,
j'ai compris que la plus délicieuse des femmes je l'avais rencontrée et que pour la vie je voulais l'idolâtrer,
je t'adore bébé.

C'est toi la nouvelle courtisane dans le voisinage,
depuis que t'es là ma défense est brisée.

Tu es la princesse qui m'as désarmée,
mais je suis courageux quand même tu sais.

Je vais me battre sur les maps de la gcg,
je vais éliminer tous les prétendants qui sont à tes pieds,
ils seront enfermés dans la tour noire.

Tu sais, je suis premier à la tour du pvp,
et aussi pour t’impressionner t'as vu tout ce que j'ai misé,
j'ai fait up tes gm's tu l'as bien remarqué.

Sur ton Cap direction les étoiles,⭐
tu m’enchaîneras à ton Alcatraz.

Je te ferai voir du pays, on ira dans mes arènes holographiques,✌
puis aussi on ira danser sous l'arbre de mai.

Je te ferai construire une cascade royal, tu seras ma reine !
On ira mon parc d'attraction, faire tout les manèges,
tu pourras miser mon cœur dans ton casino.

On couchera dans mon palais pour rigoler,
et l'on se perdra dans le labyrinthe des haies.

Comme ça je pourrai te montre mon artillerie,
je te ferai trembler comme zeus.⚡

J’assiégerai ta forteresse impériale,
inutile d'utiliser le bonus de taverne.
J'irai voler les ressources des voisins pour te les donner.

Puis un jour, on ira se marier à Notre Dame,
depuis l'observatoire on verra les anneaux de dynamic
tu verras comment c'est romantique !
Au faite, bonne saint valentin voisine.

Qui peut vivre sans ?

Le jour où tout à commencer,
J’ai croisé ton regard et là j’ai su,
J’ai su qu’à ce moment-là ça serait toi,
Toi et moi pour la vie ?

Le jour où tout à commencer,
Tu m’as fait oublier qui j’étais,
Tu as fait de moi une femme épanouie,
Toi et moi pour la vie ?

Toi et moi pour la vie ?
Rien n’est moins sûr,
Sûr de soi, sûr de nous ?
Je t’ai tout simplement perdu.

Perdu à jamais,
Jamais sans toi,
Tel est m’a triste réalité,
Apprendre à vivre sans toi.

Chaque jour est un défi,
Un défi pour t’oublier,
Oublier ce jour-là,
Là où tout à commencer…

Après dix ans
---
Souvenirs enchantent en moi,
Saoul, venir en chantant, moi !
Attends moi demain !
Ha ! tends moi deux mains,
Ha ! voue moi aux Dieux,
Avoue moi, ho Dieu !
Ton amour irréel,
Ton âme houri réelle !
-----
et, éventuellement pour vous éviter de chercher: "Les houris sont selon la foi musulmane des vierges dans le paradis, qui seront la récompense des bienheureux1. Ce sont des personnages célestes"
 

DeletedUser43660

Guest
Comme promis, voilà (enfin) les 139 qualifiés "non gagnants".

Si j'ai fait des erreur (avec 139 poèmes à copier, je ne doute pas en avoir fait !), n'hésitez pas à me contacter par MP afin que j'apporte la correction nécessaire.

Bravo à tous ! Nous avons eu droit à de très belles choses et surtout, à une participation impressionnante.

Je me permets cependant une petite remarque : pensez à vous relire, corriger les fautes, veiller à la ponctuation. Je ne suis pas une maniaque de l'orthographe mais il arrive parfois qu'une faute ou une erreur de virgule change complètement le sens de votre phrase. Par exemple :
"Je suis sûr, ta sœur elle m'aime"
"Je suis sur ta sœur, elle m'aime"
Vous pouvez constater qu'un simple accent circonflexe et le décalage de la virgule changent totalement le sens de cette phrase alors que les mots ont la même consonance. Il nous est parfois difficile de comprendre ce que vous souhaitez faire passer à cause de ce genre d'erreur. L'écrit peut être particulièrement traître s'il n'est pas assez précis. Certains sites peuvent apporter une correction assez juste et les modos peuvent vous aider dans ce sens, si vous en ressentez le besoin. N'hésitez pas à nous contacter ;)

Une autre difficulté que j'ai pu rencontrer : c'est vraiment sympa de mettre de la couleur à vos textes, mais certaines sont très agressives sur le fond de notre forum comme le rouge et plus généralement les couleurs foncées. Merci donc de penser à nos petits yeux et d'y faire attention ;)

Encore un grand bravo à tous, faites nous profiter de vos talents dans la section des écrits !
 

pn1908

L'Aède Romantique
Quand on lit tous les poèmes (et je ne les ai pas encore tous lus) on se rend compte de la difficulté que peuvent éprouver les modos à choisir... il y en a de vraiment très beaux
 

DeletedUser43660

Guest
ah il y a pas le mien?:whistle:

Toutes mes confuses, j'ai loupé le vôtre... Voilà qui est corrigé.

Par contre :

Si j'ai fait des erreur (avec 139 poèmes à copier, je ne doute pas en avoir fait !), n'hésitez pas à me contacter par MP afin que j'apporte la correction nécessaire.

Je n'ai pourtant pas de MP en attente pour me signaler qu'il manquait votre poème :whistle:

Quand on lit tous les poèmes (et je ne les ai pas encore tous lus) on se rend compte de la difficulté que peuvent éprouver les modos à choisir... il y en a de vraiment très beaux

Heureusement que nous étions assez nombreux à corriger, ça a permis de départager... Et encore, il y a beaucoup d'ex aequo... Y a qu'à voir pour la troisième place où nous n'avons pas pu choisir entre @OR73 et @FENRIR NEFASTE. En tout cas, ça a été un réel plaisir de voir autant de participations et de nombreux écrits de qualité... Autant de matière pour le Forgeur d'Or des écrits :p
 

DeletedUser49654

Guest
Merci LeeLeeyong)

@LunatiK3 j'adoooooooore)))

Et mon poème préféré je ne peux pas le nommer car c'est à cause d'elle que vous devez me supporter. Je suis sorti d'un de ses rêves avant l'été. Je retourne lire ses poèmes sans qu'elle puisse le soupçonner.
 
Dernière édition par un modérateur :

DeletedUser47792

Guest
Merci @Leeyong pour la retranscription de tous les poemes !
Un delice d´avoir tant de lecture de ce style , c'est à dire de tous les styles ;) ! me regale , miam !
 

DeletedUser43660

Guest
Ce sont surtout nos poètes qu'il faut remercier ! Mais merci pour la délicate attention :)
 

DeletedUser47792

Guest
ha oui merci les poetes ! une multitude de talents cachés sur ce forum !
 
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