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Événement Mars 2024 - La chasse aux voyous
Forgiennes et Forgiens,
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Mise à jour 1.279
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1 Thème / 1 Mois / 1 Auteur ou un duo (Auteur+Graphiste)
Je remercie tout d'abord cette prise de bec journalière qui me fit (à dessein) retrouver l'inspiration
manquante pour ciseler cette modeste ballade, bonne lecture, merci à Florn, aux autres bien sûr
même si je n'ai pas compris leurs réponses.
Merci aussi de corriger les fautes ^^
Merci à Fizio pour ses rectificatifs attentifs bien que tardifs (forcé, c'est gentiment dévoué)
Seul parmi les os, dans le désert du far-West
J’errais sans but cherchant quelque aventure à l’est
Les trouvant, duo de mon cheval, mes déboires,
Malheureux, commencèrent. Alors que sans avoir,
Je passais dans la plaine, ouïs-je une clameur.
je fus pris de stupeur! De biens pauvres éleveurs,
qui subirent l’ardeur d’un groupe de terreurs.
Dans le feu, la chaleur, évaporait leurs peurs
Mais le danger passé, on fit lister les choses
Qui eurent été prises, la bataille fut cause
De la perte d’une demoiselle en détresse
Et de quelques menus objets sans importance.
L’enlèvement me fut confirmé par signaux
de fumée destinés à ces rouges de peau.
En chemin vers ma belle, inconnue et pourtant…
Je rêvassais, inquiet certes, ce n’est pas tant
Qu’une pleine tribu, fut l’objet de mes craintes
Mais plutôt l’idée de la retrouver défunte
Qui me chagrinait, sans cesser de galoper
Il se rapprochait d’elle, et moi de délirer
« « « « C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. » » »
Alors que la fièvre de la bataille fait
D’innombrables victimes et des deuils à souhait
S’élance un justicier, noble et bien valeureux
Offrant jusqu’à sa vie, de misérable, heureux
Relâcher la donzelle et puis l’épousailler
Cette jolie merveille orgueilleuse à aider
Brune, blonde ou rousse, de peau blanche ou couleur
Sont aux hommes pareils, discutables bonheurs
La morale ordonnait, pardonnez de l’abus
Cours et galanterie, insondables rébus
Peut-être est-ce mieux hier, plus qu’au jour d’aujourd’hui
Je surprends à aimer mon âme même puis
Je suis confronté, au temps de, à cette époque
On s’amuse payen ! qu' y a t-il donc, je choque?
Ensemble soyons donc réalistes, n’existent
Plus, de preux chevalier mais plutôt des touristes
Aussi pourquoi suis-je à la recherche moi d’une
Perle qui n’existe mais qui moi m’importune ?
Alors je vais descendre estimant à la cave.
Eh bien, bouteille ma mie, suis-je bête rave ?
* * * * *
Puis, étant arrivé à ce village indien,
Je tentais de plonger mon regard dans le sien
Tandis qu’assistant à cet effroyable show
Mon esprit s’ingéniait à un plan le moins sot
Mais ciel la sentinelle ! un point providentiel ..... >exprès express
Evita au mortel, de lancer un appel !
Bon, causer la débâcle, au milieu du spectacle !
Ainsi que l’oracle, je défis, tabernacle !
Un autre cul-terreux, et jeta dans le feu
La poudre. Délicieux artifice, fameux !
Détacha la belle, puis monta sur ma selle
Cette corne verte me surnommait pour elle
Son preux chevalier. et puis, m’établit bourgeois,
M’épousa, fit de ma vie un enfer ?pourquoi ?
Prohibant alcool et calumet de la paix.
Damned ! J’aurais dû la laisser ou elle était !
********************************* * c'est la beauté que je cherche ainsi que l'esprit
hélas dans ce monde du jour, tout à un prix *
Seul parmi les os, dans le désert du far-West
J’errais sans but cherchant quelque aventure à l’est
Et c’est ainsi, sur ma monture, que mes déboires,
Malheureux, commencèrent. Alors que sans avoir,
Je passais dans la plaine, ouïe-je une clameur.
Approchant, la chaleur d’un feu fit ma stupeur.
De bien pauvres éleveurs, qui subirent l’ardeur
D’un groupe de terreurs. Ils avaient eu si peur !
Mais le danger passé, l’on fit lister les choses
Qui eurent été prises, la bataille fut cause
De la perte d’une demoiselle en détresse
Et de quelques menus objets sans importance.
L’enlèvement me fut confirmé par signaux
de fumée destinés à ces rouges de peau.
En chemin vers ma belle, inconnue et pourtant…
Je rêvassais, inquiet certes, ce n’est pas tant
Qu’une pleine tribu, m’inspirait crainte
Mais plutôt l’idée de la retrouver défunte
Qui me chagrinait, sans cesser de galoper
Il se rapprochait d’elle, et moi de délirer
« « « « C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,
Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.
Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme
Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.
Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;
Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit. » » »
Alors que la fièvre de la bataille fait
D’innombrables victimes et des deuils à souhait
S’élance justicier, noble ainsi que généreux
Offrant jusqu’à sa vie, de misérable, heureux
Relâcher la donzelle et puis l’épousailler
Cette jolie merveille orgueilleuse à aider
Brune, blonde ou rousse, de peau blanche ou couleur
Sont aux hommes pareils, discutable bonheur
La morale ordonnait, pardonnez de l’abus
Cours et galanterie, insondables rébus
Peut-être est-ce mieux hier, plus qu’au jour d’aujourd’hui
Je surprends à aimer mon âme même puis
Je suis confronté, au temps de, à cette époque
On s’amuse payen ! Je m’enferme dans ma coque
Ensemble soyons donc réalistes, n’existent
Plus, preux chevalier mais plutôt des touristes
Aussi pourquoi suis-je à la recherche moi d’une
Perle qui n’existe mais qui moi m’importune ?
Alors je vais descendre estimant à la cave.
eh, bouteille ma mie, suis-je bête rave ? ////////problème existentiel ce n'est pas un défaut de vers
* * * * *
Puis, étant arrivé au village indien,
Je tentais de plonger mes beaux yeux dans les siens (mon regard dans le sien)
Tandis qu’assistant à cet effroyable show
Mon esprit s’ingéniait à un plan le moins sot
Mais ciel la sentinelle ! Direct du droit essentiel
Evita au mortel, de lancer un appel !
Bon, causer la débâcle, au milieu du spectacle !
Ainsi que l’oracle, je défis, tabernacle !
Un autre cul-terreux, et jeta dans le feu
La poudre. Délicieux artifice, ventredieu !
Détacha la belle, puis monta sur ma selle
Cette corne verte me surnommait pour elle
Son preux chevalier, riche elle m’établit bourgeois
M’épousa, fit de ma vie un enfer ?pourquoi ?
Prohibant alcool et calumet de la paix.
Damned ! J’aurais dû la laisser où elle était !
********************************* * c'est la beauté que je cherche ainsi que l'esprit
hélas dans ce monde du jour, tout à un prix *
je ne sais pas vous, mais je n'ai plus envie de continuer ce post sans olivier.
sans lui à mes côtés, je ne serai pas à la hauteur et ne l'oublions pas, c'est lui qui a inventé ce post.
qu'en pensez vous ? voulez vous que l'on continue ou on arrête tout ?
j'attends vos réponses.
dommage, c'est suite à mes images/ mon texte
j'aime bien moi, après je vois pas le problème, si c'est une question de propriété " je pense qu'il sera d'accord"
Je pense qu'il faut continuer même sans la présence du Brave templier OR73, après tout pourquoi laisser tomber cette discussion
où d'autres n'ont pas hésiter à investir de leur temps pour participer. Car abandonner cette discussion, vis à vis de ces personnes, se serait presque dire que votre participation ne nous intéresse pas, seul compte celle du templier.
Alors non, faut la continuer.
non je ne pense pas que l'on soit quantité négligeable à ses yeux, mais perdue et attristée du départ de notre "boîte de conserve" préférée, elle a la délicatesse de poser là ses doutes...
mais justement parce qu'il a demandé de continuer, faisons vibrer sa passion et continuons à faire vivre son idée, comme un hommage à ses grandes qualités
Il faut continuer...
Un sujet "posté" ne nous appartient plus... l'idée était bonne (cf la participation de chacun)
Ce n'est pas un seul joueur qui fait une guilde, ce n'est pas un seul participant qui fait un forum.
Quelle que soit votre raison, loyauté, souvenir, hommage, plaisir, rire, si le "jeu" vous plaît, JOUEZ !!!