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  • Événement Avril 2024 - Cot Cot Codeccc

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1 Thème / 1 Mois / 1 Auteur ou un duo (Auteur+Graphiste)

DeletedUser42983

Guest
( p'tite parenthèse pour la douce @jocard , nommés Chevalier du Christ, la majorité des croisés étaient des prêtres )

Errant dans la tristesse vide et sombre de ma forêt, soudain une source de lumière jaillit,
Envahissant cette clairière et le bosquet, se propageant sur tous les chemins de ma vie,
Le Noble Templier enfanté de lumière divine, m’insuffla son aura et détruisit mes chaînes,
Faisant voler en éclat les douleurs qui me minent, emportant mon âme loin de toute peine,
Offrant son amour comme ardent bouclier, gravant d’une larme l’espoir en mon cœur,
Soulevant mon voile de chagrin désenchanté, pour remplir mes yeux d’ultime bonheur …

Au-delà de la glace et du feu,
Reviens-moi,
Au-delà des embruns et tempêtes
Rappelle-moi,
Au-delà des étoiles et du temps,
Ne m’oublie pas …
 

DeletedUser42983

Guest
Orval-R a dit :
@Kristillera , @BlackKwolph Superbe, boulot...On se met dans la peau des personnages et l'ambiance de fond renforce l'intrigue...:up::up::up:
Cliquez pour agrandir...

Très juste ... un superbe travail et bien original, comme une chanson médiévale avec la musique, le récits chevaleresque et les fresques ... belle idée, le résultat est vraiment bluffant, merveilleux ... !! J'y suis encore passé ce matin ...
 

DeletedUser42983

Guest
Le Chevalier libelle en rebelle,
La Belle au chevalet d’un cheval lié,

Canon d’Amours sonné à deux cœurs, sur deux voies ...

Je m’élance enfin te chercher en désespoir,
Je t’attends soudain toujours nourrissant l’espoir,​
Où es tu ma Belle, où aller sans te voir ?
Que fais tu mon Ami, mes rêves pour y seoir ?​
Oh langueur désirée, je me puisse guérir,
Je te veux requérir tant me tue ce martyre,​
L’amour sans toi est plaisant mal que je respire,
Qui ronge mes pensées, puisses tu me secourir…​

Vivrais-je alors que telle engeance immortelle,
Vivrais-je alors qu’évanescences éternelles,​
Me lie d’amours éclos tant couvés en mon cœur ?
M’élisent d’amour clôt en couvent de mon cœur ?​

Je suis parti mourir en d’amoureux combats,
Il m’a fallut vivre priant pour nos ébats,​
Baisers d’ambres musqués en Grâce de Déesses,
Larmes éperdues de disgrâce qui me blesse,​
Oubliant le présage de qui compte ici bas,
Préservant l’instant de me lover dans tes bras,​
Sentiments d’homme bien dénué de sagesse,
En femme éprise d’un seul, pour que rien ne cesse…​

Mais tes yeux, bien qu’il fut nuit, ramenèrent le jour,
Mais les cieux, en mon ennui, assénèrent toujours​
Tant ils surent d’éclairs pour ta place répandre,
La passion, tonnerre de la trace d’attendre,​

Conquérir ton âme il le faut, je le dois,
L’ire me clame ; que faire sans mon Roi ?​
De chants à l’accent pur, en liesse d’émouvoir,
Humer de torture sans répit de mémoire, ​
L’aube de tes vertus en trophée de ma Gloire,
Au soir d’une battue bredouille et pour y croire,​
Homélie du désir d’un esclave aux abois,
L’effluve de mires, mais te garder en moi…​

Suis-je si heureux car je sais que je t’aime ?
Je pleure, je ris, mon amour, que je t’aime,​
Je ris, je pleure, mon amour, que je t’aime,
Suis-je si malheureuse, je sais que je t’aime ?​

Fou de n’avoir su comprendre si belle fleur,
En toi j’ai vu bien tendres élans plein d’ardeur,​
Lys pourprés de rose, Princesse du bonheur,
Vœux de l’appose en noble bouquet d’escompteur,​
Pourrais-je suivre merveilleuse destinée,
Priant sans relâche qu’il vienne pour convoler,​
En suppliant ta main de mon anneau s’orner ?
Suppliant le divin, qu’il sache m’épousailler…​

Me pardonneras-tu de telle cécité ?
Te résoudras tu a ne jamais me quitter ?​
Me pardonneras-tu de m’être fourvoyé ?
Que recolleras-tu car mon cœur est brisé ?​

wtes.png


( composition d’œuvres de Ricardo Fernandez Ortega )

Naturellement en pareil K, inutile de préciser qui est ma Muse … !:rolleyes:
 
GEBEE50

GEBEE50

Navigateur
Meladius a dit :
Le Chevalier libelle en rebelle,
La Belle au chevalet d’un cheval lié,

Canon d’Amours sonné à deux cœurs, sur deux voies ...

Je m’élance enfin te chercher en désespoir,
Je t’attends soudain toujours nourrissant l’espoir,​
Où es tu ma Belle, où aller sans te voir ?
Que fais tu mon Ami, mes rêves pour y seoir ?​
Oh langueur désirée, je me puisse guérir,
Je te veux requérir tant me tue ce martyre,​
L’amour sans toi est plaisant mal que je respire,
Qui ronge mes pensées, puisses tu me secourir…​

Vivrais-je alors que telle engeance immortelle,
Vivrais-je alors qu’évanescences éternelles,​
Me lie d’amours éclos tant couvés en mon cœur ?
M’élisent d’amour clôt en couvent de mon cœur ?​

Je suis parti mourir en d’amoureux combats,
Il m’a fallut vivre priant pour nos ébats,​
Baisers d’ambres musqués en Grâce de Déesses,
Larmes éperdues de disgrâce qui me blesse,​
Oubliant le présage de qui compte ici bas,
Préservant l’instant de me lover dans tes bras,​
Sentiments d’homme bien dénué de sagesse,
En femme éprise d’un seul, pour que rien ne cesse…​

Mais tes yeux, bien qu’il fut nuit, ramenèrent le jour,
Mais les cieux, en mon ennui, assénèrent toujours​
Tant ils surent d’éclairs pour ta place répandre,
La passion, tonnerre de la trace d’attendre,​

Conquérir ton âme il le faut, je le dois,
L’ire me clame ; que faire sans mon Roi ?​
De chants à l’accent pur, en liesse d’émouvoir,
Humer de torture sans répit de mémoire, ​
L’aube de tes vertus en trophée de ma Gloire,
Au soir d’une battue bredouille et pour y croire,​
Homélie du désir d’un esclave aux abois,
L’effluve de mires, mais te garder en moi…​

Suis-je si heureux car je sais que je t’aime ?
Je pleure, je ris, mon amour, que je t’aime,​
Je ris, je pleure, mon amour, que je t’aime,
Suis-je si malheureuse, je sais que je t’aime ?​

Fou de n’avoir su comprendre si belle fleur,
En toi j’ai vu bien tendres élans plein d’ardeur,​
Lys pourprés de rose, Princesse du bonheur,
Vœux de l’appose en noble bouquet d’escompteur,​
Pourrais-je suivre merveilleuse destinée,
Priant sans relâche qu’il vienne pour convoler,​
En suppliant ta main de mon anneau s’orner ?
Suppliant le divin, qu’il sache m’épousailler…​

Me pardonneras-tu de telle cécité ?
Te résoudras tu a ne jamais me quitter ?​
Me pardonneras-tu de m’être fourvoyé ?
Que recolleras-tu car mon cœur est brisé ?​

wtes.png


( composition d’œuvres de Ricardo Fernandez Ortega )

Naturellement en pareil K, inutile de préciser qui est ma Muse … !:rolleyes:
Cliquez pour agrandir...

Très réussi.....:up::up::up::up:
 

DeletedUser27953

Guest
bonjour mayya
si tu veux tu peux participer à moins que tu ne l'ai déjà fait, j'ai pas vérifié
 
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