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Écritures princières

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prince eveque de Bâle

Mathématicien
Le Clochard et le Roi

Dans la rue un homme tombe,
Mais d'un clochard nul ne se soucie,
On préfère le voir dans une tombe,
Que dans la rue, bien en vie.

Un Prince tombe dans la rue,
Aussitôt tous les passants accourent,
Espérant obtenir une récompense bienvenue,
Pour se pavaner auprès des nobles de la Cour.

Un jour le Prince à cheval,
Tomba dans la rivière et salit son costume royal
Mais cette fois personne ne vint le secourir de ce piège fatal,
Le prenant pour un simple sans-abris, sans rien de spécial.

Le Prince ne sachant pas nager,
Était promis à une mort certaine,
Mais par un heureux hasard au dernier moment il fut sauvé,
Par le clochard qui de tomber eut la déveine.

Le Prince touché par ce sauvetage
Invita l'homme à sa table,
Et fit ajouter dans la loi une nouvelle page,
Où était écrit une phrase irrévocable,
L'habit ne fait pas le moine.
 
Dernière édition :

Loup Tenace

Empereur
:p moi j'aime pas , c'est bâclé certainement écrit trop vite :p

Non je plaisante, très bon texte.
Voilà une belle manière d'expliquer cette maxime connu de tout le monde.
Bravo.
 

DeletedUser18520

Guest
Des fois faut pas trop réflechir.. Du coup ça sort du coeur pas de la tête ! :o
 

DeletedUser

Guest
Voici un poème sur un film(devinez lequel) :)

Dans la cité des Nains,Erebor
Arriva un dragon,semant la mort
Il s'empara du fabuleux trésor,
Et depuis cent ans,il est gardé par ce dragon aux ailes d'or.

Aujourd'hui est-il mort?
Ou bien dort-il encore?
Des Nains ne craignant pas la mort,
Partent aujourd'hui à l'aurore,
Reprendre leur cité et leur trésor,
À cette créature de la mort.

J'adore <3 <3 !!!
 

prince eveque de Bâle

Mathématicien
Le trésor des sombres bois.

Depuis plusieurs générations déjà,
Les anciens du village racontent aux enfants
Qu'il existe un endroit au delà de nos champs et de nos bois
Ou se trouve un lieu terrifiant,
Une grotte que l'on ne peut voir,
Tellement sombre qu'aucune lumière ne peut y pénétrer
Et ou selon la légende tous les soirs,
Un trésor apparaît, des rubis et des diamants par milliers,
Mais des hommes qui sont partis le chercher, pleins d'espoir, aucun n'est revenu.
Car un monstre terrifiant le garde
Chassant tous les intrus
Qu'ils soient armés d'épées ou de hallebardes
Qu'ils soient preux chevaliers ou simples écuyers
Tous sont terrassés par la créature démoniaque.

Cela fait longtemps déjà
Que cette histoire me fut racontée
Et que je rêve que ce soit moi
Qui trouve ce trésor dont j'ai tant rêvé
Un matin je partirai
En direction des bois sombres du nord
Et je chercherai
Cette grotte invisible et ce trésor
Je vengerai mes ancêtres
De cette bête qui les a enlevés
Et rapporterai le trésor dans un coffre en hêtre
Au village ou je suis né
Et ou pour la première fois, cette histoire me fut racontée.

Au cours de toutes ces années
Je me suis entrainé sans trêves
Pour devenir chevalier
Et réaliser mon rêve
Et un soir du mois de janvier
J'ouvris la porte du village
Et c'est ainsi que débuta une longue chevauchée
En direction de là ou les nuages
Anéantissent toute lumière,
Les sombres bois.


En arrivant dans ces bois maudits,
Sans lumière et sans bruit
Une grande peur m'envahit
Je n'y verrais même pas mes ennemis,
Je découvris que nombre de ceux qui ont cherché le trésor
N'avaient même pas pu atteindre la grotte,
Et dans cette forêt labyrinthique ont tous trouvé la mort.

Je ne sais combien d'années j'ai erré,
Sans que je ne vois les jours passé
Mort de soif, mort de faim
Mort de froid, mort de chagrin
Je sentais que je ne pourrai bientôt plus m'accrocher,
Que la mort chaque jour continuait à s'avancer
Mais un jour je fus ébloui
Par une chose inouïe
De la lumière du jour j'avais oublié la saveur
Devant moi s'étendait une douce clairière
En plein milieu de ces bois du malheur.
Quelle bonheur ce fut de sentir ce bon air.

Pour rien au monde je n'aurai quitté ce lieu,
Ou l'eau et la nourriture ne manquaient pas
Je remerciait chaque jour les dieux de m'avoir conduit en cette endroit
Mais un jour je me réveillai en pleine nuit
Réveillé par un bruit étrange
Je crus que c'était le chant d'un ange
Et c'est la que je la vis
Une demoiselle se baignait sous la cascade
C'était une fée, assurément.

Je ne pus détacher mes yeux d'elle
Chaque nuit elle revenait
Elle était si belle
Un soir je décidai
De la suivre sous la chute d'eau
La fée m'y attendait
Et aussitôt je l'embrassai.

Ce n'est que des années plus tard que je découvris
Que la grotte sous la cascade
Est celle du conte qu'il y a longtemps les anciens m'ont appris
Et que le trésor qu'elle garde
N'est autre que l'amour de la fée.

Et je ne quittai plus les bois sombres.

Le village compta un nouveau chevalier disparu en cherchant le trésor.
 
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