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DeletedUser51867

Guest
J'ai beaucoup aimé le texte, mon seul regret (qui ne regarde donc que moi), c'est qu'à la fin, il n'y ait pas eu un passager qui se réveille en sursaut pour dire qu'il s'agissait d'un cauchemar. Là je suis resté un peu sur ma faim, sans savoir comment se déroulait la fin du voyage (il reste 500km qui peuvent être cauchemardesques avec un GPS qui n'en fait qu'à sa tête).
Oui, je comprend, mais c'est justement l'idée : que peut-il encore se passer ? Il n'y a plus qu'un passager qui est le conducteur, dans quel état finira-t-il ? ;) Jj'avais écrit une conclusion... sauf que c'était déjà long il me semblait et que laisser une marge au lecteur pour imaginer la suite me séduisait bien plus : un cauchemar pourquoi pas ? Sacha en Hôpital psychiatrique effrayé au moindre son robotique ? Alric se réveillant en zombie finissant le travail ? Dorin découvrant qu'il est un extra-terrestre et survie dans l'espace ? ou tout simplement la voiture et ses occupants ont disparu... qui sait :)
 

DeletedUser51180

Guest
Sur une (très) libre interprétation du départ... Hors sujet, j'en suis conscient... Mais fallait pas me tenter !
Bonne lecture...

___________________________

Des parts de Toi


Le rythme des saisons, sur un tempo trop lent
Amplifie mon chagrin, atrophie mon allant
Depuis qu’elle a choisi, depuis qu’elle est partie
Vivre enfin, paraît-il, en trouvant la sortie.

Je cherche en vain la faute, à tout le moins la cause
D’une déchirure soudaine, qui fait que je m’écroule
Moi qui croyais tenir, le temps… celui des roses
J’essaie de me cacher, au milieu de la houle.

Mais au milieu de ceux, qui autour de moi dansent
C’est ton visage qui fuit, c’est à toi que je pense.

Il est vrai qu’à ton âge, je m’étais envolé
S’agirait-il alors, d’une tare héréditaire ?
Un cruel bégaiement, qui fit pleurer ma mère ?
Que tu venges aujourd’hui, gaie, presqu’ensorcelée.

Coupe un peu le cordon, claironnent les conseilleurs
C’est ta fille non ta femme, qui recherche le bonheur
Les « cologues » et les « chiatres », de cette grande famille « psy »
Tentent ensemble de répandre, des monceaux d’inepties.

Mais au milieu de ceux, qui autour de moi pensent
C’est ton visage qui luit, c’est pour toi que je danse.
-=-=-
TEJ

Edit showXYtime: Merci @TestEnJanvier pour votre participation hors de la route :)
Il reste plus qu'à vous laisser tenter de rejoindre le coin des écrits, d'ouvrir votre propre fil et nous faire partager librement vos œuvres, sans crainte du hors piste ;)
 
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DeletedUser48360

Guest
Hop c'est l'été et les vacances, je vais pouvoir montrer mon plein pouvoir. Moi, Roberta Muldoon. C'est comme ça que m'a baptisée ma pilote, moi je ne suis que le co-pilote de cette Julietta noire.
Sortie de l'usine, je m'appelai Jane. Maintenant j'ai un nom, un vrai nom. Ma pilote m'a choisi et a délaissé John mon concurrent. Elle avait le choix entre une voix mâle ou une voix femelle, ma pilote a choisi la voix femelle et m'a rebaptisé Roberta, Robert Muldoon. Je suis la seule GPS avec ce nom.

Cette année, pour les vacances, on se fait le road-trip. On part à 5h du mat d'Auxerre, direction la Seyne-sur-mer. Si vous ne connaissez pas Auxerre, pas besoin de venir visiter, je connais par cœur. Je parcours cette bourgade tous les jours et trop facile le plan. Moi, je rêverai de monter à Paris. A Auxerre, je n'ai jamais croisé Guy Roux...


Hop, c'est parti, on a chargé la sœur de ma pilote et on est parti à trois, et pas à Troyes quoique j'hésite, la Champagne l'été, ce serait plus frais. Non on va à la Seyne, sur mer, y aura des embruns...

Ca y est comme d'hab, la sœur râle parce que "à 200 mètres tournez à droite", ' à 100 mètres, tournez à droite" et Là mais tourne à droite ma pilote !

Ma pilote aime ma voix mais sa sœur, elle me déteste, je crois.

Hop, tout se passe bien finalement, nous traversons Lyon sans problème, une chance. Je ronronne, ma pilote conduit très bien, une pause syndicale toutes les deux heures, et la sœur écoute enfin la musique à la radio. Devinez, elle s'est branché sur Radio Nostalgie. Trop ringarde la sœur.

Hop, c'est la galère à Valence bouchon. Heureusement, nous avons la clim.

Hop, en fait, accident à Montélimar, la clim est en panne, je surchauffe. Et la c... de sœur n'arrête pas de râler. J'ai envie de lui répéter mes instructions de navigation depuis le départ.

Plus d'une heure en plein soleil sur l’autoroute A7, je craque. La sœur est vraiment trop chiante. Il n'y a pas qu'elle en surchauffe.

"Faites demi- tour, et prenez la première à droite"

"Faites demi- tour, et prenez la première à droite"

"Faites demi- tour, et prenez la première à droite"

Nous sommes enfin arrivées à la Seyne, ça fait un bon moment que nous tournons en ville. La sœur continue de râler et moi je continue.

"Faites demi- tour, et prenez la première à droite"


Parce que la sœur, je ne l'aime pas.

Edit showXYtime: merci @Rouleta34 pour votre participation :)
 
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DeletedUser53887

Guest
Clarisse & Sébastien


- On a mille bornes à faire et après trente minutes il faut déjà qu’on s’arrête, c’est hallucinant, vociférait Sébastien
- Mais c’est pas de ma faute si ma vessie psychote en voiture !!! Dans deux kilomètres il y a une aire, disait Clarisse
- Et tous les escargots qu’on a doublés qui vont repasser devant nous pour embouteiller le péage !
- Vas y sors ! C’est là.
- Et dépêche toi, t’as pas besoin de faire ta touriste, on a toujours pas quitter notre département.
- Tu ne sors pas de la voiture, toi ?
- Non j’ai pas l’temps j’pars en vacances moi !!!
Clarisse sortit de la voiture et se dirigea vers les toilettes de l’aire de service. Dans sa petite robe à fleur et ses chaussures en coquillages elle était heureuse malgré les grommèlements de son grizzly. Elle savait que son angoisse du voyage allait diminuer crescendo à mesure qu’il approcherait de la plage. Elle avait dû se lever à quatre heure du matin pour que Sébastien ne fasse pas un arrêt cardiaque à l'idée d’arriver au-delà de l’heure de remise des clés indiquée sur le site internet du gîte qu’ils avaient réservé.
Il y avait quelques tables devant la boutique où des voyageurs prenaient leur petit-déjeuner.
Moi aussi j’veux des croissants, se dit-elle
Elle fit immédiatement demi-tour pour récupérer son porte-monnaie dans la voiture.
Il va me tuer, pensait-elle en souriant
Mais en approchant de la Mazda 6, elle surprit son mari en pleine conversation téléphonique avec une femme. Les premiers mots qu’elle perçu furent :
- Mmmmm tu sais que tes doigts sont si agiles que ça m’fait toujours frémir disait la femme
- Oui je sais ma cochonne disait Sébastien d’une voix qu’elle ne lui connaissait pas
Une flèche venait d’être décochée par le haut-parleur du téléphone pour atteindre Clarisse en plein cœur à travers la fenêtre ouverte de la voiture, elle s’effondra. Ses poumons gorgées de sang et de douleur ne lui laissaient plus assez d’air. À genou sur le bitume dans ce jour qui se levait à peine, les larmes l’envahissaient. Emportée dans un torrent, une main cramponnée sur l’attache caravane comme agrippée à une branche au dessus du précipice, elle se noyait.
Le bruit de l’autoroute ne lui laissait entendre que des bribes de conversation.
- Dis moi t’es sûr que tu veux qu’on aille aussi loin toi et moi mon champion ? Disait la femme.
- J’suis prêt à aller jusqu’au bout du monde avec toi, répondit-il toujours avec cette voix étrange.
Chacun des mots étaient des coups qui défiguraient la si belle Clarisse. Le choc était si fort qu’elle se mit à vomir, à cracher de la bile sur le pneu arrière droit de la voiture. Le parking était pratiquement vide personne n’assistait au drame qui se jouait. Et elle entendait toujours.
- Oh ouiiii tu veux que je monte en volume, encore, ENCORE ! s’extasia la femme .
- T’aimes ça hein ! Ça suffit maintenant, à plus tard ma chérie, dit-il .
Après de longue minutes, encore sonnée, Clarisse parvint à se relever, elle essuya ses genoux, des gravillons s’étaient incrustés dans sa peau laissant la marque des cicatrices de son cœur écrasé, abimé par cette chute dans l’abîme. Elle ouvrit la portière s’installa dans le fauteuil sans un mot. Elle s’empressa de mettre ses lunettes de soleil pour cacher ses yeux rougis.
T’y as mis le temps d’y donc, tu t'es perdue ou quoi ? Demanda t’il .
Clarisse ne répondit rien, elle ne savait pas, elle ne savait plus. Tout ce qu’elle était venait de disparaître.
Sébastien reprit l’autoroute sans s’inquiéter, sans remarquer le venin qui se répandait dans les veines de sa femme. Les neurotoxines commençaient par paralyser ses muscles respiratoires, sa vue se troublait jusqu’à la plonger dans une sorte de coma conscient. Elle revoyait toutes les scènes marquantes de son passé, leur mariage, leurs voyages, leur rencontre. Tout ces moments de bonheur s’effaçaient lentement, toute sa vie disparaissait.
Ils quittaient enfin leur département, Sébastien s’avança sur son siège pour allumer le GPS. Les premières indications firent sortir Clarisse de sa léthargie.
- Vas y mon mignon dans 800 mètres tu prendras la sortie.
Dis moi t’es vraiment un champion toi avec ton engin.
Sébastien se tourna vers Clarisse avec un air goguenard teinté d’une pointe de gêne et lui dit :
- T’as vu, j’ai téléchargé la voix de Clara Morgane pour le GPS j’en avais marre de Dark Vador.
Clarisse sortait doucement de son cauchemar, elle se disait “ le GPS, il parlait a son foutu GPS”, elle essayait d’essuyer discrètement les larmes de soulagement qui glissaient sur ses joues. Il était toute sa vie, il était à elle.
- T’es pas fâchée, hein ? Insista t’il.
- Non c’est très bien tu peux jouer avec ton GPS autant que tu veux. Tu pourras sortir à la prochaine aire, il faut absolument que j’aille aux toilettes. Souriait elle.
- MAIS NON COMMENT C’EST POSSIBLE, TU TE FICHES DE MOI ? ? MAIS POURQUOI TU DOIS ENCORE Y ALLER ???
- Parce que je t’aime, idiot. Riait elle
- Mais… mais… je t’aime.


MODERATION: HORS CONCOURS SUITE A BANNISSEMENT DE L'AUTEUR
 
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Barbara99

Conquistador
Un court arrêt sur l'autoroute et la vie peut changer ou non. Excitant écrit juste à la fin. Avec une torsion dans l'histoire quelle je ne m'attendais pas. Un GPS, ou plutôt une GPS…… tout se dissout, la tension, l'angoisse et à la fin c'est ....des vacances. Merci Deborah
 

Loup Tenace

Empereur
@TestEnJanvier
Hors sujet totalement mais, MAIS c'est très beau. Maintenant t'es obligé d'ouvrir ton propre fil dans la section Récits
car on veux en lire d'autres.

@Rouleta34
Sympathique ton texte et hop même "punition" que TestEnJanvier, ouvre ton fil en section Récits car on veux lire plein d'autres choses de toi.

@Deborah de Robertis
Excellent et... Même punition que les deux précédents. :-D

Merci à vous trois de vous "jeter dans la fosse aux lions" :-p et j'espère vous retrouver dans la section Récits
 

DeletedUser16895

Guest
Clic
Gné ? kesskisspass ? *bââââille* gratt gratt

Oh mais quel branle-bas de combat ! que se passe-t-il ? Deux valises, un parasol, deux VTT et une glacière sont déjà entassés dans le coffre. La voiture doit avoir le châssis qui racle le bitume, car je l'entends protester silencieusement, de toute la force de ses circuits imprimés. Pauvre tacot ! Personne ne t'entend !
Ah oui j'y suis, c'est aujourd'hui le grand départ ! Mon propriétaire emmène sa jolie collègue en vacances, ou en co-voiturage, je n'ai pas bien compris. C'est à la mode, parait-il...

Tiens donc, la voilà justement. Elle est déjà installée sur le siège passager, et tiens une grande carte routière dépliée devant elle. Si je n'étais pas trop occupé à la regarder, je m'en offusquerais. La carte la cache en grande partie, je n'aperçois que le haut de sa tête (elle est brune chocolat. J'aime les brunes) et ses longs doigts aux ongles parfaits. D'où je suis, je ne vois guère ses jambes, mais je les imagine longues et fines.

Le visage d'Armand, mon propriétaire, apparait en gros plan dans mon champ de vision. Il triture mes boutons sans ménagement et (aïe ! doucement, j'ai l'écran fragile !) ajuste les paramètres.

"Bienvenue. Entrez votre destination." Oh ! Comme j'aimerais dire "s'il vous plait", parfois ! mais ma programmation me défend d'être poli !

"Et c'est parti pour Lacanau !! ! laisse tomber la carte, Corinne, mon GPS est infaillible !"

L'intéressée baisse la carte, et oh ! mille cathodes ! Je tombe amoureux immédiatement !!
Elle est belle ! Elle a de grand yeux bleus, le visage fin et un sourire ! oh un sourire incroyable !
"Corinne" ? mais c'est quoi ce prénom ??

Mais je n'ai point le temps de m'attarder pour l'instant. Je dois commencer mon travail...

"Il est 8 heures 37. Départ Marly. Arrivée Lacanau. Distance estimée 828 kilomètres.
Prenez à droite, et au rond-point, prenez la direction de l'A2."

Pendant que j'égrène mes instructions, je dévore ma jolie passagère des yeux. Elle est belle !
Elle me regarde parfois de ses yeux intelligents, oui elle doit être très intelligente, je le sais.
Le courant passe immédiatement entre nous, je le sens.

9 heures 11
Elle sourit souvent à Armand, elle doit le trouver drôle. Mais ne le regarde pas, regarde moi, moi ! Corinne ! Prends-moi dans tes mains, j'ai l'écran très tactile, tu sais !

10 heures 15
Je ne sais plus quoi faire. J'ai tout essayé. Elle n'a d'yeux que pour Armand !
Oh ma jolie Corinne !

11 heures 22
De toutes façons, ce sont toutes les mêmes. Un instant susurrantes et mielleuses, et l'instant d'après, froides et indifférentes ! Traitresses ! Briseuses de dual core !

12 heures 35
Pause déjeuner aux abords de Meung-sur-Loire.
Ils m'ont éteint. Je le savais, ah les traitres. Je sais ce qu'ils font ! Ils parlent ensemble. Ils se lient. Ils font plus ample connaissance.

13 heures 15
J'ai eu une idée pendant qu'ils déjeunaient. Une idée machiavélique.
Les bouchons.
Y a forcément plein de bouchons quelque part. Comme ça, ils arriveront hyper en retard à destination, seront furieux l'un envers l'autre, et tout sera parfait !!!
D'ailleurs, je sais où il y en a. Des gros bouchons, des embouteillages énormes, de gigantesques ralentissements.
C'est sûr, ça ne peut que fonctionner !! Quel génie je suis !

13 heures 32
Nous sommes bloqués quelque part entre Pétaouchnok et Trifouillis-les-oies. Des files de voitures derrière, des files de voitures devant. Des embouteillages interminables.
La voiture est à l'arrêt complet. Je bous d'impatience. Mais quand vont-ils commencer à se disputer ??

14 heures 51
Ils ne disputent pas, bien au contraire. Ils papotent comme des adolescents. Cinéma, lectures, culture de bonsais... ils se découvrent plein de points communs !
Mais qu'ai-je fait au Grand Nuage pour mériter cela ??

14 heures 58
J'ai eu une autre idée. Une idée encore plus machiavélique.
La voiture a encore protesté, mais je lui ai rabattu son caquet.
J'ai court-circuité la commande de la climatisation ! Aha ça vous en bouche un coin, hein ?
Comme ça, il va faire de plus en plus chaud dans l'habitacle, et il s'énerveront, et ils finiront par se crier dessus !! Ensuite, Corinne et moi pourront vivre librement notre amour.
C'est sûr, ça ne peut que fonctionner !!

15 heures 29
Il fait maintenant 28 degrés dans l'habitacle...
Patience....

16 heures 05
Il fait 32 degrés... Corinne s'évente avec la carte et Armand est tout rouge. Mon plan se passe à merveille. Je suis un génie.

16 heures 12
C'est bizarre. Armand a déboutonné son col et Corinne a retiré ses chaussures, mais ils ne crient pas. Elle a posé ses pieds sur le tableau de bord, (chose qu'il ne faut JAMAIS faire) et elle agite ses jolis orteils en lançant des œillades à Armand. Lui, il lui sourit. Il a l'air heureux.
Les traitres ! Attendez que je trouve une autre idée !!

16 heures 33
Je sais !
Je vais les perdre dans une campagne paumée, et Corinne sera furieuse envers Armand, et ensuite elle me reviendra. C'est sûr, ça ne peut que fonctionner !!
Ah quel génie je suis !

16 heures 57
Je l'ai fait sortir de l'autoroute. Il n'y a vu que du feu, ce nigaud. Nous traversons maintenant le fin fond du Loir-et-Cher. Attends, je vais te faire passer par des bleds dont même moi ne connais pas le nom (et pourtant je connais beaucoup de communes de notre beau pays)
Ouzouer-le-Marché ? Mais c'est quoi cet endroit ??

17 heures 22
Flûte, ça n'a pas fonctionné. Ils adorent la campagne, s'extasient en riant à chaque village que nous passons, "Oh la jolie petite église" ! Oh et là, c'est jour de marché !!" et photographient tout !! A tel point qu'il semblent avoir oublié Lacanau et ses plages sublimes !
Et la jolie ch'tite néglise, et bla bla bla, non mais je vous en ficherai du pittoresque, moi !! Attendez, je vais trouver une autre idée !

17 heures 31
Ils ne semblent pas avoir prêté attention à mes trajets farfelus. Ils se dévorent des yeux, les vilains ! Et je ne sais même pas où nous sommes ! Une campagne perdue ! Personne devant, personne derrière !

17 heures 52
C'est fini. Je me sens défaillir. Il ne me reste plus qu'à me laisser mourir de désespoir.
Armand a saisi dans sa main celle de Corinne et ne la lâche plus.

18 heures 12
Y a un truc qui me bouche la vue. Je ne sais pas ce que c'est.
On dirait un morceau de tissu. Oui, c'est une étoffe blanche, fine et délicate. Il y a une petite étiquette avec des lettres dessus. Chantelle, 90 C.

Dans mon oreillette de circuits imprimés, j'entends la voiture qui, moqueuse, rit aux éclats.


Edit showXYtime: merci @gaarance pour votre participation.
 
Dernière édition par un modérateur :
Je rajoute ci-dessous, la participation de @Roanna , que j'ai reçu en MP.



- M’man, y‘en a marre ! On arrive bientôt ? ppffff… c’est trop long…
- Oui, mes chéris ! Regardez, c’est là-bas … sur la gauche !
- Pas trop tôt…
Le fameux camping de maman était là, enfin ! Depuis le temps qu’elle leur rebattait les oreilles avec les vacances de ses 17 ans… Elle et sa mère avaient alors décidé de vacances assez sportives, hors des sentiers battus. Leurs vélos enregistrés, elles avaient pris le train un dimanche soir à Besançon direction le midi. Elles étaient arrivées en gare d’Avignon sur le coup de 7 heures du matin. Leur projet: sillonner la région de Montpellier, puis de revenir en bicyclette vers Avignon, par les Alpilles… Un rapide petit-déjeuner pour reprendre des forces et elles avaient enfourché leurs bécanes obsolètes, chargées à bloc de leur tente et sacs à dos. Direction Nîmes, et Viva l’Aventura ! C’était un dimanche. Sur le coup des 11h, le soleil tapait déjà dur. L’asphalte luisante brûlait sous leurs pneus. Un arrêt pour admirer le Pont du Gard et s’hydrater, et les voilà reparties. A Nîmes pourtant, la fatigue les avait rattrapées. Elles avaient craqué pour un petit hôtel bien frais et accueillant aux cyclistes amateurs qu’elles étaient… Repos bienvenu avant de reprendre la route le lendemain, direction Le Grau du Roi !

- Vous pouvez descendre… Je vais nous enregistrer ! Ne vous éloignez pas !
- Allez maman, viens ! Quand est-ce qu’on va se baigner, dis ?

Les deux enfants, Florent, 9 ans, et sa sœur Audrey, 7 ans, trépignaient d’impatience. Voir la mer ! La toucher ! S’y tremper après toutes ces heures de voiture… Le camping avait bien changé. Les dunes elles-mêmes n’étaient plus à leur place d’autrefois. A l’époque, elle et sa mère avaient monté leur petite canadienne dans un creux confortable entre deux dunes… Leur arrivée dans ce camping avait fait sensation ! Deux femmes seules, et en vélo qui plus est, chargées comme des baudets… ce n’était guère habituel ! Leurs voisins étaient sympathiques, des anglais avec lesquels elles avaient tout de suite lié amitié. Eux étaient arrivés la veille en moto, avec des bagages aussi sommaires que les leurs. Pas le choix quand on veut voyager léger. Du coup, ils avaient très vite décidé de faire cuisine commune : elles avaient un mini réchaud à gaz, eux quelques ustensiles dont elles ne s’étaient pas encombrées. L’un d’eux allait faire les courses basiques tandis que les autres cuisinaient, assez sommairement, souvent du poisson fraichement pêché, car pas question de consacrer plus de temps que nécessaire aux repas.

Alan était un jeune homme charmant et Marie avait très vite craqué. Les deux jeunes anglais, pilotes de la Royal Air Force, avaient décidé de parcourir le sud de la France pendant leurs congés. Ils venaient d’arriver au Grau du Roi et pensaient y passer quelques jours de repos. Belle occasion pour Marie de peaufiner son anglais trop scolaire… Assez vite, elle s’était laissée entrainer à des virées en moto au grand dam de sa mère que cela inquiétait un peu… Mais quel plaisir … La vitesse …, cheveux au vent !!! et Alan… un vrai gentleman déguisé en prince charmant !

- Maman, à quoi tu rêves ? ça fait dix fois que je t’appelle et tu ne me réponds pas ! eh !!! oh !!! Reviens vers nous !!
- Excuse-moi ma belle, je pensais à autre chose… La fatigue du voyage, ne t’en fais pas. Alors, que distes-vous de ce coin de paradis ?

L‘endroit en question n’avait décidément plus rien à voir avec celui de ses souvenirs. Le camping s’était beaucoup mosernisé et tout avait changé. Elle s’y était attendue, mais à ce point… waouh… Volatilisé le camping de sa jeunesse. C’était devenu un lieu très confortablement aménagé. De toute évidence, les vacances champêtres n’attiraient plus personne… Elle en éprouva une certaine nostalgie…

- Dis maman, c’est laquelle notre caravane ?
- Celle-là, les enfants. Allez vite y déposer vos affaires et enfiler votre maillot !
Nul besoin d’insister ! tout le monde se précipitait déjà à l’intérieur pour se changer. On verrait le reste plus tard…

Leur caravane était jolie, propre et bien aménagée. Il y avait tout ce dont ils auraient besoin pour passer d’excellents moments en famille. Tout en vidant les bagages, elle ne pouvait s’empêcher de laisser se dérouler le film de ses vacances magiques d’autrefois. Qu’était donc devenu Alan ?

Ils étaient restés longtemps en contact, à distance, et avaient même failli se marier, par deux fois ! Ils s’étaient revus à plusieurs reprises, et Il lui avait fait sa demande quelques années après leur rencontre, mais il aurait fallu que Marie aille s’installer en Angleterre, or sa carrière était tout juste lancée, en France… Après une longue hésitation, elle avait fini par renoncer, avec tous les regrets qui ne manquent pas d’accompagner pareille décision… La seconde fois, quelques années plus tard, il était venu lui rendre visite sans prévenir lors d’une permission : elle était alors en plein divorce – mariage trop rapide qu’elle avait vite regretté, mais dont elle avait eu ses deux précieux enfants. De son côté, Alan venait enfin de trouver une compagne… Il avait longtemps espéré que Marie lui revienne un jour, et voilà qu’au moment où tout redevenait possible, lui venait tout juste de…. Il en avait été malade ! Littéralement ! Ils avaient alors décidé de vraiment se dire adieu, en larmes dans les bras l’un de l’autre… Mais ici, dans ce lieu bardé de souvenirs romantiques… comment en détourner sa pensée ? Ce n’était pourtant pas la raison qui l’avait poussée à ce choix : elle avait envie de revenir sur ses pas, de se retrouver aussi, tout simplement…

Les enfants trépignaient d’impatience. Il était temps d’aller faire trempette : elle imaginait déjà l’eau si délicieuse… Ce bien-être à venir la tentait. Elle laissa tout en plan et prit la direction de la plage.

- Alors qu’est-ce que vous en dites ? Elle est magnifique cette mer si bleue, vous ne trouvez pas ? Et puis, on peut aussi s’éloigner pour être plus tranquilles…

La fraicheur du soir les engagea à aller diner au Grau, sur le port. Certes, il y avait foule, mais peu importait. Il fallait seulement s’assurer de ne pas perdre les petits dans ce tohu-bohu. Elle finit par trouver une table après une longue attente et une agréable ballade autour du port destinée à faire patienter sa petite famille.

- Dis maman, pourquoi tu ne t’es jamais remariée ? Nous, on voudrait bien un papa, tu sais !
- Mais vous avez le votre !
- C’est pas pareil ! On voudrait un papa à la maison. Le nôtre, on ne le voit jamais. Il ne s’occupe pas du tout de nous.
- Je sais mes chéris … Mais ça ne marche pas comme ça, vous savez ! Il faut trouver quelqu’un dont on tombe amoureux… Pas si simple…
- Eh bien nous, on a décidé de te trouver un mari !
- Ah non ! surtout pas ça ! Si un homme m’est destinée, je le trouverai toute seule, croyez-moi. Ne vous en mêlez surtout pas !
- Si, si, si !!!
- Ah non… Pitié !!!! On n’est pas heureux tous les trois ?

Les journées coulaient agréablement ponctuées de baignades et de rires. Les enfants adoraient le club Ecureuil tandis que Marie s’adonnait à des essais de sculpture sur bois. Florent et Audrey s’étaient fait des amis qu’ils amenaient parfois à la caravane où les attendait toujours un jus de fruits frais. Marie les connaissait bien maintenant. En particulier une ravissante petite blondinette aux yeux bleus, Cécile, grande amie de sa fille.

L‘après-midi s’étirait langoureusement. Les deux gamines avaient passé la journée à comploter. Marie était ravie de voir ses enfants prendre du bon temps avec d’autres jeunes de leur âge.

- Maman, Cécile et moi, on voudrait te demander quelque chose. Il faut vraiment que tu acceptes !
- Oui… Mais ça dépend. De quoi s’agit-il ?
- Dis oui d’abord !
- Pas avant de savoir…
- Oooh maman !!! Tu aimes bien Cécile, tu me l’as dit.
- Oui, c’est vrai.
- Et le papa de Cécile, il m’aime bien.
- Ah oui ?
- Cécile, elle n’a que son papa. Nous on n’a que toi. Alors, on s’est dit que …peut-être… Et d’ailleurs, Florent, il est d’accord lui aussi !
- D’accord pour quoi ?
- Eh bien, le papa de Cécile et toi, vous devriez passer une soirée et une nuit tous les deux. Alors vous pourriez tomber amoureux et on habiterait tous ensemble ! Ce serait génial !!

Marie ne put s’empêcher d’éclater de rire.
- Mais mes chéris, c’est bien gentil tout ça, mais on ne tombe pas amoureux comme ça !
- Mais si, tu verras. Et puis le papa de Cécile, il est très gentil.

Quand des gamins se sont mis quelque chose en tête, difficile de les faire changer d’idée. Au bout de plusieurs jours de harcèlement et de négociations au sujet de la fameuse nuit, probablement partagés par le papa de Cécile, Marie finit par accepter de le rencontrer autour d’un repas. Les enfants en hurlèrent de joie !
Tout était prêt, la table joliment fleurie et un parfum de rôti qui embaumait l’auvent.

- Les voilà ! Ils arrivent ! hurlèrent en chœur Florent et Audrey.

Marie sortit de la caravane, assez gênée par la situation pour le moins embarrassante. Elle voulait accueillir au mieux le papa de Cécile qui approchait en tenant sa fille par la main. Ils échangèrent alors un regard, muets de stupéfaction.

- Marie ?
- Alan ?
 

DeletedUser49437

Guest
Bonjour à tous,
Je vous propose ma participation sur la base du sujet 1 avec une légère adaptation futuriste !


RESTITUTION DE L’EXPÉRIMENTATION 7832 AVANT ANALYSE ET VIDAGE MEMOIRE______

INSTALLATION DU MODULE GPS NEWTRAVEL V178L47 LE 12/05/2120 SUR VEHICULE DE COLLECTION PEUGEOT5008 DE LA FAMILLE ASOIFF_____

LE 13/05, APRES 2 HEURES SOUS UNE CHALEUR ACCABLANTE SANS PROBLÈME IDENTIFIÉ___

- Papa, mamam pourquoi allons nous si loin pour les vacances ?
- « TAIS TOI » Jérémy, tu va pas commencer on te l’a déjà dit. On a encore 8h de route pour aller au Village Touriste Famille de Moliets !
- T’es pas mes parents, c’est pas à toi que je parle. Alors papa et maman ?
- Les garçons derrière calmez vous, pas de bagarre. On a décidé d’aller à la mer au soleil cette année, dit Fannie, la maman
- Mais on a chaud... et Tom arrête pas de péter.
- C’est pas vrai !

TENTATIVE DE CONNEXION AU SYSTÈME DE CLIMATISATION EN MODE SANS ECHEC. PAS DE RÉPONSE____
SEULE LA COMMANDE DE CONDUITE SEMBLE ACCESSIBLE ! AUCUNE SOLUTION IDENTIFIÉE____

- Ne commencez pas les garçons ! On a encore presque 8 heures de route et j’espère qu’on va échapper aux bouchons, dit le père pas convaincu au volant.
- T’arrêtes de me pousser !
- Non c’est toi qui a commencé !
- Je vous ai demandé d’arrêter les gars dit Fanny. Fais quelque chose c’est toujours moi la méchante...

- « Bonjour NewTravel », peux-tu faire quelque chose, s’il te plait, dit Aubar en contrôlant son rétroviseur pour doubler.
- A qui tu parles ? à la voiture ? Ça va vraiment pas mieux toi ! Fanny se pris la tête entre ses mains.

DIAGNOSTIQUE____
SOLUTION LA PLUS ADAPTÉE : PRISE DE CONTRÔLE NEURONALE____
TRANSFERTWAVE DE PAUL ET JEREMY DANS FOE - ÂGE DE BRONZE - CARTE - HIRMIR - SECTEUR 1____
JEREMY EN LANCIER ET TOM EN GUERRIER___

Les 2 garçons se retrouvèrent propulsés à travers un vortex et atterrirent sur l’échiquier de campagne. D’extérieur, les deux petits semblaient endormis, tête renversée en arrière sur l’appuie tête, mais d’intérieur, ils étaient fou de joie en pleine bataille avec l’artillerie adverse qui envoyait un premier boulet...

Tout d’un coup, Fanny réagit en voyant les bouchons se former devant eux :
- Ah non ! C’est pas vrai ! Je t’avais bien dis qu’il fallait partir plus tôt ! On arrive autour de Paris à la mauvaise heure ! Et j’ai chaud !
Oh faite, t’a bien pris mes produits de nuit dans le vanity comme je te l’avais demandé ?
-... Euh...
- Me dit pas que tu ne les as pas pris ! Bon très bien, rentres dans Paris. Pour ta peine on va passer aux Galeries Lagaillette en acheter !

Aubar poussa un soupire :
- « Bonjour NewTravel », changement d’itinéraire, s’il te plait ?
- BONJOUR, MAIS VOUS AVIEZ DEMANDÉ LE CHEMIN LE PLUS RAPIDE POUR MOLIETS____
- Oui, mais madame semble plus attachée à ses produits de luxe !

ANALYSE DES SCENARII____
1_CHANGEMENT D’ITINÉRAIRE___ IMPACT SUR TEMPS DE TRAJET 2H40___
2_TRANSFERT DE MADAME EN ÈRE MODERNE - BÂTIMENT DE PRODUCTION DES PRODUITS DE LUXE EN TANT QU’ACHETEUSE____ AUCUN IMPACT SUR TEMPS DE TRAJET___

Fanny se retrouva à son tour propulsée dans le vortex...

- APRÈS ANALYSE, PAS NÉCESSAIRE RENTRER DANS PARIS ! COURSES EN COURS___
AUBAR, PRENEZ LA PREMIÈRE SORTIE À DROITE POUR CONTOURNER LES BOUCHONS___
- Quoi, mais j’en ai marre de tous ces changements ! Moi aussi je suis crevé et j’ai chaud ! J’aimerais bien me reposer dans un écrin de verdure...

ANALYSE DE LA SITUATION____
COMMANDE DE CONDUITE TOUJOURS ACCESSIBLE ! PROJECTION DE AUBAR EN ERE DU FUTUR, FORÊT TROPICALE, ALLONGÉ DANS UN HAMAC.

La tête de Aubar tomba sur le côté pendant qu’il glissait dans le vortex. Le module GPS NewTravel pris le contrôle de la voiture et emmena toute la petite famille sur le parking du VTF de Moliets, puis les laissa reprendre connaissance.

APRES RESTITUTION DE L’EXPÉRIMENTATION 7832, EN PREMIÈRE ANALYSE : IL APPARAÎT QUE LE MODULE GPS NEWTRAVEL A PRIS TROP D’INITIATIVES PAR RAPPORT À LA RÉGLEMENTATION FRANÇAISE, UN BRIDAGE SERA NÉCESSAIRE____

Il vous faudra probablement attendre encore un peu de temps avant que cela devienne réalité...
Bonne vacances tout de même !


Edit showXYtime: merci à toi @Sbucky pour ta participation :)
 
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DeletedUser48360

Guest
Merci à ShowXYtime de m'avoir signaler ce concours graphique ou écrit.

Graphique aurait dû être mon choix. Au coloriage des écureuils, j'ai chopé des diamants, en scannant un dessin colorié, vite fait (30 min mais avec 2h de réflexion sur le choix des couleurs, sur une semaine) aux pastels.

Faute de temps, j'ai écrit un petit texte sans prétention. Rapidement écrit sur une idée du GPS de la voiture ma sœur.

Je remercie toutes les personnes qui m'ont envoyé un "j'aime".
Je n'ai pas participé pour gagner, juste pour animer ce concours.


@ LoupTenace si un jour, j'ai un texte à vous offrir, j'ouvrirai un fil. Mais bon, même si ado, écrivain était mon idéal de carrière... avec 9/20 au bac, j'ai très mal commencé ma carrière d'auteur américain, Dos Passos, Faulkner, et surtout Steinbeck. (contrairement à eux, il faudrait me traduire du français à l'américain). Mon adolescence est loin derrière moi et je remercie la dictée de Pivot pour m'avoir appris quelques règles de grammaire.

@Ludmillac tu as encore 4h pour pondre quelques lignes:)
 
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DeletedUser48360

Guest
en travaillant peut-être un jour, j'écrirai mon livre après tout ça fait 40 ans que j'en rêve ^^

Et mon blason est celui d'Espelette qui est aussi le blason de la famille d'Armagnac, de la Roche-Derrien... Le pire, c'est que je suis allée à Espelette et que j'ai encore un pot avec le blason. Et quand pour mon dernier blason à trouver, je suis enfin tombée sur Espélette, je me suis dit

"Mais oui, mais c'est bien sûr"

J'aime les concours sur ce forum, pas seulement pour les gains. Juste pour le challenge intellectuel ( ou technique, comment faire une recherche image sur google) et l'échange, je lis tous les commentaires.

Merci à vous tous pour votre imagination.
 
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DeletedUser48360

Guest
OUiI mais éditer n'a pas le même effet :D


Crotte, ha si ça marche. Mais ... Ben Alzheimer peut-être, j'aurai peut -être oublié prochaine fois

Mon texte est page 4 n'hésitez pas à me dire que vous aimez; ET nous aurons sûrement le nombre d votants par texte.
Je suis déjà étonnée des gens qui ont aimé.
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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